• il y a 4 mois

C'est l'événement ! Dès ce lundi 17 juin et pour deux semaines, Cyril Hanouna fait son retour sur Europe 1 avec sa nouvelle émission "On marche sur la tête". Entouré de ses chroniqueurs, il revient sur l'actualité politique. Mais avec Cyril Hanouna, les auditeurs ont également la parole ! Pour réagir, n'hésitez pas : 01.80.20.39.21.
Retrouvez "On marche sur la tête" sur : http://www.europe1.fr/emissions/on-marche-sur-la-tete

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Transcription
00:00Je voulais dire aux auditeurs d'Europe 1, merci en tout cas d'être avec nous et d'être déjà nombreux à nous appeler en haut standard pour réagir et je vous le dis, il y a des bonnes nouvelles.
00:09Vous savez, il n'y a pas 36 manières de savoir si une émission prend, si une émission commence à marcher.
00:16C'est très simple, vous attendez, vous faites l'émission et vous vous attendez le lendemain matin de vous réveiller et d'attendre les coupures de presse.
00:22Et il y a ce qu'on appelle les grands chlemmes, quand vous avez un article dans Télérama, à charge, je dis bien.
00:28Quand vous avez Télérama, Le Monde, Libération et l'Humanité, c'est le grand chlemme avec les G.I.O, c'est Rideau, vous savez que vous allez avoir le ballon d'or, vous êtes le Lionel Messi des médias.
00:45Alors je voudrais revenir bien sûr sur les articles qui sont tombés, alors il y a eu le Parisien aussi également, bon le Parisien, c'est Kevin Boucher, on le connaît, le journaliste Kevin, il a fait le boulot.
00:54Après ils ont repris le post Instagram d'une jeune fille, Judith Schemla, que je ne connaissais pas, qui est actrice et autrice, je ne savais pas qui c'était, qui avait dit que les équipes de Cyril Neunaz sont arrivées en une seule consigne, faire campagne pour le RN, Sophie Davant hurlait et les a traitées de fachos.
01:06Alors on n'a jamais vu Sophie Davant hurler, d'ailleurs même dans la vie, tous les jours, Sophie Davant n'hurle jamais, sachez-le, ce n'est pas le style de Sophie Davant.
01:12Bien entendu encore, mais comment on peut inventer des choses comme ça et comment un journaliste peut le reprendre ?
01:17Et il a dit derrière, bien sûr, du grand n'importe quoi, Sophie n'était même pas au bureau vendredi soir, cela rajoute de l'huile sur le feu pour rien, donc voilà, il a fait le boulot.
01:24Alors, Télérama, pfff, Télérama, alors je ne lis jamais Télérama, vraiment Télérama, je ne lis jamais, et là je suis tombé dessus parce qu'on me l'a envoyé, c'est Élise Rack, la journaliste, elle a même dit, alors à un moment vous savez, hier j'ai dit que le standard était un peu calme pour faire une vanne, et en fait elle a repris, elle a dit, ils ont même dit, le standard fut bien calme, donc elle a repris.
01:45Même le second degré, donc ça ne passe pas, d'accord.
01:47Ça, ça a été repris dans Le Monde, c'est Hélène Beckmésian, Hélène Beckmésian qui a dit ça, en fait, et je voulais dire merci aux auditeurs d'Europe 1 parce qu'hier, on a fait un record d'appels sur Europe 1, donc merci à vous, ils ont appelé surtout pour savoir si Gauthier Lebray allait passer son CAP coiffure, mais les gens ont énormément appelé, ça c'était dans Le Monde, il y avait Hélène Beckmésian avec qui je me suis déjà accroché sur Twitter, je lui ai laissé des messages persos, elle ne m'a jamais rappelé.
02:13Voilà, elle ne m'a jamais répondu, donc elle préfère me répondre dans ses pages du Monde, voilà.
02:18Et elle a dit que les chroniqueurs s'en prennent à l'alliance de Brick et de Broc du Nouveau Front Populaire.
02:23Ça c'est mon expression, Brick et Broc.
02:25Je sais que vous venez des antiquaires.
02:30Et pour eux, on a passé l'émission à dénoncer ceux qui sont persuadés d'être dans le camp du bien.
02:36Libération, ils ont écouté En Marche sur la Tête, l'émission aux 50 nuances de droite de Cyril Hanouna sur Europe 1, au menu des opinions variant de la droite à l'extrême droite.
02:45Aujourd'hui il y a Gilles Vernez, donc on espère que Libération, ça va leur faire du bien.
02:52Qu'est-ce que vous pensez de tout ça les chéris ? Parce que c'est vrai que c'est fou quand même, ils se tirent une balle dans le pied tout seuls.
02:58Je vous le dis, on a l'impression qu'ils ne parlent pas au français, qu'ils sont derrière leur ordinateur ou je ne sais où, et qu'ils sont dans leur tour d'ivoire et ils ne voient pas ce qu'il se passe.
03:07Je ne comprends pas. On en rigole, mais c'est vrai que c'est fou quand même ces gens.
03:12C'est assez drôle, il y a un côté comique, mais en fait ils vivent dans un pays parallèle.
03:16Donc il ne leur arrive pas la même chose que le français moyen, ils ne vivent pas la même chose que le français moyen,
03:21donc ils ne disent pas la même chose que les français moyens qui, eux, écoutent l'émission, l'apprécient et savent que nous on parle de la vérité, de la réalité.
03:29Le réveil sera très brutal pour ces gens.
03:31Ce qui est pénible aussi c'est d'être tout le temps assigné, il faut qu'on ait tout le temps assigné les gens qui sont autour de la table par exemple.
03:38Il faut mettre des étiquettes sur ces gens-là, alors Valérie Benalim elle est comme ça, Cyril il est comme ceci, Raymond Abou il est comme cela,
03:44mais qui sont-ils pour savoir qui nous sommes réellement ?
03:46Ils ne le savent pas Valérie.
03:48C'est très désagréable et très réducteur en fait.
03:51Gilles Verdez.
03:52Moi ce qui me gêne c'est qu'on a l'impression que les articles sont écrits avant, que l'angle est défini par les boss ou par le journaliste,
03:58journaliste pouvant être choisi par le boss justement parce qu'il écrira ce qu'il faut écrire entre guillemets,
04:02et ça ça me gêne parce qu'en écoutant l'émission hier, je n'ai pas retrouvé dans les articles le contenu de l'émission, donc on est à côté.
04:08C'est ça, il n'y en a pas un, il n'y a pas un journaliste qui a dit est-ce que l'émission a roulé, est-ce que l'émission était de bonnes factures, rien.
04:18Ils n'ont jugé que l'émission parce qu'ils avaient écrit l'article avant.
04:22Justement pour nos auditeurs, pour les auditeurs d'Europe 1 qui nous écoutent à 16h09 dans On marche sur la tête, je pense que ça serait intéressant pour eux.
04:27Vous avez travaillé dans de nombreuses rédactions, Gilles Verdez, est-ce que ça se passe comme ça ?
04:31Est-ce que vous avez le directeur de la rédaction ou le rédacteur en chef qui vous dit il faut mettre une petite cartouche à ce mec-là, il faut envoyer, est-ce que ça se passe ?
04:38Oui, il peut y avoir une ligne éditoriale prédéfinie.
04:40Il peut aussi y avoir un patron de la rédaction qui dit tiens on va écrire un papier et qui va s'adresser au chef de service le plus malléable,
04:47qui va lui-même choisir le journaliste qui va s'exécuter.
04:51Donc ça dépend de la personnalité.
04:53Il y a des journalistes qui peuvent dire non moi je ne fais pas ça, j'écoute et je juge.
04:56Et il y a des journalistes qu'on choisit parce qu'ils pourront écrire ce que le grand patron voudrait qu'ils écrivent.
05:01Et c'est vrai que dans la presse qu'on dit mainstream, il y a des gens qui ont envie d'écrire de manière hostile par rapport à vous, ce qui est dégueulasse.
05:08Eh bien écoutez, continuez à écrire en tout cas.
05:10J'embrasse ces personnes, donc Élise Rack, Hélène Beckmésian, Adrien Franck et autres.
05:15Continuez, n'hésitez pas et continuez à nous écouter aussi.
05:19Et si vous voulez nous appeler d'ailleurs, vous aussi, pour donner votre avis sur un sujet, n'hésitez pas.
05:22Les journalistes de Libération de l'Humanité, de Télérama, Standard Europe, 01 80 20 39 21, on vous attend au Standard.
05:30N'hésitez pas, ça va vous permettre d'arrêter d'écrire des sottises.

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