Thomas Isle, Anissa Haddadi et Olivier Benkemoun se sont invités dans l'émission de Pascal Praud avec leur invité Didier Barbelivien, l'occasion de revenir avec humour sur ce qu'il se passe dans les coulisses d'Europe 1.
Retrouvez "Pascal Praud et vous" sur : http://www.europe1.fr/emissions/pascal-praud-et-vous
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00:00 - Merci Émilie Dez et avant de commencer notre émission, je leur ai dit de passer dans notre studio,
00:05 donc comme c'est une grande famille. En plus c'est la première fois, je vous vois, mais qu'est-ce qui s'est passé ?
00:07 Votre coiffeur est sorti de prison, je ne vous ai jamais vu avec les cheveux aussi courts !
00:11 Je ne vous ai jamais vu avec les cheveux aussi courts, Didier Barbeau, il vient !
00:15 - Mes chaussures, parce que je me suis fait couper les cheveux pour 2024.
00:19 - Mais quel rapport avec les chaussures ?
00:21 - Parce que j'ai mis les chaussures qu'ils détestent.
00:23 - Ah oui ?
00:23 - Non mais là, ça me rajeunit. C'est vrai, vous êtes beaux. Ah oui, vraiment.
00:28 - Alors que je chante et je vais fêter mes 70 ans.
00:32 - Le 10 mars.
00:33 - Le 10 mars.
00:34 - Et après on va sur le toboggan.
00:36 - Direct.
00:37 - Direct.
00:39 - Dans l'Atlantique.
00:40 - Alors, Anissa est passée.
00:43 - Oui, Pascal.
00:44 - Notre ami Ben Kemoun, on va faire une spéciale César avec vous.
00:47 - Avec plaisir.
00:48 - Il commence à faire de la radio, Olivier.
00:51 - Il faut parler dans le micro.
00:52 - Je vais le mettre dans l'œil.
00:54 - Tout ne marche pas.
00:55 - Donc le matin des Césars, c'est quand ?
00:57 - Le matin, c'est le vendredi.
00:59 - C'est le 23 février.
01:01 - Et c'est vous qui allez commenter les Césars pour Europe 1 et pour CNews, je crois.
01:06 - Juste pour Europe 1.
01:07 - Juste pour Europe 1, donc vous ne serez pas payés.
01:10 Mais en revanche, ça sera toute la soirée et le matin vous serez avec nous.
01:15 Et moi j'ai dit à nos amis, on va faire une spéciale César le matin avec des archives,
01:19 ce qu'on a aimé dans les Césars, les grands films.
01:22 - Et vous allez préparer tout ça pour moi ?
01:23 - On va faire une spéciale cinéma.
01:25 - Ah la chance !
01:26 - Même une matinée César, parce que nous aussi on parlera des Césars.
01:30 - Il a été gentil avec vous, Thomas Hill ?
01:32 - Ah c'est merveilleux.
01:34 Non, non, ils ont été très bien.
01:35 Puis en plus, il a fini de le lire à minuit et demi,
01:38 "La seule façon d'aimer", et il m'a dit, avant qu'on se parle à l'antenne,
01:42 il a dit "Pascal Proulx m'en a dit le plus grand bien".
01:44 - C'est vrai.
01:45 Bon bah écoutez, c'est gentil d'être passé nous voir.
01:48 - Ce qu'a dit Didier à Thomas tout à l'heure, il me dit "tu me rappelles Nicolas Pérac".
01:54 - Est-ce vrai un peu ?
01:55 - Oui enfin...
01:57 - Nicolas Pérac c'est un mystère, parce qu'il a fait 3 chansons énormes,
02:02 et derrière il a souvent, c'est une conversation que j'ai souvent avec Didier,
02:06 c'est-à-dire qu'il a tenté, il a fait des albums, il a fait de la musique,
02:10 rien n'a marché.
02:11 - Non.
02:12 - Rien n'a marché.
02:13 - Il y a eu "Et mon père", il y a eu "So far away"
02:16 - "So far away from L.A.", "So far away from Frisco"
02:21 - "I'm no one by the shadow"
02:24 - "By the shadow"
02:26 - Et ce pauvre Pascal Proulx qui s'est fait attaquer par les envahisseurs,
02:29 parce que lui comme David Vincent il les a vus.
02:31 - Non mais attendez, attendez, attendez.
02:33 Depuis le 28 août, il nous doit 247 minutes à 11h.
02:37 Donc on vient les reprendre aujourd'hui.
02:40 - Je ne vous explique pas, je ne vous explique pas.
02:44 Quand j'arrive à 8h15, qu'ils sont en train de préparer la émission
02:47 et que je fous un bordel en parlant du climat,
02:50 on leur apporte tant des bouquins.
02:53 J'aurais dit écoutez, voilà, c'est intéressant, c'est un sujet passionnant
02:57 et c'est un sujet où parfois il y a des avis divergents.
03:01 Pas surtout les sujets bien sûr du climat.
03:04 Et on échange ensemble et c'est ça la beauté d'une rédaction.
03:07 - On filmera les off, la machine à café, les bureaux, tout ça.
03:11 - J'ai l'impression, je le disais tout à l'heure dans les couloirs,
03:14 de retrouver le repas des années 70.
03:16 C'est-à-dire quand tout le monde passait dans toutes les émissions.
03:19 C'était ainsi, un sketch mais c'est bien.
03:22 - La radio, les gens ils sont contents, ils nous écoutent, ils vous voient
03:26 et puis ils se disent "on fait semblant de bien s'aimer"
03:29 "on se déteste dans la vraie vie, on ne se parle pas"
03:32 "mais on fait genre, on fait genre"
03:36 Mes filles elles disent ça, "on fait genre".
03:39 - J'ai préféré une chanson "on fait genre".
03:41 - Non parce que j'entends ça toute la journée à la maison aussi
03:43 mais moi en plus j'en ai deux de 13 ans, ça fuse tout le temps.
03:47 - Bon on commence l'émission ou pas ?
03:49 - Après la pause.
03:51 - Vous virez, vous partez.
03:53 A la limite j'aurais pu garder l'ami Benkémoun
03:58 parce qu'on va parler de Judith Godrech et de Benoît Jacot.
04:01 Alors je garde Benkémoun.
04:03 - Allez on penke !
04:05 - Je vous embrasse.
04:07 - Je vous embrasse, il est 11h10 à Paris.
04:09 Maintenant faut nous laisser.
04:11 S'il vous plaît on peut écouter "Elle" ?
04:13 Moi j'aime bien la chanson "Elle".
04:15 - On va écouter la pub avant.
04:17 - La pause, à tout de suite.
04:19 - Faites pas la gueule, digifab.
04:21 - Oh mais pas du tout !
04:23 - Soyez souple.
04:25 - Ah bah pas du tout, j'ai gagné 10 minutes à rien faire là.