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00:00Le président de l'Assemblée parlementaire de la francophonie vient de prendre une part active au XIXe sommet de la francophonie, c'était en France.
00:09L'honorable Hilarion Eton, premier vice-président de l'Assemblée nationale, a profité de l'occasion pour rencontrer plusieurs personnalités
00:18et présenter la vision de l'APF en ce qui concerne la mobilité circulaire des citoyens dans l'espace francophone.
00:26Le sujet essentiel présenté par le président de l'Assemblée parlementaire de la francophonie qui porte sur la mobilité circulaire des citoyens dans l'espace francophone
00:36a un lien direct avec le thème des travaux à savoir créer, innover et entreprendre en français.
00:42Ce plaidoyer va en droite ligne avec les objectifs de ce XIXe sommet qui vise à promouvoir une francophonie dynamique de nature à mobiliser la jeunesse.
00:52Il s'agit comme l'a souligné Hilarion Eton dans son allocution des circonstances d'abolir les obstacles injustifiés à la délivrance des visas
01:01pour ce qui façon la richesse, la pensée, la scène, la culture, le sport et même la politique qu'il soit en activité ou en devenir.
01:10Cette francophonie que nous bâtissons, souligne-t-il, doit faciliter une convergence des idées autour des solutions concrètes, inclusives et innovantes.
01:21La première étape consiste donc à valoriser et à renforcer la mobilité dans l'espace francophone commun.
01:27Et bien que les programmes existent déjà, ils demeurent insuffisamment exploités.
01:33Le président de l'APF s'est apesanti sur la révision des perspectives de la francophonie.
01:39Pour lui, la circulation des personnes doit être engagée de manière fluide et réciproque entre le nord et le sud.
01:47Hilarion Eton insiste sur la nécessité de développer des infrastructures qui facilitent l'interconnexion,
01:54notamment en Afrique où subsiste de profondes disparités.
01:58Et afin de consolider le rôle de la diplomatie parlementaire dans l'écosystème francophone
02:04et d'exploiter en quelque sorte les pistes d'approfondissement des synergies déjà en place,
02:10le président Hilarion Eton de l'APF a eu des échanges avec le président de la République française Emmanuel Macron,
02:18celui de la Côte d'Ivoire Alassane Rahman Ouattara, le président du Rwanda Paul Kagame,
02:24le chef de l'État Félix Tisekedi de la RDC et le président du Gabon Brice Clotaire Oligingema.
02:32Il a aussi eu des échanges avec Louise Moshikiwabo, secrétaire générale de l'Organisation internationale de la francophonie,
02:39OIF.
02:41Toujours dans ce chapitre, le président Hilarion Eton a été reçu par le secrétaire d'État français à la francophonie
02:48et aux partenariats internationaux Tani Mohamed Soali.
02:52Ce dernier a d'ailleurs salué l'intensification de la diplomatie parlementaire engagée par l'APF.
02:58Une feuille de route pleine pour Hilarion Eton, qui a également eu des entretiens avec les représentants des exécutifs de l'Angola,
03:06de la RDC, de l'Égypte, du Rwanda, du Sénégal, de Seychelles et de la Thaïlande,
03:13afin d'évoquer les prochaines pistes de coopération avec les chambres législatives de ces pays.
03:19Par ailleurs, le président de l'APF a également reçu des dirigeants de sections adhérentes
03:25afin de faire le point sur les échanges futurs de l'institution.
03:30Pendant la clôture du symposium sur la mobilité circulaire des citoyens dans l'espace francophone,
03:36Hilarion Eton a présidé la cérémonie de remise des décorations de la Pléiade, Ordre de la francophonie et du dialogue des cultures.
03:45Trois personnalités ont été distinguées.
03:52Quelle est l'importance du débat d'orientation budgétaire ?
03:55Cette question et bien d'autres ont été abordées au cours du dernier DOB à l'Assemblée nationale.
04:01Le président de la Chambre, le très honorable Kava Yéguidi-Bril, a profité de l'occasion pour dire ce qu'il pense du débat d'orientation budgétaire.
04:13À travers le débat d'orientation budgétaire, le Parlement intervient désormais en amont
04:23pour mieux contribuer à la définition du cadrage macroéconomique et budgétaire.
04:33Et l'on parvient donc de faire des recommandations utiles et efficaces
04:41en se focalisant véritablement sur les questions et orientations stratégiques
04:50ainsi que sur les problématiques transversales en reléguant au second plan
04:59les débats sur les allocations de ressources et les questions à caractère local,
05:09parfois éloignées des problématiques qui devraient être abordées.
05:17Chers collègues, je n'ai nullement besoin de vous rappeler qu'il s'agit d'un débat sans vote.
05:29Écoutons à présent les préoccupations des députés Daniel Ngalé et Roland Ngo ici
05:35sur la question de l'électricité au Cameroun et sur le payage automatique.
05:41Ils ont posé leurs questions au ministre des Finances, lui Paul Mottazé,
05:46qui a essayé d'apporter des éléments des réponses.
05:50Plusieurs domaines ont retenu mon attention, notamment sur l'évolution de l'économie nationale,
05:56sur le progrès annoncé dans le secteur social et les perspectives macroéconomiques 2025-2027.
06:04Mais deux feront l'objet de mes interrogations.
06:08Et je souhaiterais vous entendre, monsieur le ministre, sur quelques aspects.
06:13Alors, sur les résultats des plans de relance des investissements dans le secteur de la production
06:21des huiles brutes, du pétrole et du gaz, car le document sous exploitation nous indique
06:27que ces secteurs ont connu une baisse.
06:30Mais surtout, quelles sont les initiatives prises par le gouvernement pour améliorer cet état de choses ?
06:42Une autre crainte qui me traumatise, même à la fin, monsieur le ministre,
06:47est celle de la fourniture de l'électricité ambiante nécessaire pour le décollage industriel de notre pays.
06:55Vous l'avez relévé pendant les travaux en commission.
06:59Mais, monsieur le ministre, j'aimerais savoir, par quel miracle,
07:04puisque les barrages principaux pouvant produire l'énergie escomptée sont déjà livrés
07:10et que rien de significatif ne se fait ressentir ?
07:13Et ces non-livrés sont butés par la volonté de votre gouvernement de maîtriser les dépenses,
07:19la qualité des dépenses, dans la réalisation des ouvrages.
07:23En clair, comment comptez-vous procéder pour doter au Cameroun de l'offre énergétique nécessaire pour son décollage industriel ?
07:32Je voudrais vous dire, honorable Ngoissi, que les difficultés de l'économie nationale sont connues.
07:39Nous les connaissons tous, ces difficultés.
07:42Et ces difficultés, je ne vais pas les reprendre ici.
07:45Il y a des difficultés d'ordre externe, des difficultés d'ordre interne.
07:49Cela entraîne un certain nombre de chocs, des chocs qui ont essentiellement pour conséquence
07:55la diminution ou alors la non-perception du volume de ressources que nous pouvons encaisser.
08:02Mais au niveau du gouvernement, au niveau du ministère des Finances,
08:06nous travaillons suffisamment, et je crois que vous le voyez d'année en année,
08:11nous travaillons suffisamment pour que, au niveau des recettes, que les recettes continuent leur tendance vers la hausse.
08:19Et c'est d'ailleurs pour ça que vous vous êtes rendu compte que, d'année en année, d'année en année,
08:25malgré la crise, le budget lui-même aussi connaît une évolution haussière.
08:31Le chef de l'État a signé dernièrement une ordonnance, vous le savez,
08:35qui, pour cette année encore, nous avons été obligés de procéder à la correction du budget
08:40parce que nous nous sommes rendus compte que nous allons franchir le cap des 7 000 milliards de FF.
08:45Ce qui n'était pas le cas en décembre lorsque nous vous avons présenté le projet de loi de finances de l'exercice 2025.
08:52Bon, malgré cela, les problèmes sont nombreux.
08:56Les problèmes sont nombreux et le rôle du gouvernement est de régler ces problèmes.
09:03Alors, vous avez parlé de l'énergie. Par quel miracle allons-nous réduire le gap ?
09:07Nous essayons d'être le plus sincère possible quand nous venons vous voir.
09:14Nous sommes le plus sincère possible en disant, nous avons un gap dans le domaine de la fourniture de l'électricité.
09:21Comme vous le savez, cette année, on espère qu'en décembre, ça sera fini
09:26avec la mise en exploitation totale du barrage de Nathigal qui doit nous fournir 420 MW.
09:35Mais il se fait seulement, le ministère de l'Économie a fait une étude qui démontrait
09:40que malgré Nathigal, d'ici deux ans, nous risquons encore d'avoir un déficit en offre d'énergie.
09:49Nous sommes obligés de vous le dire parce que c'est la vérité.
09:53Mais le gouvernement ne reste pas les bras croisés.
09:57Avant même que nous n'en finissions avec Nathigal, nous avons déjà lancé, nous avons mis en place une société de projets
10:05pour construire un autre barrage avec le même dispositif financier que le barrage de Nathigal que nous appelons le barrage de Kikot.
10:14La société de projets a déjà été mise en place entre Électricité de France et l'État du Cameroun
10:21avec un partage au niveau du capital à 50-50.
10:25Et ce barrage de Kikot risque de produire plus que Nathigal encore
10:30parce qu'avec Kikot, nous aurions à peu près 500 MW.
10:33Il n'y a pas que Kikot, il y a d'autres barrages, Grand et Ouin, etc.
10:37Grand et Ouin, c'est d'ailleurs plus de 1000 MW.
10:45Monsieur le ministre, pouvez-vous nous dire si, depuis les deux dernières années de pratique de ce débat d'orientation budgétaire,
10:53les avis des parlementaires sont pris en compte dans l'élaboration des projets du budget de l'État ?
11:01Cette préoccupation est relevée en relation avec l'affirmation que vous avez faite dans votre rapport
11:08selon laquelle, je cite, « Aussi longtemps que le Parlement est concerné, les progrès dans ce domaine restent fragiles. »
11:18Le gouvernement a fait une projection pour 2027 montrant une forte domination de l'enseignement secondaire général
11:26au détriment de l'enseignement technique.
11:29Pouvez-vous nous dire clairement pourquoi le gouvernement fait ce choix ?
11:35Monsieur le ministre, nous parlons des contraintes budgétaires,
11:39mais le gouvernement met beaucoup d'argent dans des domaines qui peuvent produire des revenus.
11:45Mon collègue a tout à l'heure parlé des ponts.
11:48Moi, je parle des péages automatiques qui sont construits mais pas exploités.
11:54Est-ce à dire que nous ne savons pas ce que nous faisons ?
11:58Nous ne rencontrons pas les objectifs qu'ils nous ont donné.
12:03Honorable Ngalé, comme certains, vous êtes revenu sur le problème des recommandations.
12:12Sachez que chaque fois que nous terminons le débat d'orientation budgétaire au niveau du Parlement,
12:19les exécutifs parlementaires, c'est-à-dire le très honorable président de l'Assemblée nationale
12:25ainsi que le président du Sénat généralement saisissent le premier ministre du gouvernement
12:30pour lui envoyer les recommandations qui sont les vôtres.
12:36Notre travail, quand ça vient du premier ministre, ça vient sous forme d'instructions
12:40pour qu'on voit la faisabilité et la prise en compte de ces recommandations.
12:45Ce que nous faisons, peut-être devrions-nous, et c'est une proposition que je prends,
12:51peut-être devrions-nous faire toute une note pour dire voilà celles des recommandations
12:57qui ont été prises en compte et à introduire dans la loi des finances en préparation.
13:05Je peux ici, honorable Ngalé, prendre un certain nombre de recommandations.
13:10J'ai une fiche devant moi, je ne vais pas vous lire toute la fiche sur la mise en œuvre des recommandations sur le plan fiscal
13:17parce que vos recommandations visaient, un, rationaliser les dépenses fiscales,
13:21deux, étendre la dématérialisation à l'ensemble des procédures fiscales,
13:25trois, améliorer le rendement de la taxe foncière,
13:28quatre, intensifier la lutte contre les flux financiers illicites,
13:31cinq, améliorer la stratégie d'appurement des arriérés fiscaux.
13:36J'ai toute une fiche ici qui parle de l'état de la mise en œuvre.
13:39Je ne vais pas vous relire tout ça, je peux vous communiquer ce document.
13:45De même, pour ce qui est de la douane, nous savons que nous avons instauré dans la loi de finances 2024
13:55un droit d'assise sur les charcuteries industrielles et un amendement proposé par les députés.
14:00C'était un député PCRN.
14:02Je voudrais également dire à l'honorable Ngalé que l'introduction, il y a l'introduction dans la loi de finances,
14:10les annexes suivantes, annexes sur les transferts des collectivités,
14:14faveurs des collectivités et les jointes,
14:16l'annexe sur le genre, le rapport sur l'import-substitution
14:22et également la réduction du volume et simplification du document.
14:26Autant de recommandations qui ont été faites par les parlementaires et qui sont prises en compte.
14:32Moi, je vous renverrai peut-être la balle en vous demandant,
14:35est-ce que vous pouvez me rappeler celles des recommandations que vous avez données
14:40et qui n'apparaissent pas dans l'examen de la loi de finances.
14:45Bon, et puis, il faut remarquer que la loi de finances ne vous est pas encore proposée.
14:49Donc, vous ne pouvez pas, à l'heure actuelle, dire, faire des critiques profondes sur la loi de finances,
14:56puisque vous ne l'avez pas.
14:58Nous ne sommes pas encore dans la discussion budgétaire.
15:03Honorable Ngalé, vous êtes également revenu sur le problème de l'enseignement général
15:08par rapport à l'enseignement professionnel.
15:11Nous sommes tout à fait d'accord avec ce que vous avez dit,
15:15parce qu'il devient pratiquement clair que l'une des causes du chômage vient un peu de l'inadéquation
15:23qu'il y a entre la formation qui est dispensée et les besoins du marché du travail.
15:29C'est la raison pour laquelle nous pensons, comme vous, honorable,
15:32que l'enseignement professionnel, l'enseignement technique, devrait prendre un ascendant.
15:38Et le ministre Chiroma, lorsque vous le rencontrerez, je suis sûr qu'il va beaucoup vous parler de ça.
15:44Mais je préfère vous dire le vrai, parce qu'il me souvient que,
15:48je suis un moment dans un conseil de cabinet, le ministre Bapesse,
15:54qui était ministre des enseignements secondaires, avait été interrogé sur cette question-là.
15:58Et il avait dit la vérité, c'est qu'en fait, un lycée d'enseignement technique, ou alors un CETIC,
16:06coûte presque 6 ou 7 CES ou lycées d'enseignement général.
16:10C'est ça le problème.
16:12Les CETIC, les établissements d'enseignement technique, ont un coût.
16:16Parce qu'il ne s'agit pas seulement de construire des bâtiments,
16:18mais il faut un matériel technique qui a un coût élevé.
16:22Bon, ça ne veut pas dire qu'il ne faut pas faire.
16:24Mais lorsqu'on connaît aussi la croissance démographique et le nombre de bâtiments,
16:30de salles de classe qu'il faut, surtout en zone rurale,
16:34il y a toujours cette incitation à créer des CES, de créer des établissements d'enseignement général.
16:40Mais ceci étant, nous sommes tout à fait d'accord sur l'importance qu'il faudrait accorder à l'enseignement technique.
16:49Vous avez parlé des péages routiers qui ne sont pas entrés en fonction.
16:52Je vais en dire un mot.
16:54Le rapporteur général en a parlé lorsqu'il a présenté le rapport,
16:58parce qu'on en a parlé avec la Commission des finances et du budget.
17:02Le Cameroun, le gouvernement a lancé la construction des péages,
17:07par mode partenariat public-privé.
17:10Le premier lot, c'était 14 péages,
17:13et nous étions déjà à la réception des sept premiers péages,
17:18construits en mode PPP.
17:21C'est-à-dire que c'est les partenaires techniques qui ont apporté les ressources,
17:25qui ont construit et qui devaient se faire rembourser par le produit des péages.
17:30Et c'est à ce niveau que le gouvernement a reçu une instruction d'arrêter
17:34et de transformer le contrat non plus en PPP, mais en contrat normal.
17:41Donc on a tout arrêté, et à l'heure actuelle, nous sommes en discussion avec ce prestataire,
17:47déjà pour rembourser ce qu'il attendait, parce qu'il a bien apporté ses ressources.
17:52Donc nous avons des discussions, à l'heure actuelle,
17:55entre le ministère des finances et le ministère des travaux publics,
17:59pour qu'on s'entende sur ce qu'on doit lui payer, première chose.
18:02Et la deuxième chose, c'est la prise en main des péages qui ont déjà été construits.
18:09Certains péages ont été construits, on faisait des tests, comme vous le savez.
18:13Donc maintenant, il faut assurer la protection, le gardiennage de ces péages.
18:19J'ai saisi le secrétaire d'État à la Défense, chargé de la gendarmerie, pour ça.
18:23Et maintenant, nous devons donc prendre tout cela à notre charge,
18:26c'est-à-dire former nos personnels, faire un certain nombre de choses, etc.
18:31Donc ce n'est pas une volonté de ne pas mettre ça en exécution,
18:35mais c'est qu'au moment où on allait pour la réception des sept premiers péages,
18:39il y a eu cette instruction qui a un peu bloqué le processus,
18:42mais on est en train de faire des négociations pour en sortir.
18:51Plusieurs activités parlementaires ont été enregistrées sur le terrain.
18:55Mobilisation des militants en vue des échéances futures, remise des dons,
19:01plaidoyer auprès des membres du gouvernement.
19:03Nous suivons cette actualité sur le terrain.
19:08D'entrée de jeu, l'honorable Njingu Moussa,
19:10le chef de la délégation des parlementaires RDPC du Nord-Ouest,
19:13a révélé les mobiles de leur rencontre.
19:16Je viens de féliciter le ministre de l'État au public, avec son collaborateur,
19:22pour avoir exécuté l'instruction du chef de l'État.
19:25Maintenant, pour aller à Baminda, c'est quelques minutes.
19:29Alors qu'avant, on prenait des heures.
19:31Et la même chose, le renouveau a commencé.
19:34Ensuite, la rencontre s'est mise en séance de travail
19:37avec des présentations de la situation du réseau routier
19:40à travers chacun des sept départements de la région.
19:43Des présentations riches en éléments qui serviront de base de données
19:46aux prochaines interventions du ministère des Travaux publics.
19:49Les parlementaires n'ont pas été déçus par la réaction de leurs hôtes.
19:52Nous pensons qu'avec toute cette procédure que le ministre de la Pauvreté au public a prise,
19:58il va réaliser beaucoup de choses sous l'instruction du chef de l'État.
20:01Nous prenons cette occasion maintenant de remercier le chef de l'État,
20:04son excellente pauvrière, pour avoir mis le ministre de la Pauvreté au public
20:09pour nous aider pour l'économie de notre région.
20:13Le ministre a promis de satisfaire une autre de leurs doléances
20:16en se rendant bientôt sur les chantiers de la région du Nord-Ouest.
20:21Le 6 novembre 2024, le peuple camerounais dans sa grande diversité politique et culturelle,
20:28les militants et sympathisants du RDPC vont célébrer le 42e anniversaire
20:34de l'accession du président Paul Biya à la magistrature suprême.
20:38Un prélude à cet événement, les responsables du RDPC, les chefs traditionnels,
20:44les autorités administratives se sont retrouvés ce dimanche à l'hôtel des villes de Konolinga.
20:50Dans un mois, nous allons fêter le 6 novembre.
20:55Nous allons faire la fête à Côte d'Ambor, faire la fête à Ayos,
21:00faire la fête à Mangan, faire la fête à Endom et une grande fête ici à Konolinga.
21:07Cette réunion de concertation et d'évaluation des activités a également permis aux responsables du parti
21:13de faire le point des inscriptions sur les listes électorales.
21:17L'Union Influence a tenu son pari. Nous étions hier à 46 000 électeurs.
21:24Nous sommes aujourd'hui à environ 54 000. Ça veut dire que nos militants ont travaillé.
21:31Le chef de la délégation départementale du RDPC, le vice-président du Sénat, Robert Nkili,
21:37a demandé aux militants de barrer la voie aux ennemis de la paix.
21:42Depuis 2013, le sénateur Jean-Marie Pomoni a fait de l'éducation et de la formation de la jeunesse son cheval de bataille.
21:50C'est mon option. Le Cameroun de demain ne repose que sur sa jeunesse.
21:55Nous allons partir, mais eux, ils vont rester et ils feront autant que nous et sinon mieux que nous.
22:01C'est pour ça que je suis là-dessus et je n'ai jamais désarmé pour la jeunesse.
22:06200 enfants socialement vulnérables dans les sept communes que compte le département de la Haute-Sanaga
22:13ont reçu ce jeudi des fournitures scolaires et du matériel didactique.
22:18Un geste de solidarité qui arrive à point nommé en ce début d'année scolaire 2024-2025.
22:25Je suis très contente. Je vais bien travailler à l'école pour réussir.
22:30Le sénateur Jean-Marie Pomoni promet de s'impliquer davantage dans la prise en charge et dans l'éducation de ces enfants en difficulté.
22:38Je donne le peu que moi je peux donner aujourd'hui. Je continuerai à le faire pour m'occuper de ces enfants.
22:45Il y a ceux dont je vais suivre particulièrement les infirmes, ces déplacés internes.
22:50Nous voulons montrer à travers ce geste que nous pouvons aider ceux qui souffrent.
22:55Le préfet du département Albert Nangadang a salué cet acte de générosité des élites de la Haute-Sanaga en faveur des populations démunies.
23:06C'est une place de fête aux couleurs de Dei qui a servi de cadre à la célébration du culte communique pour le repos éternel des 15 victimes de l'accident de Kumbé le 9 octobre dernier.
23:18Oui, Sarmélima a besoin d'être consolée. Oui, le département du Diélo a besoin d'être consolé. Le Cameroun a besoin d'être consolé.
23:29Sarmélima pleure, Sarmélima porte le Deï. Ses mots d'humeur sonnent comme une interpellation face au grâme survenu à Kumbé.
23:37Il s'agit pour nous de manifester une solidarité, manifester du véritable vivre-ensemble que les chefs de l'Etat...
23:44Les populations, les hommes d'église ont répondu massivement présents à l'appel des élus locaux pour confier au Seigneur ces enfants du département arrachés brutalement à la vie.
23:55Sans toutefois oublier les blessés internés dans les hôpitaux.
23:59Une situation en cas de cette nature nécessite que nous établissions les responsabilités.
24:06C'est pour cette raison que j'ai estimé que la première responsabilité incombe aux usagers de la route,
24:13qui doivent avoir des aptitudes qui soient de nature à permettre à ceux qui viennent en face de rouler dans des conditions les meilleures, vice versa.
24:23J'ai également attiré l'attention des pouvoirs publics qui ont la charge d'améliorer le cadre et les conditions de vie des populations.
24:40C'est ici que prend fin cette édition de l'OTAN du Parlement. Merci de nous avoir prêté votre attention. Rendez-vous à une autre édition.