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00:00Et au niveau des réactions de ce qui se passe dans les institutions internationales, notamment la plus grande,
00:06celle qui organise, qui régente les politiques de santé dans le monde, l'Organisation Mondiale de la Santé, l'OMS,
00:13dont on sait d'ailleurs que le plus grand donateur privé, c'est Bill Gates.
00:19Bill Gates, effectivement, Microsoft, enfin on va vous présenter Bill Gates.
00:23Je rappelle que sa dotation financière en 2018 était déjà de 46,8 milliards de dollars,
00:31un montant supérieur aux produits intérieurs bruts de la Côte d'Ivoire, de la Jordine ou encore de l'Islande.
00:35Voilà. D'ailleurs, la Banque mondiale le dit, si la fondation Bill Gates était en état,
00:40elle serait la 91e le plus riche du monde et sa fondation est très importante dans le domaine de la santé.
00:46Bonjour, professeur Didier Raoult.
00:48Bonjour.
00:49Bonjour. Alors, on a parlé hors antenne et vous m'avez dit, il est peut-être temps de parler de Bill Gates.
00:57En quel sens et comment ?
01:00Si vous voulez, pour remettre les choses en perspective, vous me connaissez.
01:04Je vous connais.
01:06La première fois que les gens sont vraiment intéressés aux milliardaires qui prenaient des pouvoirs supérieurs à ceux de l'État,
01:13c'est l'histoire de Rockefeller avec la Standard Oil.
01:17Et c'est là que les Américains ont inventé la loi anti-monopole sous laquelle est tombé Bill Gates déjà.
01:24C'est la loi anti-trust, c'est ça ?
01:26La loi anti-trust.
01:28Et Rockefeller, pour laver sa réputation, a été le premier à faire du philanthropo-capitalisme,
01:35c'est-à-dire financer de la santé, etc., pour odorer son blason
01:40parce qu'il était considéré comme étant le pire de tous les capitalistes américains.
01:45La deuxième chose qui a été faite aux États-Unis,
01:48et donc il faut reconnaître que les États-Unis ont inventé des contre-pouvoirs au capitalisme,
01:54ce qui met pas tout le temps à se mettre en place dans cette occasion, mais qui vont venir.
01:58Je sais pas, vous savez, les élections, c'est dans une semaine.
02:01Si vous retrouvez Kennedy, le sénateur Kennedy à la Maison-Blanche,
02:08vous savez, Bill Gates peut se faire du souci, hein.
02:11La deuxième, c'est les crimes en col blanc.
02:14Les crimes en col blanc, les Français savent quasiment pas ce que c'est.
02:17Et si vous regardez sur Wikipédia, qui n'est pas une source,
02:20mais vous voyez qu'en français c'est une demi-page, et en anglais c'est cinq pages.
02:25Oui, intéressant.
02:26Les crimes en col blanc, c'est parmi les éléments du crime en col blanc,
02:31il y a le conflit d'intérêts.
02:33Le conflit d'intérêts, c'est quand on a deux éléments à la fois,
02:38et qu'on prend des décisions, qu'on fait prendre des décisions
02:41pour quelque chose qui vous rapporte de l'argent de l'autre côté, d'accord ?
02:46Typiquement, c'est un peu ce qu'on a découvert et pourquoi j'ai eu beaucoup d'ennuis,
02:50quand j'ai dit qu'un certain nombre de mes collègues qui s'exprimaient
02:56touchaient des sommes phénoménales, hein, de pharmaceutiques,
03:00pour défendre Gilead, si vous voulez, dont le pire qui m'a menacé de mort,
03:04c'est le professeur Raffi, avait touché 600 000 euros.
03:07Enfin, c'est pas des... par rapport à notre salaire, c'est pas mineur, hein, quand même.
03:12Donc, ça, cet élément, pour Bates, alors c'est pas du conflit d'intérêts, c'est monstrueux.
03:19C'est-à-dire que pour l'OMS...
03:20Alors, expliquez-nous concrètement, c'est...
03:22Alors, pour l'OMS, les quatre premiers donateurs de l'OMS, c'est les États-Unis,
03:28puis la première des fondations de Bill Gates,
03:31puis la deuxième des fondations de Bill Gates,
03:34puis une fondation d'association de l'industrie pharmaceutique.
03:36C'est ça, l'OMS.
03:38Et Bill Gates, à lui-même, à lui tout seul, représente 19% du financement de l'OMS.
03:43— 19% Bill Gates, entre lui et ses fondations, c'est ça ?
03:46— Entre lui et ses fondations. — D'accord.
03:48— Donc, il t'explique de ce qu'il veut, en pratique, parce que s'il en a...
03:51D'ailleurs, je sais pas si vous avez remarqué, parmi les éléments,
03:54le président de l'OMS, récemment, a dit
03:56« Écoutez, moi, j'ai rien à m'ordonner de faire.
03:59Je vais donner mon avis, mais c'est pas moi, les décisions. C'est les gouvernements ».
04:03Il commence déjà à prendre... Si vous voulez, à commencer à reculer sur...
04:06Parce que les choses, on va le voir, les choses avancent dans l'autre sens.
04:10On commence à voir qu'il y a des bêtises qui ont été faites,
04:12dont on savait depuis le début que c'étaient des bêtises.
04:14La deuxième chose, il est propriétaire.
04:17Donc il conseille l'OMS. Il leur conseille de faire des vaccins, bien sûr.
04:20Et il leur conseille de faire du Remdesivir.
04:22Le Remdesivir, c'est Gilead. C'est un des actionnaires majoritaires de Gilead.
04:26Et il a dit à la télévision américaine, on peut le voir,
04:29« Écoutez, le seul médicament qui existe actuellement, c'est le Remdesivir.
04:32Il faut presque dire ça. C'est le médicament du Covid ».
04:35Deuxièmement, Bill Gates...
04:37— Bill Gates, pardon, Lilia Root. Bill Gates a dit ça à la télévision.
04:41— Américaine, oui. — C'est ça. D'accord.
04:43— En France, c'est interdit. On n'a pas le droit, quand on est propriétaire,
04:46de faire la promotion de quelque chose sans dire « J'en suis propriétaire d'une partie.
04:49Ça me rapporte de l'argent ».
04:50La deuxième chose qu'il a faite, il a acheté chez BioNTech pour 55 millions de dollars d'actions
04:57qui valent maintenant 1 milliard. Et ces actions-là sont les actions qui ont permis
05:02de faire le vaccin de Pfizer et de Moderna. Donc à chaque fois qu'on a vendu du Pfizer et du Moderna,
05:08Bill Gates a touché de l'argent, ce qui l'a pas empêché d'aller partout pour essayer de convaincre
05:12tout le monde, y compris les enfants de moins de 15 ans, de faire un vaccin qui était – on va le voir –
05:18dangereux et inutile. D'accord ? Donc les gens portent plainte contre ça.
05:23Mais comment il a réussi à faire ça ? Une partie de sa manière de le faire, c'est d'acheter la presse.
05:29Donc il a payé 639 millions de dollars la presse. Donc les grands journaux américains,
05:36les grandes CNN, BBC, les grandes télévisions et les grands journaux français.
05:42Le plus grand bénéficiaire, bien sûr, c'est le monde. C'est pour ça que le monde est aussi
05:46gueux avec moi, si vous voulez. C'est que le monde a reçu 4 millions de dollars de Bill Gates, quand même.
05:53— 4 millions de dollars. Juste un mot. Quand vous dites ça, vous le s'éprouvez. Enfin c'est un fait.
05:58— Ah oui, oui, oui, oui. Il s'est prouvé. C'est demandé au monde. Non, mais on n'a pas reçu de l'argent pour ça.
06:03On a reçu de l'argent pour s'occuper de la flèche. Mais enfin vous savez que c'est pas vrai.
06:08L'argent qui rentre dans un conseil d'administration, il est distribué par le conseil d'administration
06:12où il veut. C'est la loi. — Bien sûr. Et il n'y a pas d'idée gratuite, comme disait Milton Friedman.
06:17— Exactement. Et on ne peut pas flécher un financement dans une fondation. Il y a même des gens qui ont été condamnés par ça.
06:23Quand vous mettez de l'argent dans un conseil d'administration, il est redistribué annuellement par le conseil d'administration,
06:29qui en décide la finalité. Donc on ne peut pas déterminer un financement sur un point particulier.
06:36Ensuite, il a donné quand même un peu plus d'un million au Lancet. C'est étonnant qu'il y ait du Lancetgate et qu'elle se vire face des fondateurs.
06:46— Je rappelle ce que le Lancet, l'une des plus grandes revues scientifiques du monde, qui avait lancé effectivement le beaubard
06:52qu'ils ont reconnu effectivement sur... — Oui. Oui. Et ensuite, d'ailleurs... Alors eux, je sais pas quels sont leurs trucs,
06:59sauf que le type qui véhicule les folies sur les accidents cardiaques de l'hydroxychloroquine a des conflits d'intérêt à un point extraordinaire,
07:11est responsable à Bordeaux de la pharmacosurveillance, qui, en France, en est le seul endroit où on déclare pas les myocardites liées au vaccin,
07:19mais on invente celles qui sont liées à l'hydroxychloroquine. C'est un endroit unique, la France. C'est spécial.
07:24C'est l'hydroxychloroquine qui donne des atteintes cardiaques, mais les vaccins n'en donnent pas, vous voyez. Et tout ça, c'est Bordeaux.
07:31C'est eux qui sont les responsables de ça. Bill Gates, par ailleurs, finance une fille qui nous harcèle qui s'appelle Mme Bic,
07:38qui est financée par une association qui est financée à moitié par Bill Gates. Donc je sais bien maintenant qui c'est qui me persécute.
07:46C'est Bill Gates, vous voyez. Et donc Bill Gates est une espèce de... — C'est un compliment, ça, Didier Raoult.
07:52— De quoi ? — Que vous soyez persécuté par Bill Gates. — Oui. Napoléon disait en mesure la taille d'un homme à celle de ses amis.
08:00— Oui. Mais en fait, Bill Gates, il a donc... Et l'opinion sur lui, on sait combien il dépense effectivement à l'OMS.
08:10Combien ? 19%. Vous l'avez dit. C'est un milliard de dollars. Et là, aujourd'hui, alors qu'est-ce que... Vous avez vu qu'un tribunal
08:17néerlandais, c'est très compétent pour le juger. — Mais c'est pas fini. L'Inde l'avait fait. Mais l'Inde, vous vous en foutez,
08:24parce que les gens se foutent de ce que disent les Indiens. Les Indiens ont voté l'Indie contre lui. C'est pas les Indiens.
08:31Et donc c'est vrai que c'est une... Depuis qu'il n'a plus Microsoft et qu'il s'occupe de faire de la philanthropie,
08:39sa fortune, qui était déjà considérable, a doublé. — Ah oui, carrément. — C'est pas mal. — C'est pas mal.
08:45— C'est bien la philanthropie. — C'est des trucs de philanthropes. Parce que si vous voulez, il tient à la fois le pain et le couvert.
08:55Vous voyez, il dit à l'OMS... Et l'OMS n'a guère le choix. Il faut tout vacciner. Il faut vacciner tout le monde.
09:01Et là aussi, moi, je l'ai vu en direct. Il dit qu'il faut vacciner 100% de la population. Enfin qui c'est, ce type, pour dire ce qu'il faut faire ?
09:08Enfin c'est inouï. À part qu'on sait que s'il vaccine 100% de la population, il va se remplir de quelques milliards supplémentaires.
09:15Qui est pour dire ça ? Et après, comme il achète les gens, il achète les sociétés médicales, il achète les journaux, il achète les journaux médicaux.
09:23Tout le monde est d'accord. Et pour être sûr d'être tranquille, il a en plus là donné 50 millions de dollars à Kamela Harris pour qu'elle soit...
09:31Il a raison, d'ailleurs, parce qu'il a plus de chance de pas être embêté. C'est Kamela Harris que Cizé.
09:38— Ça, c'est clair. Avec Robert Kennedy junior, il n'est pas très très complaisant, lui. Mais alors...
09:46— Pour moi, c'est fausse. Vous savez, il y a des incarnations. Les poètes ont toujours raison. Vous voyez, les poètes sentent les personnages.
09:55Pour moi, c'est fausse. Il a fait un pacte avec le diable, si vous voulez, pour gagner l'éternité et sauver les choses par la science.
10:02Ces personnages cristallisés comme ça ont une signification qu'on retrouve d'une manière récurrente de sauveur du monde, gentiment éternel.
10:12Vous voyez, avec le transhumanisme, j'aimerais jusqu'à 150 ans que c'est une de ces bêtises, le transhumanisme. Donc c'est très intéressant de voir ça.
10:22Mais ce qui sort en parallèle, c'est qu'effectivement, il vient de sortir 3 papiers sur les effets de Pfizer sur le cœur chez les jeunes,
10:32qui ne risquaient rien avec le Covid et qui n'auraient pas dû être vaccinés. D'accord ? Et donc il y a un papier Corée du Sud sur une analyse sur 3 millions de personnes.
10:41Il y a 2 papiers canadiens qui sont sortis. D'accord ? Un papier qui est sorti en Oregon. Donc ça commence. Jusqu'à présent, ces choses étaient extraordinairement difficiles à publier.
10:51Nous, on a un papier que j'ai eu de grandes difficultés à publier dans lequel on montre qu'en des lots... Les Danois ont montré que les lots de vaccins de Pfizer
11:01n'avaient pas tous la même toxicité. Donc il y a une hétérogénéité dans les lots. Nous, dans ceux... On a testé 2 lots. On a trouvé qu'il y avait 14% d'ADN dans les acides nucléiques qu'on avait au lieu d'ARN. D'accord ?
11:15Pour publier ça, c'est un enfer. C'est-à-dire que les gens n'osent pas se mouiller contre des puissances de cette nature-là. Si vous avez la croix à Bill Gates et Pfizer contre vous,
11:25vous êtes Napoléon, là. Vous avez vraiment des... Mais en tout cas, vous pouvez rester avec nous. On va juste s'interrompre pour une petite pause et on va voir justement comment il se fait
11:35qu'une organisation comme l'Organisation mondiale de la santé, qui devrait être subventionnée par des gouvernements, en fait, est subventionnée en partie, en grosse partie, par le privé.
11:44Et là-dessus, il n'y a pas que l'OMS. On en parle tout de suite après cette petite pause.
11:49Et si vous voulez réagir, est-ce que vous entendez ou poser votre question ? Un seul numéro, le 0 826 300 300.
11:57Preuve dans tous ses états.
12:00Bill Gates, l'OMS, les dons. Nous sommes avec le professeur Didier Raoult et nous parlons effectivement de tout cela. Mais Didier Raoult, on peut vous objecter quand même.
12:10Il est quand même... Il a effectivement versé beaucoup d'argent, mais aussi quand même pour les bonnes causes.
12:16Le problème qui se pose, est-ce que l'OMS, par exemple, on ne parlait que de l'OMS, est-ce qu'il ne doit être que contrôlé par les gouvernements ?
12:24Parce que n'oubliez pas aussi, on n'a pas parlé de la Chine. La Chine pèse d'un grand poids sur les décisions, en tout cas dans l'OMS.
12:31Est-ce qu'effectivement, on ne peut pas dire oui, d'accord, Bill Gates a fait, a éteint son pouvoir, mais est-ce qu'il ne l'a pour vous que pour les conflits d'intérêts
12:39où il a fait quand même du boulot dans l'éradication ou l'élimination de certaines maladies ou de certaines pandémies ?
12:46— Alors je peux vous dire, il y a deux choses. Moi, je ne suis pas plus malin que vous, mais j'observe. Il y a 20 ans, si vous regardez mon rapport que j'avais écrit au ministère,
12:59à l'époque où Bill Gates avait créé Gavi, l'autre fondation qui l'a, je disais qu'hérosement, il y a Bill Gates pour payer les vaccins,
13:09mais qui étaient des vaccins normaux, qui étaient diphtéries, tétanos, polio, dans les pays les plus pauvres, parce qu'il y a quelqu'un qui le fait.
13:16Donc moi, je n'avais pas d'opinion a priori. Après, si vous voulez, les points dont Bill Gates, que je connais, dont il s'est occupé, sont une catastrophe.
13:31Il y a deux catastrophes. La première, c'est la poliomyélite. C'est-à-dire je ne sais pas qui c'est qui... Vous savez, il n'y avait plus du tout de poliomyélite dans 95 pays du monde.
13:42Et essentiellement, la poliomyélite dans nos pays, en particulier en Europe, en particulier en France, a été éradiquée par les vaccins qu'on vous injectait avec le diphtérie et le tétanos.
13:56Il y a un autre vaccin concurrent qu'on prend par la bouche qui est du virus vivant. Or, ce virus vivant dans le tube digestif rencontre d'autres virus qui sont très proches,
14:07ils se recombinent, et dans un certain nombre de cas, il redevient virulent et il fout des poliomyélites. D'accord ?
14:13Donc n'importe quelle personne de bon sens dit « Écoutez, il faut l'abandonner ». C'est ce qu'on a fait en Europe depuis 50 ans.
14:20On l'abandonne et on ne fait plus que de l'injectable qui coûte un peu plus cher, mais on fait de l'injectable.
14:25Bill Gates a voulu non pas éradiquer la poliomyélite qui était facile à éradiquer, il s'usait de faire des injections,
14:33mais le virus lui-même qui circulait, parce que le virus qui circule, c'est maintenant exceptionnellement le virus de la poliomyélite, c'est le virus vaccinal.
14:43Et pour éliminer ça, au lieu de dire « Il faut piquer les gens pour arrêter la circulation du virus vaccinal »,
14:50il leur a dit « Il faut leur donner encore plus de virus vaccinal parce que l'immunité est meilleure », d'où ça sort ce truc.
14:55Tous les pays qui l'ont éradiqué l'ont éradiqué. Et actuellement, depuis qu'il a fait l'éradication de la poliomyélite,
15:03il y a 10 fois plus de poliomyélite que ce qu'il y en avait avant. Et vous avez vu, il y en a eu en Israël, il y en a eu à Londres,
15:09il y en a eu à New York. Ça avait disparu complètement dans ces pays. Maintenant, il y en a à Gaza, si vous voulez,
15:14et ils sont en train de balancer du virus vivant à tous les Gazaouis. On ne sait pas ce que ça va donner.
15:20Donc si vous voulez, les options de Bill Gates et de l'OMS sur ces questions sont anti-scientifiques.
15:27La deuxième chose, il nous a expliqué qu'il allait « roll back malaria », il allait renvoiler la malaria dans ses cordes, ça allait être fini.
15:35Eh bien, vous voyez, 20 ans après, il y a toujours autant de paludisme que ce qu'il y avait à 20 ans. Il y a moins de morts.
15:41Et vous savez pourquoi il y a moins de morts ? Parce qu'il y a une chinoise qui s'appelle Yu Yu, qui du temps de Mao Zedong
15:47a pris un extrait de plante qui était connu comme le quinquennat depuis 2000 ans pour soigner le paludisme,
15:54et que c'est devenu le traitement du paludisme qui empêche de mourir du paludisme. Donc le changement du paludisme,
16:00c'est une chinoise du temps de Mao Zedong qui l'a fait. C'est pas Bill Gates. D'accord ? Parce que la simplification qu'il avait,
16:08c'était on va mettre des moustiquaires intégrés. En réalité, les moustiquaires qu'on avait, elles ont des trous.
16:15Les moustiques passent dans les trous. Quand elles sont lavées, toute la perméthrine, c'est-à-dire l'insecticide,
16:21toutes les eaux sont maintenant remplies d'insecticides, des moustiquaires qui ont été imprégnés.
16:29Et il y a toujours autant de paludisme. Il y a 250 millions de paludismes par an. Donc si vous voulez, il faut faire son métier.
16:36Son métier, c'est pas de jouer avec des jeux vidéo. C'est de la médecine. C'est compliqué. Il y a des choses qui n'étaient pas prévues qui se passent.
16:44C'est pas compréhensible pour un mec qui fait de l'informatique. Il faut qu'il s'arrête. C'est du vivant, le vivant. Vous avez bien lu mon dernier.
16:51C'est du médecine extrême, le vivant. — Lebocaoticus, oui. — Il faut être très prudent avec la médecine. C'est très très compliqué.
16:59Les épidémies, c'est extrêmement compliqué. Et donc comme je me méfie, je dis souvent aux gens qui sont près de moi
17:06« Faites attention à ceux qui ont la main sur le cœur », parce que c'est aussi la main du portefeuille. Et donc je me méfie des gens qui proclament
17:15leur bon cœur. Et pour revenir, pour finir, si j'ose dire, sur la conversation que les gens avaient sur Sud Radio avant, il faut faire attention
17:24de pas dire « Si on fait la drogue gratuite ou distribuable, ça ira mieux ». Non. Le pire qu'il y ait eu avec la morphine de tout, c'est l'oxycontin
17:34et la morphine distribuée comme antalgique qu'on donne maintenant même aux gens qui ont mal à la tête, qui a fait 500 000 morts, avec là aussi
17:43un conflit d'intérêts qui a été reconnu. C'est-à-dire que pour nous, acheter tous les médecins de la douleur, payer tous les congrès sur la douleur...
17:52— Avec ça, oui, avec la morphine. — Avec l'oxycontin. — L'oxycontin. — Attention, c'est dangereux, ces choses-là. Il faut là aussi arrêter de dire
18:00« C'est simple ». Écoutez, si c'est l'État qui le fait... Mais si c'est l'État qui le fait, ça devient normal. Et donc l'oxycontin n'est plus considéré
18:07comme une drogue dure, ce qu'elle est. C'est de la morphine modifiée. Elle est comme un médicament antidouleur, vous voyez.
18:14— Oui. Ce que vous dit Didier Haute en fait en guise de conclusion, c'est qu'il faut se méfier. C'était Jacques Prévert qui disait « Il faut pas laisser
18:21les politiciens jouer avec des allumettes ». Et là, il faut pas laisser les très gros financiers jouer avec des territoires qu'ils ne connaissent pas, en fait.
18:29C'est ça, le problème. C'est toujours pareil. Et acheter ce qu'ils ont envie d'acheter.
18:34— Exactement. Parce que si je dis pour nous, vous pouvez faire vraiment un parallèle avec Bill Gates, parce qu'ils ont créé une université,
18:41ils ont créé des prix pour les gens qui en savent, des milliards et des milliards et des milliards, mais 500 000 morts quand même.
18:48— C'est quand même beaucoup. Merci, Didier Haute. Écoutez, on va suivre ça et on va voir ce qui se passe justement avec les États.
18:55Il y a des tribunaux, effectivement, qui commencent à s'agiter. Et on va suivre ça. Et on va voir si le 5 novembre, M. Robert Kennedy junior
19:04est en tête du ministère de la Santé ou ça va effectivement trôler dans les familles. À bientôt.
19:10— À bientôt. — Et vous pouvez poser votre question ou réagir.