Avec Jean-Paul et Fabrice
Abonnez-vous pour plus de contenus : http://ow.ly/7FZy50G1rry
______________________________________
Retrouvez nos podcasts et articles : https://www.sudradio.fr/
______________________________________
Nous suivre sur les réseaux sociaux
▪️ Facebook : https://www.facebook.com/SudRadioOfficiel
▪️ Instagram : https://www.instagram.com/sudradioofficiel/
▪️ Twitter : https://twitter.com/SudRadio
▪️ TikTok : https://www.tiktok.com/@sudradio?lang=fr
##LES_AUDITEURS_ONT_LA_PAROLE-2024-09-30##
Abonnez-vous pour plus de contenus : http://ow.ly/7FZy50G1rry
______________________________________
Retrouvez nos podcasts et articles : https://www.sudradio.fr/
______________________________________
Nous suivre sur les réseaux sociaux
▪️ Facebook : https://www.facebook.com/SudRadioOfficiel
▪️ Instagram : https://www.instagram.com/sudradioofficiel/
▪️ Twitter : https://twitter.com/SudRadio
▪️ TikTok : https://www.tiktok.com/@sudradio?lang=fr
##LES_AUDITEURS_ONT_LA_PAROLE-2024-09-30##
Category
🗞
NewsTranscription
00:00— Le Grand Matin Sud Radio, 7h-9h, Jean-Jacques Bourdin.
00:04— Sud Radio, vous avez la parole. Bruno Rotaillot, qui estime que l'immigration, ce n'est pas une chance pour la France.
00:10Jean-Paul et Fabrice sont avec nous. Je vais commencer avec Jean-Paul, qui est à Pau. Bonjour Jean-Paul.
00:16— Bonjour à tous. — Vous êtes entrepreneur dans l'agriculture. Vous dites que sans immigration, le secteur serait au ralenti.
00:25— Ah ben oui. L'agriculture, ainsi que tous les travaux manuels, façonnerie, charpente, enfin à un moment donné,
00:32si on regarde bien en France, on a beaucoup d'immigrés qui prennent tous les travaux manuels. Le français, il est pas réputé pour le travail.
00:40Donc si on arrête l'immigration, je vois pas comment on pourrait faire. — Voilà. Moi, je trouve que c'est un peu facile de dire
00:46« ce n'est pas une chance » ou « c'est une chance ». C'est parfois une chance, parfois pas. On peut pas être aussi catégorique,
00:54me semble-t-il. Mais bon, Jean-Paul... Alors Fabrice est pas d'accord avec vous. Fabrice, bonjour.
01:00— Oui. Bonjour, Jean-Jacques. — Oui. Bonjour, Fabrice. Quel est votre avis ?
01:04— Ben non, justement. Moi, j'aime pas beaucoup ce système. Rien n'est blanc, rien n'est noir, quoi. Enfin je veux dire...
01:15— C'est bien mon avis. C'est bien mon avis. — Oui, oui, oui. C'est-à-dire que dans certains cas, on peut pas dire « c'est un malheur, c'est une chance ».
01:23On a tous des origines étrangères. Ça devient un malheur dans certains cas, effectivement. Voilà, quoi. À partir du moment où il n'y a pas
01:30un vivre ensemble, une intégration, etc., là, c'est pas une chance. Voilà. C'est ce que je veux dire. Et c'est ça qui pousse les gens à bout.
01:39Il y a eu... Voilà. C'est toujours la même chose. Dans l'exagération, ben ça devient l'exagération.
01:46— Vous savez, je vais vous dire à tous les deux ce que je pense rapidement. On vit dans une société où tout est blanc ou tout est noir.
01:54On ne connaît plus la nuance. On ne sait plus ce qu'il y a entre les deux. C'est quand même terrible. C'est quand même terrible.
02:02C'est pour ça qu'on est si divisés. C'est pour ça que parfois, la France n'avance pas.
02:06— Ben voilà. C'est exactement le sens de mon propos. Après, est-ce qu'il faut un référendum sur le sujet ? On peut être que pour.
02:17Est-ce qu'on est d'accord qu'on nous demande notre avis ? Oui, on est d'accord qu'on nous demande notre avis.
02:22— Non mais d'accord. Mais référendum, on pose quelle question ? C'est...
02:26— Et de toute façon, dans la situation politique actuelle, une réforme de la Constitution sera pas possible.
02:31— Non, exactement. Jean-Paul, Jean-Paul, que dites-vous de votre côté ?
02:37— Non mais par exemple, ici, il y a le Madirane. Le Madirane du Rhinestone, il n'y a plus un seul Français pour aller faire les vannages.
02:46— Mais évidemment ! Évidemment. — Il n'y a plus un seul Français. C'est tous des étrangers.
02:51Donc à un moment donné, le Français, il veut avoir tous ses week-ends. Il ne veut pas travailler à la nuit. Il ne veut pas travailler au ferry.
02:57— Moi, j'ai un copain dans mes Cévennes qui est un tout petit chef d'entreprise. À chaque fois qu'il prend un jeune Français,
03:06ça dure 3 jours. Le quatrième jour, il n'est jamais à l'heure le matin. Quand il prend des jeunes étrangers, pardon,
03:12mais ils sont là tous les jours à l'heure. — Voilà. Et content de travailler. — Et content de travailler.
03:19— Oui, tout à fait. Mais après, le Français... — Je sais que je vais faire hurler en disant ça, mais c'est la réalité.
03:26— Ah non, non, c'est trop dur. C'est trop dur. Je m'en vais. — Voilà. C'est trop dur. — Voilà. C'est trop dur.
03:32Mais à un moment donné, il faut savoir ce qu'on veut. — Putain, mais ça, je suis assez d'accord.
03:36Jean-Paul, merci. Fabrice, merci. C'est un très très bon débat. Nous aurons l'occasion d'y revenir, évidemment.
03:42Vous avez votre avis. Vous le donnez. Vous le donnez sur les réseaux sociaux. Vous le donnez sur tout, sur YouTube, sur Twitter.
03:51Allez-y. Merci d'être avec nous.