En direct sur le plateau de l'Heure des Pros 2, nos invités ont débattu suite aux déclarations d'Emmanuel Macron concernant un possible plan B et C pour la cérémonie d'ouverture des JO
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00:00 On ne peut pas donner tort au président de la République de prendre toutes les précautions pour qu'il n'y ait pas de drame.
00:06 Il fait preuve de bon sens.
00:08 C'est beaucoup plus facile, a priori, selon les spécialistes de sécurité, d'organiser un événement dans un espace clos comme le Stade de France que partout dans Paris.
00:16 Ça paraît un peu logique.
00:17 Donc, je ne vois pas ce qui...
00:18 On l'a juste découvert le 15 janvier.
00:19 C'est un peu ça.
00:20 Ce qu'on peut déplorer, c'est qu'on nous aura fait rêver avec une magnifique cérémonie sur la scène.
00:27 Et peut-être dépenser quelques centimes.
00:30 Et peut-être dépenser quelques millions pour faire des travaux exploratoires pour ce scénario.
00:34 Et on pourrait se retrouver quelque chose de plus mesuré.
00:38 Depuis, il y a eu le Bataclan russe.
00:39 C'est le même groupe qui nous menace directement.
00:41 Ça a changé un peu deux ou trois choses.
00:44 Peut-être faut-il prendre une décision rapidement.
00:47 Ah oui, peut-être.
00:48 C'est sûr.
00:49 De toute manière, à 100 jours, s'il y a le plan B, il doit être activé dans les toutes prochaines semaines.
00:55 Ah oui, certainement.
00:56 Le président de la République a souhaité également que la France soit dans les cinq premières nations.
01:01 On avait fait 33 médailles à Tokyo.
01:04 Il faudrait donc, là, en faire une centaine.
01:06 A priori, effectivement, quand tu es sur...
01:09 Quand tu joues sur place, tu joues les Jeux olympiques de ta vie.
01:14 Et le sportif...
01:15 Et il dit que la France devrait devenir une grande nation sportive.
01:18 Ce qu'elle n'est pas, contrairement à d'autres pays, qui laissent une place beaucoup plus forte au sport.
01:23 Dans le temps scolaire.
01:25 Oui, alors quand t'as 240 millions de personnes comme les États-Unis, c'est peut-être plus facile aussi d'avoir quelques champions.
01:30 Mais il n'y a pas de ministère des Sports aux États-Unis.
01:33 Je le dis à chaque fois.
01:34 Ah oui ?
01:35 Ben non, ça n'existe pas.
01:36 Vous l'avez fait.
01:37 Vous l'avez fait comme à la reine.
01:38 Il n'y a pas...
01:39 Je lui ai entendu parler.
01:40 Il y a une culture.
01:42 Il y a une culture universitaire.
01:43 Il n'y a pas de ministère des Sports.
01:44 Je ne dis pas qu'il y a un rapport de cause à effet.
01:46 Il y a une culture universitaire du sport qui est incroyable.
01:49 Oui, oui, bien sûr.
01:50 Vous avez des...
01:50 Non, mais tu as 250 millions de gens.
01:52 Donc tu gâches aussi sur un réservoir qui est plus grand.
01:56 On a des athlètes aujourd'hui qui se préparent quasiment seuls.
01:58 Et d'ailleurs, j'ai dit 250, c'est 330 millions.
02:01 Vous voyez, j'ai des chiffres, je suis resté à ma terminale.
02:04 Il a raison Benjamin Nau.
02:05 On a des champions qui se préparent quasiment seuls, qui n'ont pas le soutien quand la fédération n'est pas...
02:11 Je pense que c'est pareil dans ce qui est de l'hébergement.
02:12 Vous pensez à quel sport ?
02:16 Je ne l'ai pas là.
02:19 [Musique]
02:22 [Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org]
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