Le Conseil d’Etat demande à l’ARCOM de mieux contrôler la chaine CNews : Cyril Hanouna réagit

Touche pas à mon poste

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Transcript

00:00 La liberté d'expression, bravo Laurence Ferrari,

00:03 et apparemment pour le Conseil d'État et pour les donneurs de leçons,

00:08 la liberté d'expression, elle s'arrête quand on n'est pas d'accord avec eux.

00:13 Dès qu'on n'est pas d'accord avec eux sur un sujet, il n'y a plus de liberté d'expression.

00:15 Donc il faut toujours être d'accord avec eux.

00:17 Dès qu'ils disent quelque chose, il faut être d'accord avec eux.

00:19 Il faut être dans les rails.

00:21 Si vous n'êtes pas dans les rails, forcément,

00:25 on essaie de vous trouver des poux dans la tête et de vous mettre de côté.

00:29 Et c'est ce qui se passe aujourd'hui avec C8 et CNews.

00:32 Mais qu'est-ce qui dérange dans C8 et CNews ?

00:34 C'est le succès de C8 et de CNews qui dérange.

00:37 Quand CNews faisait 0% de part de marché et 0% d'audience, ils ne dérangeaient pas.

00:44 Mais aujourd'hui, ce qui dérange au-delà dans C8 et CNews, c'est aussi,

00:48 je vais vous dire, ils voient que C8 et CNews, c'est une autre façon de penser.

00:52 Ils voient que la locomotive C8, et je peux vous dire, vous pouvez tout regarder,

00:56 C8, c'est la première chaîne de la TNT.

00:58 C'est donc la première chaîne, après les chaînes erdiennes,

01:01 c'est la première chaîne de la TNT devant TMC.

01:04 C'est la première chaîne, on sera encore premier en février, sachez-le.

01:07 Voilà, on est déjà premier en février, on va finir en février en première position.

01:10 Ce qui est à dire qu'ils insultent le public,

01:14 que CNews est en train aussi de devenir la première chaîne d'information.

01:17 Ils insultent le public parce qu'ils n'aiment pas que le public ne pense pas comme eux,

01:22 comme la plupart des institutions et comme la plupart des donneurs de leçons.

01:28 Donc C8 dérange et CNews dérange, mais qu'est-ce qui les dérange ?

01:33 C'est le vent qu'on a dans le dos.

01:35 C'est que C8 et CNews, on sent qu'il y a de plus en plus de ferveur populaire

01:38 autour de C8 et de CNews, qu'il y a de plus en plus de gens

01:41 qui se retrouvent en C8, qui se retrouvent en CNews,

01:44 qui se retrouvent dans cette émission, qui se retrouvent dans les émissions de CNews.

01:47 Et je vais vous dire, croyez quoi, les lobbying,

01:52 ce sont les autres chaînes aussi qui le font.

01:54 C'est le groupe France Télévisions, c'est le groupe TF1,

01:57 peut-être le groupe M6, même si M6, Nicolas Taverneau,

01:59 il n'est pas là-dedans en ce moment, je pense qu'il s'en fout un peu.

02:02 Mais sachez-le, vous croyez quoi ?

02:04 Vous croyez que les talents qu'il y a sur CNews, si demain CNews ferme,

02:08 vous croyez vraiment que des talents comme Jean-Marc Morigny,

02:13 comme Pascal Praud, comme Laurence Ferrari, comme Sonia Mabrouk,

02:16 comme tous les gens qui ne consacrent plus l'antenne,

02:18 comme tout, il y a Gauthier Lebré, Eliott qui est incroyable aussi.

02:21 – Eliott Deval.

02:22 – Eliott Deval, j'adore aussi.

02:24 Mais tu crois que tous ces talents vont être récupérés ?

02:27 Parce que qu'est-ce qu'ils veulent ?

02:29 Ils veulent juste tuer CNews et C8.

02:32 Et donc, vous pénalisez, puisque CNews, je le répète,

02:35 c'est la première chaîne TNT, donc c'est la première chaîne,

02:38 après les chaînes Erdéen qui ont été là depuis longtemps

02:40 et qui ont des budgets bien plus importants, derrière c'est CNews.

02:44 Et CNews, tous les jours, il y a des gens qui se reconnaissent dans CNews.

02:48 Alors, ils essaient d'arrêter le tsunami populaire

02:51 qui vient autour de ces chaînes, qui est autour de CNews,

02:54 qui est autour de C8.

02:55 Ils essaient d'arrêter, donc ils ne savent plus quoi trouver,

02:58 puisqu'ils voient qu'il y a de plus en plus de gens qui adhèrent.

03:00 Mais comme ils veulent tout contrôler et ils veulent dire aux Français

03:02 "non, il faut regarder ça, il faut écouter ça,

03:03 il faut voter pour ci, il faut voter pour ça",

03:05 ils essaient de trouver à chaque fois des nouvelles choses.

03:08 Donc nous, par exemple, je vais vous dire,

03:10 on a été retoqué par l'Arkom sur la séquence de Jérémy Assous.

03:15 Donc l'Arkom est en train de regarder la séquence de Jérémy Assous.

03:18 Je ne sais pas pourquoi.

03:19 Par contre, en revanche, que complément d'enquête

03:23 et peut-être trafiquer les images, ça, personne n'en parle.

03:27 Il n'y a pas d'enquête, il n'y a rien du tout.

03:28 Mais Jérémy Assous, parce qu'il n'y avait pas de contradiction,

03:32 il était en train de faire un exposé.

03:35 Voilà, c'est un témoignage comme on a des témoignages tous les soirs.

03:38 Voilà, après, ça a engagé Jérémy Assous

03:41 et Jérémy Assous, il nous a apporté des preuves.

03:43 Après, voilà, la justice va faire son travail, mais c'est incroyable.

03:47 Voyez où passaient les choses qui n'arriveraient pas sur une autre chaîne.

03:50 On l'a vu, les marques également.

03:52 Et je vais vous dire, en fait, la liberté d'expression est en danger dans ce pays.

04:01 Et C8 et Cnews sont l'exemple parfait de ce qui se passe aujourd'hui en France.

04:07 C'est-à-dire que si vous n'êtes pas dans les clous,

04:10 on l'a vu sur plein de sujets, ici, on va parler du vaccin dans un instant.

04:14 On n'a jamais dit qu'on est contre le vaccin ici.

04:17 Mais dès qu'on accueille quelqu'un qui se pose des questions,

04:20 on n'a plus le droit de se poser des questions dans ce pays.

04:23 C'est-à-dire que tu n'as plus le droit de te poser des questions.

04:25 Tu dois dire oui, amen, à tout ce qu'on te dit.

04:27 Bah oui, bah d'accord, je vais suivre le mouvement.

04:29 Il n'y a pas une personne qui dit attendez, je peux poser une question.

04:32 La liberté d'expression, elle est où ?

04:33 Je vais prendre l'exemple du professeur Raoult.

04:36 Le professeur Raoult a été mis de côté.

04:39 Le professeur Raoult qui l'invite aujourd'hui à Parnon, terminé, de côté.

04:43 Tous les gens qui ne sont pas dans le serail des donneurs de leçons,

04:50 eh bien, ils prennent des coups et on essaie de les éteindre.

04:54 Alors aujourd'hui, France Télévisions.

04:57 Pourquoi France Télévisions ?

04:58 Je prenais un exemple la dernière fois.

05:01 Je prenais Philippe Devillers qui a eu un complément d'enquête sur sa personne.

05:06 Vous savez, ça fait combien de temps qu'il n'a pas été invité sur France Télévisions, Philippe Devillers ?

05:09 Plus de 10 ans.

05:10 Mais par contre, ils ont fait un complément d'enquête sur lui.

05:13 Ils n'ont aucun problème pour faire un complément d'enquête sur lui.

05:15 Parce qu'on va parler aussi des temps de parole.

05:18 Vous savez à un moment, le parti qui avait le plus la parole ici ?

05:22 C'est l'AFF.

05:24 Mais ils ont été trouver une chercheuse du CNRH, je ne sais même pas d'où ils l'ont trouvé,

05:29 qui a dit que non, c'était Éric Zemmour.

05:31 Non, non, c'est bien la France Insoumise d'ailleurs.

05:33 On a même une lettre du CSA de l'Arc-Homme qui nous dit que la France Insoumise est trop représentée sur la chaîne C8.

05:41 Donc, c'est le Conseil d'État qui se mêle de C8.

05:48 Mais il n'y a aucun arrêté sur le service public.

05:51 Ou sur TF1 quand la dernière fois…

05:53 Et après, comment vous voulez que les gens, les téléspectateurs qui nous regardent, merci à eux d'ailleurs,

05:58 prennent au sérieux ces médias la dernière fois sur TF1 ?

06:01 Pour parler de la crise des agriculteurs.

06:04 Ils vont chercher en duplex une dame qui est agricultrice et qui va leur dire "mais non, tout va bien pour les agriculteurs".

06:12 Sauf qu'on voit le bandeau en bas "députés Renaissance".

06:15 Vous voyez vraiment qu'ils ont été chercher l'agricultrice s'il fallait.

06:17 Mais ils sont, eux par contre, ils font ce qu'on leur dit, ils sont dans les clous.

06:24 Et c'est très bien, c'est une pensée, mais il faut qu'il y ait le pendant.

06:29 Une autre pensée, la liberté d'expression, elle commence par là.

06:33 Et aujourd'hui, sachez-le, ils n'ont qu'une envie,

06:36 puisque la semaine dernière on a reçu quatre lettres de l'Arkom.

06:39 Jérémy Assous, Loana, donc ils savent mieux que Loana.

06:43 Loana qui a dit elle-même qu'elle était très heureuse de venir et que ça lui a fait du bien

06:46 et que ça lui a apporté quelque chose de venir dans l'émission,

06:48 mais eux, ils savent mieux que Loana, que les personnes concernées.

06:52 C'est incroyable.

06:52 Donc derrière, il y a des journalistes qui sont à la botte aussi,

06:55 des bien-pensants qui en rajoutent et qui en mettent des caisses sur les réseaux et dans leurs articles.

07:01 Et derrière, il y a l'Arkom qui envoie une lettre, deux lettres.

07:03 On a eu quatre lettres la semaine dernière.

07:05 Quatre lettres de l'Arkom pour des choses qui n'auraient jamais été attaquées sur d'autres antennes.

07:14 C'est un truc de fou.

07:17 – Ça veut dire quoi ça, Cyril ?

07:19 Même les présentateurs et les journalistes de la chaîne doivent être fichés politiquement.

07:22 – Alors c'est ça, c'est-à-dire que…

07:24 – Pascal Praud, il doit être fiché.

07:26 – Pascal Praud, alors qu'il n'a jamais dit…

07:28 Pascal Praud, il n'a jamais dit…

07:29 – C'est un éditorialiste.

07:30 – Pascal Praud, il doit être fiché maintenant.

07:31 Par contre, il doit être à droite ou à gauche.

07:33 Non, non, c'est-à-dire que toutes les personnes qui sont…

07:36 Sur Céline, ça n'a jamais été vu, sachez-le.

07:39 C'est un truc qu'on n'a jamais vu de notre vie.

07:41 Ça veut dire que donc, les intervenants peuvent dire "Ah bah oui, moi je suis journaliste,

07:44 non mais alors moi je suis de gauche, ah bah moi je suis de droite".

07:46 Non mais ça n'est jamais vu, ça ne s'est jamais vu.

07:49 Sachez-le, c'est un truc de fou.

07:52 En fait, ce qui se passe, je vais vous dire,

07:54 c'est qu'ils sentent que le sol se dérobe sous leurs pieds, sur leurs jambes.

08:00 Et ils se disent "Qu'est-ce qu'on peut faire ?".

08:02 Plus ça va, plus C8 monte, plus CNews monte.

08:06 Plus les gens se disent "On a trouvé une alternative".

08:12 Mais qu'est-ce qui se passe sur CNews et sur C8 ?

08:16 On essaie juste de se poser des questions.

08:18 On n'est pas des bénis oui-oui.

08:21 On essaie juste d'avoir une certaine liberté d'expression.

08:25 Et je vous le dis, c'est dans ce groupe qu'on a la plus grande liberté d'expression.

08:27 Si vous entendez, quand vous voyez des journalistes ou des intervenants,

08:32 ou des gens qui n'y connaissent rien,

08:34 qui disent que sur C8 ou CNews, on n'a pas de liberté d'expression,

08:37 sachez, et on le voit ici, je crois qu'on a la personne la plus à gauche,

08:41 on a le mec, il est à l'extrême gauche de l'extrême gauche, c'est Gilles Verdaille.

08:45 Non mais il est à l'extrême gauche de l'extrême gauche.

08:46 Gilles Verdaille, jamais il n'a reçu un coup de fil de ma part,

08:49 le soir ou le lendemain, pour lui dire, je dis, calme-toi.

08:51 D'ailleurs, vous voyez bien, parce qu'il continue tous les jours.

08:55 Mais la plus grande liberté d'expression, elle est ici.

08:58 On est le seul groupe à se poser des questions, à essayer de voir, voilà,

09:05 est-ce qu'il y a d'autres pensées ?

09:06 Mais on essaie de nous mettre de côté.

09:10 Forcément, nous, les autres, ils roulent sur l'autoroute,

09:12 nous, on est sur la bande d'arrêt d'urgence parce qu'on dérange.

09:15 Et pourquoi on dérange ?

09:15 Parce que, et je voudrais vous remercier, c'est grâce à vous,

09:18 puisque vous êtes de plus en plus nombreux, à regarder CNews, à regarder C8.

09:21 C8, je vous dis chaque mois, 10 mois sur 12, on est première chaîne TNT.

09:29 Ça veut dire que sur l'année, on est toujours la première chaîne, C8.

09:31 Donc forcément, ça dérange.

09:33 Et il y a un dramaturge qui disait,

09:38 quand le peuple cesse d'obéir au gouvernement,

09:42 on ne veut pas changer le gouvernement, on veut changer le peuple.

09:46 Mais on ne vous changera pas.

09:48 Le peuple, il pense ce qu'il veut, on ne va pas changer le peuple.

09:51 Donc je vais vous dire, aujourd'hui, on est dans une guerre.

09:53 Et c'est vrai que c'est incroyable, une guerre des médias

09:56 qui n'a jamais été aussi exacerbée.

09:59 Et aujourd'hui, cette décision,

10:02 je vous explique, chez vous à 20h34, c'est ce que vient de dire Géraldine,

10:05 c'est que chaque intervenant de CNews va être considéré comme

10:11 un politique et va être encarté politiquement.

10:14 Ça n'existe pour aucune autre chaîne.

10:16 Donc ça n'existe pour aucune autre chaîne.

10:20 C'est complètement fou.

10:21 Et je vais vous dire pourquoi.

10:23 Il y a actuellement les renouvellements des chaînes,

10:25 vous savez, des fréquences.

10:27 Donc CNews, C8 et CStar aussi vont être soumis au jugement.

10:35 Et on va dire si C8, CNews et CStar vont être reconduits.

10:38 Forcément, comment imaginer, comment imaginer

10:44 qu'une institution va enlever aux Français la première chaîne TNT

10:49 et la première chaîne d'infos un jour sur deux ?

10:55 C'est incroyable.

10:57 – Mais vous l'imaginez ?

10:58 – Je ne l'imagine pas en un instant, ce serait impossible.

11:00 Mais c'est ce qu'ils veulent.

11:02 Donc il y a des lobbying qui se créent pour dire "ah, mais vous croyez quoi ?

11:07 Tous ceux qui disent ça, c'est parce qu'ils sont dérangés,

11:10 parce qu'ils aimeraient bien qu'il n'y ait plus CNews,

11:12 ils feraient peut-être plus d'audience,

11:13 ils aimeraient bien qu'il n'y ait plus C8,

11:15 ils feraient peut-être plus d'audience aussi.

11:16 Donc forcément.

11:17 Et puis le fait qu'ici, on reçoive tout le monde, ça dérange.

11:23 Ça dérange.

11:23 Mais nous ici, quand on reçoit Jean-Luc Mélenchon,

11:26 on le reçoit aussi bien que Jordan Bardella ou que quelqu'un de Renaissance,

11:31 Gabriel Attal qu'on a reçu, avec qui j'ai été prendre un café ici en direct.

11:35 Ici, on essaie d'être le plus impartial possible.

11:38 On essaie de nous coller des étiquettes.

11:40 Nous, on colle à l'actu.

11:41 Voilà.

11:42 Aujourd'hui, vous le savez, comme je vous l'ai dit,

11:43 France Insoumise et Europe Ecologie Les Verts ne veulent pas venir chez nous.

11:47 Après, on peut les comprendre, ils font ce qu'ils veulent.

11:50 Moi, je suis invité quelque part, si je n'ai pas envie d'y aller, je n'y vais pas.

11:52 Eux aussi.

11:53 Mais eux, en fait, c'est que quand ils ne sont pas invités qu'ils veulent y aller.

11:57 Eux, c'est tout le contraire.

11:58 Nous, on les invite, ils ne veulent pas y aller.

11:59 Mais quand ils ne sont pas invités, ils veulent y aller.

12:02 On l'a vu encore la semaine dernière.

12:03 Donc, c'est quand même des génies.

12:04 Mais eux aussi, contribuent au fait qu'il faut,

12:09 pour eux, il faut éteindre C8 et CNews.

12:10 Donc, ce qui a été fait là, cette décision, elle est extrêmement grave.

12:16 Et je vais vous dire, elle touche à la liberté d'expression

12:19 de tous les Français qui nous regardent ce soir.

12:21 Et tous les Français qui sont dans le public.

12:23 C'est une décision qui est, enfin, c'est-à-dire, ce n'est pas une décision,

12:27 ils ont demandé, ils ont sommé l'arc-homme d'être plus vigilants sur CNews.

12:32 C'est vraiment, je vous le dis, aujourd'hui, c'est une décision d'une dictature.

12:39 Je vous le dis.

12:40 – De la pensée, oui.

12:41 – Exactement, une dictature de la pensée.

12:42 Donc, c'est extrêmement grave.

12:44 Et sachez-le, aujourd'hui, la liberté d'expression est en danger en France.

12:49 Quand on voit ça, elle est en danger.

12:52 On va recevoir dans un instant une jeune femme qui s'appelle Marie-Charlotte,

12:58 qui a eu des séquelles après le vaccin.

13:01 Tous les médecins vous diront, oui, il y a certaines personnes

13:03 qui ont des séquelles après le vaccin.

13:05 Elle va témoigner ce soir.

13:08 Aucun média ne l'a reçue et n'a voulu la recevoir.

13:12 Elle a même mis un tweet tout à l'heure disant,

13:14 c'est la première fois qu'un gros média, un grand média,

13:16 va me recevoir ce soir pour mon témoignage.

13:20 Comment on explique ça ?

13:22 Comment on explique ça ?

13:23 Est-ce qu'en recevant Marie-Charlotte dans un instant,

13:27 on voudra dire qu'on va balayer tout ce qui a été fait sur le vaccin,

13:31 toutes les décisions qui ont été prises ?

13:32 Est-ce que ça voudra dire qu'on est, comme c'est le mot à la mode actuellement,

13:36 des complotistes ?

13:38 C'est ça, parce que dès que tu n'es pas d'accord et que tu te poses des questions,

13:40 tu es taxé de complotiste.

13:42 Non, juste on est peut-être un peu plus curieux que les autres,

13:47 un peu plus tolérant, peut-être un peu plus à l'écoute,

13:52 et peut-être il ne sera rien qui sera monté, coupé, etc.

13:56 Et, je vous en sais, peut-être qu'on va recevoir une lettre

14:00 demain ou après-demain de l'Arc-com pour dire "oui, attention,

14:03 propos complotistes".

14:06 Mais dès qu'on se pose des questions, on a des propos complotistes.

14:08 Dès qu'on a un témoignage de quelqu'un qui souffre,

14:10 parce que cette jeune femme, sa vie a été gâchée,

14:12 ça ne veut pas dire qu'on remet en cause le vaccin.

14:14 Ça ne veut pas dire qu'on remet en cause toutes les décisions.

14:17 J'en parlais tout à l'heure, Jéradine Maillet,

14:19 même si elle a toujours défendu le vaccin ici.

14:22 Et voilà, Jéradine, elle est très contente d'avoir ce témoignage,

14:25 et je suis sûr qu'elle se dit "ça va être intéressant d'écouter ce témoignage de cette jeune fille".

14:28 Mais elle n'a été reçue nulle part.

14:31 Sachez-le, je vous le dis,

14:36 notre liberté d'expression est en danger, il faut se battre pour.

14:40 Et on va se battre ici, et on va se battre dans le groupe.

14:43 Et je sais que mes amis de CNews également vont continuer à faire leur travail,

14:48 et vont continuer à vous informer, à débattre,

14:50 et à vous montrer toutes les idées

14:54 qui sont représentées en France comme on le fait ici.

14:56 [Musique]

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