Radié à vie de l'ordre des médecins car antivax ?

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Avec Denis Agret, médecin urgentiste  Retrouvez Bercoff dans tous ses états avec André Bercoff du lundi au vendredi de 12h à 14h sur #SudRadio.  --- Abonnez-vous pour plus de contenus : http://ow.ly/7FZy50G1rry   ———————————————————————  ▶️ Suivez le direct : https://www.dailymotion.com/video/x75...   Retrouvez nos podcasts et articles : https://www.sudradio.fr/   ———————————————————————   Nous suivre sur les réseaux sociaux   ▪️ Facebook : https://www.facebook.com/profile.php?... ▪️ Instagram :   / sudradioofficiel   ▪️ Twitter :   / sudradio    ▪️ TikTok : https://www.tiktok.com/@sudradio?lang=fr ———————————————————————  ☀️ Et pour plus de vidéos de Bercoff dans tous ses états :    •  Bercoff dans tous ses états    ##CA_BALANCE-2024-10-01##

Transcript

00:00est disponible. Par exemple, un certain Denis Hagré.

00:04En 1994, Denis Hagré était 3e, classé 3e en première année de faculté de médecine de Montpellier.

00:12En 2001, il est 1196e sur 5000 au concours d'internat en santé publique.

00:18En 2006, il est urgentiste.

00:21En 2011, il est reçu au concours de praticien hospitalier de santé publique.

00:25Et en 2024, radié, radié pour alerter sur la dangerosité avérée des vaccins.

00:33Alors voilà, il est radié d'évidemment, d'après Midi Libre et La Dépêche du Midi,

00:40Denis Hagré, qu'on qualifie d'emblème des antivax, radié d'évidemment de l'Ordre des médecins,

00:46et ça a été annoncé hier.

00:49Bonjour Denis Hagré.

00:52Denis Hagré, vous êtes avec nous ?

00:53Bonjour André Berthoff.

00:54Oui, bonjour.

00:56Alors, dites-moi...

00:58De me recevoir.

01:00Mais écoutez, on reçoit tout le monde, on reçoit tous ceux qui ont la parole,

01:05c'est ça, ça s'appelle la liberté.

01:07Denis Hagré, on vous qualifie d'idole des antivax,

01:12comme on l'appelait l'autre, idole des jeunes, si c'était...

01:15Qu'est-ce que ça veut dire ?

01:16Ça veut dire que vous êtes foncièrement antivax sur tout,

01:20ou c'est par rapport à la période du Covid, expliquez-nous.

01:24Non mais en fait, ni pour la période du Covid, ni...

01:29Ah écoutez, je vous entends...

01:32Je ne suis pas...

01:34Attendez, on a des problèmes de liaisons, allez-y, essayons.

01:43Vous n'avez pas votre téléphone ?

01:46Oui, allez-y, on vous écoute.

01:49Je ne suis pas antivax, si vous voulez, j'ai alerté des effets indésirables,

01:54c'est comme on dirait, je suis anti-tabac parce que j'alerte des risques du tabac.

01:58Donc en fait, je ne suis pas antivax, c'est de la propagande médiatique organisée.

02:04Oui.

02:05Pour diviser, pour dire...

02:07La seule chose à retenir de tout ça, c'est qu'il y a des effets indésirables graves,

02:14et qu'effectivement, on a le droit de le dire et d'alerter, voilà.

02:20Oui, c'est ça, vous n'êtes pas antivax par principe,

02:25mais vous dites qu'il y a des effets indésirables,

02:27mais comment ça se fait que vous avez été...

02:29Alors qu'est-ce qui s'est passé, racontez-nous,

02:31pourquoi vous avez été radié ?

02:33Parce que vous teniez des propos, oui, on a dit, je sais, je rappelle,

02:37vous avez dit oui, mais beaucoup de médecins effectivement vaccinent

02:40ou donnent le conseil de vacciner,

02:42parce qu'ils sont effectivement de mèche avec les laboratoires pharmaceutiques.

02:47Est-ce que vous n'avez pas généralisé un peu trop, Denis Ingrès ?

02:50Je vous pose la question.

02:54Écoutez, sans doute, j'ai eu, je vais dire, des propos trop forts.

03:00Oui, parce qu'il ne faut pas généraliser.

03:02Dans la décision que je disais, que je les ai traités de criminels,

03:06je m'en suis excusé au mois de mai 2024 à la Chambre de Discipline Internationale,

03:11je m'en suis excusé sur les réseaux de nombreuses fois.

03:15Ils ne veulent pas recevoir.

03:17Ils sont dans une espèce de colère-vengeance qui,

03:22malgré tout, au mois de mai, on a eu une audience plus que cordiale

03:26et où, avec mon avocate, on est sortis en pensant que ça s'était relativement bien passé.

03:32Même l'avocat du Conseil de l'Ordre National s'est excusé auprès de mon avocate.

03:38Et quatre mois après, on a une sentence qui est une exécution sommaire.

03:43Et ça, c'est grave.

03:45C'est grave parce que ça attente...

03:49Ça attente une élection.

03:51Ça attend à ma liberté d'exercer la médecine.

03:56Et donc ça, c'est grave, quoi. C'est grave.

03:58Denis Ingrès, aujourd'hui, étant radié,

04:02vous n'avez plus le droit d'exercer votre métier de médecin,

04:05votre fonction de médecin ?

04:06C'est-à-dire que, si vous le faites, vous êtes dans l'illégalité ?

04:12Écoutez, la radiation, elle est exécutive au 1er janvier 2025.

04:17Donc pourquoi au 1er janvier ? C'est assez rigolo.

04:20Moi, vous voyez, j'ai encore un stéthosop et je sais encore pas ce que t'es déjà.

04:25Oui. Denis Ingrès, écoutez, excusez-moi, on va vous rappeler

04:28parce qu'il y a un problème de communication, de son.

04:32On va vous rappeler tout de suite.

04:34À tout de suite, Denis Ingrès. Restez avec nous.

04:36André Bercov, dans sa balance, reçoit Denis Ingrès,

04:39médecin qui a été radié à vie de l'Ordre des médecins.

04:42Car Antivax, si vous avez une réaction ou un commentaire,

04:46n'hésitez pas à nous appeler au 0 826 300 300.

04:50On revient tout de suite.

04:51Bercov dans tous ses états.

04:53Et nous sommes toujours avec Denis Ingrès.

04:54On a eu quelques petits problèmes de communication et de son, mais tout va bien.

04:58Denis Ingrès, je voudrais donc qu'on reprenne ceci.

05:01Vous êtes aujourd'hui, alors effectivement, vous m'avez dit et vous avez eu raison,

05:05parce que généralisant sur tous les médecins,

05:07en disant qu'ils ont tous effectivement un féodé ou un conflit d'intérêts.

05:11C'est une généralisation abusive.

05:13Vous l'avez reconnu et vous en avez parlé.

05:16Mais qu'est ce qui fait qu'aujourd'hui, alors effectivement,

05:19on pourrait dire d'accord.

05:20Bon, ben, il y a des gens qui, excusez moi de la vulgarité,

05:23peuvent déconner ou aller ou généraliser.

05:25Mais après, est ce qu'on les radie à vie?

05:28Moi, c'est quand j'ai appris ça.

05:30J'étais extrêmement étonné.

05:31Radie à vie, c'est quand on commet vraiment, je ne sais pas,

05:35à moi, une négligence mortelle.

05:38Quand on fait un acte vraiment délictueux et il y a eu des médecins.

05:43Parfois, ce n'est vraiment pas votre cas, Denis Ingrès.

05:45Tout à fait.

05:46Oui, allez-y.

05:47En fait, déjà, mon avocat l'a souligné.

05:51Il y a deux poids, deux mesures.

05:52Vous avez le professeur Christian Perron qui est passé en chambre disciplinaire.

05:55On l'a remercié pour ses propos.

05:57Vous avez le professeur Raoul qui a eu un blâme.

05:59Vous avez le docteur Fouché qui a eu trois mois.

06:01Et Denis Ingrès, on l'aura dit, après un parcours rocambolesque.

06:06Il faut quand même rappeler que depuis trois ans,

06:08le Conseil de l'Ordre m'a fait la misère, pour dire simplement les choses.

06:12Ils m'ont fait passer pour fou, après avoir fait passer une commission

06:16d'expertise compétence qui a été favorable.

06:19Qui a été favorable à vous?

06:20Enfin, qui vous a été favorable?

06:22Oui, j'ai été vu par trois experts auprès du tribunal de Montpellier

06:26en médecine générale, pendant deux heures questions-réponses en médecine générale.

06:30J'aurais aimé savoir si j'avais 16 ou 18 sur 20, pour ironiser un peu.

06:35C'était quand, Denis Ingrès?

06:36C'était en septembre 2022.

06:38Et après, en novembre 2022, ils m'ont fait passer une expertise psychiatrique

06:42où ils ont dit que j'avais des convictions délirantes.

06:44Alors, les convictions délirantes, je me demande si ce n'est pas eux qui les ont.

06:48À un moment, c'est peut-être le camp des provax.

06:51Vous voyez, pour les provoquer, pour aller toucher un peu là où ça fait mal.

06:54Mais si vous voulez, je l'ai écrit sur Twitter.

06:57Je l'ai dit à mon avocat.

06:58Je ne ferai pas appel de cette décision.

07:00C'est une décision politique.

07:01Ça fait deux ans que je suis moi de prison avec sursis en appel.

07:04Je n'ai toujours pas eu de l'audience d'appel.

07:06Mais cette sentence de six mois avec sursis,

07:10elle est catastrophique médiatiquement et pour mon image.

07:15Mais c'est une sentence politique.

07:18Il faut savoir qu'en juin 2022,

07:20je n'étais même pas convoqué pour mes propos devant le couvre-feu.

07:25Donc, si vous voulez, on a affaire à une chose médiatique et politique.

07:29Et moi, j'attends si demain, c'est Michel Barnier ou madame Dariussec

07:36qui me reçoivent et qu'on peut discuter de la médecine dans un bureau.

07:40Écoutez grand bien leur face et tant mieux.

07:42Mais on est dans un moment de l'histoire extrêmement grave et dangereux.

07:47Et je trouve que l'institution sanitaire,

07:50que ce soit l'Ordre des médecins ou les ministres à qui j'ai tendu des perches,

07:54je leur ai écrit, n'ont jamais répondu.

07:57Encore la semaine dernière, j'ai appelé,

07:59j'ai eu, parce que j'ai eu le téléphone portable du directeur général de la santé,

08:04Grégory Emery, il m'a répondu juste par mail,

08:08un espèce de mail institutionnel.

08:10Mais monsieur, il n'y a pas de problèmes cardiovasculaires avec les vaccins du Covid.

08:13Regardez les études épiphares.

08:15Sauf que les études épiphares, il y a des billets,

08:17rien que de période d'études sur les périodes.

08:22Ils ont fait une seule étude sur les problèmes cardiovasculaires

08:25qui s'arrête avant fin 2021.

08:29Donc en fait, si on ne refait pas cette même étude sur 2022-2023,

08:33bien sûr qu'on ne voit pas qu'il y a de problèmes cardiaques.

08:35En tout cas, Denis Agré, au-delà de ces études épiphares,

08:39on sait très bien, ici dans le monde, pas seulement en France,

08:42qu'il y a des problèmes qui sont posés.

08:44Moi, je n'ai pas, on ne prend pas parti, on n'a pas à prendre parti.

08:47Je n'ai aucune compétence, moi, pour prendre parti.

08:50Simplement, il y a des études, effectivement,

08:53sur les effets secondaires ou les effets indésirables

08:56d'un certain nombre de vaccins.

08:58En Amérique, on en parle énormément.

09:00On sait que plusieurs États américains ont déposé plainte

09:04contre un certain nombre de laboratoires.

09:05En Allemagne et partout, et des milliers, effectivement,

09:09de médecins et de scientifiques se posent des questions.

09:11Ça, c'est normal.

09:13Et d'un côté qu'à l'autre, il faut refuser ces généralisations abusives

09:17et classer les gens dans le camp du bien comme dans le camp du mal.

09:20Et je voudrais savoir...

09:22– Je suis d'accord avec votre propos.

09:23C'est un propos extrêmement intéressant.

09:26– Voilà, je crois que, non, mais il faut ouvrir la discussion.

09:29Je le dis, je radote là-dessus, il faut avoir question à tout

09:31et c'est très important.

09:33Et Denis Hagré, je voudrais savoir comment réagissent vos patients,

09:36en tout cas ceux que vous traitez.

09:38Je sais que vous êtes urgentiste, donc c'est peut-être...

09:41Comment réagissent vos patients de Montpellier, d'ailleurs ?

09:44– Les gens que je soigne sont toujours quasiment tous satisfaits.

09:50Vous savez, j'ai commencé à exercer la médecine d'urgence en 2006

09:54quand j'étais TZ.

09:55Je n'ai jamais eu de problème de faute grave médicale.

10:00Et quand vous voyez le soutien sur les réseaux sociaux

10:03et les témoignages que les gens m'écrivent,

10:05vous n'avez qu'à regarder la pétition qu'il y a pour ma réinscription

10:09qui date de l'an dernier, quand ils m'ont fait passer pour fou.

10:12Il y a 5 000 commentaires de gens qui me gratifient,

10:17qui me remercient et c'est extrêmement touchant.

10:20Mais si vous voulez, ce que je trouve très grave et très triste

10:26dans cette radiation, dans cette sentence,

10:30c'est que le dialogue, il est rompu.

10:36Et moi, je n'attends...

10:39Vous savez, en novembre 2023, j'ai été réinscrit

10:42par une formation extrême du Conseil national de l'ordre des médecins

10:46après avoir produit deux contre-expertises

10:48qui ont montré que je n'avais pas de convictions délirantes

10:50et que j'étais apte psychiatriquement à exercer.

10:54Mais rien que ça, c'était un désaveu pour eux.

10:56Et ils ne veulent pas reconnaître qu'ils se sont trompés.

11:01Donc en fait, moi, je ne fais que leur tente des perches.

11:08Ce qui est terrible, c'est qu'en fait, l'histoire, elle se répète

11:10d'une manière qu'on ne nous avait jamais enseignée.

11:13Je vais faire une allusion qui dérange,

11:15mais en fait, 39-45, c'est arrivé après le typhus

11:19et dans les concentrations, ça, c'est public,

11:22on a vacciné contre le typhus.

11:24Et là, on a le corona et on vaccine contre le corona.

11:28Et on ne veut pas faire de...

11:31Mais sociologiquement, c'est la répétition.

11:33Alors, est-ce que les présidents de l'Internet...

11:36Denis Agré, vous permettez...

11:38Est-ce qu'ils ont peur de microbes ?

11:40Est-ce qu'ils ont peur de microbes et que ça entraîne

11:43des décisions complètement disproportionnées ?

11:47Ou alors, est-ce qu'ils se servent de la peur

11:49pour soumettre des populations ?

11:51Mais je pose la question.

11:52Alors, non, c'est bien de poser la question,

11:54mais si je peux me permettre, Denis Agré,

11:57ce n'est pas en comparant 39-45 et ce qui se passe aujourd'hui

12:01qu'on résoudra le problème.

12:02Je crois qu'effectivement, il faut poser le problème

12:05scientifiquement.

12:06Il faut savoir, parce que c'est la seule chose,

12:08sinon ce sera déclaration.

12:10Les antivax, on sait, ce sont des salauds qu'il faut éliminer.

12:14On dit un certain nombre de fact-checkers

12:16et d'autres politiques, ce qui est une imbécilité.

12:19Et les provax, ce sont des gens qui sont des vendus.

12:22Autre imbécilité.

12:24Ce qu'il faut, simplement, c'est de se dire...

12:27Mesurer vraiment et enquêter sur les effets indésirables

12:33et les effets et les dommages collatéraux.

12:35Oui, ça, c'est très important.

12:37Et on ne peut pas l'éliminer comme ça.

12:40Mais vous, Denis Agré, je crois qu'il y a un vrai problème.

12:43Effectivement, pourquoi ?

12:45Et là, la question est posée.

12:47Est-ce que vous êtes un danger pour la société ?

12:51Sinon, pourquoi on vous radie à vie ?

12:52Là, il y a un vrai problème.

12:54– Parce que vous parlez de scientifique.

12:56J'ai refait une vidéo récemment où j'ai montré,

13:01avec à l'appui les notices des vaccins pédiatriques,

13:05qui montrent qu'il y a des inflammations vasculaires,

13:07donc des vascularites, dûs aux vaccins pédiatriques.

13:10Il y a une vidéo de la Société française de cardiologie,

13:13avec deux cardiologues qui s'appellent Kernes et Rouby,

13:15qui disent que depuis des années,

13:17les myocardites dues aux vaccins du DTP,

13:19donc d'ichthérite, éthanos, polio,

13:20qui sont tous les vaccins pédiatriques,

13:23causent des myocardites.

13:24Les myocardites, on sait aujourd'hui

13:26que si elles ne sont pas diagnostiquées et traitées,

13:27ça évolue vers l'insuffisance cardiaque ou DTP.

13:30Donc si vous voulez, il y a une sidération du système.

13:33Le propos scientifique, je l'ai,

13:36ça fait peur à l'industrie pharmaceutique,

13:38donc on préfère vous mettre de côté en disant

13:40non, non, c'est l'industrie pharmaceutique qui a raison.

13:43Mais si vous voulez, il y a eu une étude en octobre 2022

13:47de la Société française de cardiologie,

13:49qui a dit que les gens qui avaient eu,

13:52ils ont fait un dosage de troponine aux soignants

13:54trois jours après la troisième dose de vaccins Covid,

13:58il y en avait 5% qui avaient une myocardite.

14:00Donc imaginez qu'on fasse des troponines à des enfants à trois mois,

14:05et qu'on envoie que les enfants ont des troponines élevées

14:08trois jours après les vaccins pédiatriques.

14:11Peut-être que ça changera la donne.

14:13– Oui, on est bien d'accord, je vais vous dire.

14:15De toute façon, les études doivent se poursuivre,

14:18les enquêtes doivent se poursuivre d'une manière ou d'une autre.

14:21Mais je crois que de part et d'autre,

14:22il faut arrêter cette chausification

14:25et effectivement, vous, en tout cas la radiation à vie,

14:32ça me paraît quand même assez hallucinant, je le dis personnellement.

14:37Après la discussion, elle est ouverte, nous n'avons pas à prendre parti.

14:41On va reparler de tout ça, Denis Ingrès,

14:43on va en reparler parce que là nous arrivons

14:45en fin d'émission de la première heure.

14:50On va en reparler, mais je vais vous dire une chose,

14:53c'est qu'évitons, évitons vraiment de part et d'autre.

14:57Vous savez, moi j'ai reçu Perrone, j'ai reçu Raoult,

14:59vous le savez, j'ai reçu Fouché,

15:01j'ai reçu Vincent Pavant et tous les autres et je vous reçois.

15:04Donc, question à tout, continuons de voir et on en reparlera très vite.

15:08Merci Denis Ingrès.

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