• il y a 6 mois
Le député Renaissance, Louis Margueritte : «Il y a un peu une part de nous-même qui s’en va avec Bernard Pivot» dans #180minutesInfo 

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Transcription
00:00 Non, mais je crois que les hommages sont unanimes.
00:01 Il y a un peu une part de nous même qui part avec Bernard Pivot, sans doute,
00:04 parce que parce qu'on est tous...
00:06 Enfin, je veux dire, même moi, je l'ai connu à l'apostrophe à finir en 1990.
00:09 Moi, j'avais six ans, mais on a tous, comme je disais, des souvenirs,
00:12 soit d'une lecture, soit d'une émission, soit voilà, parce qu'il a quand même été
00:15 jusqu'à très récemment, en fait, sur la scène, sur la scène.
00:18 Vous passiez encore des images, je crois, de 2012, 2015.
00:22 Donc, on a tous des souvenirs émus.
00:24 Et c'est vraiment, il y a une forme, il a donné son cœur, il a mis son cœur
00:28 dans ce qu'il aimait le plus profond, la France, la langue française, les mots.
00:32 Et il les a fait partager assez largement.
00:34 En réalité, il n'avait pas une conception élitiste de la langue.
00:38 Et ça, c'est fort.
00:40 Donc, il avait cette intelligence de situation, cette intelligence du cœur,
00:42 sans doute aussi.
00:43 Et je vous dis, le souvenir que j'ai, c'est vraiment un souvenir très précis
00:46 avec des mots, certains mots, j'aurais du mal à le retranscrire aujourd'hui,
00:49 mais que je ne connaissais même pas à l'époque dans sa dictée.
00:52 Mais voilà. Et je me souviens que l'Assemblée,
00:55 enfin en tout cas, qui était retransmise à la télé, avait souri, avait ri, etc.
00:58 Donc, non, il arrivait à faire averre passé.
01:00 Donc, j'ai presque envie de dire au sourduet quel français part aujourd'hui.
01:03 Et donc, il faut évidemment le mettre à l'honneur,
01:06 comme il a mis le français à l'honneur.
01:07 C'est le titre que vous avez fait, que vous avez titré.
01:09 Vous avez eu raison de le faire comme ça.
01:10 [Musique]
01:13 [Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org]

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