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Vendredi 1 mars 2024, SMART ÉDUCATION reçoit David Brust (Responsable développement réseaux, Club Med) et Yannick Gheno (président, Ecole Rockefeller)

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00:00 [Musique]
00:08 Bonjour à toutes et à tous, je suis ravie de vous retrouver dans votre magazine hebdomadaire Smart Education.
00:14 Un magazine dédié aux nouveaux métiers, nouvelles formations, nouvelles pédagogies,
00:18 également aux nouvelles technologies de l'éducation.
00:21 Comme chaque mois, désormais nous recevons un duo d'un côté, une école, de l'autre, une entreprise.
00:26 Cette forme de partenaire se prolifère, chacun normalement y trouve son compte.
00:30 Un vivier de talent pour l'une, une opportunité d'être au plus près des besoins du secteur pour l'autre.
00:35 Nous recevons justement aujourd'hui pour en parler l'école Rockefeller, spécialisée dans la formation aux métiers de la santé et du social.
00:43 Son partenaire aujourd'hui est le Club Med. Ils ont décidé d'associer leurs forces en faveur des étudiants du secteur de la petite enfance.
00:50 David Bruste nous accompagne, responsable développement réseau du Club Med.
00:54 Bonjour. - Bonjour.
00:56 Merci beaucoup d'être avec nous aujourd'hui. - Merci à vous.
00:58 Yannick Guénaud nous accompagne également, directeur général de l'école Rockefeller. Bonjour. - Bonjour.
01:03 Merci beaucoup messieurs d'être là tous les deux. Je ne sais pas, Yannick Guénaud, je vais me tourner peut-être vers vous.
01:08 Comment ce partenariat est né ? Comment vous vous êtes rencontrés ?
01:11 Alors c'est simple, on est lyonnais et on est voisins.
01:15 Et en même temps, l'école qui vient d'avoir 100 ans, nous avons regardé un peu qui étaient nos alumnis.
01:20 Et on s'est rendu compte que beaucoup d'entre eux sont passés par le Club Med, soit durant leur temps d'études, sur des saisons, soit par la suite.
01:28 Et globalement, l'échange a commencé ainsi avec le Club Med. David ?
01:33 Oui, c'est une vraie rencontre, qui peut paraître surprenante finalement, mais qui a du sens.
01:39 Alors d'une part de notre proximité, mais au Club Med...
01:42 C'est vrai qu'on ne pense pas forcément au Club Med, métier de la petite enfance, le lien n'est pas logique tout de suite.
01:47 Et ça a été un vrai travail, ce sujet-là a été un vrai travail.
01:51 Parce que Club Med, notre travail consiste à recevoir des gens en vacances, dans nos villages de vacances.
01:57 Aujourd'hui, le Club Med, c'est 70 villages à travers le monde.
02:00 C'est 25 pays, c'est 25 000 collaborateurs, c'est 6 grandes filières.
02:05 Alors souvent, on associe le Club Med à l'hôtellerie et restauration, mais ce n'est pas que l'hôtellerie et restauration, c'est la petite enfance.
02:11 C'est cette filière qui est hyper importante pour nous, notamment pourquoi 50% de nos clients viennent en vacances et en famille.
02:19 Et on s'occupe de leurs enfants. C'est un vrai sujet, très sérieux pour nous.
02:24 On est sur quel métier exactement ?
02:26 Alors là, c'est les métiers... On parle de métiers, mais on parle de diplômés.
02:31 Nos structures sont des établissements d'accueil de jeunes enfants.
02:35 Donc à ce titre-là, on a pour obligation d'avoir dans nos équipes des diplômés de la petite enfance,
02:40 notamment des infirmières, des infirmières-péricultrices, des éducateurs de jeunes enfants, des auxiliaires de périculture, des psychomotriciennes.
02:47 Donc c'est vraiment une diversité, mais c'est un cadre qui nous oblige aussi à recruter ces diplômés-là.
02:56 Vous, quelles sont les formations exactement ? Je disais métiers de la santé, du social, on comprend des métiers de la petite enfance.
03:01 Les métiers que vient de citer David Bruste, c'est un peu ceux à quoi vous...
03:06 Ça tombe bien, puisque ce sont les métiers, entre autres, puisque nous sommes la première école en France en termes de volumétrie sur les formations,
03:14 aux métiers de la petite enfance.
03:16 Et nous allons de la formation d'assistante maternelle jusqu'à infirmière de spécialisation en périculture.
03:24 Et entre les deux, ce que David pouvait dire, c'est-à-dire auxiliaire de périculture, CAPA, EPE, bientôt éducateur de jeunes enfants aussi.
03:32 Donc on a toutes les filières, toute la gamme, je dirais, des métiers.
03:36 Et nous sommes réputés depuis très longtemps pour ces métiers-là, pour ces formations-là.
03:40 Combien d'étudiants vous formez chaque année ?
03:42 Alors, nous en formons sur les métiers de la petite enfance.
03:46 Alors si nous prenons les assistantes maternelles, c'est déjà 300 par an.
03:49 Mais ce sont des formations courtes.
03:51 Par contre, sur des formations, je dirais, diplômantes, en auxiliaire de périculture, nous sommes sur des promotions de 280.
03:57 C'est une formation d'une année, aussi bien en apprentissage que sur un format plus classique.
04:02 Et en infirmière péricultrice, là aussi, on est sur une formation de spécialisation,
04:07 qui est en une année aussi, nous formons plus de 120 infirmières.
04:10 Cette question, je vais peut-être la poser à tous les deux.
04:13 On a parlé de vos besoins métiers, en tout cas très précis, au Club Med, des formations.
04:17 Est-ce que de manière générale sur ce secteur-là, je ne sais pas, est-ce qu'il y a des vrais besoins ?
04:23 Est-ce qu'on peut parler de pénurie de main-d'œuvre ?
04:25 Est-ce que vous, vous avez ressenti un moment, une problématique de recrutement ?
04:31 Et est-ce que vous, voilà, il y a beaucoup d'entreprises qui viennent toquer à votre porte en vous disant
04:35 "mais ces métiers-là, on en a besoin à quoi ?"
04:37 Yannick Guénon, si vous voulez commencer.
04:39 Alors oui, oui, les entreprises viennent taper à notre porte, entre autres, sur Lyon, énormément,
04:44 les crèches, les PMI, donc, qui travaillent avec les métropoles aussi.
04:50 Les métiers de la petite enfance, oui, c'est assez étonnant.
04:53 On pourrait penser qu'il y a une démographie peut-être en baisse,
04:55 on a entendu parler d'une démographie en baisse, mais globalement,
04:57 il y a toujours autant d'appétence à travailler sur les métiers de la petite enfance,
05:02 et en même temps, au niveau des employeurs, à recruter.
05:04 Est-ce que cela correspond, et ça, peut-être que l'employeur qui est au Club Méditerranée
05:08 pourra peut-être plus en parler, à un turnover de collaborateurs qui viennent et qui repartent ?
05:14 Peut-être, mais il n'empêche qu'effectivement, nous formons en masse, et j'espère,
05:19 et nous faisons en sorte que nous formons avec de la qualité des personnels
05:24 qui sont des professionnels avec des vocations, mais il n'en reste pas moins
05:27 que nous ne les suivons pas non plus à la trace, par la suite,
05:30 pour savoir combien de temps ils restent dans les emplois.
05:32 Est-ce que vous, de votre côté, vous avez constaté un moment une pénurie de personnel ?
05:36 Alors, c'est, encore une fois, les familles nous laissent ce qu'ils ont de plus précieux,
05:41 c'est-à-dire leurs enfants. On les encadre et on s'occupe du bébé jusqu'à l'adolescent.
05:45 Le bébé à partir de 4 mois. Ce sont des structures d'établissement de jeunes enfants.
05:49 Le Club Med est souvent associé au monde du tourisme.
05:53 Donc, derrière, on se rend compte, finalement, qu'il y a un enjeu pour nous,
05:57 entreprise Club Med, de visibilité et de notoriété, surtout sur ce marché de la petite enfance.
06:02 Donc, le travail et cette alliance, finalement...
06:06 C'est-à-dire, vous avez besoin de communiquer, c'est ça, là-dessus ?
06:09 Vous faites des contacts de recrutement ?
06:11 C'est plus que communiquer, on a besoin vraiment de faire savoir que nous sommes un établissement de jeunes enfants
06:17 et qu'à ce titre, nous avons besoin de recruter ces diplômés de la petite enfance.
06:22 Le besoin, chaque année, sur ces diplômés-là, est de 250 postes à pouvoir...
06:28 - Au Club Med ? - Au Club Med.
06:30 Et dans nos structures d'établissement de jeunes enfants.
06:33 Donc, c'est un vrai sujet pour nous.
06:35 Donc, effectivement, on fait face à une difficulté de recrutement,
06:39 mais qui est due, d'une part, sur le marché, mais d'autre part, aussi, sur notre notoriété.
06:46 Donc, on va rentrer tout de suite dans le vif du sujet.
06:48 En quoi consiste exactement ce partenariat ?
06:50 Pour avoir fait cette émission plusieurs fois, des fois, il s'agit de stages, de formations continues.
06:54 Est-ce que Yannick Guénaud, ça signifie aussi, peut-être, moduler, un peu changer la formation, la pédagogie,
07:03 s'adapter aux besoins, peut-être, plus spécifiques d'une entreprise ?
07:06 Voilà, comment ça marche, ce partenariat ?
07:08 Et est-ce qu'on affine, aussi ?
07:10 C'est ça, l'idée.
07:11 Voilà, la formation initiale était celle-là, mais là, on s'adresse, peut-être, un peu plus au Club Med.
07:16 Vous avez touché du doigt le point essentiel.
07:18 C'est de bien comprendre, aussi, le besoin.
07:20 Autant nous, nous formons des étudiants, autant il faut comprendre le besoin de l'employeur.
07:24 Et nous avons besoin des employeurs, puisque nous sommes sur des formations de première ligne,
07:28 dans lesquelles, depuis que nous existons, depuis 100 ans, nous formons en alternance,
07:32 avant même l'existence des contrats d'apprentissage, des contrats de professionnalisation.
07:37 Et ce qui fait que nous sommes, dans notre ADN, en contact avec les employeurs,
07:42 qu'ils soient, d'ailleurs, partenaires de stage, puisque nous avons plus de 7000 stages.
07:47 Ce ne sont pas des stages de 3 jours, ce sont des stages longs,
07:49 puisque nous alternons période théorique et période de stage.
07:52 Mais, en même temps, nous avons ce retour des partenaires de stage sur leurs besoins,
07:57 sur la manière dont nous formons, nous aussi, nos étudiants.
08:01 Et, en même temps, avec des employeurs, sur des contrats d'apprentissage,
08:04 voire après, sur leurs premiers emplois, de voir, un tout petit peu,
08:08 les besoins spécifiques des employeurs.
08:10 Alors, oui, adaptation, c'est un mot qui est extrêmement important,
08:15 tout en sachant qu'on ne peut pas, aussi, faire n'importe quoi,
08:19 et que c'est un dialogue permanent avec un employeur pour trouver la bonne formule.
08:24 Oui, c'est ça, pour l'école, être au plus proche des besoins du secteur.
08:27 Et puis, vous aussi, ça vous arrange d'avoir des étudiants qui vont répondre,
08:31 véritablement, à vos besoins.
08:34 Le soc, c'est la force collective.
08:36 Seul, on va plus vite, et ensemble, on va plus loin.
08:39 Donc, je reste, quand même, sur cette devise.
08:42 Alors, l'Axe, ça a été une naissance, ça a été une compréhension des besoins.
08:47 On a engagé quelques beaux événements ensemble,
08:52 notamment le premier événement qu'on a co-construit ensemble,
08:56 ça a été l'immersion d'étudiants dans nos villages de vacances
08:59 pour observer l'enfant en vacances,
09:02 notamment les infirmières puerres et les auxiliaires de puériculture.
09:05 Donc, immersion dans vos resorts, le Med.
09:07 Sur 24 heures, pour observer l'enfant et l'accueil de l'enfant en vacances,
09:11 qui est un vrai sujet, qui était une vraie découverte,
09:13 de la part des étudiants et des cadres de santé.
09:15 Ça a été, ensuite, une journée pédagogique,
09:18 on a co-construit, on a rassemblé, sur une journée,
09:23 320 étudiants de l'école Rockefeller,
09:26 pour travailler sur la collaboration entre une infirmière puerre et une auxiliaire,
09:31 et on a co-animé cette journée-là.
09:33 Maintenant, on est dans des chiffres concrets,
09:36 là c'est une vingtaine de stagiaires qui vont venir désormais sur nos structures,
09:40 des infirmières puéricultrices et des auxiliaires.
09:43 On a mis en place de l'alternance pour la première fois aussi, au Club Méditerranée.
09:46 Alors, ça reste sur un petit volume,
09:49 parce qu'on est assez d'accord avec l'école Rockefeller,
09:52 qu'on est aussi dans une phase test, on apprend à se connaître.
09:55 Notre partenariat est récent,
09:57 et c'est une histoire d'amour qui doit évoluer,
10:00 et il en faut des preuves.
10:02 Et puis, on est sur le volet de l'emploi,
10:04 ça a été une dizaine de recrutements qui se sont opérés sur l'année qui vient de s'écoler.
10:07 Donc, c'est quand même des chiffres, on peut en être fier.
10:10 Maintenant, c'est un sujet qui va être mouvant,
10:13 qui va être dynamique, qui va, effectivement,
10:16 devoir s'ajuster, peut-être parfois, et par moments.
10:18 Et on va travailler, on va continuer à échanger,
10:21 assez fréquemment, et cette proximité lyonnaise,
10:24 effectivement, facilite les échanges.
10:26 Et on espère, encore une fois,
10:29 accélérer ce partenariat et avancer ensemble.
10:32 Yannick Guenot, ce sont des chiffres qui sont importants,
10:34 ceux de l'insertion professionnelle,
10:36 c'est ce qu'on regarde, de voir ces étudiants,
10:38 combien derrière vont être potentiellement embauchés
10:41 dans une entreprise comme le Club Med ?
10:43 L'insertion professionnelle,
10:46 effectivement, nous n'avons pas de problème d'insertion professionnelle,
10:49 on est sur des formations où c'est du 100%,
10:52 quasiment, d'insertion professionnelle,
10:54 par un ou deux qui continuent des études.
10:56 Il y a une continuité d'études aussi,
10:58 il y a des jeunes qui sont, par exemple, en CAP,
11:01 qui vont continuer en exiliér de périculture,
11:03 voilà, c'est un exemple.
11:05 Mais ce qui est important,
11:07 hors du chiffre de l'insertion professionnelle,
11:09 c'est aussi de voir des étudiants,
11:12 des diplômés, bien dans leur peau, bien dans leur vie.
11:14 Et, en l'occurrence, je souriais,
11:17 lorsque David parlait de l'événement organisé
11:20 avec le Club Med,
11:22 sur une journée entière,
11:24 auprès de 350 de nos étudiantes,
11:26 parce qu'elles sont revenues avec le sourire,
11:28 avec la banane,
11:30 avec l'idée que leur vie ne s'arrêtait pas,
11:32 peut-être, à la crèche du quartier,
11:34 et avec de nouvelles perspectives,
11:36 ouvertes sur le monde.
11:38 Et ça, c'est extraordinaire.
11:40 Il y a des exemples.
11:42 Parfait, on pense à Marine, par exemple,
11:44 qui est infirmière péricultrice,
11:46 qui voulait changer
11:48 ce cursus du monde hospitalier
11:50 où elle était plus ou moins téléguidée,
11:52 si je peux utiliser cette expression-là,
11:54 qui est venue au Club,
11:56 et qui, aujourd'hui, a évolué très rapidement,
11:58 qui a pris en charge une structure,
12:00 qui est partie sur les Seychelles,
12:02 et qui revient des Seychelles.
12:04 Aujourd'hui, elle est sur la Rosière.
12:06 Après, demain, elle risque de partir sur un autre village.
12:08 Donc, c'est des expériences de vie
12:10 que le Club Med propose,
12:12 personnelles et professionnelles à la fois.
12:14 Et c'est cet équilibre-là
12:16 qu'on essaie de valoriser
12:18 auprès de ces étudiantes et de cette cible
12:20 de la petite enfance.
12:22 Il nous reste quelques secondes.
12:24 David Bruss parlait d'un partenariat,
12:26 d'une relation qui évolue.
12:28 Vous la voyez évoluer.
12:30 Comment pensez-vous à d'autres formes de partenariats
12:32 dans ces prochains mois, ces prochaines semaines ?
12:34 Avec le Club Med, je pense que le partenariat
12:36 est bien parti.
12:38 En l'année test, il y a des plus,
12:40 des moins, mais justement, on est là pour ajuster,
12:42 pour faire un peu de fine-tuning
12:44 sur ce qui marche, ce qui ne marche pas.
12:46 Et nous, notre but
12:48 en tant qu'école, professionnalisante,
12:50 c'est d'emmener à l'emploi, effectivement,
12:52 sur des parcours de formation plus ou moins longs.
12:54 Et l'important étant
12:56 que nos étudiants, nos étudiantes,
12:58 trouvent chaussure à leurs pieds, quelque part.
13:00 Nous sommes sur des métiers
13:02 où la vocation est très forte.
13:04 La passion, la vocation.
13:06 On ne vient pas sur les métiers de la petite enfance
13:08 comme ça, par hasard.
13:10 C'est important de trouver le bon lieu après
13:12 pour la bonne entreprise.
13:14 Et certains le trouveront avec le Club Med,
13:16 d'autres le trouveront dans une crèche,
13:18 ou dans d'autres... A nous d'ouvrir
13:20 les perspectives, les champs de partenariat
13:22 le plus possible. Et c'est en ce
13:24 que le Club Med, effectivement, vous l'avez dit tout à l'heure,
13:26 n'était pas immédiatement
13:28 la première idée qu'on pouvait avoir comme employeur
13:30 sur la petite enfance. Et pourtant, c'est un gros
13:32 employeur sur la petite enfance.
13:34 Et avec, par le
13:36 besoin du Club Méditerranée,
13:38 "Parents heureux, enfants heureux" ou "Enfants heureux, parents heureux",
13:40 c'est une devise.
13:42 Un besoin de rigueur,
13:44 un besoin d'avoir
13:46 un niveau, une exigence de professionnalisme
13:48 extrêmement important qui correspond à notre ADN.
13:50 Merci beaucoup à tous les deux d'être venus nous parler
13:52 de ce partenariat aujourd'hui sur le plateau de Smart Education.
13:54 David Bruste, je rappelle, vous êtes le responsable
13:56 développement réseau du Club Med. Yannick Guénaud,
13:58 directeur général de l'école Rockefeller.
14:00 Merci beaucoup à tous deux d'avoir été avec nous.
14:02 Merci à vous de nous avoir suivis. On se retrouve très vite
14:04 pour un nouveau numéro de Smart Education.
14:06 A très vite. Ciao.
14:08 ...

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