Le carrefour de l'info - Els Rochette (Vooruit)

  • il y a 5 mois
Els Rochette (Vooruit) était sur les ondes d'AraBel en raison de sa candidature aux élections 2024

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Transcript
00:00 Le Carrefour de l'info sur Arabelle.
00:03 [Musique]
00:06 Bonjour, bonjour à tous. Bienvenue dans votre Carrefour de l'information comme tous les jours.
00:10 Tout de suite, les titres. L'insécurité à Bruxelles.
00:13 Plusieurs coups de feu ont été tirés encore une fois hier soir, cette fois sur la place Annessens.
00:17 Et puis les violences liées à la drogue. Les bourgmestres du Parti Socialiste
00:21 appellent dans une carte blanche à une mobilisation sur le plan fédéral.
00:25 La campagne électorale 2024, suite comme tous les jours.
00:28 Aujourd'hui, notre invitée. Ce midi, elle se rejette, Voraït,
00:31 candidate aux élections du Parlement bruxellois.
00:34 En deuxième partie d'émission à l'international, la guerre à Gaza.
00:37 L'offensif sur Rafa serait pour bientôt, selon la presse.
00:40 L'armée israélienne prépare l'évacuation des civils avant son opération terrestre de grande ampleur.
00:46 Et puis au Maghreb, aéroport du Maroc.
00:48 Plus de 6,8 millions de passagers, fin mars.
00:51 Des performances qui s'expliquent par plusieurs facteurs,
00:54 comme la création de nouvelles routes aériennes et le renforcement des fréquences hebdomadaires.
00:59 Voilà pour l'essentiel du Carrefour de l'Info, qui démarre dans quelques instants.
01:02 Je vous le disais il y a quelques instants, les élections 2024,
01:12 dans le cadre de notre dispositif électoral tous les jours sur Arabelle.
01:17 Aujourd'hui, nous avons le plaisir de recevoir, elle se rejette, Voraït,
01:20 candidate aux élections du Parlement bruxellois. Bonjour.
01:23 Merci d'être avec nous sur Arabelle.
01:25 C'est un plaisir pour moi.
01:27 Alors si vous voulez bien, avant de parler du programme, de votre programme,
01:31 le programme de votre parti, on va faire un peu plus en connaissance.
01:35 Qui est un petit peu, elle se rejette un petit peu, son parcours, son histoire.
01:39 Ok, je suis forestoise, maman de trois enfants, de 17, 23, 27 ans.
01:46 Donc voilà, j'ai trois jeunes à la maison, enfin plus à la maison.
01:51 Des grands enfants.
01:53 Des grands enfants.
01:55 Je suis assistante sociale, formation, j'ai étudié à Bruxelles.
02:00 Et puis j'ai travaillé comme travailleuse de rue avec des garçons dans la prostitution pendant cinq ans.
02:08 J'ai donné cours quelques années et après j'étais directrice d'une maison d'air
02:13 pour primaires vivants, demandeurs d'asile au centre-ville, Globa Roma, ça s'appelle.
02:19 J'ai travaillé là pendant 15 ans.
02:22 Et puis il y a cinq ans, Pascal Smith et son équipe, ils sont venus vers moi
02:28 et m'ont demandé si je voulais m'engager dans la politique sur leur liste One Brussels.
02:35 Et voilà, j'ai reçu la deuxième place parce qu'ils voulaient élargir à des candidats non politiques, on va dire.
02:42 Et depuis je suis au Parlement bruxellois.
02:46 Pourquoi donc vous avez accepté et vous avez choisi plutôt vos reuils,
02:50 c'est votre expérience sur le terrain et le social qui vous amène vers le Parti Socialiste français ?
02:56 Oui, tout à fait.
02:58 Déjà mes choix dans le temps d'aller étudier pour l'assistance sociale,
03:03 c'était pour aider à améliorer un monde plus solidaire,
03:10 où tout le monde compte, où on essaie de tirer les personnes vers le haut qui ont des difficultés.
03:17 C'était ça la motivation de mon travail dans le temps.
03:21 Et c'est la même motivation dans la politique.
03:24 Et oui, les socialistes néerlandophones, c'est parfait pour ça, je me sens.
03:28 Alors, elle se rejette, on va parler sans abris, mais on dit beaucoup maintenant le "sans-chez-soirisme".
03:34 On sait qu'à Bruxelles, c'est fortement élevé, les chiffres sont inquiétants.
03:39 Comment on est arrivé là ? Comment expliquer un petit peu cette situation ?
03:42 C'est une situation qui s'est aggravée d'année en année.
03:47 On voit les chiffres du dénombrement.
03:50 Tous les deux ans, il y a un dénombrement qui est organisé par Bruxelles,
03:54 avec des centaines de bénévoles.
03:57 Et en novembre, il y a deux ans, en 2022, on avait compté 7200 "sans-chez-soiristes" sur notre territoire.
04:08 Le prochain dénombrement est déjà annoncé, ce sera en novembre.
04:12 Et tout le monde craint que le chiffre a seulement augmenté.
04:17 Et comment on est arrivé là ? Il y a plusieurs raisons.
04:22 Il y a déjà la crise de l'accueil au niveau fédéral par rapport aux demandeurs d'asile.
04:30 On estime que 2000 personnes qui normalement ont trouvé un accueil sont dans la rue maintenant.
04:39 Puis il y a la crise du logement à Bruxelles.
04:43 Les loyers sont de plus en plus chers.
04:47 Ça devient de plus en plus difficile d'avoir un logement ou de garder un logement.
04:52 Il y a le problème des personnes quand elles sortent de prison, qui n'ont pas de solution de logement.
05:04 Elles se retrouvent de nouveau dans la rue d'un jour à l'autre.
05:07 Il y a donc plusieurs raisons.
05:10 Mais la pauvreté qui augmente à Bruxelles, c'est une des grandes raisons.
05:16 - Alors, Vohreuth veut apporter des solutions, apporte déjà des solutions.
05:20 On rappelle que votre parti est à l'origine de la politique du "Housing First", notamment à Bruxelles.
05:25 Est-ce que ça fonctionne ? Est-ce qu'on a des résultats ?
05:27 - Oui, tout à fait. Je suis contente que vous vous rappelez que c'est Pascal Smet qui a mis ce dispositif en place.
05:35 Parce qu'on voyait déjà dans d'autres pays que c'était vraiment une vraie solution pour sortir les personnes de la rue.
05:47 Et ça fonctionne. Les chiffres de réussite sont énormes.
05:52 Je pense qu'il y a 90% des sans-abri qui sont relogés avec "Housing First", qui gardent leur logement.
06:01 C'est un dispositif qui est vraiment là pour les personnes qui sont en rue depuis longtemps,
06:08 et qui cumulent plusieurs difficultés, parfois de l'alcoolisme, des problèmes psychiques, des problèmes de santé, etc.
06:21 Et en les donnant un toit, c'est le début du parcours d'aide.
06:29 Avant, on disait qu'il fallait avoir une administration en ordre mutuel.
06:38 Et puis, c'est une maison, mais ça ne fonctionne pas.
06:42 Ça fonctionne vraiment, donner un toit aux gens, une sécurité,
06:46 et puis à partir de là, on va faire un travail sur tous les niveaux avec la personne.
06:54 Ça fonctionne très bien, mais je suis assez déçue de cette législation,
07:03 du nombre de "Housing First", il y a 90 dispositifs sur toute la région.
07:15 Ce n'est pas du tout assez par rapport aux 7000 personnes qui sont dans la rue.
07:21 - Les chiffres sont une évaluation, c'est juste la partie immergée de Weisberg.
07:25 On peut imaginer que les chiffres sont plus importants que 7000.
07:28 - Oui, tout à fait.
07:31 Maintenant, il faut dire que même dans le dénombrement, l'organisation Bruce Help,
07:38 c'est comme une coupole pour tous les secteurs sans abrisme,
07:41 faire en sorte qu'il y a plus de cohérence dans leur travail, plus de collaboration sur le terrain.
07:48 Bruce Help, qui a vu le jour il y a cinq ans, est très pointu dans le dénombrement.
07:56 Même la dernière fois, ils ont essayé de compter les "sofa surfers",
08:05 les jeunes, il y a beaucoup de jeunes, notamment des jeunes qui sont sans domicile fixe,
08:12 mais qui logent à gauche, à droite, etc.
08:16 On essaie aussi de...
08:19 - ...prendre en compte.
08:20 - Mais évidemment, c'est comme vous dites, ce n'est pas encore le total.
08:25 - C'est suffisant.
08:26 Un autre point qui vous intéresse aussi, qui vous interpelle, c'est la toxicomanie.
08:31 Un point sombre, on le sait, un point noir à Bruxelles.
08:34 Comment expliquez-vous ce problème dans la capitale ?
08:37 Comment lutter contre la toxicomanie pour aider toutes ces personnes qui sont en proie à ces addictions ?
08:43 - Oui, c'est un problème qui a vraiment émergé les dernières années.
08:49 Il ne faut pas le dire aux Bruxellois ou aux personnes qui viennent à Bruxelles.
08:53 C'est de plus en plus visible dans les métros, dans les rues, dans les places,
08:58 l'utilisation ouverte de drogue.
09:02 Une des raisons, c'est à nouveau le fait qu'il y a beaucoup de sans-abri,
09:08 le fait que les drogues qui sont maintenant sur le marché, le crack, sont moins chères et plus faciles à trouver.
09:21 J'ai remarqué pendant la Covid vraiment une augmentation énorme.
09:34 J'ai été pendant quelques mois dans la rue avec douche flux, avec les maraudes,
09:44 vu qu'on était à la maison en tant que députés, je voulais faire quelque chose.
09:50 Et là, on voyait vraiment déjà comment certaines jeunes, en quelques semaines,
09:57 c'était une dégradation totale de leur personne, de leur physique à cause de ces drogues qui nuisent énormément.
10:05 Il y a deux aspects aux problématiques de drogue.
10:11 Il y a la grande criminalité.
10:15 - Oui, on en parlera dans quelques instants.
10:17 - Voilà, on en parlera tout à l'heure. Je continue alors par rapport aux toxicomanes.
10:23 Pour vos rates, Brussels, c'est très important qu'on aborde cette thématique d'un côté de santé.
10:33 C'est des personnes qui ont vraiment un problème de santé.
10:38 Évidemment, parfois, il y a aussi des criminels, des vols.
10:42 Il faut traiter de façon criminelle.
10:47 - Mais il faut la prendre comme une maladie, en fait.
10:50 - Oui, on veut aborder ça comme une maladie.
10:54 Les gens doivent être pris en cherche.
10:58 Et voilà, il y a plusieurs piliers qui sont importants dans cette approche.
11:06 C'est la prévention, en premier lieu.
11:09 Le harm reduction, réduction des risques.
11:12 C'est là pour ça qu'il y a maintenant, que je crois très fort, les salles de consommation à moindre risque.
11:21 C'est aussi un dispositif qui a prouvé ses effets, notamment à Liège, mais aussi dans d'autres pays.
11:28 Si les gens qui consomment dans la rue ont un endroit safe pour consommer,
11:37 parce que ça, ils vont de toute façon consommer, ils en ont besoin.
11:41 Mais là, c'est encadré par la SBL Transit,
11:45 qui est vraiment spécialiste depuis 30 ans dans la toxicomanie en rue.
11:50 Et en même temps, les personnes sont prises en charge par un infirmier, un psychologue.
11:59 Et donc, du coup, c'est un peu un premier pas, une première porte vers la sortie de la toxicomanie.
12:07 Donc harm reduction, puis il y a aussi évidemment les traitements.
12:11 Et là, on voit qu'il y a aussi un grand problème.
12:15 Parce que si aujourd'hui, la personne toxicomane, elle se dit, je veux m'en sortir, je veux un traitement,
12:21 je veux aller dans une clinique de serage, c'est pendant des mois.
12:28 Et même s'il y a la mutuelle, c'est cinq mois d'attente avant qu'on puisse entrer.
12:33 Des listes d'attente énormes.
12:35 Donc là aussi, c'est quelque chose qu'on veut augmenter,
12:40 le nombre de places dans des centres psychosocials, etc.
12:44 Voilà. Alors la lutte contre la consommation de la drogue,
12:47 la lutte contre le trafic lié à la drogue et les violences qu'elle génère,
12:51 les événements récents qui se sont produits dans différents quartiers de Bruxelles.
12:54 On en parlait tout à l'heure, hier soir à Anessence.
12:56 On fait qu'accroître ce sentiment de peur chez les Bruxelloises et chez les Bruxellois.
13:01 D'où vient cette criminalité et comment apaiser ce climat lié à ce crime organisé quelque part aussi ?
13:07 Oui, d'où vient cette criminalité ?
13:11 On voit que c'est partout en Europe et dans toutes les grandes villes,
13:15 une augmentation vraiment d'un grave crime avec des armes, etc.
13:24 D'où ça vient ? C'est sûrement parce que c'est un business très lucratif.
13:32 On s'y avère facilement, beaucoup d'argent avec la vente de drogue.
13:38 C'est ça.
13:39 Et c'est... mais voilà.
13:42 Et on connaît aussi l'étiquette que le port d'Anvers a, par exemple, au trafic international de cocaïne.
13:48 Oui, tout à fait.
13:50 Et maintenant, je pense aussi que Bruxelles, quelque part, c'est une bonne cible pour le crime organisé.
13:59 Parce qu'ils ont aussi compris que la politique de sécurité est très éparpillée.
14:07 Qu'il y a plusieurs zones de police, qu'il y a plusieurs communes,
14:13 qu'il y a presque plus d'agents de quartier.
14:16 Parce que les agents de quartier, c'est important pour la cohésion dans le quartier,
14:25 pour que les riverains puissent tout de suite dire "Tiens, il y a un problème là, j'ai vu quelque chose".
14:31 Et il y a ça, enfin ça, sous l'autre... je pense que c'était sous le ministre Jambon.
14:40 Quand il était ministre de l'Intérieur, on a enlevé presque tous les petits commissariats ou les agents de quartier.
14:48 Le contact direct avec les riverains.
14:50 Et ça, les grands criminels, ils ont compris, évidemment, qu'ici, ils peuvent y aller plus tranquille,
14:56 que c'est plus difficile à être pris, parce qu'il n'y a pas une bonne coordination de la lutte contre la grande criminalité.
15:04 – Alors, dans une carte blanche, je le disais tout à l'heure dans les infos,
15:07 les bourgmestres PS de Bruxelles appellent à une mobilisation fédérale,
15:11 plus de policiers notamment, vous partagez leur position ?
15:15 – Oui, tout à fait, on partage tout à fait leur position.
15:19 Il existe quelque chose comme la norme KUL,
15:29 qui compte le nombre d'agents de police qu'on a besoin par résident.
15:35 Et à Bruxelles, ça n'a pas augmenté depuis 20 ans.
15:39 Mais notre population a augmenté avec 200 000 habitants en 30 ans.
15:47 Donc voilà, ça n'a pas du tout suivi, et on a, en tant que cosmopole et grande ville,
15:54 des défis, la capitale d'Europe, on a des défis énormes.
16:00 Et la police qui est active sur le terrain ne s'en sort plus.
16:06 – Alors, il faudrait plus de policiers et aussi une justice un peu plus ferme ?
16:11 – Oui, tout à fait, parce que ça c'est aussi un des grands problèmes.
16:16 Si maintenant la police sur le terrain, ils font leur travail aussi,
16:19 ils arrêtent régulièrement aussi des criminels, les petits ou les plus grands.
16:26 Et là, c'est important qu'il y ait une punition qui suit.
16:30 Je dirais, c'est important chez les grands criminels,
16:35 mais même ceux qui commencent avec des petits délits,
16:40 c'est important, s'ils sont pris par la police,
16:43 il faut prouver qu'ils ont vite une punition adéquate.
16:49 – Une politique de déssuasion.
16:51 – Oui, parce que maintenant, il y a un peu un sentiment d'impunité qui règne.
16:57 Et c'est aussi démotivant pour les policiers qui font leur travail
17:03 dans des circonstances difficiles, et en même temps, pour les criminels,
17:09 on se dit "Oh !"
17:11 – On va continuer, si vous voulez bien, Els Rochette,
17:14 le temps passe très vite, il nous reste encore quelques minutes.
17:16 – Ah oui.
17:17 – Vous défendez aussi une vie associative, culturelle, sportive et artistique dans Bruxelles,
17:23 est-ce que vous pouvez nous en dire plus ?
17:25 On sait que tout cela, c'est très vivant ici à Bruxelles,
17:28 où c'est cosmopolite, mais est-ce qu'on peut mieux faire ?
17:31 – Oui, je pense qu'on peut mieux faire, j'en suis persuadée.
17:36 Oui, on est une ville cosmopolite avec 187 nationalités,
17:42 énormément de cultures différentes, etc.
17:45 Et je crois que la cohésion sociale est très importante,
17:49 et les rencontres entre les diverses communautés,
17:53 les religions, les personnes de genre, etc.
17:57 Et ce monde associatif, les associations culturelles, artistiques,
18:04 ils jouent un rôle vraiment important là-dedans.
18:08 Et là aussi, pour prendre comme exemple la culture,
18:15 on voit énormément de projets, petits, grands, très importants,
18:22 mais de nouveau, par exemple, pour les artistes, c'est un labyrinthe Bruxelles.
18:27 Ça pourrait aussi être beaucoup mieux organisé,
18:30 on a 8 ministres qui sont compétents pour la culture dans cette région.
18:36 – Ça fait beaucoup, effectivement.
18:37 – Et donc voilà, et des procédures différentes, des subsides, etc.
18:42 Donc là aussi, on est convaincu qu'avec une politique régionale culturelle,
18:47 on pourrait encore faire beaucoup mieux de ce qu'on fait maintenant.
18:51 – Alors il nous reste encore deux petites minutes,
18:53 avant de nous quitter, El Sorochets,
18:55 si vous avez un message à faire passer, un mot de la fin justement,
18:59 si, je pense notamment aux jeunes, qui sont sensibles au discours de vos rôtes,
19:04 est-ce que vous avez d'autres arguments à faire passer ?
19:06 – Oh, j'en ai beaucoup, mais moi je pense que les personnes
19:14 qui nous ont suivies les dernières années et décennies,
19:18 qui savent que vos rôtes, on est fiable, que si on défend un projet,
19:25 si on dit les projets qui sont toujours construits avec les résidents,
19:30 et on défend un projet, on fait tout pour réussir et pour atteindre.
19:37 On voit la preuve, les pistes cyclables à Bruxelles,
19:41 il y a 15 ans, tout le monde pensait qu'on était fou de penser qu'un jour,
19:46 on allait devenir une ville pour les cyclistes,
19:49 la même chose pour les piétonniers par exemple.
19:54 Donc voilà, ça c'est tous des projets qui étaient très difficiles au départ,
19:58 mais voilà, on est persévérant et ensemble avec nos partenaires,
20:04 on réussit toujours à atteindre nos buts, pas toujours tout de suite, mais voilà.
20:11 – Voroïd qui tient toujours ses promesses, c'est en substance la conclusion
20:14 d'Else Rochette, candidate aux élections au Parlement bruxellois.
20:17 Merci d'avoir été avec nous ce soir, Abel.
20:19 – Un grand merci à vous.
20:21 – On se retrouve dans quelques instants pour la suite de votre Carrefour de l'Info.
20:24 [Générique]
20:28 – Et à présent, on se quitte sur les prévisions météo avec Sophia Mimoune.
20:33 Bonjour Sophia.
20:34 – Bonjour Tariq, ce midi de 13 à 19 degrés.
20:36 – Merci Sophia, c'est ainsi que l'on referme cette édition.
20:39 Un excellent appétit si vous êtes à table.

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