Pascal Praud revient pendant deux heures, sans concession, sur tous les sujets qui font l'actualité. Aujourd'hui, il revient sur la fête des grands-mères qui aura lieu ce dimanche.
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NewsTranscription
00:00 Europ1
00:02 Europ1, 11h-13h
00:06 Pascal Praud et vous
00:08 *musique*
00:35 - Figurez-vous que c'est la fête des grands-mères dimanche.
00:38 - Oui.
00:39 - Et c'est vrai que nos grands-parents, c'est grand-mère ou grand-père d'ailleurs ?
00:42 - Grand-mère.
00:43 - C'est pas la fête des grands-parents.
00:44 - Non, les grands-pères c'est au mois d'octobre.
00:46 - D'accord.
00:47 C'est vrai que...
00:49 On peut avoir un rôle particulier, un rapport particulier avec une de ces grands-mères.
00:55 Et j'ai envie de dire, ça a toujours été le cas,
00:57 j'ai l'impression que c'est encore plus le cas aujourd'hui,
00:59 parce que souvent les parents travaillent.
01:00 - Oui.
01:01 - Et je vois dans les familles, les grands-parents sont peut-être plus présents qu'ils ne l'étaient dans ma génération.
01:08 Je dis ça, j'ai aucune statistique bien sûr, mais j'ai ce sentiment.
01:12 Donc vous allez peut-être nous raconter vos rapports particuliers avec votre grand-mère.
01:17 Par exemple vous, monsieur Guenec.
01:19 - Oui !
01:20 - La dénommée "mémé Zouzou" qui est entrée dans la légende de nos émissions.
01:24 - Évidemment !
01:25 - Et on pourrait d'ailleurs lui parler, l'appeler "mémé Zouzou".
01:27 - Avec grand plaisir, un jour oui !
01:28 - Simplement vous l'appelez "mémé", je trouve que c'est pas terrible d'appeler.
01:30 - Elle adore ça !
01:31 - Elle refuse !
01:32 - Elle m'aimait ce que je l'appelle "mamie".
01:33 Pour elle c'est trop institutionnel, c'est "mémé Zouzou", c'est naturel.
01:37 - Parce que comment on appelle ses grands-parents ?
01:39 On peut les appeler "grand-mère", on peut l'appeler "mémé", on peut l'appeler par son prénom,
01:43 on peut l'appeler "mamie", et puis on peut l'appeler souvent, je le dis, "bonne maman".
01:47 - Bonne maman ?
01:48 - C'est à l'ancienne ça.
01:49 - C'est à l'ancienne, dans les familles un peu chics, on dit "bon papa" et "bonne maman".
01:54 - Ah bon ? Je ne savais pas !
01:55 - C'est vrai, vous n'êtes peut-être pas pénétré ce type de famille.
02:00 - Non, non !
02:01 - Mais la bourgeoisie a des signes de reconnaissance, on ne dit pas "pullover", on dit "chandail",
02:10 et on ne dit pas "mamie", on dit "bonne maman".
02:12 - Oh la la !
02:13 - J'imagine qu'on dit "déjeuner" et pas "manger" également.
02:15 - On ne mange pas dans les bonnes familles, on déjeune, on dîne, bien évidemment.
02:20 On est avec qui ?
02:21 - Annick !
02:22 - Annick, elle est grand-mère ?
02:23 - Elle est grand-mère ? Ah mais c'est notre Annick !
02:25 - Mais Annick, on l'adore !
02:26 - Annick qui est venue au tour !
02:27 - Merci !
02:28 - Annick avec ses deux petits-enfants qu'elle a...
02:30 - Bien sûr !
02:31 - Comme pas la mieux au monde !
02:32 - Absolument, absolument !
02:33 - Annick, bonjour, comment ça va ?
02:35 - Bonjour Pascal !
02:36 - Est-ce que vous vous souvenez déjà de votre grand-mère ?
02:39 - Eh bien non, parce qu'elle est morte...
02:42 - On en a deux généralement.
02:43 - Oui, mais elles ont toutes les deux mortes.
02:45 - Quand vous étiez née ?
02:46 - Quand vous étiez née ?
02:47 - Non, mais j'étais toute petite et je n'ai pas beaucoup de souvenirs de mes grands-parents.
02:51 - Ah bon ?
02:52 - Non.
02:53 - Mais bon...
02:54 - Est-ce que vous aimez ce rôle de grand-mère ?
02:56 - Ah bien sûr que je l'aime !
02:58 - Je l'aime parce que d'abord, parce qu'on a une très grande richesse par rapport à ce rôle,
03:02 - c'est qu'on a du temps.
03:03 - C'est qu'on a du temps.
03:04 - Alors on a du temps pour s'occuper d'eux,
03:06 - on a du temps pour leur expliquer que papa et maman n'ont pas toujours le temps,
03:09 - que nous on est disponibles,
03:11 - je trouve que c'est une grande richesse d'avoir ce temps pour s'occuper de nos petits-enfants.
03:16 - Surtout pendant les accords.
03:17 - Est-ce que vous diriez que vous êtes différente avec vos petits-enfants dont on va rappeler les prénoms ?
03:22 - Euh... Gaspard et Louison.
03:24 - Gaspard et Louison qui sont mignons comme tout, parce qu'ils sont nus dans le studio l'autre jour,
03:27 - ils s'étaient contents d'ailleurs ?
03:28 - Ah bien bien sûr qu'ils étaient contents !
03:30 - Bon, et puis après vous partiez visiter, vous aviez fait tout un programme,
03:34 - parce que vous c'est toujours réglé à la minute près,
03:37 - il faut organiser les choses !
03:39 - Et bien écoutez, on va faire un tour en balade en forêt, on fait plein de choses !
03:44 - Mais évidemment, est-ce que vous diriez que vous avez un rapport différent avec vos petits-enfants
03:48 - que vous aviez avec vos propres enfants ?
03:50 - Ah bien bien sûr !
03:51 - Mais qu'est-ce qui est différent ?
03:52 - Ah bien écoutez, j'ai pas cette épée de Damoclès au-dessus de la tête,
03:56 - leur éducation, leur éducation, la réussite,
03:59 - leur donner, je veux dire, les aider à trouver leur voie,
04:05 - pour pouvoir s'accomplir professionnellement.
04:09 - Vous étiez exigeante avec vos enfants ?
04:12 - Ah bien bien sûr, j'ai eu qu'un fils, bah oui, il m'a fait la guerre des boutons en dictée dans tous les sens.
04:17 - Parce que vous mettiez une pression forte dans l'éducation pour les résultats scolaires par exemple ?
04:22 - Et puis aussi parce que je me suis rendu compte que
04:26 - j'avais rencontré une petite jeune fille qui avait 12-14 ans,
04:29 - qui faisait des fautes à tous les mots, et Germain avait 6 ans, 7 ans, 6 ans, 7 ans,
04:34 - je me suis dit "Mon Dieu, je veux pas qu'il soit comme ça !"
04:36 - Alors on a attaqué les dictées pendant tout le primaire.
04:38 - Il s'appelle Germain votre fils ?
04:39 - Oui, oui, pendant tout le primaire.
04:41 - Et vous trouvez que vous avez été efficace à l'arrivée ?
04:43 - Qu'il est tel que vous imaginez qu'il soit ? Vous êtes fière de lui ?
04:46 - Bah écoutez, oui quand même, oui quand même.
04:48 - Bah non mais c'est un "bah quand même" !
04:50 - Oui quand même, je sais pas ce que veut dire ce "quand même" !
04:53 - Et avec vos petits-enfants, vous leur faites pas faire des dictées quand même ?
04:56 - Bien sûr que si !
04:58 - C'est mamie dictée alors ?
04:59 - Oui c'est mamie dictée !
05:01 - C'est mamie dictée, et ils vous appellent comment ?
05:03 - Comment ?
05:04 - Comment ils vous appellent ?
05:05 - Ah bah ils m'appellent mamie, et puis quand ils font zéro faute, bah je leur donne une pièce.
05:09 - Une pièce de combien ?
05:11 - Ah bah un euro quoi !
05:12 - Un euro ?
05:13 - Des fois Louison discute le prix, alors des fois c'est deux euros.
05:16 - Et alors la dictée elle se fait à quelle heure ?
05:18 - Euh... bah de toute façon elle doit se faire une fois par jour, alors c'est suivant leur disponibilité,
05:23 et suivant la mienne, quand c'est le temps pour la dictée...
05:26 - Et alors vous prenez quel texte ?
05:28 - Alors, qu'est-ce que je fais ? Alors j'ai...
05:30 Comme je fais souvent les Vides Greniers, je trouve des livres de français de l'ancien temps, de ma jeunesse.
05:40 Alors bien sûr quand il y a le gros un du sanglier, ça ne se fait que le gros un, alors je dis le nez, je transforme...
05:46 - Ah le gros un, le gros un du sanglier !
05:49 - Et si on faisait une dictée nous ?
05:51 - Ah oui !
05:52 - Et si vous nous avez pas une dictée à nous faire faire là, ça serait bien ?
05:55 - Ah bah les parties... L'accord des participes passés je connais, hein.
05:59 Le deux verses su, le second vers infinitif.
06:01 - Alors moi je sors toujours le même exemple, mais "ils se sont parlé", vous écrivez comment "parlé" ?
06:05 - "Ils se sont parlé"... Euh... bah... "es" ?
06:09 - Bah non, ils se sont parlé...
06:11 - C'est "ceui" ?
06:12 - C'est ça qui est terrible.
06:13 - C'est pas avec l'auxiliaire "être" ?
06:15 - Non mais si, mais ils se sont parlé, c'est une pronominale, donc ils ont parlé à qui ? À "ce", donc c'est un complément d'objet indirect.
06:21 - Bon d'accord, d'accord.
06:22 - Mais c'est toujours le même exemple que je donne, je suis pas...
06:25 En histoire, je demande toujours aux gens quel était le père de Louis XIII...
06:29 - Ah bah en histoire je suis nulle, alors donc je vais pas me frotter en histoire.
06:32 - Et puis mon exemple de grand-mère c'est toujours les mêmes.
06:34 Mais il y a plein de domaines où je répète toujours la même chose, de toute façon je radote.
06:37 Et allez, il est 12h12, restez avec nous Annick, à tout de suite.
06:39 - Vous écoutez Pascal Proévou sur Europe 1 de 11h à 13h et pour réagir, vous composez ce numéro.
06:44 - Appelez Pascal Pro au 01 80 20 39 21
06:48 - Europe 1.
06:50 - Pascal Proévou.
06:51 - De 11h à 13h sur Europe 1 et les grand-mères sont à l'honneur puisque dimanche c'est la fête des grand-mères, Pascal.
06:54 - Exactement, donc cette fête des grand-mères d'ailleurs elle est plus symbolique parce qu'elle est peu célébrée quand même.
07:01 Je sais pas si vos petits-enfants sont au courant par exemple, Annick, que cette fête des grand-mères existe.
07:05 - Non, et puis pour moi je m'en fous de cette histoire là.
07:07 - Ah bon, bah vous avez bien fait d'appeler alors.
07:09 Et puis on a bien fait d'en parler, ça nous a fait plaisir, vous avez planté notre sujet.
07:12 - Non mais de l'intérêt que mes petits-enfants pourraient porter à cet événement.
07:17 C'est ça que je veux dire.
07:18 - Et comment va le mari ?
07:19 - Bah écoutez, il va bien, il travaille.
07:22 - Il travaille et vous vous faites des... je me repose.
07:25 - Il est en mission.
07:26 - Je rappelle qu'Annick est passée, pour ceux qui ne vivent pas toujours dans notre émission, Annick est passée avec son mari.
07:32 En fait il est formidable votre mari parce qu'on a compris que c'était lui le vrai chef.
07:36 - Oh, écoutez, bah oui je laisse dire ça.
07:40 - Attention à ce que vous dites Pascal.
07:42 - On a compris.
07:43 Là vous êtes rentrée à Fontainebleau, vous n'êtes pas ce qu'à chaque fois que je vous appelle, vous n'êtes jamais dans la même maison.
07:47 Vous êtes comme Cadet Roussel, vous avez 36 maisons.
07:49 - Non je suis en Bretagne.
07:50 - Vous êtes en Bretagne là, vous êtes où en Bretagne ?
07:52 - Saint-Malo.
07:53 - Ah Saint-Malo, moi j'aimerais bien aller à Saint-Malo ce week-end, ça me ferait plaisir.
07:56 - Ah bah oui !
07:57 - Bah oui mais je suis pris à Paris.
08:00 - Ah bah voilà, voilà.
08:02 - Donc je vais voir Vincent Niclot.
08:03 - Samedi soir.
08:04 - Samedi soir, et je vais aller voir aussi Richard Berry dimanche après-midi.
08:08 - Oh bah non, pas moi, pas moi.
08:09 - Bah pas moi, oui ça c'est sûr, si vous êtes à Saint-Malo.
08:12 Bon, et ce soir vous allez faire quoi ?
08:15 Là vous êtes sans petits-enfants là.
08:18 - Bah je suis sans mes petits-enfants, oui sans nos petits-enfants.
08:21 Je voulais aller au marché ce matin chercher mes coquilles Saint-Jacques,
08:24 bah écoutez, j'ai pas eu le temps.
08:26 - Mais qu'est-ce que vous avez fait, vous êtes debout depuis 6h du matin,
08:28 vous n'avez pas pu aller chercher les coquilles Saint-Jacques ?
08:30 - Absolument, absolument.
08:32 - Vous êtes très étrange.
08:33 Et qu'est-ce que vous avez prévu à déjeuner ?
08:35 - Ah alors un tartare.
08:37 - Un tartare ?
08:38 - De saumon ?
08:39 - Un tartare de quoi ?
08:40 - Ah bah de, non non, un tartare avec du steak haché.
08:43 - Ah steak tartare.
08:44 - Oui, un steak tartare.
08:46 - Et vous aimez ça ?
08:48 - Ah bah oui, oui, parce que je prépare à ma manière.
08:52 - Ah oui, c'est quoi votre matière ? Vous le faites cuire ?
08:54 - Je mets plein de choses dedans, je mets du persil, je mets des câpres, je mets de la ciboulette,
08:58 je mets des herbes de Provence, je mets plein de trucs.
09:00 - Ah vous êtes une bonne cuisinière.
09:02 - J'essaye, j'essaye.
09:04 - Bon et qu'est-ce que les petits, qu'est-ce qu'ils aiment dans ce que vous faites ?
09:07 Quel est le meilleur plat ? Parce que les grand-mères ça fait aussi des bons petits plats.
09:11 - Des bonnes tueries.
09:12 - Alors moi ma grand-mère elle faisait des choses que j'ai jamais mangées ailleurs d'ailleurs.
09:15 Elle faisait des botteros.
09:17 Bon je crois que les botteros en Vendée, il n'y a qu'en Vendée qu'on n'avait jamais mangé de botteros.
09:21 - Non, non, non, non, non.
09:22 - C'est un peu un tout frétillant mais elle les faisait, il y avait des trous dedans.
09:25 Elle faisait autre chose qui ne se mange absolument plus je pense, c'est des oeufs au lait.
09:29 Est-ce que vous avez déjà mangé des oeufs au lait ?
09:31 - C'est mon grand-mère qui le faisait, c'était trop bon.
09:32 - C'est des plats qui disparaissent.
09:34 Vous allez dans la rédaction là, il n'y a que des jeunes femmes de 25 ans,
09:38 il n'y a pas une femme de 25 ans qui sait faire des oeufs au lait.
09:41 Vous avez déjà mangé des oeufs au lait ?
09:43 - Des oeufs au lait ?
09:44 - Oui.
09:45 - Jamais ? Qu'est-ce que c'est ?
09:46 - Ça ressemble à quoi ? Une sorte de crème ?
09:48 - Un flan de crème caramel.
09:49 - Oui, c'est très bon les oeufs au lait.
09:51 - Je vais chercher mon lait à la ferme.
09:53 - Ah !
09:54 - Des oeufs au lait.
09:55 Elle faisait également des crêpes, elles étaient assez épaises ces crêpes.
09:58 - Vous parlez de qui là ?
10:00 - Je parle de ma grand-mère.
10:01 - Ah ! D'accord.
10:03 - Et elle faisait également quelque chose que je n'ai jamais mangé ailleurs,
10:07 parce que parfois on en mange en plat de résistance et là c'était un dessert.
10:10 Elle faisait du tapioca.
10:11 - Tapioca ?
10:12 - Ah oui, c'est très beau.
10:13 - Alors pareil, c'est que des trucs lourds.
10:15 En fait c'est des plats de pauvres.
10:17 - Qui collent au corps.
10:18 - Qui tiennent au corps.
10:20 C'est des plats, parce qu'évidemment elle n'était pas très riche, sans doute, dans sa cavalier.
10:24 Donc tu donnais ça à tes enfants et boum !
10:28 Après tu étais froidique pour toute la journée.
10:30 - C'est comme le kouign-amann.
10:31 - Le kouign-amann c'est encore autre chose.
10:33 - Et le fameux pain perdu.
10:35 - Alors le pain perdu, effectivement, c'est des choses qui ont disparu je pense.
10:39 - Bon, écoutez, on est avec Brigitte également, qui est une grand-mère, mais qui est une jeune grand-mère Brigitte.
10:45 - Ah, une jeune grand-mère, oui, j'ai 66 ans.
10:50 - Bah oui, vous avez quel âge il a ?
10:52 - Il a 8 ans, il est du jour de Didier Barbelivien.
10:56 Je vous avais appelé ce jour-là.
10:57 - Il est du 10 mars.
10:58 - Il est du 10 mars, mon petit bonhomme.
11:01 Et lui, il est heureux comme tout de venir, parce que nous on se réunit dimanche,
11:06 ils vont venir manger avec ses parents, et puis mon autre fils qui n'a pas encore d'enfant.
11:12 Mais la fête des mamies, je pense que pour Oscar, c'est précieux.
11:17 - C'est joli, Oscar.
11:19 - Mais c'est tout, c'est tout.
11:24 Vous disiez tout à l'heure, Annick, on est parents, on est heureux comme des rangs quand on est parents,
11:30 mais quand on est grands-parents, c'est le plus beau bonheur qu'on puisse avoir.
11:36 Moi, c'est mon rayon de soleil, il est tout pour moi.
11:42 - Ça donne un sens, effectivement, ces parents, ce que vous dites.
11:45 Et effectivement, ce rapport que vous avez avec lui, vous trouvez que vous ne l'aviez pas forcément avec vos enfants ?
11:52 - Je suis venue parce que j'étais très...
11:54 Je vais quand même en parler parce que j'ai mon fils aîné, j'ai trois enfants, mon fils aîné,
12:01 et après j'avais une fille qui malheureusement est décédée il y a bientôt 35 ans,
12:06 et puis derrière j'ai eu à nouveau un garçon.
12:09 Et par contre, mon fils aîné a également perdu sa fille, pratiquement 25 ans, jour pour jour, avec la mort de la mienne.
12:18 Donc si vous voulez, ce petit Oscar, il est tout pour ses parents, mais il est tout pour moi
12:24 parce que ça nous a aidés à nous relever de tous nos malheurs.
12:35 Et je pense que je suis plus tolérante, enfin même si même pas je pense,
12:41 nous sommes plus tolérants, parce que mon mari aussi, avec Oscar, qu'on a pu l'être.
12:46 On était un petit peu exigeants, on a à cœur que ses enfants réussissent.
12:51 Je pense qu'ils ont bien réussi, mais notre petit bonhomme, c'est tout.
12:57 - Merci Brigitte pour ce témoignage, et c'est vrai qu'il y a des correspondances parfois qui sont très troublantes dans les familles.
13:05 Il est 12h22 quasiment, on va marquer une pause, et c'est vrai, on vous l'annonce depuis ce matin,
13:10 une grande surprise, c'est peut-être l'événement de l'année le plus important de la saison,
13:17 depuis que nous avons repris le 28 août, puisque tel Mbappé arrivant au Paris Saint-Germain,
13:24 nous avons recruté quelqu'un qui va être dans notre équipe,
13:31 et qui revient à la maison, j'ai envie de dire.
13:36 - Vous écoutez Pascal Frode, 11h à 13h, sur Europe 1.
13:39 Appelez Pascal Pro au 01 80 20 39 21.