• il y a 3 mois
«C'est maman ! Je prie Dieu qu'il te ramène», hurle dans un micro Rachel Goldberg-Polin à la frontière avec Gaza, où son fils est retenu captif depuis le 7 octobre. À environ deux kilomètres de Gaza, des dizaines de proches d'otages sont venus parler, grâce à d'immenses haut-parleurs, aux 103 hommes, femmes et enfants toujours aux mains de leurs ravisseurs.

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Transcription
00:00Des cris, des larmes et des messages d'espoir.
00:12A tour de rôle, ces proches d'otages israéliens prennent le micro et hurlent le nom de leurs
00:16proches.
00:17103 otages, hommes, femmes et enfants, sont toujours aux mains du Hamas.
00:25Cela fait déjà des jours que nous souffrons avec les autres familles d'otages restantes.
00:29Aujourd'hui, nous sommes descendus à la frontière, aussi près que possible de nos
00:34proches, pour essayer de crier dans des hauts-parleurs et communiquer avec eux.
00:38Depuis le 7 octobre, 328 jours sont passés.
00:41Chaque jour, Rachel, figure iconique des familles d'otages, change le nom présent sur son
00:46t-shirt pour tenir ce triste décompte.
00:48Comme elles, ils sont nombreux à espérer la fin de leur captivité et n'ont pas hésité
00:52à franchir la clôture du kibbutz pour se rapprocher le plus possible de leurs proches.
00:57Nous essayons d'entrer dans la bande de Gaza pour récupérer nos otages et les membres
01:00de nos familles.
01:01Nos militaires nous ont arrêtés, ils essaient de nous défendre et de nous protéger.
01:06Mais les otages ne sont pas protégés là-bas.
01:09Sur les 251 personnes enlevées le 7 octobre dernier, 33 ont été déclarées mortes par
01:14l'armée israélienne.

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