• il y a 6 mois
Emission présentée par Alexandre Priam. Avec Quentin Cabanis, Antoine Mazère, Clément Combes, et Rémy Mességué et David Gérard en direct du Stadium de Toulouse.

4 temps forts de cette émission :
- Quelle équipe réalise la meilleure opération de la 25e journée du Top 14 ?
- En Haut de l'Affiche, quelle était la MEILLEURE affiche de cette 25e journée ?
- Focus sur la finale de Pro D2
- Toulouse - La Rochelle : le jour d'après pour le Stade Toulousain

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##AU_COEUR_DE_LA_MELEE-2024-06-02##

Category

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Sport
Transcription
00:00 Vous êtes au cœur de la mêlée sur Sud Radio, au cœur du rugby, du top 14, du rugby à 7, de la Pro D2, de la Nationale même sur Sud Radio.
00:09 On est d'ailleurs du côté de Madrid, on suit ce match du côté de Madrid entre la France et l'Australie pour cette finale du rugby à 7.
00:15 Petit point score avec Antoine Mazer.
00:18 Et l'équipe de France qui vient d'encaisser au retour de cette mi-temps un nouvel essai de Madison Levy pour l'Australie 14 à 7.
00:25 Mais il reste 4 minutes 30 à jouer encore pour l'équipe de France s'ils veulent revenir dans cette finale du 7 du côté de Madrid.
00:32 Et dans quelques instants ce seront les garçons qui seront en finale face à la meilleure équipe du monde.
00:37 L'Argentine maintenant a un mois et demi des Jeux Olympiques.
00:42 Donc c'est important de voir un petit peu le niveau du rugby à 7 français.
00:47 On va évidemment parler de top 14 ce soir avec Stade Toulouse, un stade rejeté au Stadium Monnistras dans quelques minutes.
00:53 Et tout à l'heure au coup d'envoi à 21h05 on vient de vivre aussi un match de top 14, Quentin Kévenis, avec des résultats dans cette 25e journée.
01:01 Exactement Alexandre, avec à l'instant Toulon qui avait trié clairement 52 à 10.
01:06 Les autres résultats de cette 25e journée avec hier en début d'après-midi le Racine 92 qui a battu Pau 24 à 15.
01:13 Succès de Lussab face à l'UBB 37 à 30.
01:16 Oyonnax a battu Bayonne 27 à 20.
01:18 Castres s'est imposé à domicile face au Stade Français 27 à 18.
01:21 Et puis succès de Montpellier face au Lourdes Rugby 41 à 26.
01:25 Tu l'as souligné tout à l'heure en 7, la finale des garçons ce sera à 20h26 pour être tout à fait précis contre l'Argentine.
01:32 Et puis un dernier mot avec Montauban qui va rester en Pro D2 la saison prochaine.
01:36 Les hommes de Sapia qui ont battu dans l'après-midi Narbonne 20 à 19 dans le barrage d'accession Alexandre.
01:44 On va tout de suite du côté de Narbonne avec Pierre-Philippe Lafonte.
01:47 Bonsoir coach.
01:48 Bonsoir, bonsoir à tous.
01:50 Dans le bus de l'équipe, c'est ça sur le retour à Montauban là ?
01:54 Sur le bus, je me suis isolé un petit peu parce que après une...
01:58 On peut s'isoler dans un bus ?
02:00 Oui, oui, ça reste toujours un problème.
02:02 Si quoi, devant à côté du chauffeur, généralement c'est un peu plus calme qu'en plein milieu avec la base et les bières.
02:08 Donc voilà, je trouve un petit endroit pour pouvoir me répondre.
02:13 Bon voilà, si vous nous écoutez sur Soudradio, vous êtes au cœur du bus de l'USM Sapiac sur le retour vers Montauban.
02:20 Montauban, pour parler de retour, et bien ce n'est pas un retour en Pro D2, mais ça a été proche d'un départ de ce championnat.
02:30 Montauban est maintenu.
02:32 Oui, tout à fait.
02:33 Une deuxième partie de saison compliquée, vraiment très très difficile à partir du mois de janvier, alors qu'on était 6e à la Fred.
02:40 Très compliqué, ce qui nous a amené à dégrégoler au 4e et à se trouver 15e à l'issue de la journée, la 30e journée.
02:47 Donc voilà, on avait envisagé ce match de barrage.
02:50 Envisager et le faire, c'est deux choses.
02:52 On l'a vu à notre entame de match et puis notre première demi-heure a été complètement catastrophique.
02:57 On est passé à côté, on a été pris, on a été stressé, on était fébrile.
03:02 Et puis voilà, on s'est repris.
03:04 Même si tout n'a pas été parfait, on a été chercher le point qui nous a permis de passer devant à la 74e, je crois, et de le garder, de se maintenir ce soir en Pro D2.
03:15 On va laisser d'Yvan Réjac un point d'écart seulement à la fin de cette partie pour ce premier Access Match de l'histoire entre la Nationale et la Pro D2.
03:25 Pierre-Philippe Laffont, on se connaît, on vous a régulièrement sur Sud Radio.
03:31 C'est pour ça que je me permets un peu la question qui peut fâcher, la question un petit peu tendue.
03:37 Pierre-Philippe Laffont, avec ce succès et le maintien de Montauban Pro D2, est-ce que vous serez toujours coach de l'USM la saison prochaine ?
03:48 Bonne question, mais ce n'est pas à moi de la poser.
03:51 Moi ce soir, je suis content, je vais boire des bières, je vais s'occuper avec mon groupe, avec mes joueurs, avec mon staff.
03:57 On va s'amourer, on va se soulager.
03:59 Vraiment notre saison de départ a toujours été très compliquée.
04:02 Donc on va s'amourer. Demain ça se retrouve, jour et on verra.
04:05 Moi je suis sous contrat pour la saison 2024-2025, on verra.
04:09 Aujourd'hui, il est important de gagner, que le club soit en Pro D2 la saison prochaine.
04:14 Parce que voilà, il y a des joueurs en séquipe, des joueurs importants en espèce technique.
04:19 Donc c'était important aussi pour eux de faire partie de l'équipe, de laisser le club en Pro D2.
04:24 Il y a 10 ans, le club était champion de France, ce jour-là.
04:26 Donc c'était important de rester dans l'histoire et de ne pas devenir honteux.
04:31 Ce groupe a décidé de rester dans l'histoire et j'ai envie de m'associer avec eux.
04:34 Et on souligne aussi à quel point parfois la stabilité peut être importante dans le rugby.
04:40 Dans un club qui a été assez instable ces dernières années, peut-être qu'un peu de stabilité peut amener des résultats.
04:46 Bon, ce soir, est-ce qu'il y aura quand même un peu de modération à Montauban ?
04:50 Ou pas trop trop quand même, avec les joueurs ?
04:52 Non, pas de modération.
04:56 Après un match comme on l'a vécu, une ambiance de feu, c'était magnifique.
05:02 On partage fort l'amitié, vraiment, 10 000 personnes, 2 000 tapis à cain.
05:06 Donc non, on s'est régalé, mais il y avait quand même une pression sur les épaules qui était terrible.
05:10 Tu vis ta vie perso, tu vis ta vie professionnelle, tu vis tout du club.
05:13 En étant dans le national, tu perds le statut professionnel, le centre de formation perd l'agrément.
05:18 Tu perds le droit de sélection de la Ligue.
05:22 Il y a énormément d'enjeux, sportifs, financiers, contractuels, réglementaires.
05:26 Voilà, ça aurait été une catastrophe pour l'USM.
05:28 Et on a su être à la hauteur, et on a su rester dans les clous et permettre à l'équipe et au club de s'y maintenir.
05:36 Bon, merci beaucoup Pierre-Philippe d'avoir été avec nous.
05:39 Vous n'avez pas un petit micro pour dire dans le bus que les joueurs sont en direct sur Sud Radio ?
05:43 S'ils veulent nous faire un petit coucou aux amoureux de rugby sur Sud Radio, ils sont les bienvenus.
05:47 Il n'y a pas de problème, on vous écoute.
05:49 Si je prends le micro et que je coupe la musique, je crois que je vais me faire tuer.
05:54 Ah ah ah, oui, ce serait embêtant.
05:57 Ils ont carte blanche, il faut 7 qui veulent ce soir.
06:00 Oh là, c'est parfait, on prendra des nouvelles quand même.
06:03 On espère que tout va bien se passer.
06:05 En tout cas, soirée de fête à Montauban.
06:09 Tout à fait.
06:10 Ah ben ça c'est beau, c'est très beau.
06:11 Merci beaucoup Pierre-Philippe d'avoir été avec nous.
06:13 On se retrouve la saison prochaine en Pro D2 parce que Sud Radio sera toujours le plus grand diffuseur radio de ce magnifique championnat de Pro D2.
06:19 Merci beaucoup Pierre-Philippe.
06:20 Merci beaucoup, merci pour votre hommage.
06:23 Merci beaucoup.
06:24 Merci beaucoup.
06:25 Vous vivez l'intérieur du bus de Montauban avec le coach de l'USM et le maintien des Montalbanais en Pro D2.
06:34 On va évidemment revenir sur toutes les infos du week-end avec Anta Cabelli dans un instant.
06:38 Mais d'abord, une info toute chaude, la France vient de s'incliner en finale du 7 Series à Madrid.
06:45 Et il n'y a pas eu vraiment photo honnêtement cet après-midi.
06:50 La marche était trop haute pour les filles de David Cortex qui s'inclinent 26 à 7 face à cette équipe d'Australie, deuxième nation mondiale.
06:58 Et c'est un petit peu la bête noire de l'équipe de France qui a du mal à gagner une seule victoire cette saison.
07:03 C'est du côté du Canada à Vancouver mais sinon que des défaites face à cette équipe australienne depuis un petit moment maintenant.
07:10 Franchement, il n'y a pas eu match quoi.
07:11 Oui et puis emmené par Charlotte Gastly qui faisait son retour également dans l'effectif de l'Australie,
07:16 une des plus grandes joueuses de l'histoire du rugby à 7 australien.
07:19 Madison Levy qui a fait un match exceptionnel, deux essais marqués.
07:22 Mais les Françaises quand même, la bonne nouvelle c'est de les voir en finale,
07:26 c'est de les voir pouvoir matcher quand même avec ces équipes là à quelques mois, à quelques semaines maintenant des Jeux Olympiques.
07:32 L'objectif ça restera une médaille pour l'équipe de France et si elles sortent le même tournoi qu'elles ont fait du côté de Madrid,
07:38 on devrait être rassuré parce qu'elles ont quand même une médaille d'argent à aller défendre qu'elles ont récupéré du côté de Tokyo il y a maintenant quelques années.
07:45 Merci beaucoup Antoine Mazer.
07:47 On va faire un point sur toutes les news rugby parce que c'est vrai qu'il s'est passé beaucoup de choses.
07:51 On a vécu de la Pro D2 jeudi et vendredi, on a vécu du Top 14 hier et aujourd'hui, c'est pas fini.
07:57 Le rugby à 7, beaucoup de choses à aborder avec Quentin Cavanis avant de se projeter dans quelques instants sur une question brûlante.
08:03 Quelle équipe a réalisé la meilleure opération de cette 25e journée ?
08:06 Ça c'est pour dans un instant mais Quentin Cavanis d'abord est prêt avec les infos.
08:09 On va commencer justement avec les demi-finales de Pro D2 qui avaient lieu cette semaine.
08:14 Ça a démarré le 30 mai avec Aix-en-Provence-Grenoble, match serré au final.
08:19 Les grenoblois se sont imposés à Aix 23 à 22.
08:22 Deuxième demi-finale vendredi soir avec Van Beziers, là encore une fois un match serré avec un succès breton 27 à 21.
08:29 Du coup, la finale d'accession en Top 14 aura lieu le 8 juin.
08:33 Ce sera à Toulouse à 17h30 et elle opposera Grenoble à Van.
08:37 En Top 14, ça a démarré hier avec le succès du Racing 92 face à la section Paloises 24 à 14.
08:42 Le SAB a battu l'UBB 37 à 30, victoire d'Oyonnax face à Bayonne 27 à 20.
08:47 Castra a battu le stade français 27 à 18. Le MHF s'est imposé face au Loup 41 à 26.
08:52 Aujourd'hui, Toulon a battu clairement 52 à 10 avant la rencontre de ce soir.
08:57 Toulouse-La Rochelle, ce sera à 21h05.
09:00 Antoine Mazère, venez-en de vous le signaler, les français se sont inclinés en finale du tournoi de Seven à Madrid face à l'Australie.
09:07 Les garçons, eux, joueront leur finale, ce sera à 20h26 face à l'Argentine.
09:14 Merci beaucoup Quentin Kévenis. Alors, quelle équipe a réalisé la meilleure opération de cette 25e journée ?
09:18 C'est le premier débat du soir dans cette radio libre rugby.
09:22 Il venait d'ailleurs d'intervenir au 0826 300 300.
09:26 Est-ce l'USA Pécastre qui peuvent toujours rêver de Top 6 ?
09:30 Est-ce le MHR qui retrouve de la confiance ?
09:32 Le Racing 92, solide, en défense.
09:35 Enfin, Toulon qui explose clairement aujourd'hui 52 à 10.
09:40 Qu'est-ce que vous retenez ? Quelle est selon vous la meilleure opération de cette 25e journée ?
09:46 Je crois entendre le stadium.
09:48 Tu entends bien le stadium.
09:50 Salut Dami, David Gerrard et Rémi Messeguet, salut les gars.
09:53 Salut Alexandre, salut à tous. C'est bien la musique du stadium.
09:58 C'est les Dami ou les Révides, comme vous voulez mes cheveux et ça plus joli.
10:03 La soirée commence bien.
10:05 Ça va les gars ?
10:06 Salut à tous.
10:07 Très bien.
10:08 Ça va très bien.
10:09 Ça va beaucoup mieux qu'il y a 5 minutes.
10:11 Ça s'annonce très très chaud mes amis.
10:14 Ça s'annonce très chaud, les chemises ouvertes.
10:17 Chez l'endort qui brille.
10:19 C'est parfait.
10:21 Si vous avez l'occasion de mettre la vidéo, on serait très heureux de vous voir tous les deux.
10:26 Notre petit couple du côté du stadium.
10:28 On va essayer de voir si on peut mettre ça en place.
10:30 Je vais voir ce que je peux faire.
10:32 Alors, quelle équipe réalise la meilleure opération de cette 25e journée ?
10:35 On a Léo de Bayonne au 0826 300 300. Salut Léo.
10:39 Bonsoir. Bonjour, bonsoir.
10:42 Comment ça va ?
10:44 Ça va plutôt bien.
10:46 Bon, c'est pas Bayonne.
10:48 Oui, voilà.
10:49 Quand il l'a annoncé, c'est pas Bayonne.
10:51 Alors, quelle équipe réalise la meilleure opération selon toi Léo ?
10:54 Moi, j'ai envie de dire Perpignan.
10:58 Même si celle qui m'a fait la plus forte impression c'est Toulon à l'instant.
11:02 Mais j'ai envie de dire Perpignan quand même.
11:05 C'est vrai qu'après le match à Bayonne, on voyait pas mal de certains dire "ouais, pour le top 6 ça va être compliqué".
11:11 Finalement, avec ce succès quand même assez important et prestigieux contre l'UBB,
11:17 il se donne le droit de rêver avant la dernière journée avec un déplacement à Pau qui eut pour le coup on raté le coche.
11:24 Donc voilà, j'ai envie de dire Perpignan même si on castre aussi battre le stade français.
11:31 Et quand on a vu Bayonne, la prestation qu'ils ont fait contre Yonax et surtout les nombreuses blessures,
11:37 ils auront eu aussi un coup à faire à Jean Daugé la dernière journée.
11:40 Donc voilà, si je dois dire une équipe, je dirais Perpignan.
11:43 Et d'ailleurs Perpignan qui a marqué 176 essais cette saison.
11:48 Si je dis pas de bêtises, non, 176.
11:50 Il faut que je retrouve le chiffre.
11:51 Ça fait beaucoup, ce chiffre.
11:53 C'est 76.
11:54 Toulouse meilleur 95.
11:56 Donc 76, ça va faire beaucoup.
11:58 76, c'est pas mal par contre.
11:59 C'est 76 et c'est un record battu qui tenait de 75 en 2005-2006.
12:05 Record battu.
12:06 C'est l'essai de Croisdell qui a permis d'avoir 76.
12:09 Cette marque-là, selon Canal+ et notre confrère Jérôme Collin, le patron des stats chez Canal+.
12:17 J'essaie de retrouver exactement ce chiffre-là.
12:20 Mais ça montre aussi un petit peu cette équipe, à quel point elle est offensive, à quel point elle est intéressante à suivre.
12:26 Et franchement, pour le coup, c'est vrai qu'on prend beaucoup de plaisir cette saison à suivre LUSAP qui a fait une belle opération.
12:32 Et c'est effectivement 76 essais.
12:34 Et donc c'est mieux que 2005-2006 qui était leur record dans l'élite.
12:39 Je précise bien dans l'élite.
12:41 Donc Perpignan pour toi, Léo.
12:43 Pour David, David Gerrard, selon toi, quelle est la meilleure opération de cette 25e journée ?
12:49 Je te dirais Toulon.
12:51 Je te dirais Toulon pour plusieurs choses.
12:53 Aujourd'hui, rappelle-toi, on en avait parlé après leur victoire à Bayonne.
12:58 Je te disais que Toulon allait redevenir dangereux.
13:01 Et ils le sont clairement.
13:03 Et aujourd'hui, pour moi, Toulon est sûrement la rare équipe de notre top 14 pour moi qui peut vraiment mettre à mal cette Lusain.
13:10 Il leur faut énormément de confiance au Toulonais pour arriver en phase finale.
13:15 Et là, en faisant cette prestation-là face à Clermont qui jouait sa saison sur le match,
13:21 tu te dis qu'ils sont prêts.
13:23 Ça y est, les Toulonais sont prêts pour faire des phases finales.
13:25 Les Toulonais déjà en mode phase finale.
13:28 C'est ce que tu notes.
13:29 Rémi Mességuet, ton avis.
13:30 Quel est le club qui réalise la meilleure opération de cette 25e journée selon toi ?
13:34 Je vais faire plaisir à Quentin, je vais dire Castres.
13:37 Je vais dire Castres parce que...
13:39 Ah oui, tu peux dire que ça va plaisir à Quentin, je te confirme.
13:41 On parle beaucoup de Perpignan, que Perpignan peut faire un coup,
13:45 que pour Perpignan, il reviendrait de très loin,
13:48 mais finalement, les Castres ont exactement le même nombre de points
13:51 et ils ont une dernière journée à Bayonne qu'il n'y a plus rien à jouer.
13:55 Donc attention les Castres de ne pas finir 6e et de faire très plaisir à Quentin et à Cavani la semaine prochaine.
14:02 Oui, mais est-ce que les deux défaites face à Perpignan cette année, ça ne va pas être trop ?
14:06 Il faudrait prendre un coup.
14:08 Tu as celle du 31 décembre ?
14:10 Après, Perpignan n'a pas gagné la semaine prochaine non plus.
14:14 Je vois plus Castres gagner la semaine prochaine que Perpignan.
14:17 Tu as plus Castres gagner à Bayonne que Perpignan gagner à Pau.
14:21 Oui.
14:22 Pau doit jouer le top 6 aussi.
14:24 Pau joue à la Champions Cup en fait, il joue le top 8.
14:28 Et les deux aigles, tout à fait.
14:30 Il joue aussi le top 6, attention.
14:32 Alors que Bayonne, vraiment, il ne joue rien de rien.
14:35 Bayonne...
14:36 Clément Combe !
14:37 Clément Combe, il ne sait que parler, il regarde des espérées.
14:41 Pour compléter tout ça, vous bénéficiez aussi, Castres et Perpignan, d'un duel à mort entre le Racing et la Rochelle la semaine prochaine.
14:48 Aussi.
14:49 Et il y a moins de 4 points d'écart entre ces 4 équipes.
14:51 Après, il faut voir ce que la Rochelle fait.
14:53 On est avec un supporter Bayonné là.
14:56 Donc pour le Castre Olympique et la Bayonne la semaine prochaine, c'est de l'eau.
15:00 Léo.
15:01 De l'eau, quand même pas.
15:04 Je ne sais pas, j'écoute nos spécialistes, apparemment aller à Bayonne, à Jean Daugé, c'est facile.
15:09 C'est jamais simple.
15:11 C'est jamais simple d'aller à Jean Daugé, surtout là pour une dernière à domicile, devant leur public.
15:15 On reste sur une défaite à Auyonnax où on aura envie de relever la tête et de bien finir cette saison.
15:20 Donc évidemment, Bayonne, même si effectivement, contrairement à Pau, eux n'auront vraiment plus rien à jouer.
15:27 Ça ne veut pas dire qu'ils vont lâcher le match, ils vont tout faire pour l'emporter.
15:31 Donc ce serait évidemment compliqué.
15:33 Maintenant, c'est sûr que moi, je rejoins ce qu'a dit Rémi.
15:36 C'est vrai que je vois plus Castre aller gagner chez nous.
15:40 Déjà, vu les blessures qu'on a eues à Auyonnax, ça a été quand même une grosse hécatombe.
15:47 Et moi, j'ai aussi en tête le match Allee où on s'était fait vraiment rouler dessus à Castre, 37 à 0.
15:53 Ils avaient fait vraiment forte impression.
15:56 A nous aussi, on a une revanche à prendre sur ce match Allee.
15:59 Mais voilà, moi, on devait dire entre Perpignan et Castre, laquelle des deux équipes a plus de chance, en tout cas, avant ce match de l'emporter.
16:09 Je mettrais peut-être aussi une pièce sur Castre, même si j'espère une victoire de Bayonne, bien sûr.
16:14 Après, attention, il ne faut pas oublier Pau.
16:15 Moi, je pense qu'on oublie un peu vite la sélection Paloise qui a deux points derrière.
16:20 Mais ce n'est pas impossible, la sélection Paloise, elle va jouer une finale.
16:22 Alors après, elle a pris dans la gueule la sélection du côté d'Ausserre.
16:27 C'est vrai, mais écoutons d'ailleurs Sébastien Piccheroni.
16:31 Il était hier au micro de Julien Vert.
16:33 Il revient un petit peu sur ce déplacement à Ausserre.
16:36 Il y avait des grandes attentes pour la sélection Paloise.
16:38 Grandes attentes égale grandes déceptions.
16:41 Terrible déception, tant on espérait, tant on rêvait.
16:44 Mais bon, aujourd'hui, c'est le retour à la réalité.
16:47 Je pense qu'on a eu les opportunités.
16:48 On n'a pas su les prendre.
16:50 On n'a pas été assez précis.
16:51 Et ça nous montre qu'une équipe qui se qualifie tous les ans est précise, un peu plus pragmatique.
16:56 Donc on a certainement un fond de caisse intéressant.
16:59 Mais aujourd'hui, il nous manque trop de précision pour être à la hauteur de ces équipes.
17:02 Donc c'est frustrant.
17:03 La frustration, donc.
17:06 Est-ce qu'on a l'impression que la section a déjà un petit peu lâché
17:09 contre Akévenis sur les mots de Sébastien Piccheroni ?
17:12 Sur ces mots, peut-être.
17:15 Mais moi, je n'ai pas le sentiment que la section va lâcher quoi que ce soit.
17:18 À mon avis, ils vont jouer leur chance jusqu'à la fin de la saison.
17:20 Ils ont peut-être un peu moins d'espoir.
17:21 Mais moi, je me méfie énormément de cette équipe.
17:25 Vous pouvez voir Rémi Mességuet et David Gérard en direct du Stadium !
17:30 Sur sudradio.fr, sur l'application et sur Twitch.
17:34 On est en vidéo.
17:35 Est-ce qu'on peut dire que David est fier comme un coq ou pas ?
17:37 Peut-être par rapport au t-shirt.
17:40 Le t-shirt ?
17:41 On n'a pas vu venir ça là.
17:43 Merci Rémi !
17:44 Il croyait que j'ai fait une commotion en me disant "faites une commotion" !
17:47 Mais oui, j'ai compris !
17:48 J'ai failli faire une commotion parce que si les gens ont vraiment vu, tu m'as fait déjà un bisou.
17:52 J'ai joué deuxième ligne quand même !
17:54 Mais bon...
17:55 C'est abusé !
17:57 Merci !
17:58 Toutes nos excuses !
18:01 Mais évidemment, c'est vrai qu'il y a eu un très joli bisou entre Rémi Mességuet et David Gérard.
18:04 Évidemment, il y en aura encore plein d'autres dans cette soirée.
18:07 Tiens, on accueille un supporter toulonnais, c'est ça ?
18:11 Quand t'as qu'à Nice ?
18:12 En tout cas, c'est Nicolas de la Seine-sur-Mer qui est avec nous.
18:14 Peut-être pas supporter toulonnais, mais normalement quand t'es de la Seine...
18:17 Nicolas, salut !
18:18 C'est le cousin de Mathias.
18:19 Bonjour à tous !
18:20 Si, si, supporter de Toulon est très heureux !
18:22 Ah bah oui, tu m'étonnes !
18:23 Voilà !
18:24 Il a fait des captures d'écran de racas tout à l'heure qui tombaient face à Melvin Jaminet.
18:30 Bon, comment ça va Nico ?
18:32 Merci d'avoir composé le 0826-300-300.
18:35 Bon bah c'est une belle soirée pour le RCT.
18:37 C'est l'opération la meilleure de cette 25e journée selon toi ?
18:40 Ah bah si la Rochelle venait à perdre, oui !
18:42 Elle est sérieuse en place !
18:44 Après, il faut...
18:49 En tout cas, c'est une très belle opération.
18:51 Déjà c'est bien parce qu'en gagnant, on est sûr d'aller en fin de finale.
18:55 Ça faisait six ans qu'on n'y était pas allés.
18:57 C'était quelque chose en plus qui faisait toutes les attentions.
19:00 Et on s'est même trop supporté à en lire sur la gueule.
19:03 Parce qu'à un moment donné, on a cru qu'on n'y serait pas.
19:05 Donc on est déjà content.
19:08 Après, on verra le match de ce soir pour voir si on peut être tranquille,
19:12 on peut avoir l'esprit, pourquoi pas aller chercher une place directement en demi-finale
19:16 la semaine prochaine au Stade Français.
19:19 Mais déjà, en tout cas, d'avoir gagné aujourd'hui, c'est très très bien.
19:22 Et honnêtement, j'étais un peu stressé avant le match.
19:26 C'est fou, mais on avait tous apprécié.
19:29 Tous les supporters que j'ai pu avoir sur les réseaux sociaux,
19:33 on avait tous peur qu'on choque.
19:35 Donc, très content.
19:37 C'est intéressant ce que tu nous dis pour la semaine prochaine,
19:39 parce qu'à la base de nos infos, des infos sur le radio,
19:43 c'est que la semaine prochaine, ça devait vraiment être un énorme turnover au Stade Français Paris.
19:46 D'être une journée GIF, avec que des GIF sur le terrain quasiment.
19:50 Mais du coup, tu peux potentiellement aller chercher une demi-finale.
19:54 Mais est-ce vraiment profitable pour Toulon d'être directement en demi-finale ?
19:58 Est-ce que t'as pas envie de faire un barrage à domicile pour te rengaillardir à Mayol ?
20:03 Faire rugir Mayol une dernière fois cette saison, David Gerrard ?
20:06 Est-ce que c'est pas profitable d'être finalement en barrage à domicile, bien évidemment ?
20:10 Par du principe que t'as 50% de chance de te faire taper quand même.
20:14 Parce qu'un barrage, c'est un barrage.
20:16 Et t'es pas à l'abri, à mon avis, du déconvenu.
20:18 Aujourd'hui, le propre des équipes de top 14,
20:20 hormis quand même le stade depuis le début de l'année, c'est l'inconstance.
20:24 Ils ont tous une capacité à être monstrueux un samedi,
20:27 et le samedi d'après, se mafraient complètement.
20:29 Donc la problématique est que moins tu vas prendre de risques dans ton avenir,
20:35 moins tu auras de matchs à jouer, mieux c'est.
20:37 Et puis il faut penser à la fraîcheur.
20:38 La fraîcheur physique des joueurs, elle est importante.
20:40 Il fait de plus en plus chaud grâce à notre belle météo qui revient et le soleil.
20:45 Donc il faut préserver les joueurs et les organismes.
20:48 Pas à Paris, je peux te le dire.
20:50 À Paris, c'est un peu plus compliqué.
20:53 Il y a un microclimat à Paris.
20:54 Ah oui ?
20:55 Enfin, ben alors, il faut faire quelque chose là, s'il vous plaît.
20:59 Du côté de Paris, parce que plus personne n'en peut plus, c'est compliqué.
21:04 On est toujours avec Léo et Nicolas de Bayonne et de la Seine-sur-Mer.
21:09 Il y a quand même la déclin du week-end parce qu'on parle de bonnes opérations.
21:13 Il y a aussi des mauvaises opérations.
21:15 Alors Lyon, on ne peut pas vraiment dire que c'est une mauvaise opération
21:17 parce que de toute façon, il n'y avait rien à jouer.
21:19 Par contre, il y a une mauvaise image qui est laissée par le loup rugby sur la pelouse de Montpellier.
21:25 On rappelle la défaite 41-26.
21:27 Et 10 derniers matchs à l'extérieur, 10 gros coups de gueule de Baptiste Couilloux.
21:32 Celui-là, on ne l'avait pas vu venir.
21:34 Écoutez, c'est en conférence de presse d'après-match.
21:36 C'est une fessée des culottés. Honnêtement, c'est la honte.
21:39 La prestation qu'on a produit aujourd'hui, elle est horrible.
21:41 Honnêtement, elle est horrible.
21:42 Je n'ai pas d'autres mots parce que j'aurais pu imaginer avant le match
21:45 qu'en étant libéré, en ayant plus d'enjeux, on soit capable de jouer libéré
21:50 avec une certaine envie de jouer au rugby.
21:53 Aujourd'hui, quand je vois les 70 minutes qu'on fait après l'entame du match,
21:58 c'est catastrophique.
21:59 Je n'ai pas d'autres mots.
22:00 Je vois qu'il y a un paquet de joueurs qui n'arrivent pas à trouver des leviers de motivation pour être bons.
22:04 Je vois les prestations qu'on fait à l'extérieur.
22:07 Honnêtement, c'est calomiteux.
22:09 Je ne sais pas. Je pense qu'il y a beaucoup de joueurs qui ont triché toute la saison.
22:13 La preuve, elle est sur le terrain encore aujourd'hui.
22:15 Je pense que ce n'est pas possible de montrer ce visage à l'extérieur.
22:18 Ce n'est pas souvent qu'on a ce genre de déclat.
22:22 Il y a beaucoup de joueurs qui ont triché toute la saison.
22:24 C'est quand même rare, David Gerrard.
22:28 C'est grave comme accusation, quand même.
22:30 Ce n'est pas une accusation. C'est un constat.
22:33 Est-ce qu'on attendait le loup à ce niveau-là ?
22:35 Pour moi, le loup était armé pour jouer les 6.
22:39 Entre le budget, les joueurs, l'effectif, ils avaient triplé, quadruplé tous les postes.
22:45 Ils étaient armés pour.
22:46 Mais le problème, c'est que quand tu te retrouves armé pour des phases finales et que tu te retrouves à jouer le maintien...
22:51 Oui, je comprends Kouyou qui pète un petit peu un câble.
22:55 Heureusement qu'il l'ont.
22:56 Parce que lui, il fait une saison, par contre, dantesque.
22:59 Son équipe a fait pratiquement que reculer.
23:01 Mais c'est vraiment son rôle de dire ça, Kouyou ?
23:04 Je pense que c'est le rôle du coach, du président ou du directeur sportif.
23:09 Qu'il soit capitaine, emblématique, je veux bien.
23:12 Mais est-ce que c'est vraiment son rôle ?
23:13 Parce que là, franchement, il y a des mecs qui vont vouloir les tripler de dire ça.
23:17 Non, je ne pense pas.
23:19 Je pense qu'à un moment donné, c'est la réalité.
23:20 Aujourd'hui, de toute façon, qu'est-ce qui va se passer ?
23:22 Tu prends une déculottée comme ça.
23:23 C'est où ? Tu vires encore l'entraîneur.
23:25 Ce qu'ils ont déjà fait dans le passé, on virait un Garbage Doza,
23:27 qui a juste fait une demi-finale, pas plus que ça.
23:30 Et Baptiste Kouyou n'y avait pas l'air étranger.
23:33 Inconstance.
23:34 Ah bon ? Fan club pourtant, ils avaient fait une écharpe.
23:38 Et derrière, il se passe quoi ?
23:40 Il se passe que ça ne marche toujours pas, malgré des moyens colossaux.
23:45 Il faut dire les choses à un moment donné.
23:47 Il faut que les joueuses l'entendent.
23:49 Il faut qu'ils aient mal un petit peu.
23:50 Il faut arrêter de se cacher, surtout quand tu es un prétendant à la base
23:54 pour les phases finales comme le loup.
23:56 C'est vrai que c'est la situation au loup.
23:58 Moi je t'ai vu réagir, Rémi.
24:00 Les joueurs de la vidéo, vous pouvez nous voir sur sudradio.fr, sur l'application.
24:04 T'es surpris des propos de Baptiste Kouyou quand même.
24:07 Notamment quand il parle de tricher.
24:09 Je les avais lus, trichés, mais surtout,
24:11 ce qui est fou c'est de les lâcher en conférence de presse comme ça,
24:14 alors qu'on sait que Lyon a eu la réunion hype un petit peu cette saison.
24:17 J'ai l'impression que tous les lundis, on a annoncé réunion à Lyon,
24:20 suite à un échec à l'extérieur.
24:23 Ça fait deux ans.
24:24 Oui, voilà, mais à Lyon, il y a cette réunion hype.
24:27 Et l'impression qu'en fait, à quoi elles servent ces réunions ?
24:30 Pour que Baptiste Kouyou, il lâche ça en conférence de presse à l'arrivée.
24:34 Il y a un problème peut-être beaucoup plus profond que juste dire "on a triché".
24:40 Alors cet été, Lyon, on va voir ce qu'ils vont faire en plus.
24:43 Pour moi, s'il le dit dans la presse, c'est qu'il a l'impression
24:46 qu'en fait il le dit en interne depuis le début et qu'il n'est pas écouté.
24:50 Et qu'ils se sont obligés de le dire à tout le monde
24:52 pour que les dirigeants, ceux qui prennent des décisions, prennent leurs responsabilités.
24:56 J'ai quand même un peu l'impression que c'est ce que veut faire Baptiste Kouyou.
24:59 Moi, je pense que des réunions, tu peux en faire toute ta vie.
25:01 Si tu te racontes des saucisses et tu te mens, et tu te dis pas la vérité,
25:04 des réunions, tu peux en faire toute ta vie.
25:06 À un moment donné, des réunions, je pense qu'ils en faisaient une toutes les deux semaines.
25:10 D'après ce qui a été dit, t'imagines, ils ont dû faire une vingtaine de réunions cette année.
25:14 À un moment donné, des réunions, ça suffit, il faut acter.
25:16 Aujourd'hui, c'est ça qu'on demande, des actes, des actes rubistiques.
25:20 En fait, tu ne peux pas toujours gagner, mais par contre, tu dois à un moment donné te battre.
25:24 Parce que tu es professionnel, tu représentes un club.
25:26 Et là, je pense qu'il y a un trop plein.
25:28 Je pense qu'ils sont trop à se battre dans cet effectif, à l'heure actuelle.
25:32 Pour quelles raisons, j'en sais rien.
25:34 Mais c'est vrai qu'il y a des mecs qui ne jouent pas du tout à leur niveau.
25:37 Il y a de l'inquiétude. Léo et Nico, un dernier mot de votre part à tous les deux.
25:43 Vous le voyez comment, ce match ce soir entre Toulouse et La Rochelle ? Léo ?
25:48 J'attends un gros, gros combat.
25:50 C'est vrai que Toulouse, ils sortent d'un énorme match où ils étaient sur un petit nuage.
25:56 Et c'est vrai qu'on a vu quelques photos et quelques vidéos de joueurs pas très frais.
26:00 Mais ils ont bien raison.
26:02 Donc, on va voir comment ils vont être ce soir.
26:06 On a vu qu'Asset, Dupont, ça avait l'air d'aller.
26:08 Donc, il n'y a pas de raison que ses coéquipiers, ce soir, ça n'aille pas.
26:11 Après, La Rochelle, il y a des gros retours.
26:14 Si je devais dire un pronom, ma raison, je dirais Toulouse, mais mon cœur, La Rochelle.
26:18 Donc, c'est vraiment janvier du 50/50.
26:21 Et très, très hâte de voir ce que ça va donner entre les deux derniers champions d'Europe de ces quatre dernières années.
26:30 Ça va être un gros match.
26:31 Nico, comment tu le vois, ce match ce soir ?
26:35 Moi, j'aurais eu tendance à dire La Rochelle.
26:40 Mais après avoir vu Toulouse gagner à Montpellier avec beaucoup d'espoir et beaucoup de joueurs d'espoir et compagnie,
26:46 je me dis, est-ce qu'ils sont encore capables de faire un coup, surtout qu'ils sont en domicile ?
26:50 Donc, je vais dire aussi 50/50.
26:52 On verra. En tout cas, en gagnant ce soir, La Rochelle pourrait, comme elle reçoit le dernier match,
26:59 elle pourrait en tout cas se mettre bien au but de la qualification.
27:02 Donc, il faut voir ce qu'il y a pendant le présent.
27:04 Merci beaucoup, Nico, d'avoir été avec nous sur FIODRADIO.
27:08 Très belle soirée du côté de la Côte-Varoise, la Seine-sur-Mer et le succès tout à l'heure des Clermont-Toura,
27:13 52 à 10 des Toulonnais, 52 à 10 face à Clermont.
27:18 Dans un instant, sur FIODRADIO, c'est en haut de l'affiche.
27:20 Ils sont cinq ce soir.
27:22 David Girard, Rémi Mességuet, Quentin Kebben et Santoine Mazère et Clément Combe vont devoir défendre chacun une affiche de Top 14.
27:29 Et là, ce soir, je peux vous dire qu'il y en a qui n'ont pas vraiment choisi leurs affiches.
27:33 On va voir ce qui va se passer.
27:35 A tout de suite sur FIODRADIO.
27:37 FIODRADIO, au cœur de la mêlée, Alexandre Priam.
27:41 Vous êtes sur FIODRADIO, la radio du rugby et aussi la radio du rugby à 7.
27:48 Antoine Mazère, on vit cette finale France-Argentine.
27:51 Mais y a-t-il peut-être un essai de l'équipe de France pour Jean-Pascal Barac ?
27:56 Est-ce qu'il met le genou en touche ?
27:58 Arbitrage vidéo, je crois que oui.
28:00 On attend de savoir l'arbitrage vidéo.
28:02 Tu le disais, Jean-Pascal Barac, le joueur de l'équipe de France à 7, qui a marqué et qui a un genou, malheureusement, en touche dans cette finale.
28:09 Trois minutes de jeu entre la France et l'Argentine.
28:12 On rappelle l'Argentine, meilleure nation mondiale de rugby à 7, qui se retrouve en finale du côté de Madrid.
28:16 Antoine Dupont est sur le banc.
28:18 On rappelle, les filles ont perdu il y a quelques instants en finale face à l'Australie.
28:21 Exactement, 26 à 7 pour l'équipe de France face à l'Australie, qui s'incline en finale, qui termineront en deuxième de ce tournoi.
28:28 Et l'équipe de France, masculine, qui a déjà gagné un tournoi, on s'en rappelle, à Los Angeles, espère gagner juste avant les JO.
28:34 C'est le dernier tournoi avant les JO.
28:36 Et pour l'instant, 0-0, il reste 3 minutes 45 dans cette première mi-temps entre l'équipe de France et l'Argentine.
28:42 On n'hésite pas à intervenir en cas d'essai, côté équipe de France, du côté de Madrid.
28:47 On va rappeler les résultats de cette 25e journée.
28:51 Racing 92, Pau 24 à 15, Perpignan, Union Bordeaux-Megle 37 à 30, Ollona, Bayonne 27 à 20.
28:57 Castro, Stade Français Paris 27 à 18, Montpellier, Lyon 41-26. 0 de l'affiche.
29:03 En haut de l'affiche, qu'est-ce que c'est ? On va essayer de déterminer quelle était la meilleure affiche de cette 25e journée du top 14.
29:20 Il y a eu un top à la bachette dans l'équipe Sud Radio.
29:23 À partir de ce moment-là, il fallait choisir, m'envoyer un message.
29:27 Et le premier qui répondait avait le choix de son affiche.
29:30 Il y en a qui ont répondu "attends", il y en a qui ont répondu "en retard", il y en a qui ont choisi leurs affiches, il y en a qui ont subi leurs affiches.
29:38 Je crois qu'il y a eu tricherie.
29:40 Oui, bien sûr. Il y a encore Rémi dans le coup.
29:43 Je pense qu'il y a eu manipulation.
29:45 Il n'y a aucune manipulation.
29:47 Non, il n'y a aucune manipulation.
29:49 Moi, je ne suis pas d'accord.
29:51 Moi, on me dit de lire les conducteurs, le matin, je me réveille et je lis le conducteur.
29:54 Oui, mais ça nous aussi. Nous, on attend le top départ pour donner notre affiche.
29:58 On ne veut pas déranger les gens. On est dimanche, on n'a pas envie d'embêter les gens.
30:03 Si on a inventé le mot de silencieux, c'est pour ne pas les réveiller.
30:06 Oui, c'est vrai. Il y en a qui lisent les conducteurs. Bravo Rémi.
30:11 Tu veux un exemple Rémi ?
30:13 Pour tout le monde. Un exemple pour chacun de nous.
30:18 Alors, il y en a cinq. Qui va se lancer en premier ?
30:22 C'est moi qui décide parce que c'est moi qui ai gagné vendredi.
30:25 J'ai gagné avec une affiche qu'on m'a donnée au dernier moment et j'ai surclassé tout le monde.
30:30 C'est pour ça que je ne participe pas.
30:32 Généralement, après, il se passe des choses et les gens sont tristes.
30:36 Je préfère juste être juge et revenir sur mon humble fauteuil de juge
30:40 où je ne fais que décider du sort des gens.
30:44 Alors, qui va être le premier à se lancer ?
30:48 J'ai vraiment envie de mettre Rémi Messeguet tout de suite sur le feu.
30:54 Rémi Messeguet, 30 secondes pour défendre.
30:58 Quelle affiche, Rémi Messeguet ? C'est parti !
31:01 Perpignan et Nian Bordobègle, c'était l'affiche à ne pas rater hier
31:04 entre Perpignan qui voulait toujours rêver au top 6
31:07 et Lubebe qui pouvait toujours rêver à des demi-finales directes.
31:10 Et finalement, 67 points dans un match, l'occasion de voir Alistair Crosdale
31:14 déposer Damien Penon sur une course.
31:16 On ne le verra pas non plus tous les week-ends, un joueur déposer Damien Penon.
31:19 On a aussi eu droit à une pénalité de Thomas Soir en hand drop
31:23 alors que son ballon était tombé du titre.
31:25 Donc voilà, on s'est régalé, 7-7.
31:27 Et Perpignan peut toujours croire à ce top 6.
31:29 Un peu court.
31:34 Un peu court, ouais.
31:36 Il restait un petit peu, un petit peu court.
31:38 Il vient de me dire dans l'oreille qu'on lui dit souvent "on".
31:41 Excusez-moi.
31:46 Trop en avance ce matin, mais un peu court ce soir.
31:51 La devise de ma vie.
31:55 Donc Rémi Messegui qui s'appelle désormais Rémi "Un peu court" Messegui.
32:01 Rémi, qui est la deuxième personne à s'élancer ?
32:04 Tu as le choix entre Clément Con, Antoine Dazé...
32:06 David, c'est clair.
32:08 C'est moi, je l'ai apporté.
32:09 Je ne peux plus l'apporter.
32:10 C'est moi ?
32:11 C'est moi ?
32:12 Ou c'est toi ?
32:13 Oui, c'est toi David.
32:14 Il n'y en a pas 50 000.
32:15 David Jarre !
32:16 Ah, ça nous fait plaisir David.
32:18 30 secondes pour défendre quelle affiche ?
32:21 Ah bah, Castrostat France-Paris.
32:23 Allez.
32:24 Apparemment.
32:25 Quentin te déteste.
32:26 Tarn.
32:27 Tarn Andegrasse, 47 après la naissance de DG.
32:29 J'ai appris qu'Alexandre Dumas m'avait menti.
32:31 Les 4 mousquetaires, c'est pas Athos, Portos, Aramis et D'Artagnan.
32:35 Mais c'est bien Botitu, Nakozi, Nakarawa et Kokaji.
32:40 Et dans le sillage de leurs 4 soldats bleus, le capitaine de Daré Carré a sauvé la reine Davidson
32:47 des mains de l'horrible cardinal Guézal et de ses soldats roses.
32:51 Alors à Castres, on fait dans la littérature et on fait dans le rugby messieurs.
32:54 Donc j'en redemande.
32:55 Wow.
32:56 Oh oh oh oh oh oh.
32:58 Oh, il va falloir step up les autres.
33:01 Je vous le dis tout de suite.
33:02 Il va falloir step up.
33:04 Si je finis deuxième, ce soir je suis content.
33:06 Il a pas parlé du match.
33:08 Alors c'était beau.
33:09 Mais il n'y a pas besoin, Quentin.
33:10 Mais si.
33:11 Mais attends, tu l'as vu le match ?
33:13 Est-ce que tu l'as vu ?
33:14 Je l'ai vu le match, je peux te dire que j'ai bien vécu.
33:16 Et Quentin d'ailleurs voulait cacher la France et Paris.
33:19 Et comme tu as répondu avant lui, tu lui as pris.
33:22 Sache que c'était le choix de 30 Kevinis et ça lui a été subtilisé.
33:26 Et à la Nittan, il se passe des choses à cette.
33:28 Je sais, à la Nittan, les bleus sont devant, Antoine Mazère.
33:31 Et on a vraiment laissé dans le additional time, on appelle ça dans le temps additionnel du côté de Madrid.
33:37 Ah, vous êtes un autre groupe ?
33:39 Il sortait pas.
33:40 Il nous fait un festival ce soir, Antoine Mazère.
33:43 C'est chaud.
33:44 Et c'est Stéphane Parez qui permet à l'équipe de France de mener en tête à la mi-temps 7 à 5
33:49 face à cette équipe d'Argentine qui avait marqué le premier essai grâce à Gonzales en première mi-temps
33:55 et juste avant cette mi-temps, l'équipe de France qui marque un essai ô combien important de la part de Stéphane Parez 7 à 5.
34:03 L'équipe de France qui va devoir conserver cette avance pour remporter ce titre du côté de Madrid.
34:08 Stéphane Parez, le madrilen, lui passé par le lycée français de Madrid dans sa jeunesse, 7 à 5 à la pose.
34:14 On a donc entendu le haut de l'affiche de Rémi Mességuet qui avait choisi USAP, Union de Bordeaux-Belges.
34:21 On a aussi entendu celui de David Gerrard, très imagé, très littéraire pour ce Stade Français Paris-Castre.
34:26 Ça fait trop de mots français pour Antoine.
34:28 Qui est le prochain à s'élancer David ?
34:32 Antoine tiens !
34:34 Mouillez-vous la nuque !
34:38 Antoine Mazère, il a choisi Toulon !
34:45 C'est énorme !
34:46 Antoine Mazère, il a choisi un truc de fou.
34:50 Avant le match, il m'a dit "ce sera Toulon, Clermont" et il m'a répondu "match de De Glynsgow avec des essais dans tous les sens, tu verras".
34:57 Antoine Mazère, Toulon, Clermont.
34:59 C'est ce qu'on a eu Alexandre. Toulon attendait cette victoire pour pouvoir valider les phases finales, valider ce qu'ils arrivent à faire depuis quelques semaines.
35:09 Tout le monde se marre, je ne peux même pas être sérieux dans ce studio parce qu'on ne peut même pas travailler correctement avec des amateurs.
35:16 Tout le monde se marre, personne ne me respecte, tout le monde m'humilie et je ne peux même pas défendre la meilleure affiche de la semaine.
35:21 Toulon, Clermont avec des essais de De Glynsgow.
35:24 Bravo !
35:26 On a une texto qui m'a envoyé.
35:29 Qu'est-ce que vous avez vu ?
35:31 Quentin Cabenisse, c'est dégueulasse.
35:35 Magnéto, Quentin, on relance le haut de l'affiche d'Antoine Mazère.
35:41 On ne peut pas courir comme ça.
35:43 C'est de ma faute, il y a quelqu'un qui m'a dit dans l'oreillette, il bégait il y a quelques secondes et à cette seconde-là il s'est mis à bégayer.
35:51 C'est de ma faute, j'étais obligé de rire.
35:55 Quentin Cabenisse, on relance le tapis s'il vous plaît.
36:00 Pas de pression, ne t'inquiète pas.
36:02 Antoine Mazère, Toulon, Clermont.
36:04 Toulon, Clermont parce que...
36:07 Non mais on ne peut pas jouer avec des gens comme ça, ce n'est pas possible, j'entends des choses dans les oreilles.
36:11 Non mais Toulon, Clermont parce que...
36:13 Il y a eu plein d'essais dans ce match, on a même vu Raka faire du trampoline face à Melvin Jaminet.
36:18 On voulait se régaler, on s'est régalé.
36:20 Certes, le niveau rugbystique du côté de Clermont, ce n'était pas exceptionnel.
36:23 Ils avaient beaucoup parlé en conférence de presse, ils n'ont pas assumé.
36:25 Mais ce n'est pas grave, Toulon a retrouvé de l'énergie, des combinés, de la vitesse.
36:30 Et surtout, Toulon s'est qualifié pour les phases finales de ce championnat et peut espérer mieux.
36:34 On s'attend, c'est pareil.
36:36 Voilà.
36:38 Quand on te met dans des bonnes conditions, c'est mieux, forcément, Antoine Mazère.
36:42 Antoine !
36:44 Voilà, ça s'approche un peu plus de la moyenne, ça.
36:46 [Rires]
36:50 Ce sera à moi d'en juger, mais effectivement.
36:53 Antoine Mazère, quel prochain a s'est lancé ? Tu peux choisir.
36:58 Il a été trahi par Clermont.
37:00 Il y a eu Rémi.
37:01 Toi, tu as trahi aussi Clermont.
37:04 Il y a eu Rémi, qui est une personne honorable, respectable.
37:06 Ils sont déjà passés, eux.
37:08 C'est pour ça, je respecte.
37:10 Il y a eu David, qui est un peu chambreur, mais c'est pour s'intégrer.
37:14 Et puis, il reste deux personnes qui ne méritent même pas qu'on dise leur nom,
37:18 mais celui qui a le tee-shirt vert, qui s'appelle Clément Combe.
37:22 Clément Combe ! Qui a choisi ?
37:24 Racing Po !
37:26 Bien sûr que j'ai choisi Racing Po, quelle évidence !
37:29 Racing Po, c'était le duel entre les deux équipes les plus serrées au classement.
37:34 Le 6e contre le 7e. Le vainqueur faisait un pas de plus vers la qualification.
37:38 Le perdant, il faisait un grand pas en arrière.
37:41 Et oui, que dire ce match ? C'est parti sur des bases complètement folles.
37:44 Des séquences de plus de deux minutes.
37:45 Ça jouait dans tous les sens.
37:47 Et surtout, queue d'en avant, queue d'en avant.
37:50 Quasiment 60 coups de pied.
37:52 Plus d'une dizaine de mêlées, finalement.
37:54 Un nombre d'arrêt de jeu incalculable.
37:56 Alors oui, ce Racing Po, c'était clairement la meilleure affiche.
37:59 On a vu Thuisova traverser le terrain.
38:00 Et c'était la meilleure affiche pour faire la sieste.
38:03 Ah, le twist est bon !
38:05 La chute est bonne, parce que du coup, oui.
38:08 Nous, on dit la meilleure affiche, mais c'est des critères personnels.
38:11 La meilleure affiche, on ne dit pas que c'est la plus belle,
38:14 ou la plus rapide, ou la plus talentueuse, la plus technique.
38:17 Il a dit que c'est la meilleure pour faire la sieste.
38:20 Pourquoi pas ?
38:21 En plus, il était à 15h.
38:22 - Quentin Kébeniss. - Oui.
38:24 - Tu es le dernier. - Oui.
38:26 Tu restes sur 4 victoires sur les 5 dernières journées.
38:29 Il faut quand même le préciser.
38:31 - Tu as choisi une affiche. - J'ai choisi ?
38:35 - Alors, il a dit... - C'est un bien grand mot.
38:38 Il a dit "Je veux Narbonne-Montauban".
38:40 J'ai dit non. Il va faire "Qu'est-ce qu'il faut que je prenne ?
38:42 Ça va aller plus vite, j'en peux plus.
38:44 Je refuse de participer à cette mascarade."
38:46 Et puis, tu as fini par choisir Montpellier-Lyon.
38:48 Et du coup, il saccage les performances des autres.
38:50 Ah bon, j'ai choisi Montpellier-Lyon ?
38:51 Ok, j'ai choisi Montpellier-Lyon, je ne savais pas.
38:54 Montpellier-Lyon, donc cette magnifique affiche.
38:56 On a vu les Montpellierains justement se redonner de la confiance
38:59 avant un barrage à jouer pour pouvoir se maintenir en top 14.
39:02 Les Montpellierains, ils ont tout fait.
39:04 Carbonell a été en grande forme face aux Perches.
39:06 Sir Fontaine a été incroyable.
39:08 Il a inscrit un triplé dans cette rencontre face à des Lyonnais
39:11 qui n'avaient plus grand chose à jouer non plus.
39:13 Mais il fallait quand même aller chercher de l'espoir,
39:15 aller chercher de la motivation.
39:17 Et ça, les Montpellierains ont su le faire dans cette rencontre
39:20 avec ce succès large, 41 à 26 face aux Lourdes.
39:27 Intéressant.
39:29 Alors, avant d'avoir les délibérations,
39:31 d'abord, on lève les bras au ciel parce que là,
39:33 il se passe quelque chose à Madrid.
39:35 Antoine Mazère !
39:36 L'équipe de France qui vient de marquer un nouvel essai.
39:38 Jefferson Lijosef qui vient de marquer le deuxième essai
39:41 de l'équipe de France face à l'Argentine.
39:43 On rappelle, meilleure nation mondiale dans cette finale
39:46 du côté de Madrid juste avant le tournoi olympique.
39:49 L'équipe de France est en train de marquer un grand coup.
39:51 Pour l'instant, il reste un petit peu plus de 3 minutes à jouer.
39:55 Et la transformation de Jean-Pascal Barrack qui passe à l'été totalement en coin.
39:59 Cette transformation de Jean-Pascal Barrack, 14 à 5.
40:02 Il reste 3 minutes 30 à jouer pour les coéquipiers
40:05 de Jefferson Lijosef, Antoine Dupont et là également,
40:08 ils sont déchaînés, les Français, ils sont concentrés
40:10 pour aller chercher peut-être un titre exceptionnel
40:14 entre la France et l'Argentine.
40:16 7-7 + 2, ça fait 9 points d'avance pour l'équipe de France
40:21 à moins de 3 minutes 26 de jeu.
40:23 C'est chaud, c'est tendu, mais le petit break est fait pour les Français.
40:27 Si les Bleus remportent la finale des 7-Series,
40:30 on pourra parler de champion du monde.
40:34 Oui, c'est ça.
40:35 Ce n'est pas une coupe du monde.
40:36 C'est ce qui vient concrétiser le titre.
40:38 Finalement, c'est champion du monde.
40:39 Ça remplace la coupe du monde de 7.
40:41 C'est ça, exactement.
40:42 Donc on peut dire que c'est champion du monde.
40:44 Voilà, c'est le type de chip qu'ils appellent ça.
40:46 Champion de l'année, exactement.
40:48 Et Dupont, c'est 3 tournois, 3 médailles.
40:50 Et ça va peut-être être meilleur joueur du...
40:52 Attention, attention.
40:53 14-5 à un match...
40:55 Dans tous les cas, ça fera 3 médailles pour Dupont.
40:57 Oui, la médaille est faite.
40:58 Il a au moins la 1re place.
40:59 Il a mis 3 médailles dehors.
41:00 Il a fait or à Argent.
41:03 Il n'aura pas 3 médailles dehors.
41:04 Il a fait argent à Vancouver et or à Los Angeles.
41:07 Est-ce que les Bleus vont être champion du monde ?
41:09 Ils sont déchaînés.
41:10 On verra ça dans quelques instants.
41:11 D'abord, la délibération.
41:13 Vous avez entendu les 5 plaidoiries de nos en haut de l'affiche.
41:17 On termine à la 4e et avant-dernière position.
41:20 Ce soir, Antoine Mazer.
41:26 Oh, qui a perdu ?
41:30 Antoine ?
41:31 Oui ?
41:32 Ça va, ça passe ?
41:34 Il joue pour ne pas perdre.
41:36 Il est surtout défendu 2 fois sur ma face.
41:39 Je ne suis pas dernier, ça marche.
41:40 Tu sais à qui je suis né, non ?
41:41 Tu n'es pas dernier.
41:42 Ah oui, je ne suis pas dernier.
41:43 Non, mais c'est...
41:44 Voilà.
41:45 C'est une bonne journée.
41:46 L'équipe de France va me venger.
41:47 Très bien.
41:48 Donc 4e, Antoine Mazer.
41:49 3e, ce soir, Rémi Messic.
41:54 Podium comme Antoine Dupont, toujours une médaille.
41:57 Toujours une médaille.
41:58 Elle va être en or, je pense.
42:00 On arrive dans quelques instants.
42:02 En 2...
42:04 Je le sais, c'est de la France.
42:05 Quentin Cavani, je suis devant.
42:07 Et c'est 19 à 5 pour l'équipe de France.
42:09 Je voulais faire monter le suspense, mais il m'a hurlé dans les oreilles "Il fait de la France !"
42:13 Voilà.
42:14 Merci, merci Quentin.
42:17 Comment vous vous souviens de ce match ?
42:19 Oui, l'équipe de France va être championne du monde, Antoine Mazer.
42:22 C'est exceptionnel.
42:23 Paul en arriva comme un symbole.
42:24 Extraordinaire.
42:25 Paul en arriva la face de Dupont.
42:26 Paul en arriva la Gers-connexion de l'équipe de France,
42:29 qui permet justement aux hommes de Jérôme Darré de prendre un petit avantage.
42:33 19 à 5.
42:34 Il reste 1 minute 23 à jouer entre la France et l'Argentine.
42:38 Et comme tu le disais, l'équipe de France, sans grosse surprise,
42:42 va remporter ce titre à Madrid pour la première fois.
42:45 Sans grosse surprise ?
42:46 Sans véritable surprise, maintenant, parce que tout peut arriver.
42:51 Je pensais que tu me disais "on regarde la saison sans surprise".
42:55 Non, je parle du résultat.
42:58 S'ils se sont rattrapés maintenant, ça serait plutôt une grosse surprise.
43:02 Mais on sait jamais, c'est pas terminé.
43:04 Plié à dos.
43:05 Plié à dos complet.
43:06 Il faudrait marquer 50 secondes.
43:08 La France va être championne de cette saison du HSBC Sevens.
43:14 Championne du monde 2024.
43:17 Incroyable l'équipe de France.
43:18 A quelques mois des JO.
43:21 Il va y avoir un carton jaune pour Paul Arriva, non ?
43:25 Même pas.
43:27 En avant.
43:29 Pourtant il fait un en avant qui est très proche d'être volontaire.
43:33 Et la baraka est du côté des Français.
43:35 30 secondes à jouer dans cette finale.
43:38 Dans un retour des découvertes qui a remporté son haut de l'affiche
43:41 de la 25e journée du Top 14.
43:43 On rappelle un 4e Antoine Mazer, 3e Rémi Mességuet.
43:47 Qui sera 2e, qui sera 1er, qui sera dernier ?
43:50 Vous allez le savoir dans un instant.
43:52 Mais d'abord, les bleus se congratulent.
43:54 Antoine Mazer, Jérôme Darré, il est en feu au bord du terrain.
43:58 Les bleus vont être champions du monde.
44:00 On est désormais au-delà de la sirène.
44:02 Extra time.
44:03 Après Los Angeles, il y a quelques mois, l'équipe de France va remporter
44:06 un nouveau tournoi de rugby à 7.
44:09 Mais c'est le plus important peut-être de la saison
44:11 c'est les 8 meilleurs qui étaient conviés du côté de Madrid.
44:14 Et c'est l'équipe de France qui va sortir vainqueur
44:16 après une performance XXL face à la meilleure nation du monde.
44:20 C'était l'Argentine, l'équipe de France qui va s'imposer 19 à 5.
44:24 Thibaut Mazzolini est en pleurs sur le terrain.
44:27 Antoine Dupont congratule Elson Epee.
44:30 Et Ryan Rébaj, le frère de Swan Rébaj, ne veut pas taper en touche.
44:37 Il l'a joué vite.
44:39 Ils vont même se faire sanctionner les Français.
44:41 Mais l'équipe de France va s'imposer à Madrid.
44:44 Ça c'est une certitude.
44:46 L'équipe de France remporte l'édition 2024 du circuit mondial de rugby à 7.
44:52 C'est extraordinaire.
44:54 C'est extraordinaire ce qui est en train de se passer.
44:57 C'est monumental.
44:59 Et puis avec Dupont qui a été décisif en demi-finale
45:03 sur son essai face à la Grande-Bretagne.
45:05 Alors là, l'Argentine va marquer un essai
45:07 pour l'histoire, pour les tableaux de marque et pour les livres.
45:11 Mais ça va faire 19 à 10 à Platio-Milieu des Potos.
45:15 Ça va faire 19 à 12 avec la transformation.
45:17 L'équipe de France est championne du monde de rugby à 7.
45:20 Et début des chauves-fourrés.
45:21 Ouh là, il y a des coups.
45:22 C'est plus que des coups.
45:23 C'est une bagarre générale.
45:24 Il y a des très mauvais gestes.
45:26 Nelson Epee qui s'est fait retourner.
45:28 Chèchement, il y retourne d'ailleurs le Toulousain.
45:31 Là, il y a des très mauvais gestes.
45:32 Il y a des coups.
45:33 Il y a des coups.
45:34 Là, il y a Jean-Pascal Barac qui a dégainé une chiquette.
45:38 Incroyable !
45:39 Début de bagarre générale à l'issue de la finale.
45:43 C'est incroyable.
45:44 Jean-Pascal Barac, je crois qu'il a dégainé une chiquette.
45:50 C'est parti dans tous les sens.
45:52 Oui, mais attention parce que...
45:54 Il ne faut pas se faire suspendre pour les amis.
45:56 Jean-Pascal Barac est très énervé.
46:04 Il est mort.
46:05 Attendez, imaginez l'essai, il est aplati.
46:09 Et s'il arbitre, il y a une pénalité derrière l'essai.
46:12 Il y a une pénalité.
46:13 Non, parce qu'il fallait marquer 3 fois.
46:15 Ah, non.
46:16 Non, encore 3.
46:18 Non, non.
46:19 C'est possible.
46:21 Ce serait une FFL de légende.
46:24 De légende.
46:26 Ce serait prolongation malgré tout s'il y avait un essai.
46:30 Arbitrage vidéo.
46:31 Arbitrage vidéo.
46:32 On y revient dans quelques instants.
46:33 D'abord, le deuxième de sans haut de l'affiche,
46:35 parce que c'est un peu décousu tout ça.
46:36 Le deuxième de sans haut de l'affiche ce soir,
46:39 c'est donc Quentin Cabanis.
46:41 Ça va.
46:43 Le vainqueur de sans haut de l'affiche de la 25e journée du Top 14 est,
46:49 sans surprise, David Girard.
46:53 Clément Combe dernier.
47:02 T'as mis Quentin deuxième, je m'y attendais.
47:04 Antoine qui finit devant Clément dans son haut de l'affiche.
47:11 Oui, mais au moins j'ai respecté les autres adversaires.
47:13 J'ai pas essayé de saccager leur performance.
47:15 Carton rouge contre un Argentin.
47:17 La faute à l'Argentine.
47:19 C'est Isgro.
47:20 Il y a une fourchette sur Nelson Epee il me semble.
47:22 Il y a aussi un placard du NPO Cathédrale.
47:24 C'est Isgro qui prend le carton rouge.
47:27 Il n'y aura même pas essai.
47:28 Du coup, il n'y aura même pas essai.
47:30 Peut-être qu'Ariane Rebadj va vite la jouer.
47:32 Qu'est-ce qu'il nous fait ?
47:34 Je pense que là, il faut arrêter cette histoire.
47:37 Les Bleus vont être champions du monde.
47:39 C'est fait.
47:40 Les Bleus sont champions du monde de rugby à 7.
47:45 C'est énorme.
47:46 L'équipe de France qui s'impose 19 à 5 face à l'Argentine,
47:49 meilleure nation mondiale.
47:50 L'équipe de France qui avait terminé 5e tout au long de la saison
47:53 avec toutes les étapes de rugby à 7.
47:55 Et qui, lors de cette dernière étape ultime des champions,
47:58 les 8 meilleures équipes étaient combien ?
48:00 On le disait.
48:01 Et l'équipe de France qui va soulever ce trophée
48:03 sous les pleurs d'Aaron Grandidier et Thibaut Mazzolini.
48:06 Quelle est belle cette image, Alexandre.
48:08 À quelques semaines, on le disait, des JO,
48:10 l'équipe de France donne rendez-vous.
48:12 Incroyable soirée du côté de Madrid
48:16 dans ce Vendée Métropolitano, le Atlético de Madrid.
48:19 On va parler de Pro D2.
48:20 Désormais, bravo à l'équipe de France de Jérôme Darré
48:23 et à l'équipe de France aussi de David Cortex,
48:25 médaille d'or et médaille d'argent.
48:27 C'est extraordinaire.
48:28 Vice-champion du monde et champion du monde.
48:30 C'est extraordinaire.
48:31 Magnifique, le rugby à 7 français.
48:33 Parlons de la Pro D2.
48:34 Résultat des deux demi-finales, Kortakia-Venice
48:36 avec une finale annoncée entre Grenoble et Vannes.
48:39 Exactement, Alexandre.
48:42 Je retrouve ma fille, Chaye.
48:44 Elle était tombée par terre.
48:45 Aix-en-Provence qui s'est inclinée face à Grenoble,
48:47 23 à 22.
48:48 Et Vannes qui a battu Béziers, 27 à 21.
48:51 Finale le 8 juin à Toulouse, Grenoble-Vannes.
48:54 Merci beaucoup, Quentin.
48:56 Pour parler de la Pro D2, on accueille Nicolas Djebaïli.
48:58 Salut, Nico.
48:59 Salut, bonsoir.
49:01 Ça fait un moment qu'on ne s'est pas vu, Nicolas.
49:04 Il est là-dedans.
49:05 Ça fait quoi ?
49:07 On a commenté des matchs ensemble il y a plus de 10 ans,
49:10 je crois, sur Food Radio.
49:11 Il y a 10 ans, quelque chose comme ça.
49:13 Ouais, ouais.
49:14 8 ans, peut-être.
49:16 Il y a 8 ans, effectivement.
49:17 2016.
49:18 Tu venais de terminer ta carrière avec le Stade Rochelet.
49:22 D'ailleurs, toi, tu avais vécu de l'intérieur
49:24 au moment des phases finales de la Rochel,
49:26 qui sortaient de Pro D2, qui allaient quitter la Pro D2.
49:29 C'était d'ailleurs une après-midi de finale.
49:31 Et écoute, tiens, les mots de Patrice Colasso.
49:33 Profitez-en, je suis calme.
49:35 Par contre, vous, quand vous allez sortir,
49:37 c'est feu de tout au pas.
49:38 Oui, d'accord ?
49:39 Kiki, c'est feu de tout au pas.
49:41 C'est de la violence, c'est de l'engagement.
49:44 Rassi, Saz, Jaco,
49:47 sur la matraque.
49:48 Et matraque-moi des mecs !
49:50 Qu'ils apprennent, Djeb !
49:51 Qu'ils apprennent et qu'ils apprennent !
49:53 Et mettez-y la tronche, hein !
49:55 Aujourd'hui, si on fait les pourris,
49:56 on passera pas !
49:57 Défoncez-les, maintenant !
49:59 Voilà, c'était avant la demi-finale ou avant la finale ?
50:03 Nicolas Djebaili, c'était avant Agin, il me semble ?
50:07 Ouais, c'est possible que ce soit avant la demi-finale.
50:10 Avant Pau, alors ?
50:11 Avant les deux essais extraordinaires de Lépanie-Bottia ?
50:14 Si je me trompe pas.
50:15 Exactement.
50:16 Du coup, est-ce que Franck Jacob avait sorti la matraque ?
50:21 Non, on avait été raisonnable, mais ça s'est bien passé pour nous.
50:25 Et puis avec Lépanie qui marque deux essais coup sur coup,
50:29 le scénario idéal, en fait, sur une demi-finale,
50:32 ça s'est pas toujours passé comme ça.
50:34 C'est vrai, ça s'est pas toujours passé comme ça.
50:36 Parfois, ça a été des bagarres générales au hameau.
50:38 On s'en souvient aussi, t'étais jamais loin, c'est marrant.
50:40 Ouais, c'est marrant.
50:41 Yohann Vessels, et puis Nicolas Djebaili, Jordan Seneca,
50:44 mais t'étais jamais très très loin, Nicolas.
50:46 Pas le dernier.
50:50 Il faut bien s'occuper un peu sur le terrain.
50:52 C'est vrai.
50:53 Bon, alors, j'imagine que t'as suivi avec attention ces demi-finales de Pro D2.
50:58 Est-ce que la finale Grenoble-Vannes,
51:00 enfin non, c'est Vannes-Grenoble en l'occurrence,
51:02 est-ce que c'est la finale à laquelle tu t'attendais ?
51:04 Petite surprise côté Grenoble.
51:09 Non, après sinon, c'est des équipes qui ont dominé la Pro D2 cette saison,
51:16 donc il y a pas forcément de...
51:18 Enfin, il y a une logique qui a affecté.
51:20 Après, c'est vrai que je voyais plus l'exemple de Provence,
51:24 mais c'est la magie des phases finales aussi.
51:28 On est avec David Gerrard, deuxième ligne.
51:32 Toi aussi t'as évolué en deuxième ligne et en troisième ligne Nicolas Djebaili,
51:36 mais on est avec David Gerrard, sélectionneur de la Roumanie
51:39 et notre consultant Sud Radio.
51:41 Vous avez dû vous croiser j'imagine sur les terrains.
51:43 David, est-ce que toi aussi tu t'attendais à Vannes-Grenoble
51:47 et tu as la même surprise que Nicolas ?
51:49 Non, je suis assez surpris.
51:52 Je m'attendais surtout à voir Aix dominer à domicile.
51:58 Pas que Grenoble ne fasse pas la maille,
52:02 c'est surtout que je les sentais très fatigués
52:04 et ils avaient joué des matchs au cordeau
52:06 pour vraiment arriver dans cette position-là.
52:08 Et c'est pratiquement le même 15 de départ à tous les matchs.
52:11 Je me suis dit qu'ils ne vont pas être frais,
52:14 alors que les Provenceaux vont être frais.
52:16 Et ils ont fait un match dantesque.
52:18 Après, le Vannes-Béziers, je le sentais très en danger.
52:24 Et puis ça a failli être vraiment le coup des demi-finales.
52:30 C'est vrai que les Biterois n'ont pas fini très loin, 27-21.
52:34 Avantage à qui pour cette finale Nicolas Djebaili ?
52:37 C'est toujours délicat de pronostiquer ce genre de match.
52:43 Ça va être assez serré.
52:46 Est-ce que la vérité d'une saison se transpose en finale nécessairement Nicolas ?
52:50 Non, pas forcément.
52:52 Et nous, ce qui nous est arrivé à la Rochelle,
52:54 je pense qu'on n'était pas forcément les favoris,
52:58 mais avec une grosse dynamique, une grosse envie.
53:01 Donc ça avait tourné en notre faveur.
53:04 Mais c'est un moment différent, une finale.
53:09 C'est vraiment quelque chose d'à part.
53:11 Je pense qu'il y a peut-être un petit avantage pour Greume,
53:15 qui a réussi à battre Aix-en-Provence à 2 000 chiffres.
53:19 A voir.
53:22 Ce soir, il y a un petit Stade Toulousain, Stade Rochelet.
53:25 Ça ne mange pas de pain quand même.
53:27 On évoquera les compositions dans quelques instants.
53:31 Le grand Stade Toulousain, meilleur club du monde probablement.
53:34 Six titres européens, il y a huit titres européens sur la pelouse ce soir.
53:38 Mais il y a une semaine post-finale.
53:41 Est-ce que c'est une opportunité selon toi pour les Rochelets ?
53:44 Oui, c'est une condition qui est à prendre en compte.
53:48 Je pense que ça tombe à quelques bons moments pour les Rochelets.
53:52 Après, l'ambiance des Toulousains, je pense qu'elle est là.
53:56 Il y a du monde derrière.
53:58 Il y a une grosse Dymamique.
54:00 Et puis, faire le doublé cette saison, c'est peut-être sur les quatre derniers matchs qu'il faut la faire.
54:07 Donc, ça va être assez compliqué.
54:10 Maintenant, je pense que les Rochelets aussi ont l'envie de se qualifier
54:16 et de bien faire ce soir, parce que ça peut être un match coupé.
54:21 Il faut que, malgré tout, les Rochelets prennent des points.
54:27 Donc, le contexte n'est pas forcément le meilleur pour les Rochelets.
54:34 A voir.
54:35 Merci beaucoup Nicolas d'avoir été avec nous sur ce sujet.
54:38 Un petit pronostic pour ce soir ?
54:40 Délicat. J'aimerais la Rochel, mais pour les phases finales.
54:46 Je ne sais pas. Je pense que les deux équipes ont les moyens.
54:52 Après, il y a un peu l'usure du stade Toulousain par rapport à la finale.
54:56 L'usure, entre guillemets.
54:58 Donc, je me serais ce petit facteur qui peut être favorable aux Rochelets.
55:05 A voir ce que se disent les opportunités.
55:08 Tu as fait plus de 300 matchs avec le stade Rochelet.
55:11 Tu as fini à combien de matchs avec le stade Rochelet Nicolas ?
55:13 307.
55:15 Est-ce que tu penses que tu seras rattrapé par Bini Atonio,
55:18 qui joue ce soir son 300e match avec le club maritime ?
55:22 Il va passer largement.
55:25 C'est extraordinaire quand même pour un pilier.
55:27 Oui, pour un pilier et surtout un international.
55:31 Il a joué beaucoup avec l'équipe de front.
55:34 C'est une belle performance.
55:36 Très belle performance.
55:38 Mais avec Bini, ça peut être qu'en grand.
55:40 C'est vrai.
55:42 Merci beaucoup Nicolas d'avoir été avec nous sur Sune Radio.
55:46 Dans un instant, l'avant-match, puisqu'il y aura le coup d'envoi à 21h07 sur Sune Radio.
55:51 L'avant-match avec David Gerrard et Rémi Messayer en direct du Stadium.

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