Punchline - Nouveau gouvernement, faire du neuf avec du vieux ?

  • il y a 1 heure

Aujourd'hui dans "Punchline", Laurence Ferrari et ses invités débattent de la formation imminente du nouveau gouvernement.
Retrouvez "Punchline" sur : http://www.europe1.fr/emissions/punchline

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00:00...
00:11Bonsoir à tous et bonsoir à toutes.
00:13Bienvenue dans Punchline, ce soir, sur CNews et sur Europe 1.
00:16La patience a des limites.
00:18Visiblement, celles de M.Barnier ont été atteintes.
00:20Pourtant, il est l'homme qui a négocié le Brexit
00:23avec des Britanniques capables de tout et qui ne s'avouent jamais vaincus.
00:27Les adversaires du nouveau Premier ministre
00:29sont allés, momentanément, Gabriel Attal, Gérald Darmanin
00:32et, dans une moindre mesure, Emmanuel Macron,
00:34l'homme même qui le nomma à Matignon.
00:37Sans doute, était-ce une mission difficile
00:39que de former un gouvernement d'union nationale
00:42dans un moment de tel discorde, mais le défi valait de se retrousser
00:45les manches et de chausser les crampons
00:47pour tenter d'escalader les Grandes Jorasses par la face nord.
00:51La cordée sera-t-elle assez solide pour permettre à M.Barnier
00:54d'avancer sur le chemin de crête qui lui permettra de gouverner la France ?
00:58Emmanuel Macron, qui le reçoit là, à 19h15,
01:00se rappelle de cette phrase qu'il a prononcée en 2018
01:03qui a fait beaucoup couler d'encre.
01:05Si l'on commence à jeter des cailloux sur les premiers de cordée,
01:08c'est toute la cordée qui dégraint la gaule.
01:10On va en débattre, ce soir, dans Punchline.
01:13Musique de tension
01:15...
01:24Et il est 18h, d'abord le rappel des titres de l'actualité
01:27qui nous est sur Europe 1 avec M.Barnier qui envisage
01:30un gouvernement de 38 ministres, dont 16 de plein exercice.
01:33C'est ce qu'a rapporté G.Attal aux députés macronistes
01:36à l'issue d'une réunion à Matignon.
01:38Parmi eux, il y aurait 7 ministres issus du camp présidentiel,
01:413 issus du parti Les Républicains.
01:43M.Barnier sera reçu dans quelques instants par Emmanuel Macron.
01:47Disparu il y a près d'un an dans le barrin,
01:49l'INA, 15 ans, a vraisemblablement été ligotée,
01:52selon le procureur de la République.
01:55a été retrouvée sur une cordelette.
01:58Selon les derniers éléments de l'enquête,
02:00le principal suspect, qui s'est suicidé, aurait agi seul.
02:03Le corps de l'INA reste toujours introuvable.
02:06Après les explosions des appareils de transmission du Hezbollah
02:09au Liban, le chef du groupe terroriste, Hassan Nasrallah,
02:12affirme que l'ennemi a franchi toutes les lignes rouges
02:15et que le Hezbollah a reçu un coup sévère et sans précédent.
02:18Il prévient qu'Israël recevra un terrible châtiment
02:21plus tôt dans la journée.
02:23de nouvelles frappes sur des cibles du Hezbollah au Liban.
02:26Enfin, 349e jour de détention pour les otages
02:28retenus par l'organisation terroriste du Hamas
02:31dans la bande de Gaza.
02:32Deux de ces otages sont français.
02:34Ils se nomment Ofer et Ohad.
02:35Nous pensons à tous ces otages ce soir et à leur famille.
02:38Nous demandons leur libération immédiate et sans condition.
02:42Il est 18h01 et Louis de Rignel est là.
02:44Bonsoir, Louis.
02:45Eugénie Bastier, très bien.
02:47Bonsoir à vous.
02:48J'espère que vous avez tous la liste du gouvernement en poche.
02:51Florian Tardif, bonsoir à vous.
02:53M. Puponi, François Puponi, ancien député.
02:56Et Jean-Sébastien Ferjou, directeur du site Atlantico.
02:59Alors, ça y est, visiblement, les choses se décantent
03:02un tout petit peu dans la face nord des Grandes Jorasses,
03:05comme je le disais tout à l'heure.
03:07Et Lodi Huchard, vous êtes à l'hôtel de matinée.
03:10On se trouve toujours de Michel Barnier.
03:12Il doit regagner l'Elysée dans une heure et quart.
03:15Est-ce que vous avez déjà une idée
03:17de la couleur politique du gouvernement qu'il va proposer ?
03:20J'ai envie de dire qu'en y est presque, cette fois-ci.
03:23Ce qu'on sait, c'est que la réunion avec Gabriel Attal
03:26s'est plutôt bien passée, puisque l'ancien Premier ministre
03:29estime avoir un certain nombre de réponses à ces questions.
03:32On sait qu'il y aura 38 ministères.
03:34Je vous parle de la liste actuelle.
03:36Les choses peuvent encore évoluer.
03:3816 ministères de plein exercice avec un découpage.
03:41Il serait le suivant.
03:427 pour ensemble pour la République,
03:44c'est-à-dire la Macronie, 3 pour les Républicains,
03:472 pour le Modem, 1 pour Horizon,
03:481 pour l'UDI.
03:49Je parle des ministères de plein exercice.
03:52Il y aura ensuite les secrétariats d'Etat.
03:54On sait aussi que Michel Barnier fera son discours
03:57de politique générale le 1er octobre.
03:59Attal a assuré à ses députés que ce discours serait écrit
04:02de manière co-construite avec les différents blocs,
04:05qu'il serait question de préoccupation des Français,
04:08de régaliens.
04:09Barnier a clarifié sa ligne sur l'immigration.
04:11Il parle de rigueur et d'humanité.
04:13Le Premier ministre parlera de dette et de budget.
04:16La prochaine étape aura lié aux alentours.
04:18Dès 19h, le Premier ministre va quitter l'hôtel de Matignon,
04:21juste derrière moi, pour se rendre à l'Elysée.
04:24Le but, c'est d'aller vite.
04:26Une dizaine de personnes autour de l'Attal ont entendu
04:28un certain nombre de noms circuler.
04:30Si le Premier ministre veut garder un minimum d'effet de surprise,
04:34il faudra qu'il annonce rapidement son gouvernement.
04:37Simon Coe et Laudy Huchard avec Laurence Ellarié
04:39devant l'hôtel de Matignon.
04:41Ça y est, visiblement, ça se décante.
04:43Louis de Rignel, on ne va pas s'avancer.
04:45Il fallait que c'était terminé.
04:47Vous avez tout dit.
04:48On a une liste ? Vous voulez nous donner des noms ?
04:51Il y a plusieurs listes de noms qui circulent.
04:53Ça va faire l'inventaire à l'après-midi.
04:56Si vous voulez...
04:57Si vous avez des informations,
04:59on les partage avec nos auditeurs et téléspectateurs.
05:01Tout ça reste à confirmer.
05:03Ce sont des listes qui circulent.
05:05Sachant que, précision, Michel Barnier va rendre compte
05:08de cette réunion à Emmanuel Macron dans quelques minutes.
05:11A cette occasion, il parlera de la liste de noms.
05:14C'est simplement une petite...
05:16On sait...
05:17On a des informations, parce que tout le monde parle.
05:20Les députés racontent ce que leur a dit Gabriel Attal,
05:23ce que leur a dit Michel Barnier.
05:25Oui, mais bon, on est en transparence.
05:27Rapidement, Louis.
05:28Parmi les noms des gens un peu connus,
05:30parce que tout le monde n'est pas très connu,
05:33pour rentrer au gouvernement,
05:34Laurent Wauquiez, il y a une hésitation.
05:37Est-ce qu'il irait à Bercy, au ministère de l'Economie ?
05:40Est-ce qu'il va au ministère de l'Intérieur ?
05:42Il oscille entre les deux.
05:44Deux gros ministères.
05:45Catherine Vautrin pourrait hériter le ministère des Territoires.
05:49Maude Bréjon, qui est régulièrement invitée chez nous
05:52pour être porte-parole du gouvernement.
05:54Ce nom revient dans chacune des listes que nous recevons.
05:57Sébastien Lecornu pourrait rester au ministère des Armées.
06:01Jean-Noël Barraud pourrait aller au Quai d'Orsay.
06:04Mathieu Lefèvre, le député proche de Gérald Darmanin,
06:07pourrait hériter des comptes publics.
06:10Bruno Rotaillot pourrait aller à Bercy ou au ministère de l'Intérieur.
06:14Selon les listes, Bruno Rotaillot va aléatoirement à Bercy,
06:17au ministère de la Justice et au ministère de l'Intérieur.
06:21Visiblement, ce qui a été dealé, c'est qu'il n'y ait pas deux LRF.
06:24Un au ministère de l'Intérieur et un à Bercy.
06:27Donc, ça sera soit...
06:28L'équilibre des forces.
06:30Visiblement, Laurent Wauquiez est out.
06:32Sur les deux postes ?
06:33Potentiellement.
06:34Après, c'est tout à son avantage.
06:36C'est tout à son avantage.
06:38Il faut préparer 2027.
06:39À un moment donné, on ne peut pas être comptable d'un bilan
06:43qu'on tente d'attaquer en étant candidat pour 2027.
06:46S'il reste un peu de temps,
06:48que ce soit à Bercy ou à l'Intérieur ou autre,
06:50il faudra défendre un bilan.
06:52Si c'est Bruno Rotaillot qui va à Bercy,
06:54il aura du mal à critiquer le bilan d'un des membres de son parti.
06:58Oui, mais bon, quand même.
07:00Eugénie Bastier, il y a un équilibre trouvé
07:02dans les forces politiques, a priori.
07:04Ça va déboucher rapidement, dans les prochaines heures ?
07:08Ce qu'on voit, c'est qu'il va rester
07:10un certain nombre de macronistes au gouvernement.
07:13Sept ministres issus du nouveau parti macroniste.
07:16La question, c'est comment va prendre Marine Le Pen cette nouvelle ?
07:20Est-ce qu'elle va continuer à soutenir un gouvernement
07:23où l'écrasante majorité reste...
07:25Macroniste.
07:26... des rangs du macronisme ?
07:28C'était une des lignes rouges qu'elle avait posées.
07:31Comment elle va prendre ça ?
07:33Est-ce que ce gouvernement va assumer une politique de droite ?
07:36Est-ce qu'il va agir sur l'immigration,
07:39sur le régalien, sur la sécurité ?
07:41Rigueur et humanité sur l'immigration,
07:43a dit Michel Barnier.
07:44Faut que les gens soient prévenus.
07:46C'est ce qu'il disait.
07:48Depuis 3 ans...
07:49Humanité, fermeté.
07:50C'est terrible, mais dès qu'il y a humanité...
07:53C'est horrible.
07:54Quelqu'un parle d'immigration en disant que l'humanité,
07:57ça veut dire laxisme.
07:58Eugénie, vous terminez ? Louis vous a interrompu.
08:01Du coup, je vous le savais.
08:03C'est la question qui est en suspens.
08:05Ce gouvernement repose sur l'accord tacite et implicite
08:09du RN.
08:10Il faut le rappeler.
08:11L'action, c'est est-ce que cet accord,
08:14ce soutien implicite,
08:15qui est une hypocrisie générale,
08:17il faut le souligner,
08:19c'est l'hypocrisie du cordon sanitaire.
08:21On ne vous nomme pas à l'Assemblée,
08:23mais vous êtes le soutien implicite de notre gouvernement.
08:27C'est l'absurdité du régime dans lequel nous vivons aujourd'hui.
08:30C'est pas la proportionnelle,
08:32c'est le cordon sanitaire qui est une hypocrisie totale.
08:36Est-ce que Marine Le Pen va continuer à soutenir
08:38un gouvernement où autant de ministres sont macronistes ?
08:42On verra à quel poste.
08:43C'est la question qui va se poser dans les prochains jours.
08:46François Puponi, je vous vois à l'air songeur.
08:49Il faut attendre le retour...
08:51Il y a François Puponi dans la liste ?
08:53Vous réfléchissez peut-être à la manière
08:55avec laquelle...
08:56François, allez-y.
08:58Il faut attendre la sortie,
08:59que chacun retourne chez soi
09:01pour savoir ce que les troupes en pensent.
09:03A priori, ça a l'air de se décanter.
09:06Michel Barnier leur a dit que c'est à prendre ou à laisser.
09:09Si vous n'acceptez pas, je m'en vais.
09:11Prenez vos responsabilités.
09:13Il n'y a pas trop le choix.
09:14On peut avoir un gouvernement qui annonce assez rapidement,
09:18mais en deux temps.
09:19Les premiers n'ont pas été...
09:21Sur les scénarios de l'Etat...
09:23On affine toujours.
09:24Ça peut être demain ou samedi.
09:26Dans un autre temps, lundi ou mardi,
09:28on a juste la parité.
09:29Les portefeuilles et tout ça.
09:31Si le Premier ministre fait sa déclaration,
09:34le Premier, il faut que le gouvernement soit au bon.
09:37Il faut convoquer le Parlement
09:39et ensuite que le gouvernement soit au bon.
09:42Pas forcément les secrétaires d'Etat.
09:44Vous pouvez vous contenter des 16 ministres.
09:47Jean-Sébastien Ferjou,
09:49c'est la fin de cette grande pantalonnade
09:51que l'on vit depuis des semaines et des semaines.
09:54La nomination de Michel Barnier
09:56a suivi des deux premiers ministres
09:58depuis deux mois de vacances complètes.
10:01Ça pourrait ne pas être une pantalonnade
10:04si on avait consacré l'énergie à autre chose
10:06que le casting des individus
10:08et de la préservation des territoires
10:11que chacun imagine lui revenir de droit
10:13au nom de leurs incroyables qualités et compétences
10:16tombées du ciel.
10:18Ce qui me surprend, c'est que rien n'a été négocié,
10:21sur le projet de loi de finances en particulier.
10:24Il y a la situation...
10:25Ca vous inquiète beaucoup.
10:27Déjà parce que c'est la clé du tout.
10:29Quelles que soient les autres portefeuilles
10:32que vous déteniez, si vous n'avez pas les crédits
10:35pour mener à bien ou pour déterminer
10:38les priorités que vous souhaitez déterminer,
10:41rien n'est possible.
10:42Dans toutes les négociations de coalition,
10:45dans les autres pays, ça peut prendre du temps.
10:48En Allemagne, quand il y a des élections,
10:50ça peut prendre 4, 5, 6 mois
10:52avant que le gouvernement entre en fonction.
10:55On voit des gens qui ont surjoué les différences.
10:58Je veux bien qu'on m'explique que Gérald Darmanin
11:01n'a rien à voir avec un ministre LRD.
11:04Ca fait rire doucement tout le monde.
11:06Je suis assez d'accord avec ce que disait...
11:09Je suis assez d'accord avec ce que disait Jenny Bastier.
11:12En plus, l'hypocrisie vis-à-vis du RN,
11:15parce qu'il y a cette pression politique qui existe,
11:18mais de la même manière qu'il y a la pression politique
11:22du Bloc central.
11:23Il n'y en a pas un qui a une vision en matière de finances publiques
11:27qui a une idée originale,
11:28qui serait capable de dépasser la situation actuelle.
11:32Ils vont tous, à l'arrivée,
11:33laisser le pouvoir à leur directeur de cabinet.
11:36Ils ne savent plus quoi faire.
11:38Ils n'ont plus d'idées.
11:40Ils n'ont pas pensé le monde depuis 20 ou 30 ans.
11:43Oui, c'est une pantalonade.
11:45On pourrait prendre du temps,
11:46et les Français le comprennent,
11:48si à l'arrivée, il y avait une feuille de route claire.
11:52Il n'y aura pas de feuille de route claire
11:54sur ce qui devra être fait.
11:56En même temps, comme toujours.
11:58Vous et moi, si on se retrouvait à la tête du gouvernement
12:02ou ministre, on ne saurait pas quoi faire
12:05pour baisser les dépenses publiques sans mettre le pays à feu à sang.
12:09Les Français sont collectivement responsables de la situation.
12:13Ce sont les Français aussi qui veulent de la dépense publique.
12:17Ce sont les Français aussi qui ne sont pas prêts
12:20à faire aucune économie.
12:21Je ne suis pas sûre qu'à la place,
12:23je vais me marier, je vais laisser que le son clé en temps.
12:27D'où l'utilité d'en parler avec vos partenaires politiques
12:30plutôt que de perdre votre temps à ne faire que du casting.
12:34Il faut avoir une ligne politique.
12:36Il n'y a pas d'ébat là-dessus.
12:38Mais aujourd'hui, avec quel moyen ?
12:41Avec quel moyen ? Quel argent ?
12:43Nous sommes à la tête d'un Etat en faillite.
12:46C'est comme la tasse sac.
12:48Mon premier objectif, c'est d'équilibrer les comptes.
12:51C'est probablement de ça qu'ils ont pu utilement parler.
12:55On va passer d'une période du quoi qu'il en coûte
12:58au combien ça rapporte.
13:00C'est-à-dire que tout à l'heure, Michel Barnier a expliqué
13:03que les classes moyennes ne seraient pas touchées.
13:07Pas de hausse d'impôts pour les classes moyennes.
13:10Mais on peut quasiment être sûrs...
13:12On baisse les dépenses.
13:14Il confirme la rumeur.
13:15A aucun moment, il n'a été question de taxer les classes moyennes.
13:19Oui, mais bien sûr.
13:21Le gouverneur de la Banque de France
13:23a dit qu'il y avait deux leviers d'augmentation d'impôts.
13:27Un, via l'impôt sur les sociétés et taxer les superprofits.
13:31Et deux, taxer les gens qui...
13:33Toute la politique a été baissée à l'impôt sur les sociétés.
13:37Il confirme indirectement que les impôts seront plus taxés
13:40et les particuliers qui auront des gros rôles.
13:43Mais quand on va supprimer l'aide pour les personnes à domicile,
13:47ça touche aussi les classes moyennes.
13:50Il va y avoir une réduction.
13:52On verra.
13:53Si on ne baisse pas les dépenses sur un certain nombre de services,
13:57les classes moyennes seront bien en train de toucher.
14:01Les taxes et les services publics touchent aussi les classes moyennes.
14:05Si vous payez pour la scolarisation de vos enfants
14:08ou pour trouver un médecin...
14:10Arrêtons cette balle des hypocrites.
14:13Tout le monde sait qu'il y aura des hausses d'impôts.
14:17Est-ce que ça s'inscrit dans une trajectoire qui a du sens ?
14:20Ou est-ce qu'on continue à jeter de l'argent dans un puits sans fond ?
14:25Il y aura hausses d'impôts et baisses des dépenses publiques.
14:29Merci pour le programme.
14:30Si ça a du sens parce qu'on est dans une trajectoire vertueuse,
14:34oui, si c'est pour continuer.
14:36Les Français sont hyper hypocrites là-dessus.
14:39On aura des précisions dans la soirée sur nos deux antennes.
14:43On fait une pause.
14:44On va parler de ce qui se passe du côté des policiers.
14:48On aura le président, le secrétaire général du syndicat Allianz,
14:52Fabien Vendée-Mellery, qui porte plainte
14:55contre monsieur Delogue, député de la France insoumise.
14:58On va parler de ces refus de tempérer.

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