Des étudiants mobilisés pour la cause palestinienne ont investi la cour intérieure de la Sorbonne ce lundi, avant d'être délogés par les forces de l'ordre à la demande de Gabriel Attal
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00:00 Moi je tiens déjà à dire que je rejoins largement ce que dit M. Guiraud.
00:03 On n'aurait jamais dû assister à ça, que ce soit à la Sorbonne ou à Sciences Po Paris.
00:07 On n'aurait jamais dû à ça, des occupations illégales, des blocages illégaux,
00:12 des slogans antisémites et pas seulement pro-palestinien, mais pro-Hamas.
00:16 Quand on chante, quand on a le même slogan que l'Hamas qui est "From the river to the sea"
00:20 et ce slogan "Veux la disparition d'Israël" est un slogan qui prône la disparition d'Israël,
00:25 c'est inacceptable.
00:26 Et M. Guiraud, je vous rejoins parce que si on avait eu un gouvernement qui aurait agi
00:30 et qui agirait en sanctionnant à chaque fois les bloqueurs, en sanctionnant ceux qui occupent illégalement une université,
00:39 on n'en arriverait pas là.
00:40 Si Mme Sylvie Retailleau, la ministre de l'Enseignement supérieur, au moment où finalement Sciences Po s'est soumise
00:49 aux militants pas juste pro-palestiniens, je le répète, aux militants pro-Hamas,
00:53 si Sylvie Retailleau avait agi et avait dit à Sciences Po "Non, vous sanctionnerez chacun de ces militants,
01:00 ce ne sont pas juste des militants, ce sont d'ailleurs la loi",
01:02 si Sylvie Retailleau avait fait ça, aujourd'hui on n'aurait pas ça à Sorbonne.
01:05 Et demain, parce que ça va arriver dans les jours suivants, on n'aurait pas l'ensemble des universités françaises qui vont s'embraser.
01:12 Tout ça à cause d'un lac.
01:13 C'est à cause de la France insoumise, donc M. Guiraud...