Retrouvez Cyril Hanouna le samedi et le dimanche dès 19h10 pour une nouvelle saison de Face à Hanouna !
Au programme : des débats sur l'actualité politique, mais aussi le retour de séquences cultes.
Au programme : des débats sur l'actualité politique, mais aussi le retour de séquences cultes.
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00:00que j'ai vu tout à l'heure, tu ne le savais pas ?
00:02Merci d'être là.
00:04Merci d'être là.
00:06Je croyais que tu accompagnais Miel.
00:08Viens ma chérie, viens.
00:10Tu te mets là ?
00:12Mets-toi à côté de Gauthier.
00:14Tu l'aimes bien ?
00:16J'aime beaucoup Valérie, moi.
00:18Vous switchez, merci.
00:20Vous switchez, merci.
00:22Tu peux rentrer chez toi, merci.
00:24Merci, c'est bon.
00:26Elle aime beaucoup Valérie.
00:28On va lui donner Valérie.
00:30Reviens, c'est bon.
00:32Merci Mylène d'être avec nous.
00:34Vous habitez où Mylène ?
00:36Je suis à Yutz.
00:38C'est à côté de Metz.
00:40Je connais très bien, j'ai sévi là-bas.
00:42J'ai beaucoup sévi sur Metz, la région, tout ça.
00:44Vous avez rayonné ?
00:46On me connaît plus nu qu'habillé là-bas.
00:52Mylène, vous êtes une de nos Français en colère.
00:54Et cette semaine, vous êtes en colère.
00:56Vous êtes en colère parce que vous avez envoyé un mail.
00:58Vous avez déposé une plainte contre l'ARCOM.
01:00Alors, qu'est-ce qui s'est passé ?
01:02Déjà, j'ai écouté votre émission.
01:04Et je me suis dit...
01:06Déjà, je ne supporte pas en temps normal qu'on me dise
01:08ce que je peux faire, ce que je peux dire,
01:10qui j'ai le droit de regarder et qui je n'ai pas le droit de regarder.
01:12En l'occurrence, je vous ai entendu dire
01:14que la chaîne allait porter plainte.
01:16Non, non, ce n'est pas la chaîne.
01:18C'est moi.
01:20Et je pensais la chaîne aussi.
01:22Autant pour moi.
01:24Ce n'est pas grave, Mimi.
01:26On est d'accord.
01:28Et donc, je me suis dit, s'ils portent plainte,
01:30moi, en tant que citoyenne, est-ce que je peux aussi le faire ?
01:32Donc, j'ai la grande chance
01:34d'avoir une amie avocate.
01:36Marie-Luce Collata-Mercier.
01:38C'est intéressant. Qu'est-ce qu'elle vous a dit, Marie-Luce ?
01:40Justement, je l'appelle après votre émission.
01:42Et je lui dis,
01:44écoute, est-ce qu'en tant que citoyenne,
01:46j'ai le droit de porter plainte contre l'ARCOM ?
01:48Elle me fait, qu'est-ce qu'ils t'ont fait ?
01:50Je dis, ils m'empêchent, en fait,
01:52de penser par moi-même.
01:54On m'oblige à faire
01:56ce qu'eux, ils veulent.
01:58Et en l'occurrence, je parle de votre émission,
02:00et elle me dit, écoute, je porte plainte
02:02pour toi, il n'y a aucun souci.
02:04Alors, je dis, wow, combien ça va me coûter ?
02:06Elle me dit, gratos, parce que
02:08voilà,
02:10je pense la même chose que toi.
02:12Il est hors de question
02:14qu'on nous oblige
02:16de ne pas... Alors, qu'on ne vous aime pas,
02:18qu'on n'aime pas l'émission,
02:20qu'on passe... Il y a plein de chaînes sur la télé,
02:22il y a plein de monde. Alors, regardez,
02:24ne regardez pas Cyril Hanouna
02:26si vous ne l'aimez pas. En revanche...
02:28Avec l'ARCOM, ils ne regardent que nous, apparemment, ils m'aiment.
02:30Et je me dis,
02:32ces gens-là,
02:34pour moi, c'est politique.
02:36Mais c'est que mon avis, bien évidemment.
02:38Ça n'engage que moi. C'est que politique.
02:40Je me suis dit aussi
02:42que c'est un réel harcèlement
02:44psychologique, parce que
02:46quand on aime une émission,
02:48notamment, j'adore la vôtre,
02:50et je me dis, comment
02:52on peut s'en prendre à une personne ?
02:54Est-ce que ces gens-là, à un certain moment,
02:56ils ont une conscience ?
02:58C'est-à-dire, comment on peut
03:00qu'une poignée de personnes
03:02vont décider
03:04que plein de gens,
03:06des millions de gens, parce qu'ils
03:08n'aiment pas Cyril Hanouna,
03:10vont nous empêcher à nous...
03:12Et au-delà de ça, Mylène, il n'y a pas que moi sur la chaîne.
03:14C'est ça, l'histoire. C'est que j'ai oublié un truc.
03:16C'est qu'il n'y a pas que moi sur la chaîne.
03:18On va faire tomber 400 autres.
03:20Rejoignez Mylène, faites un collectif,
03:22et faites comme elle, soyez des milliers à le faire.
03:24C'est la seule manière
03:26d'influer sur des décisions prises à l'avance.
03:28En fait,
03:30justement, à partir de lundi,
03:32la plainte est déposée depuis vendredi,
03:34à partir de lundi, il y aura une pétition en ligne
03:36pour toutes les personnes qui ne peuvent pas
03:38prendre un avocat
03:40ou quoi que ce soit,
03:42et je veux que cette pétition soit signée
03:44par le plus grand nombre de personnes.
03:46Moi, je pense qu'elle doit être signée même par ceux qui ne nous aiment pas,
03:48je vous dis la vérité, parce que c'est ça le truc.
03:50Moi, je vais vous dire,
03:52ceux qui nous aiment, bien sûr, on les embrasse fort
03:54et on espère qu'ils seront avec nous,
03:56mais même ceux qui ne nous aiment pas, je vous dis,
03:58parce que comme j'ai dit la dernière fois,
04:00ce sera leur tour un jour.
04:02C'est très grave.
04:04Moi, je ne me serais jamais réjoui
04:06même de l'arrêt d'un concurrent.
04:08Par confraternité ?
04:10Non, parce que s'ils arrêtent les autres,
04:12ils vont nous arrêter nous un moment, sachez-le,
04:14c'est toujours comme ça.
04:16Mais ça va être même plus loin, c'est-à-dire qu'à un certain moment,
04:18l'Arkham va dire, tel et tel chanteur ne peut plus chanter ça,
04:20parce qu'on ne veut pas.
04:22Et moi, on me dit tout simplement,
04:24oh là là, non, non, non, vous n'allez pas regarder
04:26les émissions de Cyril Hanouna.
04:28Non, mais attention, ce n'est pas bien.
04:30Mais ils sont qui ?
04:32Expliquez-moi, ils sont qui, ces gens-là,
04:34pour me dire ce que je dois faire ?
04:36Quoi penser ?
04:38Exactement, ils sont qui, ces gens-là ?
04:40Alors, je pense aussi qu'on vous en veut,
04:42mais ça, c'est que mon ressenti,
04:44qu'on vous en veut personnellement,
04:46parce qu'à un certain moment, vous,
04:48en plaisantant certes, mais vous l'avez quand même dit,
04:50je vais me lancer en politique,
04:52et j'ai l'impression que c'est l'homme à abattre.
04:54Et pour ça, on va peut-être mettre
04:56400 familles,
04:58je ne dis pas personne, mais des familles,
05:00au chômage.
05:02Alors, à un certain moment, j'ai aussi entendu dire
05:04sur votre plateau,
05:06mais personne ne fait rien au niveau des politiques.
05:08Oui.
05:10Je suis d'accord. Rachida Dati,
05:12démissionnaire, ok,
05:14mais le président de la République, il n'est pas démissionnaire,
05:16à moins que je ne le sache pas.
05:18Bon, il n'est pas démissionnaire, il est où ?
05:20Il va laisser 400 personnes ?
05:22À un certain moment, il faut se relever,
05:24parce que là, c'est votre émission,
05:26demain, on va nous empêcher de voir quoi ?
05:28C'est toute une chaîne qu'on enlève,
05:30parce que c'est ça.
05:32Et en plus, je le dis,
05:34c'est une malhonnêteté immense,
05:36parce qu'on avait dit,
05:38et les dirigeants de C8 avaient dit,
05:40on ferait un petit dîner,
05:42c'est-à-dire qu'on serait enregistrés de quelques minutes,
05:44donc s'il y avait un problème dans l'émission,
05:46on le renlevait. Donc vraiment, c'était la solution,
05:48elle était toute trouvée, c'était tranquille,
05:50et c'est vrai, parce qu'aujourd'hui,
05:52toutes les équipes de Ouidam Lémergie,
05:54toutes les équipes de Jim Direct, des Animaux de la 8,
05:56de Grégory Galifi, Direct Auto,
05:58il y a beaucoup d'émissions, de Jordan Deluxe,
06:00vous vous rendez compte ?
06:02Les grands du rire ?
06:04Pour acheter des films,
06:06c'est complètement...
06:08Je vais vous dire, vous savez quel est le premier critère
06:10pour être renouvelé ?
06:12Le premier critère pour renouveler une chaîne,
06:14c'est l'adhésion du public.
06:16C8, C8,
06:18et première chaîne TNT,
06:20et même, parfois,
06:22et là en ce moment d'ailleurs, devant France 5,
06:24donc ça veut dire qu'on est mieux que première chaîne TNT,
06:26on est même devant une chaîne Herdienne.
06:28Je vous dis, le premier critère,
06:30normalement, voilà,
06:32on peut trouver des solutions s'il y a des choses qui les dérangent,
06:34voilà, c'est ce qu'a trouvé la chaîne,
06:36en disant, voilà, on va pouvoir couper quelques petits trucs,
06:38etc. Mais arrêter une chaîne,
06:40là, je vais vous dire, pour moi, c'est...
06:42Non, mais ils se rendent... En fait, je pense qu'ils ne se sont même pas rendus compte
06:44de ce qu'ils faisaient. Ils se sont dit, c'est en plein mois de juillet,
06:46il y avait les JO, ils se sont dit, on veut notre médaille d'or.
06:48Euh... Non, mais...
06:50Alors, apparemment, l'ARCOM,
06:52d'après ce que l'on m'a dit,
06:54ne peut pas prendre cette décision
06:56mis à part s'il y a vraiment
06:58un truc énorme. Donc, je pense qu'il n'y a pas eu de meurtre
07:00sur votre plateau, il n'y a pas eu de...
07:02Non, non, je suis d'accord. C'est la prochaine étape.
07:04C'est la prochaine étape.
07:06Non, ce que je veux dire,
07:08c'est qu'ils ne peuvent pas prendre ce genre
07:10de décision. Donc, encore une fois, je me répète,
07:12si on ne vous aime pas, on ne vous regarde pas.
07:14Et pour ça, ils vont
07:16punir, donc, tous les citoyens
07:18qui vous regardent. C'est énorme.
07:20Moi, j'appelle tous les gens à signer cette pétition
07:22et... Peut-être que
07:24c'est utopique, mais d'essayer
07:26à ce que ces huit
07:28ne disparaissent pas à la rentrée.
07:30Alors, la rentrée, c'est après février.
07:32Oui, février. Et il faudra adjoindre à cette
07:34plainte aussi halte à la
07:36surveillance. Parce qu'à partir du moment
07:38où on met quelqu'un en sous-surveillance,
07:40ce qui doit être vraisemblablement le cas en ce moment
07:42pour Cyril, encore plus qu'avant,
07:44on attend
07:46les moindres faux pas, etc.
07:48Il est capable de se scratcher là, il dit merde,
07:50il est là, il est à son plateau.
07:52C'est comme quand ta meuf prend ton téléphone,
07:54elle trouve toujours quelque chose.
07:56Ou quand tu te fais arrêter par les flics après un contrôle technique.
07:58Après, on parle vraiment quelque chose
08:00d'hyper sérieux.
08:02C'est juste
08:04pitoyable. Moi, ça m'a révoltée.
08:06Alors, d'habitude, je suis
08:08dans mon petit coin, je ne dis rien.
08:10Et là, je me dis, ce n'est pas possible.
08:12Alors, qu'est-ce que vous en pensez, ceux qui n'ont pas réagi ?
08:14Juliette Briand. Je trouve ça très bien
08:16que la colère vienne du peuple.
08:18Qui sont ces gens qu'on n'a
08:20jamais élus et qui leur
08:22ont octroyé autant de pouvoir
08:24que de décider de vie ou de mort
08:26sur une chaîne qui cartonne,
08:28qui crée de l'emploi, qui crée de la richesse
08:30et à qui on enlève comme ça, sans leur demander
08:32leur avis. Donc, c'est très bien, effectivement,
08:34que cette colère, elle vienne directement de vous,
08:36finalement. Et, évidemment, dans cette décision,
08:38moi, personnellement, je vous le dis,
08:40contrairement à beaucoup de gens autour de cette table,
08:42je l'ai un peu vu venir.
08:44Plusieurs mois avant, je me suis dit, il y en a une des deux
08:46qui va sauter. Et quand je dis une des deux, c'est CNews
08:48plus C8. Donc, je me suis dit, il y en a une des deux qui va sauter.
08:50Au bout d'un moment, j'ai fini par comprendre
08:52que CNews, ça allait être compliqué et que, de toute façon,
08:54ce serait vous, parce que vous avez déjà mis
08:56tant d'amendes, etc. Mais une amende,
08:58c'est pas un avertissement. Une amende, une fois
09:00qu'elle est payée, et puis, quelles amendes ?
09:023 millions d'euros. Et puis, c'est eux qui fixent les montants.
09:04Voilà, des amendes historiques. Vous savez comment c'est ?
09:06Parce qu'ils ont mis 3,5 millions pour la séquence
09:08avec Louis Boyard. Est-ce que vous savez, si vous insultez
09:10un député dans la rue, est-ce que vous savez combien
09:12vous pouvez prendre d'amende ?
09:14Pas 3 millions, 35. 12 000 euros.
09:16Au maximum. C'est le maximum. 12 000 euros d'amende.
09:18Et lorsque eux, ils nous insultent, on fait quoi ?
09:20Exactement. Parce qu'eux, ils insultent tout le monde, mais voilà.
09:22Et en plus, en plus, en plus, c'est pas ça.
09:24Il y a des antécédents. On aurait insulté,
09:26je vous dis, je sais pas moi,
09:28quelqu'un qui se comporte toujours bien
09:30et qui est... ça se ferait mal passer
09:32avec un député avec qui ça se passe toujours bien.
09:34Voilà, tous les hommes politiques qu'on a reçus ici,
09:36ça s'est toujours bien passé. Lui, on voit bien
09:38qu'il met le chaos partout, que c'est un...
09:40Voilà, c'est...
09:42Il fout la merde partout où il passe, donc forcément...
09:44C'est ce qu'il est venu chercher ce soir.
09:46Vous vous êtes excusé de bonne foi.
09:48Pratiquement, quoi. Deux jours après cette émission,
09:50vous vous êtes excusé de bonne foi.
09:52Vous avez payé une amende de 3 millions d'euros.
09:54Une amende, c'est pas un avertissement.
09:56Une amende, on la met. Si on la paye, elle est payée.
09:583 millions et demi.
10:00Moi, je pense honnêtement qu'un recours au Conseil d'État,
10:02s'il y a encore un tant soit peu de démocratie
10:04et d'honnêteté dans les institutions,
10:06il devrait passer.
10:08Vous êtes obligé...
10:10C'est la première chaîne d'ATNT.
10:12Autodivertissement assez violent.
10:14Et vive l'angoisse et la peur
10:16pour diriger par la peur.
10:18Autodivertissement, c'est beaucoup plus dangereux.
10:20Il ne fallait pas être surpris.
10:22A l'origine de tout ça,
10:24c'est quand même M. Aurélien Saint-Aul,
10:26qui était en plus rapporteur de la commission.
10:28Donc ça, c'est les filles, là aussi.
10:30C'est vrai qu'on ne les a pas aménagées non plus.
10:32Parce qu'ils ne voulaient pas venir.
10:34Alors qu'on les a invités tout le temps, ils n'ont jamais voulu venir.
10:36Oui, mais il y a une hypocrisie parce que...
10:38En fait, ils veulent la tête de qui ?
10:40Ils veulent la tête de Cyril Hanouna.
10:42Et pour avoir la tête de Cyril Hanouna,
10:44ils décapitent une chaîne en entier.
10:46Dites les choses. Dites que vous voulez la tête de Cyril Hanouna.
10:48Ne dites pas que c'est la chaîne qui pose problème.
10:50C'est là où je trouve qu'il y a une hypocrisie.
10:52C'est pour ça que je porte plainte contre l'ARCOM.
10:54Parce qu'il y a deux poids, deux mesures.
10:56Pour moi, il y a deux poids, deux mesures.
10:58Et puis, derrière tout ça, ce n'est pas la chaîne qui voulait arrêter.
11:00Ils ne voulaient pas arrêter William Lémergie.
11:02Ils ne voulaient pas arrêter l'inspecteur Barnaby.
11:04Ou Moncheville.
11:06Non, mais c'est vrai.
11:08C'est clair.
11:10L'histoire est claire.
11:12Moi, j'entends ce que vous dites et ce que dit Juliette.
11:16C'est Juliette, elle.
11:18Mais il ne faut pas oublier que la séquence avec Boyard
11:20a été une séquence qui a marqué énormément de gens.
11:22Pas moi.
11:24Moi, je me suis marré.
11:26Elle s'est réglée.
11:28Ça vous a fait rire.
11:30Il y a plein de gens que ça n'a pas fait rire du tout.
11:32Il faut aussi prendre en compte ça.
11:34Il a été puni pour ça déjà.
11:36Je termine.
11:38Il y a un consensus sur le fait que, évidemment,
11:40la chaîne, moi, je suis absolument...
11:42Je suis un démocrate convaincu.
11:44On a le droit de ne pas être d'accord.
11:46On a le droit de ne pas partager les opinions
11:48des uns et des autres.
11:50Mais on se respecte et on se parle.
11:52J'ai aucun problème avec ça.
11:54Que la chaîne soit supprimée par rapport à ça,
11:56ça, ça pose un vrai problème.
11:58Par contre, qu'il y ait un rappel,
12:00comme ça a été fait,
12:02comme à chaque fois qu'il y a des dérapages,
12:04d'autres plateaux dans le passé.
12:06Ce n'est pas la première du genre.
12:08Il y a déjà eu des rappels.
12:10J'étais sur une chaîne concurrente à l'époque.
12:12Ils ont reçu des rappels parce qu'il n'y avait pas
12:14assez de diversité, par exemple, à un moment donné.
12:16C'était sous Nicolas Sarkozy, d'ailleurs.
12:18Il y a eu énormément de choses de ce type qui ont été faites.
12:20Mais là, effectivement, supprimer une chaîne
12:22parce qu'il y a une personne qui dérange,
12:24c'est vrai que ça pose un problème.
12:26Après, moi, je ne suis pas toujours d'accord
12:28avec la manière de faire.
12:30Je vous le dis en toute amitié.
12:32Je ne suis pas toujours d'accord avec la manière de faire.
12:34Mais supprimer une chaîne pour ça,
12:36je ne suis pas d'accord.
12:38Qu'on fasse un rappel à l'ordre, c'est normal.
12:40Et qu'il y ait des amendes de temps en temps,
12:42même si c'est vraiment exorbitant,
12:44on peut l'entendre.
12:46Mais cette séquence, ne sous-estimez quand même pas
12:48que ça a renvoyé chez beaucoup de gens.
12:50Moi, j'étais devant ma télé,
12:52et je peux vous dire que j'étais choqué.
12:54– Franchement, vous croyez que le français moyen,
12:56ça l'a choqué en quoi ?
12:58– Ça ne vous choque pas ce qui se passe
13:00dans toutes les semaines.
13:02– On sait que Louis Boyard est un fouteur de merde.
13:04– De toute façon, les politiques,
13:06aujourd'hui, ne sont pas exemplaires du tout.
13:08– Non, il y en a beaucoup qui se comportent bien à l'Assemblée.
13:10Il n'y a que la LFI qui se comporte mal.
13:12– Non, ce n'est pas que eux.
13:14– Ah si, il n'y a que eux qui se comportent mal.
13:16– Qui d'autre ?
13:18– Qui d'autre se comporte mal à l'Assemblée à part la LFI ?
13:20– La violence que les politiques renvoient aujourd'hui aux gens…
13:22– Non, mais parce que j'en ai vos amis,
13:24vous êtes le Gilles Berdet du jour.
13:26– Mais pas du tout !
13:28– Qui se comporte mal à l'Assemblée ?
13:30Donnez-moi un exemple de quelqu'un qui se comporte mal à l'Assemblée à part la LFI.
13:32– Alors, écoutez… – Personne.
13:34– Tout le monde se comporte bien.
13:36– Je travaille dans les institutions, j'ai conseillé des politiques,
13:38j'ai vu certains, leur manière de faire…
13:40– Cyril, il a reçu énormément de députés dans sa vie.
13:42– Bien sûr, il n'y a jamais eu aucun problème.
13:44– Et c'est marrant, la seule personne avec qui ça s'est mal passé,
13:46c'est Louis Boyard.
13:48– Moi, je ne défends pas, je dis tout simplement
13:50que ne sous-estimez pas non plus cette partie-là.
13:52– Il s'est excusé.
13:54– Ne sous-estimez pas ce que pensent les gens de la France insoumise,
13:56ce que pensent les gens de ce qu'ils font toutes les semaines à l'Assemblée.
13:58– Je ne pense pas à beaucoup de noms.
14:00– Je ne suis pas leur représentant.
14:02– La France insoumise, moi je pense qu'il y a plus un problème France insoumise
14:04qu'un problème TPMP, excusez-moi, pour la France.
14:06Je suis désolé.
14:08– Je peux m'adresser à monsieur ?
14:10– Oui, c'est Patrick Fiori.
14:12– Cher Patrick, moi la séquence, Patrick…
14:16– Non, je m'appelle Rost.
14:18– Je regarde l'émission, donc oui.
14:22Moi, j'ai regardé, je regarde toutes mes émissions,
14:24donc j'ai regardé.
14:26Moi, ce qui m'a choquée,
14:28ce n'était pas le comportement de Cyril Hanouna.
14:30Ce qui m'a choquée, le jour-là,
14:32et comme la plupart des Français, parce que vous dites l'inverse,
14:34moi, ce qui m'a choquée, c'était le comportement de ce mec.
14:36– Non, mais je vous parle de la séquence en elle-même.
14:38– La séquence en elle-même, elle a été violente,
14:40mais elle a été violente pour nous.
14:42– Je suis désolé.
14:44– Mais bien sûr, mais pas par rapport à la réaction de Cyril Hanouna.
14:46Elle a été violente par rapport à ce que lui, il a fait.
14:50– Vous savez, moi, je ne suis pas juge.
14:52Je vous dis tout simplement que la séquence qui s'est passée…
14:54– Je vous dis juste ce que j'ai ressenti avec cette séquence.
14:56– Oui, mais non, mais…
14:58– Je vous dis simplement que la séquence,
15:00moi, je vous dis, j'ai été avec des gens,
15:02on les fait choquer.
15:04– La séquence a été sanctionnée, donc…
15:06– Voilà, c'est tout.
15:08– Moi, ce que je vois…
15:10– Là, je suis d'accord.
15:12– Moi, je vais vous dire, l'ARCOM aurait dû regarder aussi,
15:14Louis Boyard, des séquences comme ça, il en a toutes les semaines.
15:16Avec tout le monde, il s'embrouille avec Gérard Darmanin.
15:18C'est pas l'exception des radios.
15:20Donc, on voit bien que c'est quelqu'un qui fait des escandres partout où il va.
15:24Gauthier Leboy.
15:26– Parce que, moi, j'étais comme Juliette à la fin,
15:28surtout après l'audition de l'ARCOM, je me suis dit,
15:30il y a une de nos deux chaînes qu'on va perdre
15:32parce qu'il y a tellement de pression politique
15:34pour supprimer une des deux chaînes
15:36et pour vous cibler évidemment, Cyril,
15:38il y a aussi, il faut le dire, une pression médiatique.
15:40– Bien sûr.
15:42– Une presse très bruyante, très minoritaire dans l'opinion publique.
15:44– Ça, c'est inadmissible.
15:46Nous, jamais, on n'a demandé la tête d'un journal.
15:48On peut dire que ça ne marche pas.
15:50On peut dire qu'ils s'intorchont,
15:52mais on n'a jamais demandé la tête d'un journal ou d'une télé.
15:54– Pas un jour.
15:56Sans qu'il n'y ait un article pour débiner C8, Cyril Hanouna, CNews, Pascal Praud,
16:02et même maintenant, ce qu'on peut faire sur Europe 1.
16:04Il n'y a pas un jour où on n'a pas un article de Téléramal B ou autre.
16:06– Il n'y a pas un article qui s'est demandé un moment.
16:08Moi, c'est ce que me disait un pote hier.
16:10Il n'y a pas un article qui s'est demandé un moment
16:12pourquoi, quand on est sur Europe 1, ça marche,
16:14pourquoi, quand on est sur C8, ça marche,
16:16pourquoi, quand on fait l'émission du week-end, ça marche.
16:18Il n'y a pas un journaliste qui s'est dit pourquoi ça marche.
16:20– Et pourquoi il ne marche pas, il devrait aussi se poser la question.
16:22– Non mais c'est ça qui est fou.
16:24– Et c'est là le problème.
16:26– Parce qu'ils sont au milieu des préoccupations des Français.
16:28– Exactement.
16:30– Ils ne savent pas ce que les Français pensent,
16:32ils ne savent pas ce que les Français vivent.
16:34– Je voulais que je vous dise…
16:36– Non, non, non.
16:38– On ne fait pas du divertissement.
16:40Europe 1 avec Cyril, on ne fait pas que du divertissement.
16:42On parle d'actualité, on a des auditeurs.
16:44– Si vous dites qu'ils en veulent à vous personnellement,
16:46et moi ça me pose énormément de problèmes,
16:48et vous avez raison de dire que ceux,
16:50les opposants, les ennemis,
16:52ou quoi qu'on les appelle,
16:54qui ne vous aiment pas,
16:56mais qui se réjouissent de cette décision,
16:58ils se mordront les doigts.
17:00– Exactement.
17:02– Ce genre de liberté, on met du temps à les accueillir,
17:04mais à les perdre, ça va très vite.
17:06– Exactement.
17:08– Ils ont répondu à la pression du Nouveau Front Populaire
17:10qui a réclamé votre départ place de la République
17:12le soir de leur victoire en termes numériques de députés.
17:14– Exactement.
17:16– Ils ont répondu à cette pression-là,
17:18de la foule, ce qu'il y a de pire.
17:20En tout cas, quand ils voient le Nouveau Front Populaire,
17:22quand ils voient cette foule, encore une fois,
17:24parce que moi ça m'avait énormément frappé
17:26le soir de la victoire du NFP place de la République,
17:28qui harangue la foule et qui réclame votre départ,
17:30force est de constater qu'il y a quelque chose
17:32qui s'est joué à ce moment-là.
17:34Est-ce que ça a aidé à cette décision-là ?
17:36Peut-être.
17:38– C'est extrêmement grave.
17:40Et moi je pense que, oui, vous pensez oui.
17:42Mylène, dites-nous pourquoi.
17:44– Pour moi, c'est l'évidence même,
17:46ça reste politique.
17:48Ils se sont sentis forts,
17:50ils se sont dit, allez maintenant,
17:52on aura les gens-là avec nous
17:54et hop, on rentre dans la brèche.
17:56Ils ont vu une petite brèche, ils sont rentrés dedans et ça y est.
17:58– Peut-être qu'ils allaient prendre la décision de toute manière
18:00mais que ça a pu pousser le curseur.
18:02– Moi je pense le contraire.
18:04Je pense que ça les a même ralentis.
18:06Et que de toute façon,
18:08c'était déjà dans les tuyaux.
18:10– Alors en quoi ça les a ralentis ?
18:12– Ça les a ralentis, ça freine et c'est pas encore acté d'ailleurs.
18:14– Oui c'est vrai.
18:16– Ils ont quand même pris une première décision,
18:18elle n'est pas infinitive, elle est quand même là.
18:20– Pascale, on vous a pas entendu là-dessus.
18:22– Moi ça m'a choquée parce que je pensais même pas
18:24que c'était possible et pour moi la liberté,
18:26ça fait partie des valeurs de la France
18:28et pour moi on les bat fou là et les gens qui sont contents,
18:30ils sont bêtes parce que j'ai l'impression
18:32qu'on regresse en fait, c'est de la censure.
18:34– Elle a bien résumé.
18:36Miel, toi qui es extérieur, 17 ans,
18:38qu'est-ce que t'en as pensé ?
18:40– Alors je t'avoue, j'ai pas trop suivi cette histoire.
18:42Mais par rapport au fait qu'ils veulent supprimer…
18:46– C8 ?
18:48– Oui c'est ça, C8.
18:50Ça je trouve pas ça nécessairement bien
18:52parce que si les gens ils aiment pas tes émissions par exemple,
18:54ils ont juste à pas regarder.
18:56Tu vois ils critiquent mais ils cliquent.
18:58Et après en plus, malgré tout,
19:02c'est quand même une entreprise
19:04qui fait beaucoup d'emplois,
19:06qui nourrit des familles, qui fait vivre des familles.
19:08Énormément, il y a beaucoup de gens,
19:10je pense, je sais pas combien.
19:12– Il y a 400 familles comme a dit Mylène, elle a bien raison.
19:14– Oui ben c'est ça.
19:16C'est beaucoup de monde et après quand t'arrêtes ça,
19:18ben après il y a plus d'emplois,
19:20après les gens se retrouvent au chômage.
19:22– Oui Gauthier ?
19:24– Non d'ailleurs ce que vous avez dit très important lundi soir,
19:26je l'ai trouvé, c'est sur ce qui pourrait remplacer potentiellement C8 et NRJ,
19:28c'est pas du tout les mêmes projets,
19:30les mêmes budgets, donc ils vont pas employer 400 salariés,
19:32faire vivre 400 personnes et 400 familles.
19:34Ça faut quand même le dire parce que c'est très important.
19:36– C'est intéressant parce qu'on essaie de leurrer les gens
19:38et moi j'ai entendu autour de moi,
19:40on m'a dit non mais t'inquiète, ça va les 400 personnes
19:42et donc familles, on va les remettre
19:44à droite à gauche, il y a des nouvelles chaînes.
19:46Mais pas du tout, c'est très mal connaître l'économie de la télévision.
19:48Et il n'y aura pas 400 personnes
19:50qui vont retrouver du boulot, c'est sûr et sympa.
19:52– Et moi je vais vous dire,
19:54moi je suis un peu étonné de tous ces journalistes,
19:56comme je l'ai dit tout à l'heure,
19:58voilà ça marche,
20:00ils parlent jamais même du talent des chroniqueurs.
20:02Gilles Vernet, ce qu'on aime ou pas,
20:04c'est un talent exceptionnel.
20:06Jean-Michel Maire, c'est un talent exceptionnel.
20:08Il y a des talents dans cette émission Gauthier,
20:10c'est un talent exceptionnel.
20:12Moi je n'ai jamais vu d'article disant,
20:14il y a des talents exceptionnels.
20:16– C'est normal, ils sont tellement jaloux.
20:18En fait il y a même de la jalousie, de l'envie
20:20et ça devient terrible.
20:22– Parce que ce qu'on fait sur C8,
20:24je vous dis franchement,
20:26en termes de direct
20:28et en termes de télévisuel
20:30et le texte ne me contredira pas,
20:32mine de rien c'est quand même,
20:34c'est historique,
20:36il n'y a jamais une bande comme ça
20:38qui a duré aussi longtemps en direct.
20:40– Ça avait commencé sur la 3 en plus.
20:42– Oui exactement, 3, 4 après.
20:44Mais c'est vrai qu'il n'y en a pas un qui dit,
20:46voilà il y a des talents,
20:48Juliette Briens c'est un énorme talent,
20:50Rost aussi, c'est vrai vous avez plein de talents ici,
20:52mais ils n'en parlent pas, ils ne parlent pas de vous,
20:54c'est un mari.
20:56– Ce renouveau élevé, se réadapter,
20:58se réinventer,
21:00parce que il y a eu énormément,
21:02TPMP est passé par énormément de choses,
21:04avant la mode c'était les people,
21:06il y a eu différentes modes,
21:08vous avez toujours su vous adapter,
21:10aucune subvention de l'État.
21:12Moi ce qui me fait rire c'est que les décisions de l'ARCOM,
21:14c'est déjà en train de le retomber dessus.
21:16Je vous prends un exemple,
21:18le fameux rapport de Reporters sans frontières
21:20qui disait qu'il fallait ficher les chroniqueurs
21:22en fonction de leur idéologie.
21:24– Surtout s'ils disaient les choses plutôt classées à droite,
21:26parce que quand ils sont à gauche,
21:28vous ne pouvez pas, c'est bon, vous n'avez pas besoin d'y ficher.
21:30– Et donc ils se sont tous très bien marrés,
21:32c'est France Inter, etc.,
21:34ils étaient super ravis qu'on s'en prenne encore une fois à ces news,
21:36mais sauf qu'aujourd'hui, eux ils doivent faire pareil,
21:38et le service public, Dieu sait que ça manque de pluralité,
21:40et donc hier j'ai quand même reçu un appel
21:42du service public pour m'inviter à une émission,
21:44moi, et ben oui, parce qu'ils sont obligés,
21:46et je pense que ça se retourne contre eux,
21:48et c'est exactement pareil pour cette décision-là.
21:50– Et l'émission ?
21:52– France Info, un débat entre mes idées.
21:54– Très bien, alors je voudrais dire un autre truc,
21:56parce qu'il y a beaucoup de gens qui disent ici qu'ils se sont attaqués,
21:58voilà, ils ont voulu m'atteindre moi,
22:00mais ils ont atteint surtout les équipes avec qui on travaille,
22:02et je l'ai dit, je le redis, quoi qu'il arrive,
22:04ne vous inquiétez pas, moi je serai là,
22:08je pourrai rebondir, et quoi qu'il arrive,
22:11j'amènerai toutes les équipes,
22:13enfin toutes les équipes resteront avec moi si je rebondis.
22:16– Il y a aussi les gens que vous nourrissez indirectement,
22:19hier j'étais dans un taxi,
22:21qui a l'habitude de prendre vos chroniqueurs,
22:23et qui me disaient même moi ça va me faire perdre beaucoup d'argent.
22:25– Moi il me l'a dit tout à l'heure,
22:27et ça les a aussi m'a emmené, il me l'a dit tout à l'heure.
22:29– Qui ne s'inquiète pas, voilà, je serai,
22:31je ne vais pas arrêter la télé,
22:33et je n'arrêterai très rarement,
22:35je n'arrêterai pas tout de suite la quotidienne,
22:37je vais arrêter la quotidienne dans 15-20 ans.
22:40– La masse en plus,
22:44il y a un truc,
22:46assez souvent on m'a attaqué,
22:48devant moi et tout, je disais,
22:50vous n'imaginez pas la masse de travail,
22:52c'est une masse de travail incroyable,
22:54au niveau de production télé,
22:56ce que fait Cyril, mais c'est tout.
22:58– Merci Montaigne.
23:00– On va se critiquer déjà qu'il fasse ce que Cyril Hanouna a fait,
23:03et puis après on en reparlera.
23:05– Merci Mylène.
23:07– En tout cas, j'ai demandé dans la plainte,
23:09on a demandé formellement,
23:11qu'est-ce qui a fait que cette décision soit prise,
23:14les raisons exactes, déjà on veut savoir.
23:16– Vous savez ce qu'ils vont vous dire,
23:18les sanctions, mais les sanctions ça ne tient pas,
23:20parce que tu peux être fonctionné,
23:22mais comme l'a dit tout à l'heure Valérie Mélenchon.
23:24Et la deuxième, ils vont vous dire que la chaîne n'était pas rentable,
23:26donc qu'est-ce qu'ils vont vous dire ?
23:28Ils vont vous dire, il vaut mieux faire une chaîne pourrie,
23:30qui gagne de l'argent, mais où il n'y a aucun programme,
23:32plutôt qu'une chaîne où on essaie de faire le maximum,
23:34et on arrive à l'équilibre,
23:36on essaie de mettre le plus de programmes possible,
23:38être première chaîne TNT et perdre de l'argent,
23:40parce que ce n'est pas eux qui perdent de l'argent,
23:42ce n'est pas de l'argent du salaire public,
23:44ils font les propos à chaque fois pour pouvoir faire exister cette chaîne,
23:46et pour pouvoir avoir des programmes de qualité.
23:48Donc voilà, je vais vous donner,
23:50et les deux trucs ne tiennent pas,
23:52quoi qu'il arrive pour moi, ils vont…
23:54– On vous donnera le résumé de toutes les manières,
23:56moi j'appelle tout simplement tout le monde à se réveiller,
23:58à venir avec nous,
24:00et bon peut-être que c'est un peu utopique,
24:02mais en tout cas peut-être qu'avec tout ça,
24:04en février, ça sera toujours là.
24:06– Je vais vous dire, moi je serai là,
24:08et les équipes en tout cas, quoi qu'il arrive,
24:10– Dans les années 80, il y a eu le mouvement pour l'énergie,
24:12on pourrait réveiller dans les années 2020,
24:14ce mouvement pour la liberté, voilà.
24:16– Tout à fait.
24:18– Merci Mylène d'avoir été avec nous, je te félicite.
24:20– Merci à vous.
24:22– On va se retrouver dans un instant.