• il y a 5 mois
Le secrétaire national Unité, Jean-Christophe Couvy, revient sur une possible dissolution du GUD : «Il faut bien essayer de comprendre comment on peut en arriver à des choses aussi atroces».

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Transcription
00:00Les groupuscules d'extrême-droite, pour les comparer à l'extrême-gauche,
00:04l'extrême-droite, c'est des groupes qui peuvent passer plutôt à faire des attentats, par exemple,
00:08c'est-à-dire qu'ils pourraient aller commettre des attentats sur des personnes ultra-droites, etc.
00:15Fremonté, l'ultra-gauche, c'est plutôt aller lutter contre tout ce qui regroupe l'ultra-capitalisme,
00:23aller casser des vitrines, s'attaquer à l'État.
00:28Les antifas, parce que si on supprime le GUD, il faut aussi faire le ménage à l'ultra-gauche,
00:33il y a aussi des antifas, je suis désolé, mais ce n'est pas des enfants de cœur.
00:37Actuellement, les services spécialisés surveillent à peu près 5 500 personnes d'ultra-gauche
00:42et 2 500 personnes d'ultra-droite. Donc voilà, vous avez à peu près le panel.
00:47Ce que les services craignent, réellement, c'est qu'effectivement, le soir des élections,
00:52le 30 juin et le 7 juillet, des groupes s'affrontent et qu'on ait, malheureusement,
00:59quelqu'un qui reste sur le carreau. Et du coup, vous savez très bien qu'aujourd'hui,
01:02il suffit juste d'allumer un petit pétard et tout explose.

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