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Transcription
00:00Affaire Mazan, nouvelle révélation, un nouveau profil encore au procès Michel Marien.
00:04On a encore des nouveaux profils qu'on va revoir ensemble sur cette affaire.
00:08Alors, il y a Jean Thé, ancien couvreur ici d'une famille nombreuse et précaire.
00:11Il raconte s'être sevré d'une addiction à l'alcool en 2011.
00:14Il nie lui aussi avoir violé Gisèle Pellicot.
00:17– Oui, alors, ils ont tous un système de défense, on l'a vu l'autre fois,
00:21pour le moins particulier, c'est un florilège à chaque fois.
00:24Donc, ce procès interminable, Jean Thé lui dit, en gros,
00:30qu'il aurait été drogué par Dominique Pellicot et qu'il n'a plus aucun souvenir.
00:37Alors qu'on a, bien évidemment, un certain nombre de vidéos
00:41qui ont été tournées où il avait, à priori, toutes ses facultés,
00:46si je puis me permettre.
00:48Donc, c'est énorme qu'il ose dire qu'il était sous l'effet d'une drogue,
00:56alors qu'il y a plein d'échanges avec Dominique Pellicot
01:00où il a reçu des instructions comme à chaque fois.
01:06C'est des systèmes de défense quand même très particuliers.
01:09– Jérôme Vé, 46 ans, pompier volontaire, lui aussi de ses parties,
01:12pompier volontaire, titulaire d'un CAP, petit enfant,
01:14c'est ancien employé d'un magasin d'alimentation.
01:17Lui, il dit que sa compagne a indiqué souffrir de perte de mémoire
01:20ou d'absence depuis qu'elle l'a rencontrée.
01:22C'est ce qu'on avait dit hier, lui aussi.
01:23Ça, c'est incroyable.
01:24– Oui, alors lui, c'est le seul des accusés qui est allé à six reprises
01:31au domicile de Dominique Pellicot pour y faire ses cochonneries.
01:37Et son système de défense…
01:40Alors lui, il reconnaît… c'est peut-être le moins malhonnête, entre guillemets,
01:46de toute cette équipe de baltringues.
01:50– Il a raison.
01:53– Vous avez raison, je suis d'accord avec vous.
01:55Mais dans votre bouche à chaque fois, c'est toujours…
01:58– Dans ma bouche, oui, je sais.
01:59Non mais là, c'est vrai que ce procès interminable…
02:01– C'est vraiment des guignols.
02:03– Non mais ils ont même pas… ils n'assument même pas ce qu'ils ont fait.
02:07– Est-ce qu'il y en a un qui s'est excusé auprès de…
02:09– Oui, alors il y en a un, je crois que c'est Jean, justement,
02:12qui mollement… non, ce n'est pas Jean d'ailleurs, il y en a un,
02:16en tout cas, peu importe.
02:17– Un seulement ?
02:18– Il y en a un, a priori, qui a présenté ses excuses un peu maladroitement,
02:22mais au moins, ça le mérite d'avoir été fait.
02:24– C'est inadmissible.
02:25– Et puis, il y a ce pompier volontaire qui a une vie totalement décousue,
02:31une addiction au sexe.
02:33On retrouve en perquisition à son domicile une liste de 89 prénoms féminins,
02:40et lui reconnaît très volontiers auprès de la psychologue qu'il l'a entendue,
02:44qu'il l'a expertisée, qu'il avait une addiction au sexe,
02:48que c'était un gros consommateur, que ça le rassurait,
02:51le côté séducteur à chaque fois.
02:53Donc, il faisait une petite croix avec un prénom féminin à côté.
02:59Ils, au pluriel, mais lui en particulier, ont vraiment un problème énorme.
03:07En plus, ils tiennent des propos qui sont quand même un peu décousus.
03:11Qu'est-ce qu'il a dit à un moment donné ?
03:13Je n'y retournerai pas parce que le mode viol me correspondait,
03:19mais parce que je ne pouvais pas contrôler ma sexualité.
03:23Donc, comprennent qu'il pourra.
03:26En gros, on a quand même compris qu'à priori, il ne voulait pas y retourner
03:29et qu'il explique qu'il ne contrôlait pas sa sexualité.
03:33Donc, on a quand même des profils dans ce procès qui dure jusqu'au mois de décembre,
03:39jusqu'à fin décembre, des profils quand même très particuliers.
03:42Et il y en a 51, donc on n'est pas au bout de nos peines.

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