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«Nous sommes vus comme un élément répressif, visant à tuer la révolution», a dénoncé le secrétaire national unité SGP Jean-Christophe Couvy, dans l'émission La Parole Aux Français. 

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Transcription
00:00 – Ecoutez hier, ça a un petit goût de revanche par rapport à Saint-Sauline,
00:02 c'était annoncé, de toute façon, rendez-vous à 19h devant les préfectures,
00:06 et avec le slogan, c'était "Ni oubli ni pardon",
00:10 voilà "Ni oubli ni pardon" par rapport à Saint-Sauline,
00:12 et même Pierre à Nantes, à la fac, c'était "Ni oubli ni pardon,
00:16 vous brûlerez comme vos camions", voilà, très sympa comme menu.
00:19 – Oui donc contre les policiers, les forces de l'ordre en général.
00:21 – Ah ben c'est les policiers oui, forcément,
00:23 on est vu comme un élément répressif, on est là pour tuer la révolution,
00:29 c'est quand même assez hallucinant tout ce qu'on peut entendre.
00:31 Donc effectivement hier soir, il y avait une manifestation,
00:33 notamment sur Paris, un peu partout en France, pacifique, je dis bien,
00:37 au départ toujours pacifique, et puis à un moment donné,
00:40 des ultras qui commencent à partir, partant en convoi,
00:43 et puis vont dans les rues justement, semer le désordre, le chaos,
00:46 et chercher l'anarchie, puisque de toute façon c'est leur mot d'ordre,
00:49 et c'est ce qu'ils veulent, ils sont complètement en marge
00:52 de ce qu'on peut voir sur la réforme des retraites,
00:54 avec l'immense majorité des manifestants qui vont pour leur droit,
00:58 pour un projet sociétal, là c'est prôner la révolution, l'anarchie, le chaos,
01:03 donc rien à voir effectivement avec l'ambiance qu'on peut voir,
01:06 même si les Français effectivement sont conscients qu'il y a un ras-le-bol
01:10 et qu'ils ont envie que les choses changent.
01:12 Sous-titrage ST' 501
01:14 [Musique]

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