Revue de Presse du 2 Fevrier 2024 avec Mouhamed Alimou Ba
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00:00 - Bonjour à la Une, la politique, la présidentielle et toutes ces suspicions autour du report probable ou improbable du scrutin du 25 février.
00:12 - Le bruit continue de courir dans les couloirs et beaucoup se demandent ce qui pourrait bien habiter la tête de ceux qui s'agitent à l'Assemblée nationale.
00:20 Au-delà des déclarations d'intention, il n'y a que, comme l'évoque la plupart des publications ce matin, une volonté secrète de reporter l'élection.
00:29 Mais comme le constate l'observateur à mon chef, ce serait joué avec le feu.
00:35 Le journal Sud Quotidien note à la suite que c'est un pari risqué de Bénaud et du Parti démocratique sénégalais.
00:41 Vox populis, Saint-Touroge, Macky, Vatil, Fayir Lahou, Léopold Sédar, Senghor, Youf ou encore Wadon, réussis tenir toujours à date échue la présidentielle.
00:52 Pierre Noël Assensal réitère ses accusations dans Walfadry. Ils veulent juste faire un coup d'Etat constitutionnel.
00:59 Impossible soutiennent les constitutionnalistes. Le mandat est hors de portée du président de la République. Impossible averti de son côté Mawangay.
01:09 Dans Soursa, Abir Amisek du Forum civil soutient dans Vox populis que la création de la commission d'enquête parlementaire ne peut entraîner un report de l'élection.
01:20 Dans Sud Quotidien, l'enseignant-chercheur en droit public Nyogu Osara soutient que le report de l'élection est inenvisageable,
01:27 sauf si les politiciens interprètent la constitution comme ils ont l'habitude de le faire en disant qu'il y a crise des institutions.
01:35 L'Obs note que cette crise institutionnelle, ajoutée, n'est qu'une vue de l'esprit, une tempête qu'il y a du mal à contenir dans un verre d'eau.
01:44 Dépression, tempête ou agrand, aucun vent ne souffle. Une tournoi au-dessus de nos têtes, l'alerte du professeur Moussa Yaw, on ne peut plus clair dans les colonnes de Vox populis.
01:55 Le président Sall pourrait se retrouver alors à gérer une situation très complexe et le politiste de se demander ce qu'il gagnerait à reporter la présidentielle.
02:04 Pas de report, Amadou Ba a été choisi par le président Macky Sall, déclare Zahra Yan-Kam de Benobo Kaka'a au secours de son candidat Kaslan Etienne.
02:15 L'Assemblée nationale carbure à fond pour tenter de jeter la lumière sur la présumée affaire de corruption au Conseil constitutionnel.
02:22 Sous ça, note ce matin que la machine Sambal, même observation du journal LAS, hier, ses membres ont tenu le premier rayon pour donc former le bureau
02:33 composé pratiquement que des élus de Benobo Kaka'a et du groupe Liberté et Démocratie.
02:38 Et son chemin parallèlement, les libéraux exigent la dissolution du Conseil constitutionnel et le report de l'élection présidentielle.
02:47 La présidentielle, toujours Karim Recalé, vous le savez, pour sa binationalité, eh bien, le fils de l'Iowa n'est apparemment pas le seul à avoir deux nationalités.
02:57 D'autres candidats sont dans la même situation. Rosewardini garde toujours sa nationalité française.
03:03 Le journal inquiète. Note à ce sujet, Karim Ouad, c'est l'arbre qui cache la forêt.
03:08 Dans ceur ça, la réaction de Issa Sale, ancien membre de la Sénat et il est journaliste par ailleurs, donc il dit qu'à la date où il fallait déposer, on recourait bien.
03:18 Personne n'a fait de recours contre elle. Le journal Les Echos n'est pas tout à fait d'accord.
03:23 Rosewardini a été retenue, mais Karim Ouad avait pourtant alerté. Note encore le confrère.
03:29 Tribune en tire la conséquence suivante. Le procureur de la République doit s'autosaisir très vite pour poursuivre les candidats auteurs de parjures.
03:38 Sur ça, note que si Kyarno Alassane Sale veut être conséquent avec lui-même, eh bien, il doit porter plainte contre Rosewardini.
03:47 Après avoir donc eu euh, après avoir fait recaler donc Karim Ouad, espoir pour boucler après la déroute de Yamosoukro, le journal de Corse projette ce matin.
03:58 Akuyate Ganage, nampaliste, Sabali, les donc euh, trentenaire, perdu du terrain.
04:05 Mendi, Koulibaly, Saryo, eux, continuent de résister. Mais pour le journaliste Babacar Khalifanyaye, tant que le jour est compétitif, on peut toujours le garder.
04:15 Il se penche sur le sélectionneur national et son avenir à la tête de l'équipe nationale pour avoir donc mieux que l'expertise locale ou si c'est lui-même.
04:27 La réponse d'Abdelaye Yaw-Kroniker à la RFM, il dit, moi, je suis surpris que le problème de son maintien revienne à l'ordre du jour.
04:36 Les gens, quand il y a un camouflet du genre, veulent tout de suite trouver des solutions.
04:41 Allez où le problème de son maintien n'avait jamais été à l'ordre du jour et même pendant cette canne, c'est juste au lendemain des tirs au but.
04:48 Et puis comment peut-on remettre en question le maintien d'un entraîneur après une séance de tir au but, se demande encore le chroniqueur Abdelaye Yaw à lire cette interview à la page 5 du journal Stade Quotidien Babacar.