L’avocate, Sarah Saldmann, revient sur la dissolution de l’Assemblée nationale : «La dissolution ne me pose aucun problème, mais c’est la temporalité qui me pose une difficulté».
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00:00Ce sont des propos rapportés, il faut quand même être précautionneux sur ce point.
00:09La dissolution ne me pose pas de problème en soi, c'est la temporalité qui me pose une difficulté.
00:13On a les JO, ça fait je ne sais pas combien de mois qu'on en parle.
00:16Il aurait pu attendre septembre et ça veut dire une campagne éclair, une campagne accélérée
00:22et ça donne du grand n'importe quoi.
00:25En fait, c'est presque une saga télévisée Netflix.
00:27C'est-à-dire qu'on a vu la droite se fracturer, imploser, on a eu les Républicains, après on a eu Reconquête.
00:33Maintenant, on passe au Front populaire où on a Raquel Garrido qui est évincé,
00:37on a M. Ruffin qui dit qu'il n'a pas besoin de cette investiture.
00:41On se dit, mais jusqu'où ça va aller ? Ce n'est pas possible.
00:43Il aurait dû attendre septembre et faire les choses dans l'ordre.
00:46Les JO seraient passées et je pense que ça aurait été beaucoup plus apaisé.
00:50Il veut de l'apaisement, il pouvait avoir de l'apaisement.