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Pour célébrer le 35e anniversaire de son tube "Hélène", le chanteur canadien Roch Voisine remonte sur scène : il y aura en avril deux Zenith de Paris exceptionnels, puis une tournée début 2025. RTL profite de son passage à Paris pour le recevoir.
Regardez L'invité de RTL Soir du 04 décembre 2023 avec Marion Calais et Julien Sellier.

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Transcription
00:00 Vous êtes sur RTL.
00:02 Julien Celié, Marion Calais et Cyprien Sini. RTL bonsoir.
00:09 RTL bonsoir à la suite avec maintenant notre grand invité de la deuxième heure. La bande
00:14 est au complet puisque Steven Bellery est là avec un petit peu d'avance notre spécialiste musique.
00:19 Salut Steven. Bonsoir à tous. Tous ensemble nous sommes ravis d'accueillir le chanteur rock voisine, le premier chanteur canadien à avoir
00:26 explosé en France. Bonsoir rock voisine. Bonsoir. Cette explosion tout le monde s'en souvient c'était la rockmania, c'était il y a 35 ans.
00:33 On va fêter dans quelques semaines justement les 35 ans de ce tube. Hélène.
00:52 Alors pour célébrer cet anniversaire vous allez remonter sur scène notamment en avril avec une date aux zéniths de Paris. On profite, on en est
00:59 ravis de votre passage à Paris. On est ravis de vous recevoir ce soir. Cette chanson rock voisine Hélène, vous avez été un petit peu
01:05 fâchée avec elle, vous ne vouliez plus la chanter à la télé. Elle a fait de l'ombre.
01:10 Elle a fait de l'ombre à tout ce qui a suivi
01:14 quelques années après donc systématiquement moi je me suis dit aujourd'hui je fais toujours de notre faute à nous mais
01:19 au point de vue marketing c'était pas très habile mais
01:22 parce que j'arrivais avec une nouvelle chanson qui était aussi pas mal et puis
01:26 sur cinq minutes d'entrevue on parlait quatre minutes et demie de ce qu'il y a passé
01:32 jadis avec le titre Hélène et tout donc c'est donc ça a commencé à m'énerver au point où je disais ben je vais pas en parler
01:39 c'est tout mais ça me gonflait un peu.
01:42 Est-ce que vous êtes réconcilié avec la chanson ? Ah si si non mais à chaque fois que je suis en concert
01:49 je peux pas faire cette chanson là. C'est une chanson que j'aime beaucoup et à qui je dois énormément en plus
01:54 ça a été mon premier tube et puis bon le reste c'est de l'histoire donc mais c'est vrai qu'il y a une période où
02:00 j'ai un peu un verre d'or.
02:03 Une petite allergie quoi.
02:05 Non mais c'est un peu ça grattait.
02:07 En tout cas sur RTL on vous parlera pas d'Hélène en première question du Ninkan.
02:09 Non mais c'est le cas.
02:11 Autant il y a eu une période où ça m'énervait un peu.
02:13 Allez-y c'est le cas.
02:15 Ok alors on y va.
02:17 Allez-y c'est le cas.
02:19 C'est autant Rockbosin que cette chanson vous l'aviez réenregistrée avec Coeur de Pirate.
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02:41 35 ans après vous arrivez à expliquer la magie qui a opéré autour de ce titre ?
02:43 Non.
02:45 Non.
02:47 Non.
02:49 J'y arrive pas.
02:51 La seule explication au-delà d'Hélène et du phénomène à l'époque,
02:53 je crois que j'étais un Américain qui vous chantait de la chanson américaine en français.
02:55 Je crois que j'avais vraiment l'air d'un Américain quand j'étais de l'Américain type.
02:57 Un peu cliché de ce que les gens croyaient.
02:59 Un peu mogotte, un peu la mâchoire carrée.
03:01 Et j'arrivais avec des chansons en français.
03:03 Mais à part ça, vous serviez dans d'autres genres.
03:05 Non.
03:07 Non.
03:09 Non.
03:11 Non.
03:13 Non.
03:15 Mais à part ça, dans notre métier souvent on se demande toujours… il y en a eu d'autres des titres après qui ont marché comme "Tant pis" par exemple
03:22 Et puis que j'ai failli pas mettre sur l'album ! Non mais il y a des histoires comme ça…
03:28 Mais justement, on voudrait vérifier l'anecdote !
03:30 Est-ce que c'est vrai que cette chanson que vous l'avez écrite, composée, à coudée à un évier, dans les années 80, parce que vous aviez un ami l'hockeyeur qui s'ennuye de sa copine ?
03:37 Oui, il s'ennuye de sa copine et il voulait lui faire un cadeau, une surprise à la Saint-Valentin, voilà, comme ça il m'arrive avec les 3-4 accords, et puis ça serait sympa, on pourrait faire une chanson, je vais lui offrir à la Saint-Valentin et tout, et puis voilà, c'est parti !
03:54 Et elle s'appelait vraiment Hélène ta copine ?
03:56 Si, si, Hélène Losier ! Elle s'appelle toujours !
03:59 Et toi ?
04:00 Et toujours vivante !
04:02 Oui, quand même ! Mais non, mais ça doit faire bizarre ! Elle, elle dit quand elle se balade "Je suis la Hélène de la chanson de Hélène Losier" ?
04:07 Non, elle ne le dit pas !
04:09 Elle a touché des royalties ou pas ?
04:11 Non, non, non, elle n'a rien écrit !
04:15 Si il faut payer l'inspiration, ben non ! On a déjà du mal à payer le vôtre compositeur ! Donc, non, non !
04:23 Évidemment, cette chanson a changé le cours de votre vie, on se souvient de cette blessure qui vous éloigne du hockey, vous sortez deux albums en anglais qui passent un petit peu inaperçus, vous vous remettez à écrire, vous présentez même une émission de radio...
04:36 Oui, télé !
04:38 Et vous vouliez faire de la kinésithérapie, en fait vous êtes à l'école, vous demandez même une permission à votre doyen pour faire une petite pause...
04:45 Oui, j'en avais un peu marre, 4ème année d'université, j'en avais un peu marre, donc j'ai voulu prendre un break, je suis allé voir mon directeur de programme de physiothérapie à l'université d'Ottawa, et je lui ai dit "Si je m'en vais, je peux revenir ?"
04:58 Il m'a dit "Ouais, t'as deux ans !" Je ne sais pas s'il me reprendrait, mais ça fait 40 ans !
05:04 Avec le recul, comment vous l'avez, puisque ça fait 35 ans maintenant, cette rockmania, comment vous l'avez vécu, ça a dû être extrêmement soudain, non ?
05:10 Toutes ces jeunes femmes qui en avaient de rock voisine, c'est un peu brutal, non ?
05:15 Oui, un peu brutal, et puis malgré que les gens qui m'entouraient faisaient du mieux qu'ils pouvaient, ce n'était pas un truc qui existait, qui avait existé chez nous.
05:25 La partie facile, moi je pense, c'était monter le spectacle, monter sur scène, de toute façon on disait souvent que le show était meilleur dans la salle que sur scène,
05:34 non, il n'était pas meilleur, mais ça faisait partie, c'était une ambiance incroyable, une synergie entre public et artiste, c'est rare, c'est très rare,
05:47 et je les remercie d'avoir vécu leur partie à eux, aussi intensément.
05:56 J'ai des copines de mon âge, quand je cite votre nom et que je dis que c'est vous qui venez en interview,
06:00 et bien ce n'est pas pareil que si c'était un acteur d'aujourd'hui.
06:04 Mais si, elle se replonge dans cette époque.
06:07 Ça vous perd directement.
06:09 Ah oui, du coup moi je perds des points, je dis que c'est vraiment de votre côté.
06:13 Vous pouvez en gagner si vous la mettez au concert.
06:17 Très bon marketing.
06:19 J'ai toujours dit, les gars, si vous voulez rencontrer des filles, il faut venir à mon concert.
06:22 C'est quoi, redonner des dates un peu ?
06:24 Je viens.
06:26 Rob, vous vouliez chanter en anglais à l'époque.
06:29 Je chante toujours en anglais.
06:31 Mais disons que vos albums étaient intégralement chantés en anglais avant.
06:34 Est-ce que justement de passer au français, vous l'avez vécu d'une manière singulière aussi ?
06:38 Je n'étais pas convaincu au début, et puis finalement, on a travaillé très fort sur des titres,
06:46 même sur l'album Hélène à l'époque, c'était à peu près tous des titres qui avaient été écrits en anglais d'abord.
06:52 Pour moi, c'est devenu presque une science, passer d'une langue à l'autre.
06:59 Les anglais sont chanceux, ils ont des voyelles ouvertes à la fin de chaque phrase.
07:04 C'est assez facile d'écrire un texte pour les anglais.
07:08 En plus, ils n'écoutent pas.
07:10 Ils écoutent pas beaucoup.
07:14 Le texte est beaucoup plus important quand on travaille avec les francophones en général.
07:19 35 ans après, en tout cas, vous vous apprêtez, Rock Voisine, à fêter sur scène l'anniversaire de cette carrière qui a explosé.
07:25 Vous êtes le grand invité de la deuxième heure de RTL Bonsoir.
07:27 Une petite pause et on revient.
07:29 Et la deuxième heure de RTL Bonsoir se poursuit.
07:42 Rock Voisine est toujours notre grand invité. Dans quelques semaines, il sera sur scène pour fêter cet anniversaire, les 35 ans du succès fou de Hélène.
07:49 Justement, elle va ressembler à quoi cette tournée ?
07:51 Vous sortez d'une tournée acoustique, il y a eu la tournée "Les 10 ans d'Americana" que vous avez tournée partout et qui continue d'ailleurs.
07:56 Vous avez mélangé tout ça ? Ce ne sera qu'autour du premier album ?
07:59 Ce ne sera qu'autour de mes chansons à moi.
08:02 Ça fait déjà quelques années avec les "Forever Gentlemen", l'"Americana", l'"Americana Light" et tout et tout.
08:08 Je reviens en tournée et je ne fais pas beaucoup de titres. Je les fais de façon acoustique.
08:13 On retourne 35 ans derrière.
08:16 C'est une tournée qui va englober finalement toutes les chansons de toutes les époques.
08:23 C'est un truc assez intéressant. On va vraiment se faire plaisir parce que c'est un gros show.
08:28 C'est une très grande production comme on faisait à l'époque.
08:32 J'ai même réussi à récupérer un peu de mes vieux musiciens de l'époque.
08:37 Il faut dire que les toutous premiers sont à la retraite.
08:41 Je ne pouvais pas travailler avec eux et aller faire du bus.
08:46 Je disais à quelqu'un tout à l'heure que nous on n'est pas les "Rolling Stones", on n'a pas un avion privé.
08:51 J'ai réussi à récupérer des musiciens qui étaient là à l'époque.
08:56 Vous avez popularisé en France des sonorités que vous aimez beaucoup.
09:01 "Folk Country" vous disiez tout à l'heure. Vous êtes arrivé comme un chanteur américain.
09:04 En France, ce sont des sonorités qui peuvent au départ paraître très nord-américaines.
09:09 Mais finalement, vous dites que les Français y étaient déjà habitués. Pourquoi ?
09:12 Parce qu'on a des décennies de Johnny dans les oreilles ?
09:16 Vous avez la fin de la Deuxième Guerre mondiale.
09:20 Avec tout ce que les Américains ont apporté avec leur musique.
09:25 Ce qui vous a façonné.
09:28 Vous vous y êtes habitué ?
09:31 Oui, c'est vrai.
09:34 Il y a des trucs qui sont vraiment sympas à faire.
09:37 Il faut venir de là pour réussir à bien exécuter ce genre de trucs.
09:42 Il y en a qui se sont essayé.
09:45 C'est un petit avantage qu'on a en tant qu'Américain.
09:50 Quand on arrive avec ces sonorités-là, ça fait vraiment partie de notre culture.
09:53 On n'essaie pas de faire, on fait.
09:56 On a vu sur scène ça, à quel point vous êtes un excellent vocaliste, interprète.
10:00 Comment vous expliquez que tous les artistes québécois qui ont explosé de ce côté de l'Atlantique
10:04 ont tous des voix absolument dingues ?
10:06 C'est le froid qui vous forge la voix ?
10:08 Non, c'est la demande du public.
10:11 Les gens qui ne chantent pas, ça n'intéresse pas les gens chez nous.
10:15 Il faut chez nous, pour réussir, il faut chanter.
10:18 Il faut avoir une voix, il faut chanter, il faut vraiment chanter.
10:21 Car la brunie ne fonctionne pas moins bien au Québec ?
10:24 Non, c'est les propositions au hasard.
10:27 Dans votre répertoire, il y a des chansons qu'on connaît tous.
10:30 Par exemple, vous chantez ceci.
10:32 Là, on est sur les sonorités très nord-américaines.
10:46 Oui, mais vous êtes magistralement repris par Joe D'Azora.
10:50 Ah oui !
10:52 Voilà, c'est votre "City of New Orleans".
10:55 Vous avez été bercé par l'interprétation de Willie Nelson.
10:59 Et nous, en France, on connaît Joe D'Azora.
11:02 Salut les amoureux !
11:04 Magnifique ! C'est un des plus beaux exemples d'une adaptation vraiment bien réussie.
11:09 Parce qu'elles ne sont pas toutes !
11:11 Il était polyglotte, Joe D'Azora.
11:13 Il était américain.
11:15 Mais aussi dans le texte, ça sonne.
11:17 Il a réussi à faire sonner le truc américain.
11:20 Et c'est ça, il a réussi.
11:23 Ce n'est pas pour rien que ça a fait ainsi gros.
11:26 D'ailleurs, vous avez enregistré des albums à Nashville.
11:29 Ça ne change pas d'enregistrer là-bas ?
11:32 Il n'y a pas que le côté mythique.
11:35 Il y a aussi que les musiciens sont vraiment les meilleurs au monde.
11:38 Ils sont là-bas ?
11:40 Non, ils n'ont pas besoin.
11:42 Ils ont des grandes maisons avec des ranches.
11:45 Ils sont très bien payés.
11:48 Et puis, ça ne bouge pas trop.
11:51 C'est un peu comme s'ils travaillaient pour le gouvernement, mais ils font de la musique.
11:55 Des fonctionnaires de la musique.
11:58 Votre dernier album, c'était "Devant nous".
12:01 C'était il y a 6 ans. Est-ce que vous avez de nouveau, Rogue Voisine, des envies d'albums ?
12:04 Non.
12:06 Parce que ça ne se vend plus des albums.
12:08 L'hommage, mais ce n'est pas nous qui décidions.
12:11 J'espère qu'on pourra un jour, mais on ne peut plus sortir d'albums comme on faisait à une certaine époque.
12:18 C'est un investissement sur lequel on n'a aucun retour.
12:23 Il y a une réalité dans notre métier.
12:25 Il n'y a pas que la musique et les arts.
12:27 Il y a aussi le business.
12:29 Le business est complètement changé.
12:32 Depuis quelques années, ce que je fais, par contre, c'est que je fais un titre selon l'événement.
12:38 Si je fais une tournée de Noël, vous savez que j'ai écrit plusieurs chansons de Noël.
12:42 Je suis un fan de Noël.
12:44 J'ai pris l'habitude d'écrire de nouvelles chansons de Noël.
12:48 Je suis toujours sur une tournée de Noël quelque part.
12:51 C'est assez simple.
12:53 C'est le mois de décembre.
12:56 Mariée Karine, ça fait 15 ans qu'elle en est.
12:59 Elle annonce pas des concerts.
13:02 Je sais que chez nous, elle annonce des concerts de Noël.
13:05 Elle va faire des concerts de Noël.
13:08 Elle fait des résidences à Vegas.
13:10 Ça lui rapporte 3 millions de dollars par an, cette chanson.
13:12 En respirant, oui.
13:14 Elle se couche le soir, elle se lève le lendemain matin.
13:16 C'est quand même bien.
13:18 J'ai complètement changé ma façon d'aller vers le public.
13:24 Mais faire un album au complet, 12 chansons, je ne veux pas l'utilité.
13:30 Je pense que c'est perdre un peu son énergie.
13:34 Les gens n'achètent plus d'albums.
13:36 Ça ne sert à rien.
13:38 Vous parlez du temps qui passe, de l'époque qui change.
13:40 Je voudrais retourner en arrière.
13:42 Ce serait moins pire que de me voir ternir à petit feu.
13:44 Vous le sentiez ça dans votre dernier album ?
14:02 Vous venez de fêter vos 60 ans.
14:04 Ça pique ou pas ?
14:06 Oui, ça pique.
14:08 Ça pique, ça gratte.
14:10 Oui, oui.
14:12 J'essaie qu'on vieillit tous.
14:14 Mais non, ce n'est pas très rigolo de vieillir.
14:20 Malgré qu'on puisse dire qu'on a plus d'expérience.
14:26 On essaie de se remonter le moral en disant qu'il y a aussi toutes ces jolies choses quand on vieillit.
14:36 Mais quand on se lève le matin, c'est un peu chiant.
14:40 Cette chanson vous a cueilli en studio.
14:42 Vous aviez à peine enregistré.
14:44 Vous réécoutez votre voix.
14:46 Vous m'avez raconté que vous aviez pleuré pendant 15 minutes.
14:48 Je n'ai pas pu terminer parce qu'il y a un bout où ça parle de mes enfants.
14:54 Je suis père de deux grands garçons maintenant, 17 et 19, mais aussi d'une petite fille de 3 ans.
15:00 Donc, c'est venu me chercher.
15:02 Tu dis que tu as 60 ans, que tu as une gosse de 3 ans.
15:06 Et tu te dis qu'il y a des trucs que je ne verrais pas.
15:10 En parlant du temps qui file dans votre métier, vous dites qu'il y a des gens qui lâchent autour de vous.
15:16 Mais vous ne vous voyez pas dans un casino en résidence pendant trois mois.
15:18 Vous vous dites que vous mourrez d'ennui.
15:20 Vous vous dites que vous vous faites pour la tournée.
15:22 Plus de deux ou trois dates au même endroit.
15:26 Vous avez la bougeotte.
15:28 J'aime changer de place.
15:30 J'aime me réadapter à tous les jours.
15:32 Alors que quand tu es en résidence, tu as toujours l'impression d'avoir la même dame assise à la même place.
15:38 Après ces deux bouteilles de Bordeaux et son rose vif, qui s'endort à la douzième chanson.
15:44 Non, non, je n'y arrive pas.
15:50 Il faudra peut-être un jour.
15:52 Merci beaucoup, Rock Vosine, d'avoir été le grand invité de RTL Bonsoir.
15:56 On était ravis de vous recevoir, 35 ans après le succès fou de Hélène.
16:00 On attend la tournée anniversaire qui va débuter dans quelques semaines, notamment le Zénith de Paris, en avril.
16:06 Merci d'avoir passé un moment avec nous à l'occasion de votre passage à Paris.
16:10 On en était ravis.
16:16 RTL Bonsoir revient dans une seconde sans Hélène.
16:20 Mais la suite de l'émission, c'est toujours de la musique avec votre playlist Stephen Bellery.
16:24 Qu'est-ce qu'on va écouter maintenant ?
16:25 Hélène a Bonnie, Bonnie Tyler se confie alors qu'elle débute ce soir en France, une nouvelle tournée.
16:30 Et puis on va passer en cuisine, bien entendu.
16:32 Là, c'est l'heure, on commence à avoir faim.
16:34 La guinguette d'Angèle Ferromague arrive.
16:36 Salut Angèle !
16:37 Salut tout le monde !
16:38 Qu'est-ce qu'on mange ce soir ?
16:39 Ce soir, on mange des gnocchis.
16:41 Vous savez, ces petits morceaux de pâte un peu arrondis, légèrement ovale.
16:44 Comme des petits coussins moelleux dans l'assiette.
16:47 On achète alors, très bien. On en parle juste après ça.
16:50 À tout de suite.
16:51 RTL, bon sens.
16:53 Merci à tous !

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