• il y a 2 mois
Alexandre Devecchio, journaliste, regrette un «réflexe clientéliste» de la part d'Eric Piolle, maire de Grenoble, après ses propos polémiques indiquant «une balle perdue», s'agissant de la mort d'un agent municipal dans la ville.

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Transcription
00:00Après, il peut y avoir un très bon préfet, un très bon procureur et on peut constater, sans dédouaner Éric Piolle, que de manière générale, il y a un problème systémique de violence en France sur le territoire, sans doute pas à cette force de l'ordre, sans doute d'une réaction de la justice trop faible, sans doute aussi la question de l'immigration où on n'a pas réussi à apporter une réponse, donc l'État a sa part de responsabilité là-dedans.
00:23Maintenant, pour revenir sur Éric Piolle, il faut rappeler une affaire qui, en apparence, n'a pas de rapport, mais qui dit peut-être quelque chose du système Éric Piolle, c'est-à-dire l'affaire du Burkini, d'avoir voulu autoriser le Burkini dans les décimations...
00:38Ça n'a rien à voir avec ce qui se passe aujourd'hui !
00:40Laissez-moi finir, vous verrez pourquoi je pense que ça a à voir, c'est que c'est un réflexe clientéliste. Pourquoi il fait ça ? Parce qu'il essaye d'avoir les voix d'une certaine clientèle.
00:49Je ne dis pas du tout que les femmes en Burkini sont des délinquantes, mais il faut voir dans certaines cités, peut-être que le trafic de drogue est une économie parallèle qui fait vivre à un certain nombre de personnes, que ces personnes votent pour M. Piolle.
01:03Il y a ça aussi, et c'est pour ça qu'il y a ce système-là. Oui, mais c'est un système qu'on connaît chez beaucoup d'élus locaux, et là, c'est beaucoup de merde, ce qui explique peut-être son malaise et sa volonté de cacher la réalité.
01:19Sous-titrage Société Radio-Canada

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