• il y a 2 mois
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00:00:30Bienvenue chez Kéros, bienvenue pour ce Décrypte 3, éclaircir le réel, décoder la propagande.
00:00:39Quatre ans après le Covid, cuit de ces crises à répétition.
00:00:44On va accueillir quelqu'un qu'on a déjà accueilli plusieurs fois et en préparant l'émission je ne me rendais pas compte qu'on l'avait reçu autant de fois.
00:00:50Je vais d'ailleurs vous montrer quelques images, ça date, quatre ans sont passés, c'était notre première émission avec Martin Zizi.
00:00:57Puis on en a fait d'autres, la première.
00:01:01Et puis la suite, on a dédicacé en généralisé, presse, médias, université, on a parlé de beaucoup de choses.
00:01:07Avec Jeunesse Parika aussi.
00:01:11On en a fait, je ne vais pas toutes les montrer, le grand débat qui nous avait valu le début de la fermeture de la chaîne YouTube.
00:01:20Et on a continué et on continue et je suis très heureux d'accueillir Martin Zizi, que vous avez, si vous nous suivez, vu plusieurs fois et qui va apparaître sur l'écran.
00:01:35Où est Martin ? Martin a disparu, sa connexion entre le début de l'émission et maintenant, tout d'un coup, Martin a disparu.
00:01:51Donc il va falloir meubler, hein, Martin est épidémiologiste et ancien directeur scientifique du gouvernement belge.
00:02:01Donc avant d'être voué gémonie par ce gouvernement, il était très apprécié.
00:02:08On va parler avec lui aujourd'hui de beaucoup de choses, de l'ARN messager, des effets secondaires, de la mortalité, de la baisse de la natalité et de l'amortisation.
00:02:18Martin Zizi, je t'ai déjà présenté, j'ai déjà rappelé à ceux qui nous suivent et ceux qui ne nous suivent pas les émissions qu'on avait faites.
00:02:32Et en préparant, je disais aux spectateurs, en préparant cette émission, je ne m'étais pas rendu compte qu'on avait déjà au moins fait 6-7 interviews.
00:02:38Oui, ça finit par devenir une relation.
00:02:42C'est pour ça qu'on disait déjà avant, il faut garder une distance. On va essayer d'être en désaccord quand même.
00:02:48C'est important. Donc on peut expliquer tous les thèmes sur lesquels on allait débattre.
00:02:56Mais voilà, le titre de cette émission, c'est 4 ans après le Covid, quitte de ces crises à répétition.
00:03:02Voilà, comme certaines personnes me disent, ah Martin, le Covid est passé, tout va bien.
00:03:10On revoit des gens qui commencent à se masquer, comme ça ici en Belgique en tout cas.
00:03:14Est-ce que tout va bien, Martin Zizi ?
00:03:18Bonne chance à ceux qui se ramasquent.
00:03:24Ça veut dire qu'il y a beaucoup de gens qui dénient la science.
00:03:29Parce que depuis maintenant, la crise initiale de Covid, on sait qu'il y a des centaines de papiers.
00:03:37Mettre le masque et croire qu'il a éteint le virus, c'est comme essayer de vider une plage avec un caddie de GB.
00:03:43Mettre le sable dans le caddie et l'enlever.
00:03:45Donc je n'ose pas les insulter ces gens. Je crois qu'ils sont plus peureux que cons.
00:03:50Mais c'est une connerie. Bon, ça c'est une première chose.
00:03:53Maintenant, si on est malade, oui, quand on crache, quand on a des spectaux, un masque arrête.
00:04:00Donc pour dire et pour tordre le cou à ce canard une fois pour toutes,
00:04:04parce que ça m'horripile après quatre ans de voir que des gens sont cons à ce point-là,
00:04:07désolé, je l'ai dit, c'est efficace pour in vers out.
00:04:12Et c'est absolument pas efficace pour out, l'extérieur de notre corps pour in.
00:04:17Et un virus ne nous rend pas malades. Il y a toujours des seuils.
00:04:20Par exemple, pour certains virus, c'est 10 particules par unité de volume, des millilitres, par exemple.
00:04:25Pour d'autres, c'est un million. C'est des SARS.
00:04:28Pour d'autres, comme Monkeypox, on y reviendra dans l'émission, c'est 3700 à 4000 particules virales.
00:04:34Et bon, pour les virus respiratoires, ce n'est pas le cas d'Hempox.
00:04:40Ces notions de seuil ne se rencontrent même jamais à l'air libre.
00:04:44Le pire dans les masques, c'est ceux qui mettaient leur masque dans leur voiture en étant tout seul.
00:04:49Oui, ceux-là, j'ai plus de mots.
00:04:52La langue française manque d'une insulte assez profonde pour leur état mental.
00:04:56Voilà. Maintenant, pour répondre à la question, Alex, est-ce que tout va bien ?
00:05:00Non, tout ne va pas bien parce qu'au contraire, on voit des dérives sociales et sociétales de plus en plus graves
00:05:07pour mentir aux gens sans arrêt.
00:05:09La santé est un bien précieux, mais on l'a galvaudé, on a cassé l'hôpital.
00:05:14On a fait des milliards d'euros de cadeaux pour des PCR inutiles, mais on a supprimé des lits.
00:05:20On a un nouveau ministre de la Santé qui est un des pires experts du gouvernement.
00:05:24Non, ça ne va pas bien.
00:05:26Pour revenir maintenant, et on va peut-être lancer le débat là-dessus, c'est que le Covid n'est pas passé.
00:05:32Et justement, Martin, est-ce que ces gens sont cons, ceux qui se masquent ?
00:05:39Est-ce qu'ils seront nombreux à se remasquer ?
00:05:41Est-ce que ce n'est pas la preuve que nous, médiatiquement, médias alternatifs, on a perdu au fait
00:05:47que les médias de masse ont encore un pouvoir exceptionnel qui fait peur aux gens ?
00:05:53C'est les deux, je crois.
00:05:55Honnêtement, ces gens, cognitivement, ils sont à la masse.
00:05:59Ils sont à la masse.
00:06:00Maintenant, est-ce qu'on a gagné le combat médiatique ?
00:06:04On a eu des victoires et on a eu des défaites.
00:06:06Le fait, par exemple, que près de 80% des gens refusent de se faire vacciner maintenant pour ces nouveaux trucs,
00:06:13et ne voient pas les boosters, n'est quand même pas une petite victoire.
00:06:17Ils ont dû détruire des stocks parce qu'ils avaient tout prévu pour grasser la pâte à leurs copains.
00:06:22Donc, ça, c'est quand même appréciable.
00:06:26Maintenant, on va peut-être parler de la daube et de la rétraction du faux papier sur l'hydroxyde de Rocky,
00:06:30fabriqué à 100% quasiment.
00:06:32Donc, il y a des vraies victoires.
00:06:34Mais à côté de ça, le temps de cerveau, comme disait l'ancien directeur de TF1 dans les années 90,
00:06:40le temps de cerveau est encore occupé par des médias de masse
00:06:44qui sont d'abord en violation de leur charte, de la charte de Munich,
00:06:49mais en plus en relation incestueuse avec le pouvoir.
00:06:52Parce que le rôle du journalisme, et c'est peut-être ce qu'on reproche à Kéros et à d'autres médias alternatifs,
00:06:58c'est d'être le poil à gratter du pouvoir.
00:07:01Ce n'est pas de leur servir la soupe.
00:07:02Donc, le journaliste, a priori, doit déranger.
00:07:04Un journaliste qui ne dérange pas, un journaliste d'investigation qui ne dérange pas,
00:07:08ce n'est pas un journaliste.
00:07:09Donc, il faut accepter qu'avec le job de journaliste, on pose des questions qui fâchent.
00:07:14Alors, parfois, elles ne fâchent pas.
00:07:15Parfois, elles fâchent.
00:07:16Et ça fait partie du boulot.
00:07:18Donc, oui, le pouvoir des médias subsidiés est énorme encore maintenant dans l'occupation des gens.
00:07:26Et ça me dérange pour une autre raison.
00:07:28On paye pour ça.
00:07:29L'RTB fait payer avec l'argent des taxes en grande partie.
00:07:32Et ça, ce n'est pas normal.
00:07:33S'ils veulent faire ça, qu'ils soient sur un marché compétitif avec des gens comme Kéros, etc.,
00:07:39et que ce soit par souscription, qu'on retire la dotation de l'RTB
00:07:43et qu'on les laisse sur le marché, le vrai marché de l'opinion.
00:07:47Et tant qu'on n'aura pas revisité tout le marché de l'opinion,
00:07:53on rentre dans peut-être une remarque ici un peu économique,
00:07:57on n'en sortira pas.
00:07:58Parce qu'il faut que les gens puissent financer leurs nouvelles.
00:08:03Parce que, désolé, mais le modèle gratuit ne marche plus.
00:08:06On le voit avec les dérives informatiques.
00:08:08On le voit avec le ranking de Google, qui est celui qui paye le plus.
00:08:12Ça revient en haut du ranking.
00:08:14On le voit avec toutes les plateformes sociales.
00:08:16Et on pourra parler de ce qui se passe au Brésil contre X.
00:08:19Et Pavel Durov, qui s'est fait arrêter en France,
00:08:23alors que le plus grand groupie et le plus grand utilisateur de télégrammes,
00:08:27c'est Macron lui-même.
00:08:28Donc, on a un problème.
00:08:30Il faut séparer la relation incestueuse entre journalisme et État.
00:08:35Et pour ça, il faut forcer les outils de journalistes, de journalisme,
00:08:40à être sur le marché compétitif au lieu de les protéger.
00:08:43Parce que c'est la différence entre le loup et le chien,
00:08:46la fable de la fontaine.
00:08:48Donc, ils ne peuvent pas mordre la main qui les nourrit
00:08:52et le collier qui leur serre le cou.
00:08:54Et ça, ça détruit la démocratie.
00:08:56Donc, voilà, ta réponse est claire.
00:08:58Oui, mais il y a deux parties à la réponse.
00:09:01Comme dit Chomsky et Herman, on paye pour être endoctriné.
00:09:05On paye les services qui nous lavent le cerveau.
00:09:07Oui, c'est quand même triste.
00:09:09C'est assez fou.
00:09:12Donc, tu disais, non, le Covid, en tout cas,
00:09:14ce qui arrive d'un point de vue sociétal avec le Covid,
00:09:17ce n'est pas fini et on n'en est pas sorti.
00:09:19C'est ça que tu disais avant qu'on évoque.
00:09:21Je voudrais préciser cette remarque, en effet.
00:09:24Bon, le Covid a fini.
00:09:27D'abord, le danger Covid n'existait jamais, sauf pour les gens âgés.
00:09:30Il faut savoir que depuis février 2020,
00:09:33et les textos de Boris Johnson,
00:09:35je ne comprends pas pourquoi ils ne font pas les news de CNN.
00:09:37Boris Johnson, sur une dizaine de textos et d'SMS,
00:09:40donc avec son cabinet, est en train de dire,
00:09:42le 14 février 2020, vous tenez de moi, je traduis,
00:09:47s'il faut que j'ai plus de 80 ans pour avoir 4% de chance d'y rester,
00:09:51moi, je ne bloque pas l'économie.
00:09:53Il a dit ça.
00:09:55Et il dit, quelle est la létalité de ce virus ?
00:09:57Oh, quasi rien en dessous de 60 ans.
00:09:59Ça, c'est la politique qui avait ces statistiques en février 2020,
00:10:03avant de décider de zéro Covid.
00:10:05Il faut savoir que l'Imperial College a forcé Johnson,
00:10:08a changé sa politique.
00:10:10Et d'ailleurs, les textos existent et un jour, je vais les mettre en ligne.
00:10:13L'Imperial College de Neil Ferguson a eu des réunions de crise
00:10:16avec le cabinet Johnson, qui ont eu des réunions
00:10:18avec les homologues américains, peut-être des européens,
00:10:21et ils ont décidé de faire une politique de zéro Covid appelée de suppression,
00:10:24en sachant que ça allait créer de la casse sociale financière et vitale.
00:10:30Les notes de Ferguson sont claires.
00:10:32Ça va tuer des gens, mais on ne peut pas faire dans la morale.
00:10:35Tout ça existe.
00:10:37Je voudrais finir un truc.
00:10:39Qu'est-ce qui s'est passé à ce moment-là ?
00:10:41C'est que la Suède a fait cavalier seule.
00:10:44La Hollande, qui voulait imiter la Suède, est rentrée dans le rang.
00:10:47L'Angleterre, qui voulait imiter la Suède, est rentrée dans le rang.
00:10:49Ça, c'est le premier truc avec Covid.
00:10:51Il n'y a jamais une mortalité vraiment grave.
00:10:53On a créé la mortalité et on va y revenir.
00:10:55Et on peut parler pendant dix minutes
00:10:57comment on a créé des morts, des vrais morts en plus.
00:10:59C'est bien de le rappeler, oui.
00:11:01Depuis Omicron, il faut savoir que le risque de mortalité,
00:11:05de morbidité du Covid, qui n'existe plus, est 200 fois moins que la grippe.
00:11:10Donc, il n'y a plus de danger.
00:11:12Médiatiquement, ils continuent à dire « vaccinez-vous, boostez-vous,
00:11:16faites des updates, comme des upgrades informatiques ».
00:11:18Et c'est là où la crise Covid n'est pas finie.
00:11:20Parce que le gouvernement veut continuer
00:11:23à garder la population sous la cloche de la peur.
00:11:26C'est pour ça.
00:11:28Pour toi, c'est purement politique.
00:11:30Purement. C'est 100% politique.
00:11:32Donc, tu dis que les gouvernements,
00:11:34et c'est bien de le répéter parce que les gens oublient,
00:11:36le gouvernement savait que le Covid n'était pas d'une mortalité
00:11:40d'une forte mortalité.
00:11:43Et ils savaient qu'en prenant ces mesures,
00:11:45ça aurait des effets néfastes sur la société.
00:11:48Des effets néfastes.
00:11:50Tant économiques que sur la société sociale,
00:11:53que sur la mortalité.
00:11:55Ils savaient. Parce qu'imperial college le disait.
00:11:58La casse va être énorme, mais il faut une politique de suppression.
00:12:03Et ils avaient des faux modèles.
00:12:05Au début, il y avait quoi, 50 ans d'experts
00:12:09autour du gouvernement britannique,
00:12:11dans différents groupes de travail,
00:12:12comme en Belgique, comme en France ou aux Etats-Unis.
00:12:14Et il y en a certains qui ont claqué la porte,
00:12:16qui sont venus dans les news et qui ont mis en disant,
00:12:18mais les types de sages, S.A.G.E.,
00:12:20Neil Ferguson, c'est un fou.
00:12:22Il y a des gens qui ont claqué la porte au Canada,
00:12:24comme le professeur Harry Joffé,
00:12:26qui était au départ un proposant des lockdowns.
00:12:28Et puis à un moment, il s'est dit, mais non, on fait une connerie ici.
00:12:30Et il a écrit un papier, et puis review, qui va être historique.
00:12:33Il refait toute la trace de son propre parcours
00:12:36entre février 2020 et l'été juin 2020.
00:12:40Il le met en préprint.
00:12:42Le papier est bloqué.
00:12:44Puis review, il a réussi.
00:12:45Un an plus tard, il est publié,
00:12:46mais il cite même les références de notre politique.
00:12:48Donc si un jour, on doit mettre des gens en justice,
00:12:50on a toute la traçabilité qui est présente.
00:12:52Bon, alors maintenant...
00:12:54Mais Martin, juste une chose...
00:12:55Pourquoi on a eu des morts ?
00:12:57Parce que, juste une chose,
00:12:59j'ai encore une voisine récemment qui me dit,
00:13:02et qui est enseignante d'ailleurs,
00:13:04elle me dit, heureusement qu'ils ont confiné.
00:13:06Je dis, pourquoi ?
00:13:08Parce que ça m'a évité de crever.
00:13:11Parce que si j'avais été dans l'école, je serais peut-être mort.
00:13:13Et une autre me dit, mais c'est quoi cette histoire ?
00:13:17Les gens mourraient.
00:13:18Et maintenant, je dis, mais les effets secondaires du vaccin,
00:13:21on y reviendra aussi.
00:13:22Mais c'est quoi cette histoire, elle me fait.
00:13:24Il y a un, il y a quelques effets secondaires.
00:13:26Je pense qu'il faudrait presque pouvoir
00:13:29avoir déployé une argumentation de quelques pages
00:13:33avec des liens...
00:13:34Inutile.
00:13:35On ne convaincra pas les gens qui ont décidé d'être dans le déni.
00:13:38Mais par contre, je veux venir sur la question importante
00:13:41qui est celle des morts.
00:13:44En gros, un virus qui ne tue pas.
00:13:47Ça, c'est la réalité.
00:13:49On a viré Pierre-François Latterre de l'UCL,
00:13:53parce qu'il a osé l'écrire dans une carte blanche.
00:13:55Il a dit, ce n'est pas pire que la grippe normale.
00:13:57Il l'avait écrit avec 53 autres professeurs.
00:14:00On oublie ça.
00:14:01À l'été 2020, il y avait des cartes blanches dans la grippe
00:14:04qui disaient, ceci est de la bêtise.
00:14:06Maintenant, pourquoi on a eu tant de morts ?
00:14:08C'est assez marrant.
00:14:09Donc, on a les papiers d'Yohannidis.
00:14:11On en a une soixantaine confirmés par plein de gens.
00:14:14On a maintenant à peu près 120 papiers
00:14:16qu'on a lisés la crise pendant et après.
00:14:19Et on a les fameux taux de mortalité,
00:14:21si on n'avait rien fait.
00:14:23En dessous de 60 ans, sans comorbidité,
00:14:26c'est 1 sur 300 000.
00:14:29Je répète, parce que je crois que M. et Mme Belge-Moyen
00:14:31doivent comprendre ça et doivent le marteler dans leur tête.
00:14:34En dessous de 60 ans, sans comorbidité,
00:14:37le risque d'être très malade et d'y rester,
00:14:40c'est 1 sur 300 000.
00:14:41En dessous de 40 ans, c'était 1 sur 1 million.
00:14:44C'est fou.
00:14:45Et alors, quelles sont les comorbidités ?
00:14:4890 % des comorbidités, c'était l'hypertension,
00:14:51le diabète ou l'obésité.
00:14:53L'âge pourrait être une comorbidité,
00:14:55mais on viendra à l'âge après.
00:14:56Donc, si on a des diabétiques hypertendus ou obèses,
00:15:00là, on a plus de risques.
00:15:02Donc, ce qui était proposé par la déclaration de Gregg Barrington
00:15:05et la plupart des médecins qui étaient encore logiques en 2020,
00:15:09focalisons les efforts de la société et l'argent
00:15:12pour protéger les faibles et ceux qui sont à risque.
00:15:15On savait qu'il y avait des gens qui avaient des malades systèmes,
00:15:17on pense aux lupus, aux artérites, aux thyroïdites, etc.
00:15:19Ceux-là peuvent être à risque, majeurs ou majorés,
00:15:23avec un tel virus qui crée une réaction inflammatoire majeure.
00:15:26Mais à côté de ça, en dessous de 60 ans,
00:15:29sans comorbidité, la mortalité, 1 sur 300 000, c'est comme zéro.
00:15:34Bon, maintenant qu'on a ça et qu'on a établi ça,
00:15:37et ça, ce n'est pas Zizi qui le dit,
00:15:39il y a plus d'une centaine de papiers.
00:15:41Certains étaient publiés au moment où nous en parlions avec la RTBF
00:15:46et que la Libre disait, oh, on a encore eu 10 morts cette nuit,
00:15:49on a encore eu 500 morts la semaine passée.
00:15:51Ok, d'où viennent ces morts ?
00:15:53En fait, je l'ai expliqué, mais les gens ne me croyaient pas.
00:15:57Mais maintenant, les gens commencent à le croire,
00:15:59principalement sur les réseaux comme X, etc.
00:16:02Quand on fait des tests PCR et qu'on les fait sans bonne calibration,
00:16:09ça veut dire qu'on avait réglé les cycles de PCR
00:16:13pour être positif à partir de 30 germes.
00:16:15Je vous dis qu'il faut un million pour être malade
00:16:18et pour avoir une chance, si on est malade, d'aller très mal.
00:16:21Ce n'est pas une chance de mort.
00:16:23Un million, c'est une chance d'avoir pas eu la maladie.
00:16:25Et qu'on vous déclarait positive après 30,
00:16:27et qu'on refusait, encore à ce jour,
00:16:29le gouvernement ne veut pas donner les bases de données de santé,
00:16:32parce que 75 à 80 % des cas étaient des faux malades.
00:16:37Ça, c'est important de savoir.
00:16:39C'était pour faire la peur.
00:16:41Par contre, dans ces faux malades, il n'y avait pas que des faux malades,
00:16:4425 % avaient vraiment le virus,
00:16:46mais on disait à tout le monde, restez à la maison, stay safe.
00:16:49Le QR code dit que c'est positif, vous restez à la maison.
00:16:53Quand on reste à la maison, ces gens, si on en a 100,
00:16:5713 % de ces gens volent en complication.
00:17:01C'est connu, c'est avec les grippes, c'est avec les gros rhumes,
00:17:04c'est avec des ADN.
00:17:06Les gens ont déjà été malades dans le passé quand ils ont 30, 40 ans.
00:17:09Ils savent qu'une bonne grève, ils passent à travers.
00:17:12Mais parfois, ils commencent à cracher jaune et vert.
00:17:15Et la crève, comme on dit à Bruxelles, elle se surinfecte.
00:17:18C'est la complication numéro un majeur.
00:17:21C'est-à-dire que le virus fait des sécrétions,
00:17:24tue des cellules pulmonaires dans nos bronches,
00:17:26les bactéries viennent y danser,
00:17:28et ça fait ce qu'on appelle une colonisation bactérienne.
00:17:30En temps normal, quand ça se passe,
00:17:32quand le gouvernement ne se mêle pas de la santé,
00:17:34on va voir son toubib, qui au début refuse des antibiotiques
00:17:37parce qu'il a une angine rouge, et puis quand il voit que ça crache vert,
00:17:40il presque la pénicilline ou le bubrabicine, etc.
00:17:42Il n'y a pas de question à propos de ça.
00:17:44Ici, on a gardé les gens à la maison.
00:17:47D'abord, le reste des tests ne venaient pas dans les 4 heures.
00:17:50Il y a beaucoup de gens qui m'ont parlé.
00:17:52J'ai eu une interview à l'RTBF avec Eddie Kackelberg.
00:17:55Son test lui a mis une semaine à parvenir.
00:17:57Eddie Kackelberg.
00:17:58Parce qu'à un moment, j'étais dans les mainstream,
00:18:00et les gens m'aimaient bien à cause du passé,
00:18:02parce que je n'ai jamais menti à un journaliste.
00:18:04Donc j'avais de bonnes relations, de confiance avec le journaliste
00:18:07qui m'avait utilisé en disant, vous, vous êtes un type correct.
00:18:10C'est un autre débat, mais vous vous rendez compte
00:18:12d'être un type correct au type qu'il faut tuer.
00:18:14Et le plus grand problème est là.
00:18:17Ça veut dire qu'on laisse les gens se dégrader à la maison.
00:18:20Et ils arrivent à l'hôpital trop tard.
00:18:22Voilà.
00:18:23Parce que voir un médecin recevoir la prescription antibiotique
00:18:26pour le premier effet secondaire majeur,
00:18:28ses effets secondaires, c'est entre 35 et 65 %.
00:18:32Selon les endroits où ça a été publié,
00:18:34il y a aussi des dizaines de papiers.
00:18:36Il y a des endroits en Italie où c'était même 80 %.
00:18:39En France, il y a des endroits à 28 %, 35, 40 %.
00:18:41En Belgique, même chose.
00:18:42Les Chinois ont publié pendant un an,
00:18:44ils ont dit que la moitié des gens qui arrivaient en soins intensifs
00:18:47étaient déjà en colonisation bactérienne et arrivaient au jour 11.
00:18:50Si on parle à Michel Bureau,
00:18:52le docteur Bureau qui s'occupait de l'unité COVID à Liège,
00:18:55il m'a confirmé et il pourrait le confirmer sur une demande.
00:18:59La grande majorité, ça veut dire presque la totalité
00:19:02des patients qui arrivaient dans l'unité,
00:19:04étaient arrivés entre le jour 8 et 11.
00:19:06D'une surinfection bactérienne profonde,
00:19:08parce que ce n'est pas une surinfection dans la gorge.
00:19:10Quand on est en bronchopneumonie, c'est là.
00:19:12Ça veut dire qu'on commence à avoir des symptômes cardiaques,
00:19:15on commence à avoir des symptômes de courtesse d'Alain.
00:19:17C'est ça que Bureau a vu.
00:19:19Et on n'a pas traité les gens.
00:19:21Donc si on ne traite pas les gens et qu'on nie les soins,
00:19:23on augmente la casse.
00:19:25Un deuxième facteur.
00:19:27Tu retiens ce que tu veux dire parce que j'ai une question
00:19:29vraiment quand même très importante.
00:19:31Est-ce que tu peux jurer devant la Bible
00:19:34que tu parles de 30 germes,
00:19:36tu parles de tests PCR.
00:19:38On en avait déjà parlé à l'époque.
00:19:40À partir de 30 germes, on disait vous avez le Covid.
00:19:42Et qu'il fallait un million de germes.
00:19:44Si on avait calibré
00:19:46les cycles d'amplification des tests PCR,
00:19:48est-ce qu'une étude était faite ?
00:19:50Est-ce qu'on pourrait dire approximativement
00:19:52combien de cas de Covid on aurait vu
00:19:54par rapport à tous ces...
00:19:56Oui, ça a été fait. J'ai mis une vidéo en ligne
00:19:58parce que des Américains ont fait l'étude.
00:20:00Par exemple en Massachusetts, ils ont vu que
00:20:02les données avec le bon CT,
00:20:0480% des cas étaient faux.
00:20:0680% des cas ?
00:20:07Le Canada, en Ontario, ils ont fait la même chose.
00:20:09Ils avaient 50% de fausseté des cas.
00:20:11Donc ça a été fait, ça, en 2020.
00:20:13Je ne suis pas le seul à savoir me servir d'une PCR.
00:20:16Et en plus, par exemple,
00:20:18je peux dire notre ami Jonas.
00:20:20Jonas Parika que tu as interviewé plusieurs fois.
00:20:22Avec toi aussi.
00:20:24Il était en charge
00:20:26de l'unité de tests à Huxley.
00:20:28Ici, je vais révéler quelque chose.
00:20:30Il a vu que les tests étaient mal calibrés.
00:20:32Il s'est plaint. Il a réussi à les faire recalibrer.
00:20:35Du coup, tous les experts,
00:20:37parce que tout passait par Leuven,
00:20:38ont même dit,
00:20:39oui, oui, on va faire un papier scientifique là-dessus.
00:20:41Et puis, il ne pouvait plus être sur le papier
00:20:43et puis il a été viré de Huxley.
00:20:45Donc, il y a un biologiste qui a essayé.
00:20:49On le vire.
00:20:50Son nom c'est Jonas Parika.
00:20:52On n'a pas renouvelé son contrat
00:20:54parce qu'il a chié dans la soupe quelque part.
00:20:56Ou pissé dans la soupe.
00:20:58Et c'est grave ce qui s'est passé.
00:21:00Mais ça, je ne veux pas qu'on dévie trop sur les PCR.
00:21:03Je peux le jurer sur tous les livres sacrés.
00:21:06Je ne suis pas agnostique.
00:21:09Je suis spirituel sans être pour les religions organisées.
00:21:12Mais je peux le jurer sur ma propre vie.
00:21:14J'ai d'ailleurs publié,
00:21:16c'était dans Kéros,
00:21:17c'était aussi dans Le Vif,
00:21:18je mettais un challenge à tous les biologistes moléculaires
00:21:21de Belgique et d'Europe
00:21:23de prouver que j'avais tort sur le fait
00:21:25qu'on ne peut pas utiliser les PCR dans des fishing trips
00:21:27quand on n'a pas de symptômes.
00:21:29Il n'y a pas un qui a appelé.
00:21:31J'ai fait une note là-dessus
00:21:33avec Denis Flandre
00:21:35et avec Bernard Rantier.
00:21:37Note qu'on a fait circuler
00:21:39avant de la mettre à 43 références
00:21:41et même un tableau de sortie de crise
00:21:43pour économiser 80% des sous des tests.
00:21:45On l'avait écrite ensemble.
00:21:47On avait 43 références
00:21:49et c'était bien écrit.
00:21:51C'est de la vulgarisation mais scientifique de très haut niveau.
00:21:53On l'avait fait relire par un groupe d'une quarantaine de scientifiques
00:21:55très avécautionnés
00:21:57parce qu'ils connaissaient cette allure d'homane.
00:21:59Denis Flandre l'a fait circuler dans les 5 départements de biomol
00:22:02des 5 universités francophones.
00:22:04Je révèle des trucs ici que je n'ai jamais dit.
00:22:06Denis Flandre, le professeur Flandre Lucel
00:22:08a fait circuler cette note.
00:22:10Il a demandé aux gens, avant qu'on la publie
00:22:12sur le blog du Comité Rationnel,
00:22:14« Qu'en pensez-vous ? »
00:22:16Tous les retours étaient « Oh, c'est pas mal ! »
00:22:18« Vous trouvez quelque chose à changer ? »
00:22:20« Non, non, non, c'est parfait ! »
00:22:22« Aidez-nous à la mettre sur la table
00:22:24de la loi Alexandre de Croix. »
00:22:26« Ah non, non, non ! Personne n'a voulu nous aider. »
00:22:28« Qu'est-ce qui s'est passé ? »
00:22:30« Un maman rentier nous fait un mail. »
00:22:32« Non, c'est un texto en disant
00:22:34« Je viens de me disputer. »
00:22:36« Pas de me disputer, je viens d'avoir une remarque méchante
00:22:38du recteur actuel de Liège qui m'a dit
00:22:40« Arrête tes conneries, tu nous fais perdre les sous
00:22:42des PCR. »
00:22:44Donc, on a un nouveau recteur qui dit
00:22:46à un ancien recteur « Arrête tes conneries. »
00:22:48Pourquoi ? Il y a 2 milliards,
00:22:50un peu moins de 2 milliards d'euros
00:22:52qui ont été donnés pendant un an et demi pour des PCR
00:22:54dans toutes les unifs. L'autre, on a pris
00:22:56la part de Lyon. C'est un milliard,
00:22:58c'est énorme pour une unif.
00:23:00Donc, ce milliard d'euros des PCR inutiles,
00:23:02c'est les 30 deniers d'UDA qui ont fait
00:23:04que tous mes collègues ferment leur gueule encore aujourd'hui.
00:23:06Ils savent que j'ai raison.
00:23:08Le silence des académiques
00:23:10est assourdissant. »
00:23:12On sait que Bernard Rentier suit Kéros et apprécie Kéros,
00:23:14mais on dirait qu'on lui met
00:23:16un flingue sur la tempe.
00:23:18Et moi aussi, je le dis,
00:23:20que les gens se réveillent enfin.
00:23:22On dirait presque un plan parfait, Martin.
00:23:24Oui, mais avant de parler de plan,
00:23:26Alex, je veux dire
00:23:28pourquoi il y a des morts.
00:23:30J'ai répondu tout à l'heure à la question.
00:23:32Donc, on a les morts parce qu'on les a
00:23:34laissés tomber.
00:23:36On a aussi autre chose qui a aggravé
00:23:38la mortalité.
00:23:40Principalement dans les maisons de retraite.
00:23:42Si on avait eu quelques centaines de morts
00:23:44additionnelles, ça aurait été
00:23:46une grippe normale. En France,
00:23:48par exemple, une grippe tue 10 000.
00:23:50Je ne connais pas le chiffre en Belgique, mais tue 10 000
00:23:52personnes âgées dans les EHPAD,
00:23:54l'équivalent des MRS, maisons de repos
00:23:56et de soins en Belgique pour nous. Je ne connais pas le chiffre
00:23:58belge, mais c'est 10 000 en France. Ils ont eu 40 000.
00:24:00Nous, on a eu 7 000 morts
00:24:02pour un pays qui est 14 fois plus petit
00:24:04dans les maisons de retraite,
00:24:06durant la première vague. Il faut savoir
00:24:08que ces gens,
00:24:10dès qu'ils toussaient un peu ou qu'ils étaient un peu
00:24:12fiévreux, on les isolait. Pas de famille.
00:24:14On ne les traitait pas. Et puis,
00:24:16on les aidait à passer avec des soins
00:24:18palliatifs. Bon,
00:24:20il faut savoir qu'on donnait
00:24:22du... Allez,
00:24:24en France, ils donnaient d'olépranes. Ici,
00:24:26on donnait l'équivalent de Tylenol. Donc, on donnait des
00:24:28antipyrétiques. Si on donne des
00:24:30antipyrétiques en infection virale
00:24:32débutante,
00:24:34quand on a une grippe ou quand
00:24:36on a un virus, on a de la fièvre.
00:24:38Une fièvre modérée est
00:24:40une réponse physiologique qui donne
00:24:42des interférons qui permettent de
00:24:44booster la charge virale.
00:24:46Donc, si la fièvre est forte ou si
00:24:48on a très mal de tête, on va prendre une aspirine.
00:24:50On va prendre du Brufen. On va prendre
00:24:52l'équivalent de l'oléprane. OK ?
00:24:54Il n'y a pas de problème. Mais on n'en prend pas
00:24:56un gramme pendant 4 ou 5 jours.
00:24:58Ça, c'est la méthode la plus sûre pour booster
00:25:00la charge virale.
00:25:02Donc, non seulement on a laissé
00:25:04les gens en place. Et ce que je dis est connu
00:25:06depuis les années 90. Je veux dire
00:25:08qu'on sait ces histoires de relations
00:25:10entre fièvre et interférons.
00:25:12Parce qu'on sait que
00:25:16autour d'un degré de température
00:25:18augmentée inhibe la synthèse des
00:25:20protéines chez l'humain.
00:25:22Inhibe le packaging des virus.
00:25:24Ça a été étudié par des gens comme Rothman
00:25:26prix Nobel ou
00:25:28Ferronovic à Yale.
00:25:30Et voit qu'on ne sait pas sécréter des
00:25:32protéines quand on a de la fièvre. Même la
00:25:34question d'insuline tombe un peu. Donc, en gros,
00:25:36il faut savoir que
00:25:38ce ne sont pas des choses qu'on a découvertes
00:25:40dans les années 2019-2020.
00:25:42C'est des choses dont j'étais au courant
00:25:44quand j'étais déjà jeune chercheur.
00:25:46Dans les années 1985-1990.
00:25:48Donc, on a
00:25:50aggravé une situation.
00:25:52Beaucoup de gens sont au courant de ce que je dis
00:25:54en donnant. Restez chez vous.
00:25:56Donc, ça c'est le premier problème. Prenez
00:25:58de l'aspirine ou du doliprane.
00:26:00Mets des grammes pendant 4 ou 5 jours.
00:26:02C'est l'histoire de booster. Et alors,
00:26:04on a fait ça dans les maisons de retraite et de soins.
00:26:06Et donc, on a mis les gens encore plus
00:26:08malades qu'ils étaient. Donc, non seulement on les a négligés,
00:26:10mais on les a rendus malades
00:26:12sur base de compétences
00:26:14en biologie moléculaire qui étaient
00:26:16assez distribuées parmi les gens
00:26:18qui connaissent les virus. Bon, le médecin
00:26:20et l'ingénieur de base ne sait pas ça.
00:26:22Mais beaucoup de médecins savent que la fièvre est
00:26:24bénéficiaire pour des
00:26:26infections débutantes. Et que bloquer la fièvre
00:26:28trop augmente le problème.
00:26:30Alors, pour être sûr, Martin,
00:26:32on pouvait rajouter, comme en France, du rivotril.
00:26:34Oui, oui. Ça, c'est être sûr.
00:26:36On était sûr de les acheter.
00:26:38Alors,
00:26:40il y a des médecins qui se rendent compte
00:26:42qu'ils ont fait des gaffes.
00:26:44Il faut savoir qu'il y a des médecins
00:26:46qui sont venus dans les news
00:26:48et qu'on dit que c'est compassionnel.
00:26:50C'est pour éviter qu'ils ne souffrent.
00:26:52Vous ne comprenez rien. Moi, on m'a insulté en disant
00:26:54« Mais tu ne comprends pas ce que c'est la médecine palliatif.
00:26:56Il faut éviter que les gens souffrent. »
00:26:58Et moi, je réponds « Mais ils n'auraient jamais eu à souffrir
00:27:00si on les avait pris en charge. »
00:27:02Donc, en gros, c'est de la médecine de type
00:27:04« C'est vraiment du méngélé
00:27:06reproduit dans tout le pays
00:27:08ou dans différents pays d'Europe ou aux États-Unis. »
00:27:10Et ça, on ne peut pas laisser tomber.
00:27:12Donc, pour ça, le COVID n'est pas fini.
00:27:14Il y a eu un crime majeur
00:27:16avec des millions de morts,
00:27:187 millions de morts directes avec ces conneries.
00:27:20Et on estime la casse indirecte à 3 fois plus.
00:27:22Donc, si on fait les estimations
00:27:24du RAND Corporation ou des rapports anglais,
00:27:267 fois 3, c'est 21 plus 7.
00:27:28C'est un chiffre que je tire
00:27:30comme ça de mon chapeau, 28 millions.
00:27:32On a au moins 7 millions de morts documentées directes.
00:27:34C'est plus que le petit moustachu
00:27:36a fait en Germany.
00:27:38Il y a un problème avec ça.
00:27:40Les gens qui disent « C'est fini »,
00:27:42c'est comme les gens qui, en 45, diraient
00:27:44« Oui, OK, OK, allez, il est parti.
00:27:46Ce n'est pas grave. »
00:27:48Alors, quand je parlais de plan,
00:27:50entend bien ce que je veux dire.
00:27:52Je veux juste dire que 80%
00:27:54de faux patients avec des tests dont tout le monde sait,
00:27:56je veux dire, en tout cas, dont les scientifiques
00:27:58savent que c'est en général bidon
00:28:00que ça fait des faux patients,
00:28:02des gens qu'on dit les vrais malades
00:28:04qui restent chez eux et qui deviennent
00:28:06plus malades et qui meurent
00:28:08et à qui on demande de prendre de l'aspirine.
00:28:10Je veux dire, on aurait voulu faire
00:28:12un truc parfait pour tuer des millions de personnes.
00:28:14Oui, on aurait fait ça.
00:28:16On n'aurait pas fait mieux.
00:28:18Et il y a un autre effet secondaire majeur
00:28:20quand on a une infection respiratoire
00:28:22de voie supérieure et que ça tombe plus bas.
00:28:24On finit par avoir le virus
00:28:26qui va de plus en plus bas,
00:28:28qui invoque plus de cellules et qui finit
00:28:30par faire des bouchons bronchiques.
00:28:32Alors une fois qu'il y a des bouchons bronchiques et des
00:28:34ressources du parenchyme pulmonaire, le sang
00:28:36vient s'emmêler et donc on peut avoir des phénomènes
00:28:38coagulatoires et des phénomènes de têtresse
00:28:40respiratoire majeure.
00:28:42C'est à ce moment-là qu'il y a des patients qui ont besoin
00:28:44d'oxygène ou pas et c'est là où
00:28:46on a dû donner des anticoagulants.
00:28:48Tout ça, ça augmente évidemment
00:28:50les dédimers en même temps.
00:28:52En gros, ce qu'on a, c'est que les complications
00:28:54principales étaient la surinfection
00:28:56et la neutralisation bactérienne.
00:28:58Il y a les antibiotiques pour ça.
00:29:00La RDS, on a la kiné respiratoire,
00:29:02on a les fluidifiants, on a éventuellement
00:29:04l'oxygène.
00:29:06Et les problèmes vasculaires
00:29:08de coagulation, on avait les héparines
00:29:10de faible poids moléculaire.
00:29:12Et en plus, si on les prenait au jour
00:29:147 ou 8, des gens ont eu
00:29:16des effets positifs avec de la prénisolone,
00:29:18avec des stéroïdes. Donc on avait
00:29:20dans l'arsenal de la première ligne médicale
00:29:22qui a quand même été formée, les généralistes ont
00:29:246 plus 2, c'est 8 ans.
00:29:26C'est pas des plombiers quoi, c'est 8 ans d'études.
00:29:28Il y a les spécialistes
00:29:30en soins intensifs qui, au-dessus de
00:29:327 ans, rajoutent 5 ans, c'est 12 ans.
00:29:34Tous ces gens avec des compétences
00:29:36auraient pu prendre les gens
00:29:38en charge, en accord
00:29:40avec la déclaration Greene-Barrington qui a été signée
00:29:42par 2 millions de personnes, mais dont les policiers
00:29:44sont torchés avec. Et on aurait
00:29:46pu focaliser les soins chez les gens
00:29:48vraiment malades et on aurait
00:29:50évité la casse majeure des gens
00:29:52qu'on a rendus malades ou qu'on a
00:29:54aggravés. Et voilà pourquoi
00:29:56Covid ne peut pas
00:29:58finir, c'est parce qu'il faut exiger
00:30:00des comptes de ces gens qui ont été,
00:30:02ils n'ont pas fait une erreur.
00:30:04C'est le livre de Perron. Quand Perron dit,
00:30:06Christian Perron, qui est maintenant devenu un copain,
00:30:08dit, mais quelles erreurs n'ont-ils pas faites ?
00:30:10Quand on fait une erreur, c'est une erreur.
00:30:12En deux, ça peut être de la connerie.
00:30:14Et quand on refuse le débat ?
00:30:16Quand on en fait 20, c'est plus une erreur.
00:30:18Ça devient vraiment une volonté de tout casser.
00:30:20Et il y a des pressions, on va en parler.
00:30:22Les pressions, elles sont de niveau économique
00:30:24et de niveau de contrôle social
00:30:26par le politique. Et je dirais aussi,
00:30:28Martin, et ça me fait penser
00:30:30à l'émission Le Grand Débat, où j'avais
00:30:32invité, sans y croire,
00:30:34Copiter, c'est toute la bande, à venir.
00:30:36Il n'y en a pas un qui a répondu, sauf Copiter,
00:30:38en disant qu'il n'était pas libre. Peut-être qu'une des meilleures
00:30:40preuves de ça, parce que, imaginons,
00:30:42ils sont sûrs d'eux, mais c'est de refuser le débat.
00:30:44C'est de refuser de discuter
00:30:46avec quelqu'un d'autre. Oui, parce que
00:30:48on a toujours dit que la science
00:30:50est débat et qu'il y a un consensus.
00:30:52Je voudrais tordre le coup à ce mot.
00:30:54Consensus, c'est un terme politique. Consensus,
00:30:56veut dire qu'il y a des gens qui disent, OK,
00:30:58je ne critique plus. La science,
00:31:00la critique ne stoppe jamais. Tout ce que je dis
00:31:02doit être réfutable.
00:31:04Et si les gens, vendredi prochain,
00:31:06montrent que je suis le dernier des cons et que j'ai tort,
00:31:08eh bien, j'ai tort et on va à l'autre
00:31:10hypothèse. Donc, la science doit être
00:31:12réfutable. Les philosophes de la science,
00:31:14Kuhn et Popper, parlent de la réfutabilité
00:31:16scientifique. En termes clairs,
00:31:18rien n'est figé en science.
00:31:20Tout est toujours review, tout est toujours débat.
00:31:22On corrige les virgules, on corrige les théories principales.
00:31:24Manstein avait dit,
00:31:26si un data point
00:31:28n'est pas confirmé,
00:31:30tue votre modèle,
00:31:32changez le modèle, ne changez pas les données.
00:31:34Ici, ils ont fait ça. Ils ont créé
00:31:36des modèles qui ne valaient rien.
00:31:38Les datas, les données
00:31:40d'épidémiologie et des données cliniques ne correspondaient pas.
00:31:42On les a cachées et transformées. Ça a été
00:31:44le boulot pendant deux ans de ScienceSano.
00:31:46Donc, Manstein se retournerait dans sa tombe.
00:31:48Mais Manstein avait une intégrité
00:31:50mentale et une intelligence que nos experts
00:31:52n'ont jamais démontré.
00:31:54En gros, je dirais,
00:31:56si Martin Sissi déconne,
00:31:58venez...
00:32:00Tuez-moi !
00:32:02Tuez-moi intellectuellement.
00:32:04Venez en tant que contradicteur.
00:32:06Venez discuter.
00:32:08Mais personne ne vient.
00:32:10Le silence des académiques est
00:32:12assourdissant. J'ai posté
00:32:14ça il y a quelques semaines. J'ai dit
00:32:16soit j'ai tort. Et alors, ça devrait être
00:32:18tellement facile de me démolir en public.
00:32:20Venez en masse.
00:32:22Et vous me faites passer pour le dernier des cons.
00:32:24Je vais dire, je suis con, pardon, je retourne à mon autre vie.
00:32:26Soit
00:32:28vous savez que j'ai raison,
00:32:30alors venez m'aider.
00:32:32Mais ne rien faire, ça prouve que soit
00:32:34vous vous sentez mal à l'aise, soit vous êtes
00:32:36en déni et vous vous sentez coupable.
00:32:38Et les académiques sont coupables
00:32:40parce qu'on essaie de tuer pendant 4 ans.
00:32:42Et maintenant, bon, il y a eu des gens comme
00:32:44Rantier, il a fait du bien et du mauvais
00:32:46parce qu'il y a un moment où on s'est séparés aussi
00:32:48parce que, par exemple,
00:32:50il a interdit que je publie ou que
00:32:52le groupe parle de ce que je disais sur les vaccins.
00:32:54On n'en reparlera plus dans l'interview.
00:32:56Rantier avait tout compris sur les vaccins, je lui ai expliqué.
00:32:58Un jour, il me dit, ouais mais c'est génial ce que tu dis.
00:33:00En fait, on comprend. C'est bien.
00:33:02Et je fais une interview sur François
00:33:04et il ne veut pas qu'on la mette
00:33:06en ligne sur le blog.
00:33:08Et alors, je lui ai donné des noms.
00:33:10C'est Christine Dupont.
00:33:12Ok, qui refuse
00:33:14et qui dit, non, on ne peut pas critiquer les vaccins.
00:33:16Oui, ok.
00:33:18Et donc, ça, on va passer pour anti-vaccin, on va passer pour complotiste.
00:33:20Ok. Moi, je suis dans le groupe
00:33:22et je dis, mais vous vous rendez compte, il faut que les gens
00:33:24comprennent ce que j'explique parce que c'est simple
00:33:26à comprendre et je l'explique clairement.
00:33:28Du coup, deux juristes du groupe
00:33:30travaillent
00:33:328 à 10 heures sur deux jours
00:33:34pour transcrire mon interview et en faire
00:33:36un article, pour faire un article de blog.
00:33:38On est prêt à le mettre ?
00:33:40Rentier bloque encore ?
00:33:42Parce qu'on ne peut pas passer.
00:33:44Et après, moi, je dis, écoutez, allez vous faire foutre.
00:33:46Donc, je me sépare du groupe.
00:33:48Mais ce que j'apprends après, et on me donne des textos
00:33:50parce qu'il y a des gens qui disent, mais ils se foutent de nous.
00:33:52Deux
00:33:54ou trois des professeurs
00:33:56de l'UCL qui formaient le groupe COVID rationnel
00:33:58étaient en négociation avec le
00:34:00cabinet de Latigny, avec le cabinet
00:34:02du premier ministre pour avoir un accès aux médias
00:34:04à une condition, c'est qu'ils staissent
00:34:06sur le vaccin.
00:34:08Christine Dupont, j'ai ce texto, il est historique.
00:34:10Maintenant que Martin est parti, je peux vous le dire.
00:34:12Elle dit ça.
00:34:14Une prof, donc, le silence
00:34:16et la corruption mentale des académiques est
00:34:18énorme. Et ces gens-là,
00:34:20je ne sais pas comment ils dorment la nuit.
00:34:22Christine, si vous voulez nous rejoindre.
00:34:24Christine Dupont ne se rase pas,
00:34:26donc elle n'a pas déjà le problème qu'elle se voit le matin
00:34:28dans la glace. Mais
00:34:30c'est des mauvaises personnes, ces gens.
00:34:32Corruption systémique ?
00:34:34C'est
00:34:36même pas de la corruption, parce que
00:34:38je ne crois pas que ces gens aient reçu
00:34:40des sous à ce niveau-là, une ancienne
00:34:42doyenne, c'est pas ça. Non, non. C'est
00:34:44des gens qui, dans leur structure
00:34:46mentale, n'ont pas...
00:34:48C'est comme les gens qui
00:34:50fermaient leur gueule face à l'église
00:34:52du Moyen-Âge. Il y a beaucoup de scientifiques
00:34:54au Moyen-Âge qui ne voulaient pas rentrer à certaines
00:34:56questions parce que ça dérangeait le pouvoir. Il y a des gens
00:34:58qui n'ont pas la fille pour être scientifique.
00:35:00Être scientifique, c'est comme être journaliste.
00:35:02C'est le poil à gratter du prédécesseur.
00:35:04C'est de dire, moi,
00:35:06j'ai compris ce qu'Einstein n'a pas compris.
00:35:08Alors, soit on me démolit parce que je suis con,
00:35:10soit je gagne et on dit, oh,
00:35:12on a une nouvelle théorie de la relativité.
00:35:14Vous comprenez ? Donc, la science
00:35:16vous met en danger, comme le
00:35:18journalisme, mais c'est un danger intellectuel.
00:35:20C'est la réflexion
00:35:22vers les pères qui veut dire, oui, mais t'as
00:35:24tort. Et les gens n'aiment pas avoir tort.
00:35:26Et c'est leur ego et leur
00:35:28self-esteem qui est blessé parce que
00:35:30ils ont peut-être pas raison
00:35:32tout le temps. Et donc,
00:35:34elle voulait, je crois que cette dame voulait,
00:35:36elle croyait qu'aider
00:35:38les ministres à sortir de la
00:35:40crise allait être quelque chose de bien.
00:35:42Mais il faut savoir un problème. A partir
00:35:44du moment où ils mentent sur la mortalité dès le premier
00:35:46jour, il faut une politique
00:35:48justement de lockdown, zéro
00:35:50Covid, qui est inutile. Il faudra qu'on
00:35:52en parle parce que c'est d'une zone hausse.
00:35:54Et qu'ils tuent la chloroquine
00:35:56et d'autres traitements pour pousser au tout-vaccin.
00:35:58Aller dire on va aider les politiciens,
00:36:00ça devient du suicide. Et je crois
00:36:02que ces gens,
00:36:04je dis pas qu'ils sont...
00:36:06Il y a des corrompus dans l'UNIF,
00:36:08mais les gens de Covid rationnel n'étaient pas corrompus.
00:36:10Ils étaient juste bêtes.
00:36:12OK. Mais justement, alors si Christine
00:36:14Dupont n'arrive pas à reconnaître
00:36:16la mortalité liée au vaccin,
00:36:18est-ce qu'elle serait d'accord
00:36:20qu'on fasse, qu'on demande au gouvernement
00:36:22de lier mortalité et statut
00:36:24vaccinal ?
00:36:26Oui, et nombre de doses.
00:36:28Les Anglais l'ont fait.
00:36:30Les Anglais l'ont fait. Et ça donne quoi ?
00:36:32Pendant deux ans, Public Health England
00:36:34publierait des rapports tous les
00:36:36quinze jours. Il y en a plus
00:36:38d'une soixantaine. Je les lisais et je les résumais.
00:36:40On en a mis quelques-uns en ligne avec toi.
00:36:42Et c'est marrant, au fur et à mesure qu'Omicron
00:36:44arrive et qu'on continue à vacciner,
00:36:46d'abord, le vaccin n'a pas d'effet sur la mortalité
00:36:48et sur la morbidité,
00:36:50une fois décembre 2021,
00:36:52janvier 2022. Quand on regarde les données
00:36:54sur Alpha, sur Delta
00:36:56et sur Omicron, qu'il y a
00:36:58quelques cas parce qu'Omicron est monté en puissance
00:37:00et n'est arrivé à être statistiquement pertinent
00:37:02qu'en avril-mai
00:37:042022.
00:37:06Mais
00:37:08sur le début de l'année 2022,
00:37:10on a principalement les
00:37:12rélicats d'Alpha et Delta.
00:37:14Et on voit que la mortalité ne diminue pas.
00:37:16Au fur et à mesure
00:37:18que le nombre de vaccinés augmente en
00:37:20Angleterre, on ne voit aucun moment
00:37:22les infections diminuent, mais la
00:37:24mortalité, les soins intensifs
00:37:26et les consultations
00:37:28pour ce qu'on appelle faussement
00:37:30Covid ne diminuent pas. Donc il n'y a aucun effet
00:37:32positif du vaccin. Non seulement
00:37:34il n'empêche pas les transmissions, mais il n'a jamais empêché de mourir.
00:37:36Bon, on va au paradis,
00:37:38à l'entrée des fournisseurs
00:37:40avec ce produit. Mais voilà.
00:37:42Mais en plus, dès qu'Omicron arrive
00:37:44et qu'on continue de donner le vaccin en Angleterre
00:37:46avec les boosters, etc.,
00:37:48on voit qu'il y a une casse qui augmente.
00:37:50Et on arrive à la fin
00:37:52de l'année 2023, début
00:37:542024, à avoir
00:37:56sur... Bon, il y a moins de cas, évidemment.
00:37:58On a plus des dizaines de milliers de personnes par mois qui sont
00:38:00infectées. On a peut-être
00:38:021 000 personnes, 1 500 personnes.
00:38:04Mais 90 % des gens qui sont
00:38:06infectés ou qui vont en soins intensifs
00:38:08ou qui parfois décèdent,
00:38:1090 % des gens sont
00:38:12aux doses 4.
00:38:14Et quand on diminue, on regarde
00:38:16les doses, la statique diminue. Donc, on a
00:38:18une corrélation directe entre
00:38:20nombre d'injections de vaccins
00:38:22ARN anti-Covid et
00:38:24mortalité, morbidité, jour d'hospitalisation
00:38:26et séjour en soins intensifs.
00:38:28Et qu'au début, par exemple,
00:38:30à deux doses, c'est 50-50. À trois doses,
00:38:32c'est 80-20.
00:38:34Et à quatre doses, c'est 90.
00:38:36Et après, maintenant,
00:38:38ils ne font plus parce que ça emmerde, ça, évidemment.
00:38:40Donc, ces statistiques ont été publiées en Angleterre.
00:38:42Oui. Alors,
00:38:44dans son domaine public, je les ai mises en ligne.
00:38:46Mais Silence médiatique,
00:38:48dans les autres pays... Oui, je les ai mises en ligne, même.
00:38:50Et alors, je me suis fait attaquer en disant
00:38:52« Tu ne sais pas compter ». J'étais que
00:38:54directeur de l'épidémiologie pour le gouvernement. Si je ne savais pas compter,
00:38:56on n'aurait pas attendu 2022
00:38:58pour me lancer à la gueule. Je crois qu'il y a des ministres
00:39:00qui m'auraient viré à coup de pompe dans le cul à partir
00:39:02de 1997. Quoi, Martin ? Tu ne savais
00:39:04pas que 2 plus 2 est égal à 5 ?
00:39:06Non, non, je sais. Mais ça,
00:39:08c'est la nouvelle mathématique moderne.
00:39:10C'est la mathématique
00:39:12orwellienne.
00:39:14Donc,
00:39:16quand quelqu'un me dit
00:39:18« Mais qu'est-ce que tu parles des faits secondaires des vaccins ?
00:39:20Tu es complètement complotiste.
00:39:22Tu es anti-vax.
00:39:24Les vaccins ont fait peut-être
00:39:26quelques cas, j'ai envie de dire, mais même quelques cas,
00:39:28c'est grave.
00:39:30Et en plus, chez les jeunes. Mais qu'est-ce que
00:39:32tu les réponds ?
00:39:34Est-ce que ça ne sert à rien ? Est-ce qu'il
00:39:36faut quand même
00:39:38espérer... Ou bien,
00:39:40ceux qui n'ont pas compris aujourd'hui, c'est trop tard ?
00:39:42Je ne sais pas.
00:39:44C'est beaucoup de questions en une,
00:39:46Alexandre. Mais je vais...
00:39:48C'est bien de passer maintenant aux vaccins. Donc,
00:39:50premier truc, Covid n'est pas fini pour plein
00:39:52de raisons. Parce qu'il y a toujours le push du gouvernement,
00:39:54il y a toujours ce déni majeur et il y a
00:39:567 millions de morts directes. Un jour, il faudra bien
00:39:58mettre ces gens devant la responsabilité. Au moins 7 millions.
00:40:00Parce que, je le répète, je le répète, le petit moustachu
00:40:02a fait moins.
00:40:04Donc, si on me dit en 1945 « Oh, ça va,
00:40:06il n'y a pas des nazifiés.
00:40:08Soyez cohérents. » Ici, il faut
00:40:10décovidiser.
00:40:12Ça ne va pas être facile.
00:40:14Donc, en gros,
00:40:16pour les vaccins. Déjà,
00:40:18au début
00:40:202020,
00:40:22moi, je suis au courant de ces technologies.
00:40:24Je n'ai jamais fait de vaccins moi-même,
00:40:26mais comme je disais parfois en ligne,
00:40:28j'en ai fait des PCR, j'en ai
00:40:30fait des designs de sondes ARN,
00:40:32des sondes pour aller à la pêche
00:40:34avec des PCR, ou des sondes ARN
00:40:36pour inhiber. Vous savez, l'ARN
00:40:38peut servir aussi d'interrupteur pour bloquer
00:40:40les fonctionnements des jeunes vivos.
00:40:42J'ai dessiné mes sondes moi-même à la main
00:40:44avec mes étudiants au lieu de faire par programme
00:40:46parce qu'il y a des petits problèmes
00:40:48dans les sondes. Une base n'est pas
00:40:50l'autre en fonction des espèces. On appelle
00:40:52ça le billet des codons.
00:40:54Et ça, ce n'était pas encore à l'époque standard
00:40:56dans les machines. Donc, on a une
00:40:58compréhension en profondeur
00:41:00de comment dessiner une sonde
00:41:02génique avec 12 bases.
00:41:04Il y a de l'intelligence là-dedans.
00:41:06Et ce n'est pas uniquement la séquence.
00:41:08Parfois, on a un choix entre deux
00:41:10bases pour le même acide aminé
00:41:12et on peut choisir en fonction du système
00:41:14d'expression auquel on prend.
00:41:16Donc, maintenant, tout ça est électronique
00:41:18mais à l'époque, il ne fallait pas
00:41:20faire beaucoup comme à la main.
00:41:22C'est-à-dire que maintenant, c'est plus facile
00:41:24de... Oui, c'est plus facile
00:41:26de faire des choses parce qu'on n'a pas à comprendre.
00:41:28Beaucoup de gens à qui on explique, même des
00:41:30biologistes, le codon bias, c'est quoi ça ?
00:41:32Il y a des milliers de papiers là-dessus
00:41:34mais ils n'ont jamais compris parce qu'ils ont pris
00:41:36sur la touche F1 de l'ordinateur,
00:41:38F1, F2 ou F3, et ils ont leur séquence
00:41:40qu'ils mettent en
00:41:42bond de commande pour EurogenTech
00:41:44et avoir les sondes le lendemain.
00:41:46Donc, il y a beaucoup de gens qui deviennent des
00:41:48laborantins en ayant un PhD.
00:41:50Il y a des gens qui ont leur PhD, leur doctorat,
00:41:52je veux dire, en ayant réfléchi
00:41:54pendant des années et lu 10 000 papiers ou
00:41:565 000 papiers scientifiques et travaillé tous les jours
00:41:58en labo. Il y a des gens qui ont leur doctorat
00:42:00dans la machine en ne comprenant pas
00:42:02grand-chose. Mais pour venir au vaccin, donc, dès le début,
00:42:06pourquoi a-t-on choisi Spike ?
00:42:08Ça a choqué beaucoup de gens. Il y avait un débat à la littérature
00:42:10en disant, mais on prend une toxine, oui,
00:42:12elle est aussi le récepteur, elle ancre
00:42:14le virus à la membrane. Mais il y avait d'autres protéines
00:42:16qui faisaient ça. Pourquoi prenons
00:42:18une protéine toxique ?
00:42:20OK, passons là-dessus. Il y avait de meilleurs antigènes
00:42:22parce qu'on savait que c'était la protéine qui
00:42:24allait le plus muter. Et ça a été
00:42:26démontré. On a eu, les
00:42:282018 mois, on a eu à peu près 20 000 mutations
00:42:30ponctuelles uniquement dans
00:42:32les gènes de Spike. 20 000.
00:42:34Chaque mutation ne donne pas
00:42:36un variant. Ces mutations
00:42:38donnaient en moyenne 30
00:42:40variants cliniquement pertinents par an.
00:42:42Les variants à qui l'on donne des
00:42:44noms, Alpha, Delta, Gamma,
00:42:46Xylone, Mu, Omicron. Mais
00:42:48en dessous de ça, il y a 20 000
00:42:50mutations ponctuelles. Là,
00:42:52il y a un truc que je voudrais que le peuple belge
00:42:54et le peuple mondial comprennent.
00:42:56Les gens disent, mais
00:42:58ce n'est pas important ces mutations.
00:43:00Un virus qui mute fort est
00:43:02un virus contre lequel un vaccin est impossible.
00:43:04Ça, c'est un concept de base.
00:43:06C'est pour ça que le vaccin contre la grippe, on
00:43:08doit le faire deux fois par an. C'est pour ça
00:43:10que le vaccin contre le rhume n'existe pas. C'est un virus
00:43:12du rhume. Les vaccins sont impossibles
00:43:14parce qu'on sait qu'ils mutent. Les sept
00:43:16familles de virus du rhume mutent
00:43:18facilement et ne sont pas dangereux pour nous, en fait.
00:43:20Donc, en gros, on a ce virus
00:43:22qui mute. Et donnons un sens de perspective.
00:43:24La grippe, tout le monde
00:43:26admet sur Terre que la grippe mute
00:43:28vite. La grippe H1N1,
00:43:30on a les échantillons
00:43:32du siècle passé depuis 1918,
00:43:34la fameuse pandémie de grippe
00:43:36espagnole à la fin du
00:43:38premier conflit mondial. Donc, il y a des gens
00:43:40qui ont été voir ces échantillons, qui ont fait
00:43:42des PCR pour voir les mutations
00:43:44parce que les échantillons, à l'époque, on n'avait
00:43:46pas de PCR. On faisait ça sur base de sérologie.
00:43:48Donc, c'est des tests sanguins différents. Mais
00:43:50on a toujours les échantillons. On garde ça
00:43:52dans les friseurs. On a l'archéologie
00:43:54et la biologie. Ils ont vu
00:43:56que le virus H1N1, et c'est publié,
00:43:58a accumulé, entre
00:44:001918 et 2018,
00:44:021 500 mutations ponctuelles.
00:44:04Donc, le virus que tout
00:44:06le monde sait, reconnaît sur Terre, sans
00:44:08l'ombre d'un doute, être un mutant
00:44:10terrible. Et c'est pour ça
00:44:12que le vaccin ne marche pas.
00:44:141 500 mutations sur un siècle.
00:44:16Un siècle.
00:44:18COVID,
00:44:20SARS 2, pour le nommer convenablement,
00:44:2220 000 mutations en
00:44:24un an et demi.
00:44:26Les arrondissements en 10 000 par an.
00:44:28Donc, on a un facteur.
00:44:30Faisons 15 000.
00:44:32Si on a 1 500 versus
00:44:3415 000, on a un différentiel
00:44:36de 100 fois.
00:44:38Parce qu'un est en un siècle
00:44:40et l'autre est en un an.
00:44:42Donc, le virus SARS,
00:44:44les SARS ont muté 100 fois plus vite que
00:44:46le virus de la grippe.
00:44:48Alors, les gens disent, oui, mais on comprend, la grippe,
00:44:50ça mute, c'est pour ça que le vaccin ne marche pas.
00:44:52Et SARS, on va croire que le vaccin marche ?
00:44:54À un moment où la logique des gens
00:44:56m'échappe. Ça, c'est le premier élément pour dire
00:44:58que le vaccin ne pouvait pas fonctionner.
00:45:00Tu veux dire qu'à peine
00:45:02le vaccin fait,
00:45:04le virus a déjà muté, quoi.
00:45:06En gros, c'est ça. Mais oui, on est toujours en retard.
00:45:08Pas d'un variant, on est en retard de 50 variants.
00:45:10Il faudrait aussi parler comment
00:45:12il était fait.
00:45:14Alors, maintenant, ça, c'est un premier
00:45:16argument. Donc, mauvais choix d'antigène,
00:45:18virus hypermutateur.
00:45:20Donc, ça ne pouvait pas
00:45:22vraiment marcher. On aurait pu, en plus,
00:45:24on aurait pu avoir des effets si on avait
00:45:26fait un vaccin nasal. Parce que
00:45:28le virus doit rentrer, c'est un virus aérogène,
00:45:30il doit rentrer dans notre corps par les voies respiratoires
00:45:32et poumons. Il y a un type d'anticorps
00:45:34spécial qui vient aux voies respiratoires et poumons,
00:45:36on s'appelle des IGA, des IGA de sécrétion.
00:45:38C'est des anticorps qui viennent
00:45:40à la surface dans nos fluides et qui
00:45:42capturent tous les germes et font que le
00:45:44système immunitaire les détruit
00:45:46ou s'immunise contre. Ça, c'est
00:45:48le système des IGA sécrétoires.
00:45:50Si on attend de vacciner
00:45:52qu'un virus est dans le sang, c'est trop tard.
00:45:54Donc, la seule stratégie
00:45:56viable pour un vaccin aurait été un vaccin
00:45:58de type IGA, c'est-à-dire oral
00:46:00comme le sabin ou nasal, pour faire
00:46:02qu'on ait une ligne de défense à l'entrée.
00:46:04On n'a pas fait ça. Les Cubains l'ont fait.
00:46:06Personne n'a parlé du vaccin cubain.
00:46:08Il existe.
00:46:10Il fonctionnait.
00:46:12Un peu, parce que
00:46:14vacciner contre un virus du rhume, on n'est toujours
00:46:16jamais à l'abri d'un échappement.
00:46:18Donc, en gros, voilà. Un deuxième élément
00:46:20que j'avais expliqué au groupe
00:46:22COVID rationnel et avec deux ou trois
00:46:24interviews, dont une chez Kéros, une
00:46:26chez Bam, deux chez François,
00:46:28c'est que cette technologie,
00:46:30la technologie ARN,
00:46:32a cinq problèmes majeurs et
00:46:34tous les effets secondaires. D'abord,
00:46:36le médicament,
00:46:38ce n'est pas l'ARN.
00:46:40Le médicament, c'est ce que l'ARN fait
00:46:42fabriquer par notre cellule. Dans un vaccin
00:46:44normal,
00:46:46on donne un antigène, on donne un virus
00:46:48avec une certaine quantité. On en donne
00:46:50trop, ce n'est pas bon, on n'en donne pas assez, ça ne marche pas.
00:46:52On a une quantité constante.
00:46:54Ici, avec la technologie ARN,
00:46:56on injecte le message en quantité
00:46:58constante, mais on n'a aucun lien
00:47:00entre la quantité d'ARN injectée et la production,
00:47:02parce qu'on n'a pas calibré
00:47:04ces méthodes et elles ne sont pas calibrables.
00:47:06Donc, on ne connaît pas
00:47:08la posologie du produit.
00:47:10Comme je l'ai expliqué, il y a des gens qui n'ont
00:47:12aucun effet secondaire, mais ils n'ont aucun effet.
00:47:14Ça a été mesuré deux ans après.
00:47:16Des gens ont fait les calibrations, ce n'est pas facile à faire.
00:47:18Ils ont mesuré, il y a trois, quatre, cinq papiers
00:47:20là-dessus maintenant. Il y a des gens,
00:47:22pour une même dose d'ARN, qui ont zéro production
00:47:24de spike vaccinal.
00:47:26Ils ne peuvent pas avoir d'effet, mais ils n'ont pas d'effet secondaire,
00:47:28ces gens. Le vaccin marche.
00:47:30Moi, je n'ai rien. Le virus ne tue pas.
00:47:32Comme le virus ne tue pas, je n'ai rien.
00:47:34Il y a des gens chez qui
00:47:36ça a fonctionné parfaitement.
00:47:38Ils ont juste la bonne dose, c'est du hasard.
00:47:40Et il y a eu un début d'immunité qui a vite été
00:47:42balayé par le fait que le virus mute.
00:47:44Mais donc, on peut dire de manière valable,
00:47:46scientifiquement et raisonnable,
00:47:48que la technologie, pour un certain pourcentage
00:47:50des gens, a fonctionné comme elle devait.
00:47:52Il y a des gens qui ont trop produit de spike.
00:47:54Alors, quand ils produisent
00:47:56trop de spike, on a eu les effets secondaires immédiats.
00:47:58Il y a eu des gens qui ont eu
00:48:00des paralysies faciales afrigorées,
00:48:02les Ramsey Hunt.
00:48:06Il y a eu plein de gens qui ont eu des grosses langues.
00:48:08Il y a eu des gens qui ont eu des problèmes immédiats.
00:48:10Il y a eu des gens qui ont eu des réactions allergiques.
00:48:12Il y a eu, en gros, une casse
00:48:14estimée à plusieurs pourcents de mort
00:48:16subite même. Mais ça, je reviens
00:48:18dans une minute. Mais il y a eu plein d'effets secondaires
00:48:20post-injection. Ça, c'est des gens
00:48:22qui en sont sortis. Il y a des gens
00:48:24qui ont toujours leur paralysie de belles,
00:48:26quatre ans après, mais ils disent que ce n'est pas le vaccin.
00:48:28Ils l'ont eu dans les dix minutes après le vaccin,
00:48:30donc après ça,
00:48:32il y a eu des gens chez qui, non seulement,
00:48:34il y a eu trop de Spike produites,
00:48:36mais il y en avait tellement et elle a été
00:48:38tellement dans le corps qu'il y a des toxémies majeures
00:48:40et ça devient une toxicité chimique
00:48:42par hyperproduction d'une protéine qui est une toxine,
00:48:44comme je le rappelle. Donc, ces gens-là
00:48:46ont eu des grands problèmes de santé
00:48:48parce que Spike
00:48:50peut passer à barrière hémato-encéphalique.
00:48:52Ils ont des problèmes
00:48:54principalement neurologiques,
00:48:56mais ils ont aussi des problèmes de mort subite parce que
00:48:58je vais vous expliquer ça après
00:49:00avec le cœur. Et donc,
00:49:02qu'est-ce qu'ils ont fait pour cacher ça ? Parce que
00:49:04si on regarde les études de Pfizer, qu'ils ont soumis
00:49:06à l'FDA et à l'EMA, ils ont
00:49:08retiré de la cohorte, ils avaient deux cohortes
00:49:10de 17 600 quelques personnes.
00:49:12Une cohorte vaccinée, une cohorte non vaccinée.
00:49:14Ils n'ont même pas fait une randomisation correcte.
00:49:16Donc, ils ne pouvaient pas mesurer quoi que ce soit,
00:49:18mais ils ont fait vite, soi-disant, passer une crise.
00:49:20Mais dans la cohorte des vaccinés,
00:49:22ils ont vu qu'un peu
00:49:24moins de 400 personnes ont développé
00:49:26la COVID après le vaccin.
00:49:28Qu'est-ce qu'ils ont fait ?
00:49:30Comme il faut trois semaines pour avoir des anticorps,
00:49:32on doit les ressortir de la cohorte.
00:49:36400 sur
00:49:3816 000 ou 400 sur 17 000,
00:49:40c'est 1 34e.
00:49:42Ça veut dire
00:49:44que c'est plus d'un pour cent.
00:49:46C'est à peu près le pourcentage de mort
00:49:48subite qu'on a eu
00:49:50en post-vaccin. Mais comme ils ont fait, on ne peut pas
00:49:52considérer ces gens vaccinés parce qu'en même temps,
00:49:54comme je l'ai dit, pour être fully vacciné,
00:49:56il faut attendre trois semaines avant de les considérer
00:49:58comme vaccinés, ces gens.
00:50:00Et donc, ils ont menti à la planète
00:50:02en faisant passer
00:50:04sur une mortalité COVID,
00:50:06une mortalité, une morbidité énorme
00:50:08des vaccins sur les trois premières semaines.
00:50:10Ce mensonge, il est
00:50:12évidencé, il est dans les textes OMS,
00:50:14il est dans les papiers.
00:50:16On a considéré qu'on vaccinait les gens qui étaient vaccinés
00:50:18de plus de trois semaines.
00:50:20Dans tous les papiers qui ont montré l'efficacité de vaccins,
00:50:22c'était toujours comme ça pendant un an.
00:50:24Je ne me suis
00:50:26pas disputé, mais j'ai eu des conversations très
00:50:28solides avec des gens
00:50:30qui étaient dans le groupe d'occupationnels
00:50:32qui prétendaient connaître les mathématiques
00:50:34en disant, mais Martin, tu dois reconnaître qu'il y a un effet.
00:50:36Je dis, mais tu vois très bien
00:50:38qu'ils jouent sur les classes.
00:50:40Et alors, on diminue
00:50:42la mortalité et la morbidité immédiate du vaccin
00:50:44en considérant
00:50:46comme non vaccinés des gens qui sont vaccinés
00:50:48mais de moins de trois semaines.
00:50:50On augmente la casse
00:50:52chez les non vaccinés. Et c'est pour ça qu'à ce moment-là,
00:50:54les milices disent, on a une épidémie de non vaccinés.
00:50:56C'est de la couille.
00:50:58Ça a été, encore une fois, un trucage statistique
00:51:00poussé par l'OMS. Les gens vont
00:51:02dire, mais il est fou. Non, tout ça est
00:51:04tracé. Et dans
00:51:06Public Health England les données, ils allaient
00:51:08jusqu'à 28 jours. C'était marrant.
00:51:10Certains mois, ils considéraient 14
00:51:12et d'autres mois, ils considéraient 28 jours.
00:51:14Donc, en plus, ils sentaient qu'il y avait un
00:51:16problème, même là,
00:51:18alors que Public Health England a donné des bonnes statistiques.
00:51:20Mais voilà,
00:51:22ScienceSano a parfois révisé
00:51:24des tableaux. Le groupe COVID-Rational a dû
00:51:26corriger ScienceSano en disant, c'est marrant.
00:51:28La semaine passée, ils disent ça. Maintenant, la courbe est
00:51:30différente. On a été sur leur dos.
00:51:32Donc, je ne dis pas que COVID-Rational l'a fait
00:51:34avec du mauvais. Je dis qu'ils ont été lâches.
00:51:36Mais il y a eu beaucoup de boulot fait par ces gens.
00:51:38Donc, en gros, on a eu des
00:51:40fausses statistiques et c'est le
00:51:42premier problème des vaccins. Il n'y a pas de
00:51:44posologie. Quand un produit n'a pas de posologie,
00:51:46je mets la dose par 3, pour les gosses, c'est de la couille
00:51:48encore une fois parce qu'on ne sait pas.
00:51:50Au contraire, l'enfant
00:51:52va produire plus que l'adulte
00:51:54parce qu'il a un métabolisme plus grand. Quels sont
00:51:56les facteurs qui influencent la quantité de protéines produites
00:51:58par unité de masse et de volume pour une quantité
00:52:00d'ARN donnée?
00:52:02C'est le métabolisme, le cycle cellulaire,
00:52:04votre âge,
00:52:06votre anatomie locale parce que
00:52:08si on l'injecte dans un muscle, vous avez peu de muscles,
00:52:10peu de mains musculaires. Vous allez avoir moins de production.
00:52:12Tout ça est dans les bouquins. Il n'y a
00:52:14une publication revue par les pairs pour savoir que le métabolisme est essentiel
00:52:19à la synthèse des protéines. Tous les biologistes non moléculaires le savent,
00:52:23tous les biologistes moléculaires du pays le savent, s'il vous plaît venez me
00:52:27casser la gueule en public, dire que je suis con ou bien venez m'aider parce que
00:52:30la farce a assez duré quoi. Donc un produit n'a pas de posologie et il a été
00:52:35mis sur le marché alors qu'un des répits légaux pour la définition même du
00:52:39produit médical c'est d'avoir une posologie standardisée et reproductible.
00:52:43Alors ils vont dire mais c'est comme ça dans les vaccins anciens. Non, les anciens
00:52:47vaccins qui sont en virus vivants, ténués ou split vaccine en protéines pures, on
00:52:51donne un certain nanogrammage, on donne un certain poids, on a une posologie
00:52:55reproductible. Ici on n'a rien, on a un message. Et ça a donné des effets secondaires comme je disais.
00:53:00Tu vas continuer sur les arguments contre la RN messager mais on parle
00:53:04parfois de lots différents, qu'est ce que tu penses de ça ?
00:53:07Ça c'est le problème numéro 3. Il y en a 5. Je vais y venir parce qu'il y a
00:53:13beaucoup à dire là dessus aussi mais on va être courts. Le problème numéro 2 à côté de la
00:53:16posologie c'est que pour que ça marche la RN doit entrer dans une cellule et doit
00:53:21être fabriquée par une cellule et puis mise à la surface. Et puis la cellule est
00:53:24détruite et puis le système immunitaire reconnaît les choses et s'immunise.
00:53:27C'est pas n'importe quelle cellule qui peut faire ça. Il y a des cellules qui
00:53:33sont faites pour présenter les antigènes au système immunitaire, d'ailleurs la
00:53:37infosite TUB, c'est des cellules qui sont des APC, Antigen Presenting Cells.
00:53:43Goldman l'a reconnu lors de sa fameuse session à aller au château du lac
00:53:49à Genneval parce que certains de mes collègues ont posé la question. Il a dit oui ça
00:53:52marche quand même. Mais il a reconnu que c'est pas des cellules dendritiques. Les
00:53:57macrophages des cellules dendritiques sont professionnellement certifiés par le
00:54:01système immunitaire pour présenter des choses. Pourquoi c'est elle et pas
00:54:04n'importe quelle ? Parce qu'elles ont deux rôles. Un macrophage qui engloutit un
00:54:09germe et qui le détruit en miettes et qui remet des antigènes à la surface
00:54:12pour prévenir le reste des globules blancs. Et voilà ce que j'ai trouvé, là ce que
00:54:15j'ai détruit. Cherchez ça. Un avis de recherche pour la police des lymphocytes.
00:54:19OK. Les cellules dendritiques font la même chose mais elles n'avalent pas. Elles font
00:54:24l'antigène processing différemment au niveau des ganglions lymphatiques.
00:54:26Qu'est-ce que font ces cellules ? Elles ont deux fonctions.
00:54:29Elles donnent au système immunitaire, donc les lymphocytes qui sont naïfs ou qui
00:54:34ont déjà été immunisés, les lymphocytes de mémoire, mais en première
00:54:38réaction c'est des lymphocytes naïfs qui ont peut-être un peu d'affinité.
00:54:41Il faut attaquer ça. Il faut attaquer ça. Mais s'il vous plaît, protégez-nous.
00:54:44Parce qu'ils donnent le contexte de notre propre immunité. Parce qu'il ne faut pas
00:54:50qu'on s'attaque soi-même. En fait c'est des cellules, c'est comme
00:54:55l'uniforme de la police. On reconnaît le flic parce qu'il a un uniforme, on ne le
00:54:58tire pas dessus. C'est ce que la cellule dendritique fait. Elle dit qu'il faut attaquer
00:55:01l'intrus, mais il ne faut pas attaquer ces déterminants qui sont les bonnes
00:55:05cellules. Et c'est pour ça qu'on n'a pas d'auto-immunité.
00:55:09J'ai dit le mot-clé. Quand on ne fait pas ça et qu'on croit qu'un muscle
00:55:14peut être cellule immunitaire et présenter des antigènes à la surface des
00:55:18lymphocytes, etc., ou même être attaqué, détruit, et puis les antigènes sont
00:55:22présentés secondairement par des dendritiques, ça ne peut pas marcher.
00:55:25Parce que le muscle n'a pas cette qualité de dire attaquer l'intrus et
00:55:29protéger nous. Il dit attaquer l'intrus, mais l'intrus c'est une fois qu'il y a le
00:55:35gène viral, la protéine virale à la surface qui se colle à une de mes protéines,
00:55:38il y a ce qu'on appelle le self-modifié et mes propres protéines, mes propres
00:55:43cellules deviennent cibles pour mon propre système immunitaire.
00:55:46J'invente rien, ça n'est pas publié. C'est une maladie auto-immune
00:55:51ou une attaque auto-immune. C'est des données qui datent d'il y a 45-50 ans.
00:55:55C'est à la base la pathophysiologie du diabète de type 1 chez l'enfant.
00:55:59J'ai appris ça quand j'étais étudiant, je l'ai enseigné en physiologie à des
00:56:04étudiants. Pour être clair, d'où les
00:56:08cancers, les problèmes ? Non, ça c'est l'effet 5. Il ne faut pas tout mélanger.
00:56:13L'effet 2, c'est qu'en n'ayant pas le bon
00:56:19ciblage cellulaire, on crée des phénomènes auto-humains parce que le
00:56:24muscle ou toutes les cellules où l'ARN rentre n'a pas pour fonction d'être une
00:56:28cellule immunitaire et donc stimule l'immunité contre soi.
00:56:31On crée des symptômes et des maladies auto-immunes.
00:56:35Oui, et ça veut dire que cette immunité dirigée contre mes muscles, elle est liée au
00:56:41manque de... à la mauvaise biodistribution de Spike.
00:56:45Et ça veut dire que si elle est distribuée dans la mauvaise cellule, on a
00:56:50des vasculites, des vascularites, des artérites, parce que les artères ont des
00:56:55muscles. Alors, on a des phacéites, on a des
00:56:59tendinites. Bon, ça c'est pas grave. On a des maladies de systèmes parce qu'il y a
00:57:04des cellules musculaires. L'actomyosine se trouve aussi dans certains
00:57:08autres types de cellules comme les fibroblastes. Donc, on peut avoir des maladies sur des
00:57:11cellules qui ne sont pas priori musculaires mais qui ont les bons
00:57:14antigènes. Et tant pis, bah, ils prennent ça aussi. Et on a aussi évidemment les
00:57:19myocardites. Le cœur est un muscle. Et donc, quand on a une myocardite, le
00:57:24cœur est un instrument délicat parce que le premier symptôme d'arthrème
00:57:27cardiaque, ça peut être la mort subite. Ça vient comme ça. C'est un trouble du
00:57:31rythme. Le cœur s'arrête en fibrillation et puis on tombe. Et au plus, on est
00:57:36sportif, au plus, ça a des chances de se passer. Qu'est-ce qu'on a vu ? On a vu des
00:57:39sportifs, qu'ils soient amateurs, professionnels ou à la télé, tomberaient de mort.
00:57:46On a vu ces gens à la radio, à la télé, qui parlaient, qui tombaient.
00:57:49Martin, c'est parce qu'on en parle plus. Il y a toujours eu des morts dans le sport,
00:57:53non ? C'est ce qu'on répond. Oui, mais pas 75 fois plus en un an. 75 fois plus.
00:57:58Il y a toujours eu des morts dans le sport.
00:58:02Simpson, c'était de la drogue. Le fameux cross cycliste français qui est mort
00:58:05parce qu'il était drogué, il a eu une overdose alors qu'il gagnait le
00:58:10Tour de France. C'est un cas célèbre. C'était avant les années Merckx.
00:58:12Le type s'appelle Simpson. Et il y a toujours eu des
00:58:17basketballeurs qui tombaient parce qu'ils étaient sous quelque chose ou les
00:58:19stéroïdes. On voyait leurs muscles et puis les stéroïdes, il y a du gras qui
00:58:23vient dans le muscle. On peut avoir un muscle déficient alors qu'on a de beaux
00:58:26muscles à côté. Le muscle cardiaque peut quand même être altéré avec des
00:58:30anabolisants. Donc en gros, on a toujours eu ça. Mais tout d'un coup, on a 75 fois
00:58:34plus de sportifs de haut niveau qui décèdent en un an que les 20 ans
00:58:38précédentes. C'est beaucoup. Donc voilà, c'est un biais statistique de rapports de
00:58:43la presse qui n'a pas montré. Et les myocardites, c'est pas petit et je vais
00:58:48terminer en deux minutes sur les myocardites. Les Israéliens
00:58:52avaient vu ça un mois après le début de leur campagne de vaccination massive.
00:58:55Les Israéliens avaient vu les myocardites. Chez les hommes, les garçons, entre 30 et
00:59:00plus, je rappelle plus sur quoi ils avaient regardé en âge, c'était 1 sur
00:59:053000. Chez les femmes, c'était 1 sur 5000. C'est pas petit.
00:59:09Alors la presse libre belgique en tête nous dit c'est extrêmement rare parce
00:59:13qu'on en a eu un milliard de doses de vaccins et on n'a que quelques cas. Je
00:59:17vais expliquer quelque chose d'important pour monsieur et madame tout le monde.
00:59:20Supposez que vous ayez les cheveux bleus et la peau verte. Vous êtes un
00:59:25ethnotype qui n'existe pas sur terre mais c'est une autre espèce
00:59:29humaine et que pour vous il y a 100% de risque de mourir si vous avez l'ARN.
00:59:33Comme vous n'êtes pas fréquent sur terre, on donne des milliards de doses, on tue
00:59:39dix mille personnes. Ceux qui ont les cheveux bleus et la peau verte, ils
00:59:43disparaissent et on dit c'est pas grave parce que c'est rien. Mais pour ces gens
00:59:47c'est 0 à 100%. Donc l'argument de la statistique de base quand on prend le
00:59:52groupe mondial est un faux argument. C'est l'épidémiologie à deux balles ça.
00:59:56Quand on veut faire du boulot épidémiologique, on fait des risques ratio, des risques
01:00:00increase ou des health ratio. Ça veut dire qu'on doit faire du matching entre
01:00:03des populations. Il n'y en a pas un milliard. On peut faire deux cordes de 200-300
01:00:07personnes. Si elles sont bien matchées, on regarde quelle est l'augmentation de
01:00:10risque vaccins versus non vaccins. Et bien ça a été fait. Le CDC avait fait ça et
01:00:15publié ça. J'ai publié le tableau en ligne
01:00:18moult fois en date du 19 août 2021. On est six mois dans la campagne de
01:00:25vaccination. On est avant les boosters. On est avant l'épidémie de vaccinés, de
01:00:30non vaccinés, cher au premier ministre Plornichat. Et qu'est-ce qu'on a ? On a un
01:00:34risque increase chez les jeunes en fonction de l'âge et du sexe. Et on
01:00:39compare. Cette étude est parfaite. Elle est bien comparée. Elle fait le matching
01:00:43qu'elle peut. Et on voit qu'il y a entre 1 x 4, 1 x 6, 1 x 12 ou 1 x 20 en
01:00:49fonction de l'âge et du sexe. En gros le pire c'est quand on est un homme entre 18
01:00:55et 30 ans. On a un risque augmenté de 20. Quand vous savez que des médicaments en
01:00:59général sont retirés du marché pour un risque augmenté x2. Et j'ai des cas,
01:01:03qu'on ne vient pas me dire que j'ai raconté des couilles. Le Vioxx, par exemple, a été
01:01:07retiré parce qu'il y avait un hoax rétio augmenté x2. Il faut savoir que le
01:01:11lien entre tabagisme et cancer, dont tout le monde accepte et dit c'est grave, il
01:01:16faut arrêter le tabac pour le cancer. Le hoax rétio est 1.9 à 1.7.
01:01:23Donc 1.7 et 1.9, toute la planète s'excite. 1 x 20, personne ne bouge. Cherchez l'erreur.
01:01:30Donc il y a eu des fausses statistiques diluées sur le groupe mondial. Pour moi
01:01:35j'appelle ça le théorème de Marty. Le docteur Marty est un connard en dimanché
01:01:39qui est venu sur les news en France. Et il disait mais on a vacciné 2
01:01:44milliards de gens, c'est comme si on avait des dizaines de millions d'années de recul.
01:01:48Ça ça s'appelle le théorème de Marty. Donc il faut, si on met 9 femmes, une
01:01:55grossesse dure un mois. C'est génial. Ces gens ont réinventé la science à des
01:02:01niveaux où je me sens humble. Je suis trop bête pour comprendre leur génie à ces gens.
01:02:07Voilà à quoi on était confus. Ça ce n'est que le deuxième problème.
01:02:10Une question par rapport au deuxième. On a entendu dire, est-ce que c'est une
01:02:15rumeur, que les gens qui faisaient comme ça des myocardites étaient beaucoup plus
01:02:18difficilement réanimables ? Oui ce n'est pas une rumeur, ça dépend du type de myocardite
01:02:23et de l'atteinte. Il y a deux types de myocardite parce que ça aussi c'était
01:02:26la tarte à la crème. La myocardite virale, il y a des virus qui donnent myocardite parce que
01:02:30c'est une inflammation. Une myocardite inflammatoire est transitoire, elle guérit
01:02:36bien et il y a des séquelles très rares mais parfois la plupart d'entre eux il n'y en a pas.
01:02:39Il y a des virus comme les coxsakis qui donnent fréquemment des myocardites. La grippe peut
01:02:43donner des myocardites, une hépatite peut donner une myocardite, ça c'est un peu plus grave. Mais
01:02:47on va dire les virus peuvent donner myocardite, c'est des myocardites virales, elles ne sont pas
01:02:51à vie. La myocardite auto-immune c'est une attaque contre le cœur. Le système immunitaire ne va pas
01:02:58désapprendre sauf si on fait un traitement très spécial qui va durer des années, il va toujours
01:03:03attaquer le cœur. Donc c'est une maladie chronique. C'est une maladie grave parce que ça va donner
01:03:08principalement des troubles du rythme et des troubles de qualité de la fibre avec une inflammation
01:03:13chronique du cœur. Donc on va avoir un cœur qui va se gonfler, qui va décompenser. Donc à 10 ans
01:03:18ou à 15 ans c'est pas bon. Ces gens ne pourront jamais faire du sport, même pas de haut niveau,
01:03:23faire un bon match de tennis où on se donne à fond quand on a une myocardite, oublié. Et ces gens
01:03:29sont des jeunes. Donc on a des jeunes dont on vole la vie parce qu'ils ont ça à 16-17 ans. Ils ont
01:03:37une myocardite qu'ils vont traîner et avec laquelle ils vont mourir dans le meilleur des cas. Après 60
01:03:41ans, ils n'auront pas eu de vie complète s'ils n'avaient pas pris ce vaccin, sachant qu'ils avaient
01:03:45une chance sur un million. Le risque de Covid était une chance sur un million au cas rapport
01:03:49coût-bénéfice. Et ces myocardites auto-immunes sont graves parce que si on regarde le devenir à
01:03:5310 ans, il y a un tiers des gens qui vont avoir besoin d'une greffe. Il y a un peu moins d'un
01:03:58tiers qui vont décéder. Et le reste, ça va, on sait gérer. Donc quand j'envoie des journalistes
01:04:04qui disent « oh mais les myocardites c'est pas grave, c'est transitoire », c'est criminel de
01:04:07dire ça aux gens parce que ça dépend quel type de myocardite. Et ça dépend si elle est
01:04:12inflammatoire, c'est-à-dire, on va dire, c'est pas bénin, mais je vais dire relativement bénigne,
01:04:17ou si elle est auto-immune, ça veut dire relativement maligne et dangereuse. Et on a
01:04:22fait… et c'est pas de l'incompétence à ce niveau-là parce que les gens comme moi, il y a
01:04:26plein de cardiologues, il y a des cardiologues de génie et géant qui l'ont dit. Les journalistes
01:04:30les éteignent, ils ne les écoutent pas. Je crois qu'un cardiologue qui a 40 ans de pratique,
01:04:33c'est pas mon cas, je ne suis pas cardiologue, qui vient dire « on a un problème de myocardite »,
01:04:37on ne l'écoute pas. Pourquoi ? Là, il y a un problème. Mais ça, c'est… donc la fréquence
01:04:42n'est pas petite, c'est le premier point que je vous ai dit. Et deuxièmement, on a des myocardites
01:04:47non cliniques. Il y a des papiers qui sont sortis qui montrent qu'on a des anomalies des enzymes,
01:04:51des anomalies des marqueurs cardiaques post-vaccin ARN dans 2% des cas. Ça ne veut pas dire que 2%
01:04:58des gens vont développer un myocardite, mais ça veut dire qu'il y en a une partie de ces gens,
01:05:022%, qui vont, avec le temps, devenir cliniques. Ils sont…