Quelques mois après la parution de son dernier album, "Ode", l'auteur-compositeur-interprète suisse de 63 ans poursuit sa tournée en France et sera de passage à l'Olympia à Paris les 27, 28 et 29 février.
Regardez L'invité de RTL Soir du 16 janvier 2024 avec Julien Sellier.
Regardez L'invité de RTL Soir du 16 janvier 2024 avec Julien Sellier.
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00:00 vous êtes sur RTL.
00:04 Julia Celié, Isabelle Choquet et Cyprien Sini, RTL bonsoir.
00:10 RTL bonsoir, la deuxième heure qui commence vraiment avec la fine équipe, Alex Vizorek, Cyprien, Marion et notre monsieur musique qui nous rejoint, bonsoir Steven Bellery.
00:19 Bonsoir à tous.
00:20 Tous ensemble nous accueillons maintenant notre grand invité, il est musicien, il est chanteur, bonsoir Stéphane Escher.
00:25 *Musique*
00:34 Merci d'être avec nous Stéphane Escher.
00:36 Merci pour l'invitation.
00:37 Vous jouerez d'ailleurs dans quelques minutes pour nous ce tube "Pas d'amis comme toi" et quel tube en live dans ce studio pour nos auditeurs.
00:44 Et vous reprenez la route, votre tournée se poursuit un peu partout en France, vous serez sur la scène de l'Olympia à Paris les 27, 28 et 29 février, il y a un 29 février cette année.
00:52 On va fêter ensemble ce soir votre retour sur cette scène mythique.
00:56 Stéphane Escher, depuis la sortie de votre dernier album "Ode", on a l'impression que vous êtes un peu en tournée permanente depuis des mois.
01:02 Alors on a compté, on a essayé de compter les dates, il y en a quasiment une centaine en 14 mois, ça ne s'arrête jamais.
01:07 Et il y aura Roubaix, Barleduc, Anmas, Vichy, Bergerac, Arcachon dans les jours à venir, on dirait le programme d'Alex Vizorek, vous êtes aussi hyper actif.
01:13 On se relaie, on se relaie.
01:14 Vous avez besoin de ce plaisir du concert presque en continu ?
01:17 Je ne vous cache pas, j'ai fait deux autres tournées en même temps.
01:22 Une avec des jeunes musiciens de jazz, un hommage à un musicien suisse qui est un peu le Brassens suisse qui s'appelle Manny Mater, qui est mort tragiquement.
01:32 Et leur chanteur est mort tragiquement aussi.
01:35 Ils ont dit Stéphane a une vingtaine de concerts.
01:37 J'ai dit non, j'ai une grosse tournée en France.
01:40 Et puis quand même, je l'ai fait.
01:42 Je vais essayer d'aller à mes limites.
01:44 J'arrive presque.
01:46 J'adore monter sur scène.
01:49 Désolé, ce n'est pas la scène qui est fatiguante.
01:52 Les deux heures sur scène, c'est de la raison d'être.
01:56 C'est plutôt le privé, les trains qui ne partent pas toujours, les handchecks, les hôtels qui ont une littérie un peu ancienne.
02:05 Aussi la nourriture pour nous, quand vous allez manger, nous on accorde nos guitares et puis on mange côté de la gare vers minuit.
02:12 Le menu est réduit, mais la scène, non, ça ne m'affatigue jamais.
02:17 Vous me disiez en arrivant que vous étiez presque un peu déprimé parce que vous n'aviez pas chanté depuis quelques semaines.
02:22 Depuis deux semaines, oui.
02:23 Je chante, je chante, mais sans public.
02:26 Je ne sais pas, c'est grâce vraiment, c'est une phrase qui va être rarement formulée ici, grâce au Covid.
02:34 C'est très rare qu'on dit grâce au Covid.
02:36 L'humain aime bien partager au même moment la même chose.
02:40 Je crois que cette émission de radio me semble être sur cette trajectoire.
02:45 C'est vrai qu'on s'est rendu compte que ça nous manquait d'être ensemble.
02:48 Absolument.
02:49 Et pourtant, 40 ans après votre premier album, vous avez toujours le trat qui paraît, du stress avant de monter sur scène.
02:54 Oui, mais j'ai trouvé des solutions.
02:57 Je me mets des choses imprévues.
02:59 Je n'ai pas le temps d'être stressé.
03:01 Vous faites des surprises et comme ça...
03:02 Surprise, c'est ça le mot.
03:03 Donc il n'y aura plus de surprises pour nous.
03:04 Oui, faites attention à vous aussi.
03:08 C'est pour ça Stéphane que vous avez ressorti la Vos Automates, que vous aimez mélanger les genres de plus en plus, le théâtre.
03:14 Il y a une forme de moment suspendu chaque soir en fait sur scène pour vous.
03:18 Je crois que c'est un disque, c'est marrant de faire, mais on peut le réécouter.
03:24 Un spectacle où le rideau s'ouvre, ça reste quand même unique.
03:28 Et aussi l'attention qu'a un public, s'il sort le téléphone, ce n'est pas pour regarder des messages, c'est pour tourner des films qu'il ne regarde jamais.
03:35 Parce qu'il y a déjà trop de films dans le téléphone.
03:37 Et à ce moment, oui c'est unique.
03:40 Ensemble à ce moment, et après c'est fini.
03:43 Je crois que c'est une valeur qu'on a ratée.
03:45 Ça me fait marrer que vous parliez du Covid, parce que moi j'étais parti un peu en dernière minute à la campagne et j'avais embarqué des vinyles, dont le vôtre.
03:51 Donc j'ai l'impression d'avoir passé le Covid avec.
03:54 Celui où vous chantez en Suisse allemand, en partie, cet album est magnifique.
03:58 Et donc c'était un peu ma bande-son du Covid.
04:00 Donc quand je le réécoute, je regarde quand même si je peux me balader dehors.
04:03 Il met son masque.
04:05 Donc c'était un plaisir de vous revoir en vrai après.
04:08 Ok, ok. Merci de m'amener sur votre île déserte dans la campagne.
04:12 Non, non, on ne peut plus dans la campagne.
04:14 Vous recherchez toujours Stéphane cette vie de nomade ?
04:17 Je crois que vous n'avez plus de maison d'ailleurs.
04:19 C'était pire, oui.
04:21 J'ai décidé de...
04:23 J'ai une proposition de squatter une maison à Londres.
04:27 J'ai une idée d'un nouveau disque.
04:29 Et je trouve Londres, ça me dépaille.
04:31 Vous pourriez chanter en anglais ? Vous aimeriez ?
04:33 Au début, j'ai chanté en anglais. Mais vous n'étiez pas né.
04:35 Non, mais...
04:37 En allemand, hochdeutsch, et en anglais, "Two people in a room" était en anglais.
04:40 Oui, mes premières chansons étaient en anglais.
04:42 Votre papa venait d'une famille yéniche, d'une famille de gens du voyage.
04:46 Cette origine, d'ailleurs, elle était quelque peu tue et cachée dans votre famille.
04:50 Est-ce que vous pensez que cette envie de bougeotte,
04:54 d'être en continu, en mouvement, est aussi expliquée par vos origines ?
04:58 J'essaie de trouver une solution avec mes origines.
05:01 Pas du tout. J'ai deux frères.
05:03 Un, il habite 20 mètres à côté là, où on a grandi.
05:06 Et l'autre, il a fait un grand voyage.
05:08 Il vit 10 kilomètres à côté.
05:11 Quand ils me visitent, ils sont toujours "tu es fou, tu es fou".
05:15 Non, je crois que c'est mon métier.
05:17 Je serai boulanger, passionné, comme je suis passionné musicien.
05:21 Je crois que je pourrais aussi avoir une boulangerie, où chaque matin...
05:25 Et être sédentaire.
05:27 Mais la musique, non, c'est beau. Il faut alléger les gens.
05:30 On est un peu des salton-banques.
05:32 L'amour de la musique, est-ce qu'il est né dans l'abri atomique
05:36 à côté de la maison de votre enfance,
05:38 où votre papa avait des instruments de musique issus de la culture yéniche,
05:41 justement des vinyles ?
05:43 Vous dites que c'était un peu la carerne d'Ali Baba.
05:45 Maintenant, contexte, parce que ça sonne horrible ce que vous dites.
05:49 Il l'avait bien aménagé, on imagine, l'abri.
05:52 Il y avait plein d'abris en Suisse, c'est ça ?
05:54 J'ai grandi en Suisse, et en Suisse, chaque appartement, chaque maison,
05:57 a des mètres carrés anti-atomiques.
06:00 Je crois que ça ne marcherait pas du tout, si le truc tombe.
06:03 Ça donnait beaucoup de salles de répétition pour des jeunes groupes.
06:08 Et moi, j'ai appris la musique dans une...
06:11 C'est absolument vrai. Il faut tourner un film autour de ça.
06:14 Alors Stéphane Echard, on l'a dit, vous enchaînez les dates,
06:17 vos concerts affichent complets l'histoire d'amour entre la France et vous.
06:22 Le Suisse, elle date de 40 ans.
06:24 Et c'est notre instant vintage, une de vos premières prestations,
06:29 remarquées en 1984 sur la scène des Transmusicales de Rennes.
06:34 C'est pas moi ça ?
06:39 C'est le Junior.
06:41 En Anglais ?
06:49 C'est le suédois.
06:51 En Suisse, il n'y a pas de musiciens qui veulent faire de la musique.
06:55 C'est peut-être un problème que la Suisse est très riche.
06:58 Une autre chose, j'ai commencé à faire de la musique seule sur scène.
07:03 Pour moi, c'est une très forte expérience.
07:07 Et je reste ça.
07:11 Pour moi, c'est très nouveau et c'est bien comme ça.
07:17 Vous avez déjà percé en Allemagne, vous aviez 23 ans à l'époque.
07:20 Et là, la France, vous repensez parfois à cette période ?
07:24 Je trouve formidable de voir qu'avec un peu d'éducation,
07:28 et ouvrir la bouche si on parle, si on apprend des langages,
07:33 qu'on peut s'améliorer quand même.
07:36 On peut apprendre des choses.
07:39 C'est la réflexion qu'on s'est faite en découvrant l'archive.
07:41 En seulement 40 ans !
07:43 Merci beaucoup pour voir la distance courte.
07:47 J'ai failli dire en voyant arriver tout à l'heure, j'avais fait des programmes en français.
07:51 C'est grâce à ma compagne. Je m'engueule en français.
07:55 Elle est très intelligente, elle va très vite.
07:57 Il faut que vous trouviez des bonnes phrases avec le passé imparfait.
08:02 C'est grâce à elle.
08:04 Ces 30-40 ans de succès en France, on va évidemment en discuter dans un instant avec vous Stéphane Escher.
08:09 Vous êtes le grand invité de RTL.
08:11 La deuxième heure continue dans quelques secondes.
08:13 Vous restez avec nous, d'autant que vous allez jouer en live pour nos auditeurs dans quelques minutes.
08:17 Allez RTL, bonsoir. La deuxième heure encore et toujours avec toute la bande.
08:31 Nous sommes ravis d'accueillir ce soir Stéphane Escher, le grand invité de l'émission en tournée en ce moment.
08:36 Et bientôt fin février à l'Olympia.
08:38 Stéphane, reprenons le fil de l'histoire d'amour qui vous lie à votre public.
08:42 Vous allez exploser en France en 1991 avec notamment ce titre "Déjeuner en paix".
08:47 Évidemment.
08:49 Oh, oh.
08:52 J'abandonne sur une chaise les journelles du matin
08:57 Les nouvelles sont mauvaises, tout qu'elles viennent
09:01 J'attends qu'elles se réveillent et qu'elles se lèvent en feu
09:05 Je souffle sur les braises pour qu'elles prennent
09:09 Cette fois je ne lui annoncerai pas la dernière
09:14 Et qu'à temps je garderai pour moi
09:18 Ce que m'inspire le monde
09:21 Elle m'a dit qu'elle voulait si je le permettais
09:24 Déjeuner en paix
09:26 Ce titre qu'on vous réclame encore et toujours sur scène que Cyprien connaît par cœur.
09:32 Je voulais qu'on écoute les paroles très précisément parce que vous l'avez écrite en pleine guerre du Golfe.
09:37 C'est Philippe Tcham qui a écrit le texte.
09:39 Il a écrit en pleine guerre du Golfe.
09:41 Il a chanté à ce moment là avec un tout petit accent.
09:43 Quand on regarde l'actualité, on se dit que ses paroles sont malheureusement toujours très actuelles.
09:49 Il y a eu un moment où je chante chaque soir, je crois aussi.
09:53 Vous allez voir un groupe que vous préférez.
09:56 S'ils ne font pas leur tube, c'est un peu arrogant.
09:59 Mais à un moment j'ai commencé à raconter, oui pour les jeunes, vous n'allez plus rien comprendre.
10:05 J'abandonne sur une chaise le journal.
10:08 Ok, j'ai expliqué un journal.
10:10 Même la guerre et tout ça, il y a eu un moment où...
10:15 Et là oui, quand je le chante...
10:17 Ça prend une résonance particulière en ce moment.
10:19 Ça reprend une résonance particulière.
10:22 Si on regarde l'histoire, je crois qu'on a tous compris.
10:26 Si vous regardez des films des années 50, les docteurs, ils fument.
10:30 On a compris que ce n'est vraiment pas la bonne chose.
10:34 Mais la guerre, il doit avoir peut-être des intérêts financiers.
10:37 Je ne sais rien du tout pourquoi ça continue, mais ça ne fait aucun sens.
10:40 Vous arrivez à déjeuner en paix alors que le monde est de plus en plus violent, divisé ?
10:44 Je ne déjeune pas moi.
10:46 Je suis musicien.
10:47 Vous connaissez l'histoire pourquoi les musiciens se lèvent à 18h ?
10:49 Non.
10:50 À 19h, les magasins ferment.
10:52 Voilà, pour faire un peu plus léger.
10:56 Oui, je suis troublé comme tout le monde.
11:00 Mais après, ça fait deux semaines où j'étais vraiment loin.
11:04 Le Wi-Fi ne voulait pas fonctionner.
11:07 Si vous regardez, pardon les gars, pas chaque jour les news.
11:12 N'écoutez pas toujours la radio.
11:14 Parce que c'est un peu un business aussi de nous faire peur.
11:17 Pardon les gars ! Pardon ! J'adore RTL.
11:20 C'est quand même un business.
11:22 Si c'est la fin du monde, les gens vont allumer la télévision.
11:26 Et bien entendu, c'est la fin du monde.
11:28 Mais je crois que depuis 6 000 ans, c'est la fin du monde.
11:32 Michael Berg, 1991, l'album qui va tout changer.
11:35 Cette collaboration avec l'auteur Philippe Jean de 37/2 le matin.
11:39 Philippe, vous avez une relation avec lui qui dure.
11:42 Il vous envoie des chansons par e-mail.
11:44 Il vous dit "Tiens, j'ai un nouveau texte pour toi".
11:46 Dans le cas, c'était Téléfax.
11:48 On parle beaucoup de ce qu'on a envie d'écrire.
11:52 Et puis, il n'écrit pas du tout ça.
11:54 On a un échange.
12:00 C'est un vrai ami.
12:02 C'est presque devenu un peu familial.
12:04 Ou même un peu, comment il s'appelle ?
12:06 Frankenstein ?
12:08 Vous voyez qu'il est fabriqué avec différents bouts de...
12:11 Et ce Stéphane Eicher que vous invitez, merci pour cette invitation.
12:14 C'est un peu un Frankenstein.
12:16 Ça veut dire que c'est la vision du couple du monde,
12:20 de la société de Philippe Jean.
12:22 Parce que je pourrais aussi dire
12:24 "Est-ce qu'il y a encore des chansons à chanter ?
12:27 Est-ce que je n'ai pas tout dit ?"
12:29 Non, les grands questions de la vie persistent.
12:33 Je n'ai pas entendu la bonne vraie réponse.
12:36 Je crois que c'est bien de continuer de trouver des réponses
12:41 à toutes ces questions qu'on a chaque jour.
12:43 On évoquait votre boulimie de scène plus tôt,
12:46 mais vous êtes aussi un énorme travailleur.
12:48 Vous bossez partout, dans le train, sur l'ordinateur.
12:51 Vous avez un studio mobile aussi à ton pullier.
12:55 Oui, j'ai amené mon studio.
12:57 Parce que je ne veux pas faire un disque sur l'ordinateur.
13:00 J'ai horreur de...
13:01 On commence par lire les news sur le téléphone,
13:05 après il y a les e-mails,
13:07 après on veut cuisiner,
13:08 je ouvre l'ordinateur pour voir comment on se fait.
13:11 Et puis à la fin, je fais encore de la musique sur ce truc-là.
13:14 J'ai dit non, non.
13:15 Et j'ai ressorti mes tout premières boîtes.
13:18 C'est une pète, un rythme, un MPC.
13:21 La journée a quand même 24 heures, j'ai remarqué.
13:25 Vous dormez 3-4 heures ?
13:27 Je ne dors pas très bien.
13:28 Non, non, je peux dormir longtemps.
13:30 Je peux dire un truc qui va vous choquer ?
13:32 Vous êtes prêts ?
13:33 Oui.
13:34 J'adore ma vie.
13:35 J'adore faire de la musique, voyager.
13:38 J'adore ça.
13:39 Vous produisez tellement de chansons
13:41 que vous sortez même des albums sous pseudonyme.
13:43 Oui, mais ça fait un moment.
13:45 Maintenant, on veut les pseudos, on veut les...
13:47 Non, non, non.
13:48 Il y a un mixtape marrant qui est...
13:50 Qu'est-ce que tu dis ?
13:51 Kenji Girac, c'est vous ?
13:52 Non.
13:53 Ah oui, je comprends maintenant.
13:55 Il y a un qui est sorti en allemand, mais non.
14:00 Autrement, pourquoi ? Un pseudonyme ?
14:02 Combien de pseudonymes ?
14:03 Je crois qu'il y en a 3 ou 4.
14:05 Ah bon ?
14:06 Mais attendez, après on est dans la musique underground, électro...
14:12 Vous êtes un peu le Jean-Jacques Goldman suisse.
14:14 Je suis le Jean-Jacques Goldman suisse
14:17 qui vit dans une cave avec des synthétiseurs.
14:20 En plus, vous allez à Londres.
14:21 C'est parfait.
14:22 Voilà, vous voyez, tout fait sens après cette émission.
14:26 Donc, vos pseudos, c'est plutôt de la musique électro, c'est ça ?
14:28 Très électronique, oui.
14:29 Un truc classique aussi.
14:31 Mais je ne vais jamais vous le dire.
14:33 Peut-être qu'un jour, deux semaines...
14:36 Non, un jour, oui, oui.
14:37 Quand Météorite me traverse...
14:39 Vous êtes dans la brillante hiétonique ?
14:42 Stéphanie Escher, vous êtes le grand invité de la deuxième heure de RTL.
14:47 Bonsoir, vous restez avec nous.
14:48 Et voilà, chapitre 2, votre spectacle tourne partout en France.
14:51 On l'a dit, vous serez à l'Olympia les 27, 28, 29 février.
14:54 Le prochain live, c'est dans quelques minutes, ici, dans ce studio de RTL.
14:58 Bonsoir, vous allez jouer "Pas d'amis comme toi", votre tube.
15:01 Vous, vous avez dit "vous" ?
15:02 Non, non, je vous explique après.
15:05 Nous, on va jouer.
15:06 Ah, vous là !
15:07 Très bien.
15:08 Donc, on va être de la partie.
15:09 On vous laisse vous installer.
15:10 Pendant ce temps-là, on marque quelques secondes de pause.
15:12 Et on passe en cuisine avec la guinguette d'Angèle.
15:14 Salut Angèle, qu'est-ce qu'on mange ?
15:15 Bonsoir tout le monde.
15:16 Alors, ce soir, on va manger un houmous, citron vert, haricots blancs, agrumes et piments.
15:23 Il y a du pois chiche ?
15:24 Il n'y a pas de pois chiche.
15:25 Mais ce n'est pas du houmous !
15:26 Ah !
15:27 C'est une tartinade !
15:28 Allez, à tout de suite !
15:30 RTL.
15:32 Bon.
15:32 Merci à tous !