Le secrétaire général de la coordination rurale, Christian Convers, à propos du mouvement de contestation généralisé des agriculteurs : «Il faut qu'on ramène le peuple aux urnes, parce que depuis cette date de trahison du referendum, les participations ne font que baisser. Ça finira par une révolution, et ça peut commencer avec ce qu'il se passe aujourd'hui. Moi je pense pas que les agriculteurs voudraient être à l'origine de ça».
Category
🗞
NewsTranscription
00:00 Si on continue comme ça, il n'y a pas d'alternative.
00:02 L'alternative, c'est la révolution.
00:04 C'est ce qui est peut-être en train de commencer.
00:05 Donc je pense qu'entre la révolution et les élections,
00:07 il faut qu'on ramène le peuple aux urnes.
00:09 Parce que depuis cette date-là, la trahison du référendum,
00:12 ça ne fait que baisser les participations.
00:15 Et ça finira par une révolution.
00:17 Et ça peut commencer avec ce qui se passe aujourd'hui.
00:20 Moi, je ne pense pas que les agriculteurs voudraient être à l'origine de ça.
00:23 Mais par contre, il faudra qu'on s'en sorte.
00:24 Et on s'en sortira.
00:26 La manière démocratique, c'est les urnes.
00:28 Donc on est bien dans la part des urnes.
00:30 Il y aura peut-être cette étape-là.
00:31 Il en faudra d'autres.
00:33 Parce qu'à un moment, je pense qu'effectivement,
00:35 le peuple sur ces sujets-là,
00:37 il a envie de garder une souveraineté nationale.
00:40 Sous-titrage ST' 501
00:43 [Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org]