Retrouvez "On marche sur la tête" sur : http://www.europe1.fr/emissions/on-marche-sur-la-tete
Category
🗞
NewsTranscription
00:00Alors, Valérie Benaym.
00:01Oui, moi je souscris à ce que vient de dire...
00:02Je souscris à ce que vient de dire Ben, signé alors.
00:04Je souscris à ce que vient de dire mon camarade Gautier Lebré.
00:07Oui, moi je pense que...
00:09J'irai encore plus loin, c'est-à-dire que tout ce que tu l'as dit, je pourrais le dire,
00:12et je rajoute que ce qui me choque, c'est qu'on le planque.
00:16C'est-à-dire qu'on n'assume pas.
00:17Et ça, je trouve ça totalement délétère, c'est-à-dire que
00:20soit on dit, écoutez, je ne vois pas pourquoi il y aurait un problème,
00:22le Président assume, et il veut avoir l'oreille de Yacine Bellatar
00:26parce qu'il estime que Yacine Bellatar entend telle ou telle communauté,
00:30ou tel ou tel territoire, etc.
00:32Ou alors, ils ont conscience qu'il y a un problème,
00:34et si ça veut dire qu'ils ont conscience qu'il y a un problème,
00:36alors il ne faut pas le prendre avec eux.
00:38Voilà, parce que ça voudrait...
00:39Quand on planque quelque chose, c'est qu'on ne l'assume pas
00:41et qu'on le met sous le tapis parce qu'on sent qu'il y a un problème.
00:43Monsieur Dartigold.
00:44Je suis favorable à des délégations beaucoup moins pléthoriques,
00:47seulement faire partir les personnes qui ont un intérêt à aller là-bas
00:50pour les intérêts français.
00:52Et en effet, c'est le monde de l'hypocrisie,
00:54puisque là, ils vont lâcher leur amie Bellatar au chien,
00:57avec ce qui circule sur les réseaux sociaux,
01:00alors qu'il fallait assumer cette présence.
01:03Surtout que je ne comprends pas, ils connaissent la communication par cœur.
01:06Qui pouvait imaginer que cette présence passerait inaperçue ?
01:10Bien sûr.
01:11Non mais ça, c'est vraiment n'importe quoi.
01:14Excusez-moi, c'est ça moi qui m'en fous.
01:15L'amateurisme.
01:15Mais c'est ça, excusez-moi.
01:16Voilà, je suis d'accord, c'est de l'amateurisme.
01:18Bah oui, dites-le, on s'en fout, voilà, dites-le.
01:20Et ce n'est pas la première fois que ça arrive.
01:21Souvenez-vous quand les conseillers du président
01:23avaient invité les soulèvements de la terre au salon de l'agriculture.
01:26Et après, ils avaient essayé de mettre le chapeau sur les journalistes
01:29qui auraient mal compris, car non, les soulèvements de la terre n'étaient pas invités,
01:32alors que les soulèvements de la terre avaient dit
01:33« Après, on a bien reçu le carton d'invitation. »
01:35C'est comme là, quand ils disent « Oui, il est présent,
01:37mais en même temps, on n'adhère pas à ses idées. »
01:39Bah pardon, alors, si...
01:41Tu ne l'invites pas.
01:42Non, non, ça c'est n'importe quoi.