Revue de Presse du 22 Janvier 2024 avec Mouhamed Alimou Ba
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00:00 à la une la présidentielle du 25 février et les dés sont jetés.
00:06 20 candidats pour un fauteuil tous en piste à l'éjecta le conseil a fini de délibérer.
00:12 Les sept sages servent le vainqueur, s'attendent l'observateur, tout se passe en seul recalé Karim.
00:18 Wadfi, son cas de fiction politique, écrit d'emblée la publication qui pointe sa double nationalité comme étant la cause de son malheur.
00:26 Walfatri parle de double peine pour Karim Wadfi.
00:30 Khernaw à la salle de salle, le bourreau.
00:32 Karim éliminé, le soleil entre dans une séance d'explication de ratage.
00:36 En déposant son dossier le 22 décembre dernier, il était encore foncé de nationalité,
00:43 une nationalité qu'il n'a pas perdue, qu'il n'a perdue que le 16 janvier 2024.
00:50 C'est un parjuré pour cause, Wadfi ça a fait une déclaration sur l'honneur par laquelle il atteste être exclusivement de nationalité sénégalaise.
00:59 Le journal note que Sanko lui aussi a été recalé, Amadouba débouté de ses recours contre Diomay.
01:05 Faille, docteur Chertian-Diaye passe tout comme Diomay.
01:08 Ex-PASTEF mise alors sur Diomay avec le slogan Sanko moi Diomay, Diomay moi Sanko pour Soussa.
01:15 Karim joue et perd, Amadouba mise en looser, fin de rêve pour Ousmane qui vote Diomay et Fashier-Tigan-Diaye et Abipsi.
01:24 La défense de Diomay faille pour finir une stratégie pour demander donc une liberté provisoire pour la campagne électorale.
01:32 Enquête relève alors que les sept sages ont parlé entre Béno et Ex-PASTEF.
01:37 Le conseil coupe la poire en deux et recadre l'administration.
01:41 La société civile salue la décision, Ex-PASTEF prend acte.
01:45 Le PDS crie au scandale.
01:47 Les députés du Parti démocratique sénégalais évoquent des soupçons de corruption et de collusion.
01:52 Karim annonce la saisine des juridictions internationales dans la cour de justice de la CDAO.
01:59 Les députés du PDS exigent l'ouverture d'une commission d'enquête parlementaire.
02:04 Karim promet de participer au scrutin du 25 février d'une manière ou d'une autre.
02:10 Pour docteur Abdo Sanoko, il est politiste.
02:14 Il y a une phobie du Parti démocratique sénégalais.
02:17 Les candidats recalés eux aussi vont debout.
02:20 Ils veulent être remis dans le jeu des percutes.
02:23 Le quotidien d'un réunit quotidien.
02:25 Maître Lajouf, fils Suche, le parrainage.
02:27 En tout état de cause, le vin est tiré sur le campus.
02:30 Le jour est selon un réunit quotidien. Nous allons vers un scrutin inédit.
02:35 Une élection à grande intensité polémique avec que 20 candidats.
02:40 Mais Alioune, mais Alioune, tu n'as semblé prendre la défense de cette sage.
02:44 Dans Vox Populu, le droit de l'homme est soutien que le conseil constitutionnel a fait.
02:49 L'effort de relever quand même le défi de l'état de droit.
02:52 Sur ça, des livres alors de diagnostic de docteur Chertie, cher Gallo, pour le politiste.
02:58 Le second tour est devenu donc inévitable face à une équation électorale complexe.
03:04 A Maduba, le méta pivot où l'homme à abattre doit savoir que le soutien du président Makisal est une arme à double tranchante.
03:12 Trop poche, il risque d'éclipser son propre candidat.
03:15 Trop éloigné, il pourrait le carboniser.
03:17 Trouver donc la posture adéquate devient impératif.
03:21 S'agissant de l'équation électorale de Mohamed Bounabdé, légitime décidant,
03:26 le politiste note que ses chances reposent sur l'équilibre délicat entre sa capacité à construire un soutien massif
03:34 et les défis liés à l'absence d'un fief politique clairement défini.
03:39 L'équation électorale d'Idriss Assek, monsieur, dernière chance, repose lui sur l'équilibre entre son expérience politique diversifiée,
03:47 ses choix controversés et la nécessité de délivrer un discours qui transcende les ambiguïtés de son passé.
03:55 Le commentateur de sucré-salé prend la balle au bon et note en réalité que le vin est tiré, il faut le boire maintenant.
04:06 Les électeurs risquent d'être ivres de colère en se retrouvant devant 20 bulletins à trimballer jusqu'à l'urne.
04:16 A moins qu'on revienne à la jurisprudence de 2017, avoir la possibilité de prendre juste un candidat
04:23 et Karim ne va pas suivre les traces de son père car il ne va pas participer à la présidence et c'est la cause de sa double nationalité.
04:31 Un crime n'est jamais parfait, va-t-il mener le combat depuis le Qatar, Saint-Roch, le confrère,
04:37 alors que la bataille électorale est au Sénégal qui doit avoir donc un cinquième président dans un ou deux mois, tout ou plus en tout cas à suivre.
04:49 On termine par du sport, Cannes 2023, troisième sortie de Lyon, demain face à la Guinée.
04:56 Alice Sissé s'est remise après un petit malaise, Sima Abdulla est forfait pour le reste de la compétition.
05:03 Informe le Soleil pour le leadership du groupe C, la Guinée déterminée à vaincre le Sénégal, on dira à Yonéplès.
05:10 Sur sa note que Sissé va vers sa 21e rencontre de Coupe d'Afrique des Nations.
05:16 Le Sénégal a tout ce qu'il faut pour gagner ce match.
05:19 El Ayouf ne targue pas des loges, à l'endroit des jures et du coach dans Soussa.
05:24 Il soutient désormais ses taux adversaires de se méfier de nous.
05:28 En 20 rencontres de Coupe d'Afrique des Nations, el Ayouf a enregistré 14 victoires, 3 matchs nuls et 3 défaites.
05:35 Selon el Ayouf, el Ayouf n'arrête pas de progresser, il fait du bon boulot, il faut continuer à le garder.
05:43 Le confrère, le journal Bospil Jours, fait une photographie du milieu de terrain.
05:49 L'équipe sénégalaise est insolente depuis le début de cette canne.
05:53 Pape Gueye est devenu le pape du milieu.
05:56 Défensivement solide, notre équipe aussi, c'est un équilibre parfait.
06:00 Parfait, Baba K.