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00:00 [Générique]
00:15 La venue du nouveau directeur général du groupe casino Philippe Paladis était très attendue.
00:20 Au siège de Saint-Etienne, venu avec son comité exécutif, il a présenté son plan pour le futur de l'entreprise,
00:27 mais pas pour celui des salariés. De leur côté, l'heure est à l'attente.
00:31 L'instance qui nous a été dit, bon c'est une présentation.
00:35 Donc voilà, après, à voir ce qui sera décidé dans les semaines futures.
00:41 L'une restructuration c'est obligatoire, ça c'est sûr.
00:46 Après la manière dont elle va être menée, bon ben, on va leur faire confiance.
00:51 Déjà il y a le mérite qu'il soit venu, et puis après on attend d'en savoir plus, donc on verra.
00:58 On verra, de toute façon, on ne peut qu'attendre maintenant.
01:01 Aucun chiffre officiel n'a été évoqué. La nouvelle direction promet des réponses d'ici la mi-avril.
01:06 En tout cas, cette venue n'aura pas apaisé l'inquiétude des syndicats.
01:10 Nous ce qu'on veut savoir c'est ce qu'on devient aujourd'hui surtout.
01:12 Et c'est ce qui intéresse aujourd'hui les salariés du siège et puis de la logistique, oui.
01:16 Ça on veut savoir, évidemment, comment ça va se passer.
01:20 Alors bon, il y a les mots "plan de départ volontaire" qui ont été dit,
01:22 les mots "restructuration" qui sont des mots pudiques pour parler de licenciement.
01:26 Malgré les questionnements, l'intersyndical retient un point positif de ce déplacement.
01:31 La seule chose qu'on peut noter, c'est qu'effectivement, pour la première fois,
01:35 enfin, le COMEX est venu à Saint-Étienne.
01:38 Et ça, on ne l'a jamais connu précédemment.
01:41 Et puis, il a quand même aussi tenu à affirmer que le groupe, dans son ensemble, devait être solidaire.
01:49 Et ce qui se passe aujourd'hui dans les enseignes géants et supermarchés
01:54 concerne tout le monde, y compris Monoprix et Franprix.
01:57 Après le siège historique de Saint-Étienne,
01:59 Philippe Palladzi et son comité exécutif se rendront dans les autres sièges des filiales
02:04 afin d'envisager l'avenir du groupe casino dans son ensemble.
02:09 Noël et René sont tous les deux retraités de la manufacture d'armes de Saint-Étienne.
02:13 Ils ont pris une retraite méritée après 45 ans de travail.
02:17 Mais même s'ils sont dans la rue pour défendre leurs droits,
02:20 ils en viendraient presque à culpabiliser.
02:22 Ça doit faire 1 700 euros par mois. On va dire 1 900.
02:26 On en est à un point où des gens s'en dèrent pas.
02:30 On en est aussi à un point où des gens qui travaillent,
02:34 ils sont bien plus proufs que nous.
02:37 Il y a beaucoup de retraités qui sont à la hauteur entre 900 et 1 200 euros.
02:43 Et moi je me suis toujours posé la question comment ils font.
02:47 Alors des moments, j'ai même pas envie de leur dire combien je gagne
02:53 parce que je me sens gêné vis-à-vis d'eux.
02:55 Pourtant je l'ai pas volé, j'ai travaillé comme tout le monde.
02:58 Car les deux anciens collègues se mobilisent surtout pour faire augmenter
03:02 les petites retraites de ceux qui partagent le cortège avec eux.
03:05 Et même si eux aussi sont amenés à faire des arbitrages dans leur budget.
03:10 Avant j'allais très souvent au théâtre. J'avoue que j'y allais bien moi.
03:14 Mais là je suis tout seul aussi. Donc les vacances, on y fait un peu la pro dessus.
03:19 Il y a tout un tas de choses qu'on pourrait pas faire quand on travaillait,
03:23 qu'on pourrait faire mais qu'on peut pas parce qu'on a pas le fric.
03:26 Un cortège Stéphano dans lequel les pensions de reversion
03:28 étaient également au cœur des préoccupations.
03:30 Car leurs conditions d'accès pourraient être revues.
03:33 Il y a des travaux du corps qui veulent remettre en cause
03:36 cette manière de verser les réversions.
03:38 En s'attaquant aux pensions de réversion, globalement on s'attaque aux femmes
03:41 et à la pension des femmes. On arrive quand même à un écart de 27%
03:45 du montant de la pension entre les hommes et les femmes.
03:47 Il est clair que les femmes n'ont pas d'accès.
03:49 Ah bah c'est pire chez les vieux, soyons bien clairs, et chez les vieilles.
03:52 Et notez qu'une délégation a finalement été reçue en préfecture à l'issue de la manifestation.
03:56 La revendication principale portait sur une revalorisation de 10% des pensions de retraite.
04:02 C'est seulement par ce grillage d'un mètre vingt de haut
04:07 que la cour d'école de Tardive est séparée du parc de Soupola à Firmini
04:12 où des trafics de drogue sévissent depuis quelques années.
04:15 Mais vendredi, la tension est montée d'un cran lorsque l'un des dealers présumés
04:19 a jeté des cailloux en direction des enfants après que l'un des sachets
04:23 cachés dans les buissons ait été retrouvé par la directrice de l'école.
04:27 Les petits nous ont expliqué que pendant la récréation,
04:30 les jeunes ont lancé des insultes aux enfants.
04:35 Ensuite, apparemment, il y a une petite, je ne sais pas, est-ce qu'elle a répondu, je ne sais pas.
04:39 Enfin voilà, le jeune était énervé, mon fils m'a dit exactement ces termes.
04:42 Le jeune était énervé et il a pris des cailloux, il a caillassé les gamins.
04:47 Qu'il y ait au moins des brises vues de mie autour de l'école
04:50 pour pas que les enfants soient spectateurs de cela.
04:53 Parce que c'est pas entre des petits de maternelle de 3 ans jusqu'à 10 ans,
04:57 ils ne doivent pas être témoins de cela.
04:59 Et ce lundi matin, c'est une petite dizaine de parents qui s'est donc rassemblés.
05:03 Ils réclament que le grillage soit rehaussé dans un premier temps.
05:06 Un message bien reçu par la municipalité qui ne souhaite pas pour autant bounkériser l'école.
05:12 Comme on dit avec nos collègues élus, c'est qu'on ne va pas construire des murs autour des écoles.
05:15 Le grillage, on va le rehausser, je ferai peut-être quelque chose de provisoire le temps que ça pousse.
05:20 Est-ce que ça serait sur les clôtures qu'on arrive à mettre sur les forêts magiques
05:24 ou les choses qu'on arrive à construire nous-mêmes,
05:26 ou des panneaux tout près en bois pour essayer de sécuriser visuellement le temps que ça pousse ?
05:33 J'aimerais que ce soit fait avant mai et j'aimerais que ce soit encore plus rapide.
05:37 Et des élus qui se sont rassemblés hier soir pour une réunion d'urgence autour de la sécurité.
05:42 Car au-delà des travaux à venir, ils veulent rappeler un message simple aux parents et aux riverains.
05:47 Que ce soit la police nationale ou la municipale, il faut passer des coups de fil.
05:51 Il faut les appeler.
05:52 Les appels sont anonymes en effet et que quand on voit quelqu'un qui cache des sachets de drogue ou que ce soit,
05:57 y compris à la tardive, il faut que les parents téléphonent.
06:00 Ça les effraie beaucoup quand même ces contextes un petit peu,
06:02 où ils voient la police débarquer pendant qu'ils sont là.
06:04 Si on pouvait le faire en amont, parce qu'on a été prévenu en amont, ce serait bien mieux.
06:08 Et noter que les policiers municipaux ont reçu l'ordre de patrouiller régulièrement autour de l'école du temps des récréations.
06:16 L'avenir plus vert de Geoffroy Guichard se joue à environ 200 mètres du stade.
06:21 Dans cette trappe où s'activent deux agents d'Enedis, leur rôle, relier le stade au réseau principal.
06:27 Là on va attaquer la jonction.
06:29 On va travailler ce qu'on appelle les têtes de câbles,
06:33 pour les faire rentrer dans le poste et les connecter les câbles à ce poste.
06:38 De ce poste repartir à un autre câble pour alimenter précisément le stade.
06:43 C'est une opération qui est délicate parce que là on a du 20 000 volts,
06:47 qui arrive de ce qu'on appelle un poste source.
06:50 Car jusqu'en juin prochain, pour chaque match, c'est grâce à cet énorme groupe électrogène que sont produits
06:55 les 2 à 3 mégawatts nécessaires à l'éclairage et la sonorisation du stade,
07:00 avec sa consommation de 1500 litres de fioul par rencontre.
07:03 Une norme qui était jusqu'ici imposée par la ligue de football professionnelle.
07:07 Le groupe là, si vous touchez le groupe, il est brûlant.
07:10 Parce que le groupe il peut redémarrer à n'importe quel moment.
07:14 Demain on aura deux réseaux de 10 qui viendront à secours l'un et l'autre,
07:18 et le groupe restera en ultime secours.
07:21 Car avec son ambition d'être des jeux bas carbone,
07:24 le comité d'organisation des JO a imposé ses travaux d'alimentation électrique au stade.
07:28 L'impact carbone sur un événement international, c'est un tiers les infrastructures,
07:34 un tiers la mobilité des gens, donc les gens qui se déplacent jusqu'à l'événement,
07:39 et un tiers de reste.
07:41 Et ce reste là, dans ce tiers là, il y a le volet énergie,
07:45 et finalement la production de carbone à cause des groupes électrogènes qui fonctionnent.
07:51 L'énergie de tous les sites de compétition sera de l'énergie à 100% renouvelable,
07:55 avec une garantie d'origine.
07:57 C'est à dire que l'énergie qui a été consommée à Saint-Etienne,
08:00 elle aura été produite sur un champ de panneaux photovoltaïques en Bretagne,
08:04 ou un champ éolien partout en France.
08:06 Ce sont donc au moins deux grandes bandes électriques qui vont être installées dans les recoins du stade.
08:11 Des travaux estimés à 1 400 000 euros pour Saint-Etienne métropole,
08:14 le prix à payer pour avoir un stade aux dernières normes environnementales.
08:18 C'est un équipement qui aujourd'hui en France est presque un modèle,
08:22 puisqu'il n'y a que quelques équipements sportifs de cette dimension
08:26 qui peuvent prétendre à avoir ce label développement durable.
08:31 C'est ce qui permet aussi à cet équipement d'être retenu à chaque fois
08:34 qu'il y a des grands événements sportifs en France.
08:37 Je crois qu'on est passé à côté d'aucune grande compétition.
08:40 On a eu l'Euro, la coupe du monde de rugby l'année dernière,
08:43 et puis aujourd'hui les JO de Paris qui se déroulent aussi à Saint-Etienne.
08:46 Et en plus de l'alimentation électrique, le chaudron a réduit les horaires d'allumage
08:50 et passé à l'éclairage LED.
08:52 Il récupère aussi les eaux de pluie pour l'arrosage,
08:54 recycle les déchets alimentaires,
08:56 envoie la tonte de la pelouse au lycée de Montravelle
08:59 et permet au visage de poser de nouveaux panneaux photovoltaïques sur les toits
09:02 pour être toujours plus vert.
09:05 Après 7 kilomètres de marche,
09:12 ces randonneurs s'offrent une pause fraîcheur devant le château de Cornillon.
09:16 Ils sont partis ce matin d'Aurec et ont passé la frontière ligérienne
09:20 direction Saint-Victor-sur-Loire.
09:22 Très bon accueil, super, très bien organisé.
09:25 Ça nous permet de voir de nouvelles personnes,
09:28 parler un peu, découvrir le paysage
09:31 parce qu'on est du coin mais on ne connaît pas tout.
09:34 On trouve que visiter la France, comment mieux la visiter qu'à Marchand ?
09:38 Et rencontrer le monde et les gens du terroir.
09:41 En cette année olympique, la Fédération française de randonnée a décidé de marquer le coup
09:46 et d'organiser des marches un peu partout en France.
09:49 L'une d'elles est partie d'Ardèche le 16 mars dernier
09:52 pour passer ce lundi dans la Loire.
09:54 La grande randonnée vers Paris, c'est un projet de notre fédération de randonnées pédestres
09:58 qui unit tous les comités départementaux.
10:01 Il y a des relais qui se font sur les GR, les itinéraires de grande randonnée.
10:06 Il y en a 7 en France et il y a des ambassadeurs qui vont faire des relais jusqu'à Paris.
10:11 Ces randonnées sont aussi l'occasion de découvrir le patrimoine local.
10:15 Dans le cadre du projet, on a essayé de faire en sorte qu'après la randonnée,
10:19 il y ait la découverte d'un patrimoine culturel, des animations, des conférences.
10:23 Pour expliquer aux gens qu'il y a le côté randonnée avec le GR3 sur ces gorges de la Loire
10:28 mais que sur ce GR là, il y a toute une histoire avec les châteaux
10:32 et les autres activités culturelles qu'on peut rencontrer en chemin.
10:35 Après ce passage de relais entre la Haute-Loire et la Loire,
10:38 le parcours se poursuivra vers Saint-Etienne,
10:41 puis prendra la direction de Lyon avant d'arriver à Paris le 10 mai prochain.
10:46 Alors ce samedi, sur la ligne de départ des JO dans la Loire,
10:50 il y seront de nouveau 300 bénévoles à poser leur valise
10:54 des revenants de la Coupe du monde de rugby.
10:57 J'étais déjà bénévole pour le rugby et j'ai apprécié.
11:01 Je suis contente de revenir pour les JO.
11:05 Et il y a aussi des réservistes.
11:07 On est une quarantaine je crois à remplacer quelques-uns de l'année passée.
11:12 On avait pourtant bien fait notre candidature,
11:16 mais on a peut-être été retenus parce qu'à mon avis, il y avait trop de candidats.
11:19 On était arrivé dans les 420e je crois.
11:21 Cette fois Gérard est dans les 300 volontaires pour 7637 heures de bénévolat.
11:26 C'est pas rien.
11:27 Un engagement fort qui a débuté ce samedi sur le site de Le Corps-Musée
11:31 par cette journée des 3D.
11:33 Découverte du site, détente et décalage.
11:36 Et on ajoutera décrassage.
11:38 On a appelé ça la journée de décrassage
11:40 parce qu'on a besoin à nouveau de toutes ces équipes de bénévoles.
11:44 C'est 89% des bénévoles de la Coupe du rugby qui ont répandu présent.
11:48 Le message c'est merci.
11:50 Et aujourd'hui sur le site Le Corps-Musée,
11:52 oui parce qu'il y a de réelles valeurs intrinsèques
11:55 entre le personnage du Corps-Musée, les valeurs des Jeux Olympiques.
11:58 Il y a toute une symbolique.
12:00 Et puis Patrimoine Mondial de l'UNESCO, site emblématique de la région Auvergne-Rhône-Alpes.
12:04 C'est vraiment une locomotive pour notre territoire.
12:07 Alors sur le seul stade français classé au Monument Historique,
12:11 les équipes ont pris place pour un entraînement très peu réglementaire.
12:15 Ça tombe bien, on est bon public, donc on aime bien jouer aussi.
12:18 Donc on participe tout le temps à toutes les idées folles qu'on nous propose.
12:23 Donc c'est une super ambiance.
12:25 On voit dans l'activité qu'on fait derrière nous.
12:27 Non pas du tout, c'est pas du tout un moment sportif.
12:29 On leur offre surtout l'idée de, l'occasion de se rencontrer à nouveau,
12:33 de se découvrir, d'intégrer aussi les nouveaux
12:35 parce qu'on a quand même 40 réservistes qui ont intégré l'aventure.
12:38 Ce qui est une charge lourde et ils la remplissent très bien
12:41 parce qu'ils sont engagés, ils sont souriants, ils sont volontaires.
12:44 On leur trouve beaucoup de qualité.
12:45 Du loufoque, on passe à la visite patrimoniale.
12:48 Alors je connaissais le lieu d'habitation, mais là le stade, l'église, absolument pas.
12:54 Et je trouve que c'est une richesse.
12:56 C'est plein de symboles en fait.
12:58 Travailler, habiter, circuler et se recréer le corps et l'esprit.
13:02 La recréation du corps et de l'esprit, c'est ce qu'on a aujourd'hui sous les yeux.
13:05 C'est la maison de la culture, c'est le sport, c'est la spiritualité avec l'église.
13:09 Donc c'est vraiment ça je crois qui est au cœur du projet de Le Corbusier à Firminy.
13:12 L'église qui évidemment a fait son effet.
13:14 Ça ouvre l'esprit en tout cas sur le sport et sur la façon dont on l'appréhende.
13:19 La journée a permis d'escalader les marches raides de l'architecte.
13:23 Ça demande de la maîtrise et elle va se terminer sur le stade.
13:26 Photo de famille, mise en place, alignement, en position s'il vous plaît.
13:31 Et c'est la photo, clic-clac.
13:32 Des bénévoles sur la ligne de départ pour dans 127 jours,
13:35 mais aussi en avril pour la semaine olympique,
13:38 en juin pour le passage de la flamme qui viendra jusqu'ici au Corbusier.
13:42 Il a des chances pour que les bénévoles mettent du modulor aux anneaux
13:46 et ajoutent des couleurs primaires du Corbus aux cinq couleurs continentales olympiques.
13:51 Un talent de plus apporté à leur engagement déjà réconfortant
13:56 et qui va au-delà du sport, ça on le sait bien.
13:59 Ça va se jouer comme un volet, mais le concept c'est assis.
14:06 Et oui, ça existe. Et tout comme le volet,
14:08 plein d'autres sports sont adaptés au handisport
14:11 et présentés ce mercredi aux Stéphanois sur la place de l'hôtel de ville.
14:15 Là-bas, on a le handisbasket.
14:18 On est sur des fauteuils roulants et on joue au basket avec des paniers.
14:22 Ici, on a du sexyfoot.
14:24 On a les yeux bandés avec deux cages.
14:26 Le but, c'est de mettre des buts forcément.
14:28 Avec un ballon qui fait du bruit, c'est comme ça qu'on l'entend.
14:31 Au fond, on a du torball.
14:33 On est couché par terre, les yeux bandés.
14:35 Et pareil, avec une balle qui fait du bruit.
14:37 Et c'est comme ça qu'on l'entend pour pouvoir se plonger sur le côté
14:40 et retenir la balle.
14:42 Un événement encadré par ces élèves membres du Bureau des étudiants de Staps,
14:46 une sensibilisation qui leur tient à cœur.
14:48 C'est important, comme on l'a déjà vu,
14:50 pour favoriser l'inclusion sociale via le sport
14:53 qui n'est pas encore assez connu et développé.
14:56 Et faire connaître aussi des sports
14:58 qui ne sont vraiment pas connus par le grand public
15:01 et pouvoir les faire découvrir.
15:03 Et les élus se sont également pris au jeu.
15:05 Oui, c'était pas évident, c'était pas facile.
15:09 Donc, très adapté, on était bien accompagnés par les jeunes de Staps.
15:15 L'idée, c'était de voir comment ça pouvait faire du sport
15:20 en situation de handicap, se mettre à la place
15:22 d'une personne porteuse de handicap.
15:25 L'événement était dans le programme de la mairie, la ville en partage.
15:29 D'autres sont prévus jusqu'à juin 2024
15:31 pour sensibiliser aux difficultés liées au handicap.
15:35 Il y avait la queue sur les marches de l'hôtel de ville
15:39 pour faire dédicacer une casquette, un poster ou encore un maillot.
15:43 Et chacun avait son joueur préféré à rencontrer en priorité.
15:47 C'est Lars Honor.
15:48 Léo Petro.
15:49 Et pourquoi ?
15:50 C'est un très bon joueur.
15:51 Cafaro, Lars Honor, je dirais, en premier.
15:55 Je suis un grand supporter de Saint-Édien.
15:58 On a emmené les enfants faire dédicacer leur maillot, un poster.
16:02 C'est plus privilégié qu'à l'entraînement, on n'a jamais le temps d'aller.
16:05 Avec une vraie hype autour du défenseur des Verts,
16:08 Léo Petro, dont les origines de "Menistrol sur Loire"
16:11 semblent faire la différence.
16:13 Léo Petro, bien sûr.
16:14 Pourquoi ?
16:15 Parce que de base, je suis de "Menistrol sur Loire"
16:18 et il vient de là-bas.
16:20 Du coup, on est fans.
16:21 On a tous le maillot Petro floqué.
16:22 Petro gang !
16:23 Oui, d'accord !
16:25 C'est un délire entre potes et on est fans de Léo Petro maintenant.
16:29 Fans des tags de Léo Petro en plus.
16:31 Pareil, le got, le vrai Léo, c'est lui.
16:34 Et forcément, dans le salon Aristide Briand,
16:37 le principal intérêt s'est apprécié.
16:40 C'est sympa, oui.
16:41 Après, la plus grosse hype, c'est le Cardona.
16:43 Bien évidemment, mais non, c'est vrai que c'est toujours sympa
16:45 quand ils viennent nous voir, encore plus quand ils viennent pour moi.
16:48 On essaie de toujours être agréable avec eux.
16:50 On a, nous, été aussi supporters,
16:52 donc on sait ce que ça représente, donc c'est sympa.
16:54 Mais il n'y en a pas que pour les joueurs.
16:56 Ce jeune supporter Couramio, lui, est venu pour voir le coach Olivier Dall'Oglio
17:01 avec un objectif bien précis.
17:03 Bonjour Olivier, je peux vous demander une petite dédicace vidéo pour mon père, s'il vous plaît ?
17:06 Pour ?
17:07 Mon père, il s'appelle Pascal.
17:09 Un petit bonjour à Pascal.
17:11 Voilà, salut, une belle journée.
17:13 J'espère que mon train n'est que...
17:15 Merci beaucoup pour tout ce que vous avez fait au club.
17:18 Il fallait qu'on finisse bien.
17:19 Et ce sont en tout, à près de 500 supporters qui étaient présents,
17:22 un vrai engouement dû au résultat du club,
17:24 qui joue sa montée en Ligue 1 sur cette fin de saison.
17:27 Impressionnant pour les derniers arrivés.
17:29 Les supporters sont différents ici.
17:31 Les Saint-Etienne, ils vivent pour le club.
17:34 J'ai entendu dire que les semaines quand on gagnait ou quand on perdait,
17:37 ce n'était pas les mêmes.
17:39 Forcément, il y a une grande attente aussi des supporters chaque week-end.
17:43 Les Verts qui retrouveront désormais leur public le 6 avril
17:46 pour la réception de Concarneau.
17:49 Depuis un mois et demi que le spectacle 500 voix pour Queen a commencé,
17:52 ça a tourné dans 26 grandes salles aux Zéniths en France.
17:56 500 voix et à chaque fois une nouvelle team dans chaque ville.
18:00 Les voix algériennes, bien fait d'impatience.
18:03 Et ce dimanche, c'était leur tour.
18:05 Queen aux Zéniths.
18:06 Une aventure extraordinaire.
18:07 Pleine d'émotions, de partages, de rencontres aussi.
18:11 Parce que quand même, sur les 450 choristes de ce soir,
18:14 on en connaît une petite centaine à peine.
18:17 Les coulisses du Zénith grouillent, de choristes venues de Vienne, Grenoble,
18:20 les jumelles de The Voice Kids qui se précipitent sur nous.
18:24 C'est une expérience qu'on n'a pas l'habitude de faire tous les jours.
18:26 Et franchement, c'est super bien parce qu'on est accompagnés de notre chorale.
18:31 Mais la surprise, c'était de découvrir une bande de collégiens de Saint-Julien-en-Chevalier.
18:35 Ça fait des frissons rien que d'entendre tout le monde.
18:37 Il faut s'y mettre à fond et mettre des paillettes dans les yeux au public
18:41 qui ressortent avec des paillettes dans les yeux. Et voilà, c'est tout.
18:43 À la baguette, ils sont deux chefs de chœur dont l'ex-bonçonnet Florian Martinet,
18:47 chargé d'harmoniser la quinzaine de chorales amateurs.
18:50 C'est vrai que cette team, on a appris à se connaître un peu plus par rapport à d'autres teams.
18:53 Je suis revenu sur un week-end pour bien répéter avec eux.
18:56 Donc on a appris à se connaître un peu plus, à aller plus au fond des harmonisations.
19:00 500 choristes sur la scène du Zénith qui sont tellement petites.
19:10 La team nigérienne avait pu expérimenter le chant avec l'une des valides.
19:15 La répétition supplémentaire qu'on a rajoutée sur la team de Saint-Etienne,
19:18 Cécilia qui est de la région juste à côté, en Haute-Loire,
19:22 elle a fait la surprise aux choristes de venir et on a partagé les titres qu'elle chante avec la team.
19:27 C'était ce petit plus aussi pour les booster dans l'apprentissage.
19:31 C'est un show millimétré, un jeu de ping-pong aussi entre la scène et la salle.
19:35 Une des choristes plongeant dans le public pour rajouter aux 500 voix les 3000 du Zénith.
19:40 Au fil des tubes, le public, debout, assis, debout,
19:43 plongera la salle dans une immense voie lactée.
19:46 Deux heures de show, 20 titres, l'énergie queen.
19:49 L'expérience est si belle que pour le producteur des 500 voix,
19:54 le show must go on.
19:55 Du côté de la belle chanson française qui passera de Brêle à Johnny, Piaf ou Bruel, sans imitateur.
20:02 Un scoop sur quelques titres.
20:05 Je ne veux pas d'imitateur.
20:06 Aujourd'hui, les chorales, les choeurs pourront chanter aussi en solo.
20:11 Il y a des titres où il n'y aura pas de soliste,
20:13 comme "Emmenez-moi" de Charles Aznavour ou encore "Amsterdam" de Jacques Velf.
20:17 Et puis après, on a d'autres titres comme "Riquiem pour un fou" ou "L'envie" de Johnny.
20:22 Là, on a trouvé quelqu'un qui avait une voix cassée, très rock,
20:26 qui va pouvoir nous chanter du Johnny.
20:28 Et puis, on aura Charlie qui va nous chanter des titres un peu plus Disney.
20:34 Virginie, des titres de Lara Fabian ou Céline Dion.
20:37 En fait, on les recrute en fonction de leur capacité vocale.
20:41 Ce ne sont pas des imitateurs, mais ils incarnent bien les personnages.
20:44 Voilà le projet des voix 2025 lancé pour une partie des choristes.
20:48 Il y aura l'envie d'y retourner, c'est sûr, pour que l'aventure ne s'arrête pas là.
20:52 La team Queen, Stéphane West, qui sera peut-être des 10 teams élus pour chanter du Queen de nouveau à Lille en 2025.
21:01 Ils seront alors 10 000 en challenge à la Freddie Mercury.
21:05 Rien n'est impossible.
21:07 [Musique]