• l’année dernière
Retrouvez À Votre Écoute avec Alexandre Delovane, chaque jour de 16h à 17h sur Sud Radio.
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##A_VOTRE_ECOUTE-2023-12-04##
Transcription
00:00 Idealvoyance.fr, coaching de vie spirituelle par téléphone, chat et email présente
00:05 Sud Radio à votre écoute 16h-17h, Alexandre Delovane
00:11 Bonjour à tous, alors je suis ravi de vous accompagner durant toute la semaine et d'être
00:24 à votre écoute jusqu'à 17h. Merci de votre fidélité, vous êtes de plus en plus
00:29 nombreux à l'écoute de Sud Radio, vous remercier c'est aussi un acte de gratitude,
00:34 exprimer de la gratitude augmente le sentiment de bien-être et permet de se focaliser sur ce
00:40 qui est positif. C'est remercier la vie, c'est vous remercier et c'est remercier aussi vos
00:46 proches. Alors chacun d'entre vous peut parfois vivre des moments difficiles mais en prenant
00:51 l'habitude de vous concentrer sur les petites et les grandes choses positives comme un sourire,
00:56 un regard bienveillant, appeler tout simplement à votre écoute. L'émission d'aujourd'hui peut
01:02 changer votre regard sur votre vie. Alors n'hésitez pas à présent vous pouvez exprimer un acte de
01:09 gratitude en appelant le 0 826 300 300. Nous sommes en direct live sur YouTube, vous pouvez
01:16 aussi partager vos avis sur le groupe de Facebook à votre écoute et aujourd'hui à la réalisation de
01:22 l'émission c'est Lucille, au standard Aude et Zach. Sud Radio à votre écoute 16h17, Alexandre
01:30 Delovane. Et avant de donner la parole à Philippe, notre prochain auditeur, eh bien c'est le grand
01:37 sapin de Noël sur Sud Radio. Et oui c'est le moment pour vous d'ouvrir votre cadeau de Noël
01:43 en direct sur Sud Radio. Alors tentez de gagner tout de suite un bon cadeau d'une valeur de 75
01:49 euros chez cadeau.com. C'est le premier site de cadeaux personnalisés du groupe Interflora et plus
01:55 de 5000 cadeaux pour toute la famille et à tous les budgets. Alors pour gagner c'est simple,
02:00 il suffit d'appeler le 0 826 300 300 et si vous êtes le onzième, je dis bien le onzième appel,
02:07 eh bien c'est gagné. Un numéro c'est le 0 826 300 300. Bonne chance et au onzième appel,
02:14 ce bon cadeau d'une valeur de 75 euros de chez cadeau.com sera pour vous. Allez je me dirige
02:19 vers le groupe A votre écoute et je reprends un poste de Sylvain concernant le sujet du jour,
02:26 la gratitude. Alors pour moi la gratitude c'est faire preuve de respect, de reconnaissance et de
02:32 bienveillance. Effectivement Sylvain, la gratitude c'est un sentiment et c'est aussi une vertu.
02:37 N'hésitez pas à poster vos commentaires sur la page A votre écoute depuis Facebook. Allez la
02:43 parole est à Philippe. Bonjour Philippe. Bonjour Alexandre. Bienvenue sur Sud Radio. Je vous
02:49 remercie de m'accueillir à nouveau, c'est gentil. Merci. Alors je vais vous poser la question du
02:55 jour. Êtes-vous sensible à la gratitude ? Oui bien sûr, naturellement la gratitude c'est un
03:01 sentiment bienveillant qui permet de rester connecté avec son environnement je pense.
03:06 Effectivement et est-ce que vous le pratiquez régulièrement ou est-ce que vous faites
03:09 attention justement à le cultiver ce sentiment ? Oui oui oui oui bien sûr. D'accord. Alors bon
03:16 vous avez 49 ans et vous nous avez appelé en fin août et vous souhaitez faire un retour de
03:23 témoignage Philippe, c'est bien ça ? C'est ça tout à fait. Alors pour quelle raison vous nous
03:27 avez appelé Philippe ? Alors je vous avais appelé parce que j'avais fait un burn-out suite à mon
03:36 ancien travail quoi du moins et quand je vous ai appelé fin août effectivement j'étais en
03:40 pleine reconstruction. Construction par rapport en fait à mon avenir professionnel et vous m'aviez
03:47 indiqué de respecter le planning globalement. D'accord. C'est ce que j'ai fait. Mais vous
03:54 étiez dans quel secteur d'activité auparavant ? Dans le bâtiment. Et vous occupiez quel poste ?
04:00 Alors j'avais un poste de responsable directeur. D'accord. Donc à la suite d'une pression
04:09 j'imagine professionnelle vous avez fait un burn-out c'est ça ? C'est ça. Vous vous en
04:14 demandez trop ou est-ce que c'était vous qui vous laissez trop dépasser ou parfois de vouloir
04:19 trop faire vous étiez dépassé par les événements ? Bon après ça dépend des personnes on est engagé
04:25 donc peut-être qu'on en fait trop mais la pression venait quand même du fonctionnement
04:33 même de l'entreprise en fait. D'accord. C'est le fonctionnement qui fait qu'en fait on subit trop
04:38 de pression. D'accord. Et ça s'est terminé comment ? Par une rupture conventionnelle ? Par
04:44 un licenciement ? Comment ça s'est terminé ? Par un licenciement du coup. Un licenciement et
04:48 malheureusement un prénom. Alors quand vous avez appelé la SUD radio, que vous êtes passé à
04:57 l'antenne, vous en étiez où exactement ? Alors j'en étais dans la phase où je me posais des
05:07 questions si je créais mon entreprise ou pas en fait. J'avais fait déjà pas mal de démarches
05:12 mais je n'avais pas passé le pas on va dire. D'accord. Et là depuis mon dernier appel j'ai fait
05:19 toutes les démarches nécessaires et là j'ai enfin ouvert mon entreprise il y a quelques jours.
05:23 Alors je vous avais dit de ne pas renoncer, de suivre un planning avec des étapes bien précises
05:30 c'est bien ça ? C'est ça. Vous avez été influencé par ce que je vous ai dit peut-être ? Conforté oui
05:38 bien sûr. Tout acte de bienveillance est bienvenu pour avancer. C'est un tout. D'accord. J'entends
05:51 mais parfois on peut manquer de confiance en soi et même si on vous dit d'aller dans ce sens là
05:56 et par le manque de confiance en soi, on n'arrive pas à dépasser, on n'arrive pas à se positionner
06:02 et à avancer et atteindre certains objectifs alors que vous vous l'avez fait. Bien sûr. Ça n'a pas
06:10 été facile non plus mais il fallait effectivement le faire. Et aujourd'hui votre activité elle a
06:16 démarré donc ? Mon activité a démarré. Là je commence tout juste donc c'est tout petit mais
06:21 ça y est je suis dedans. C'est autre chose. Bravo. C'est un cap à passer et c'est important. Bravo
06:28 parce que c'est en plus pas une période évidente pour créer son entreprise aujourd'hui et vous êtes
06:33 ambitieux. Tout est à votre honneur je veux dire. Mais quel est votre questionnement Philippe ?
06:41 Alors j'en profite pour vous remercier quand même pour votre bienveillance. Et puis mon
06:50 questionnement c'était savoir si ça vait bien se terminer enfin avec mon ancien employeur parce
06:56 que j'aimerais bien tourner la page et puis savoir si ça va bien se passer. Mais bon j'ai
07:00 confiance quand même plus ou moins en mon avenir. Dites-moi par rapport à votre ancien employeur,
07:06 le mois de janvier semble ressortir. Est-ce qu'il y a une audience où il y a un accord qui devrait
07:12 se décider sur cette période là ? Est-ce que c'est une date qui vous parle ? Je ne sais pas peut-être.
07:17 Oui la cour en décembre on va passer en jugement donc je ne sais pas peut-être qu'en janvier il
07:22 y aura peut-être quelque chose je ne sais pas. D'accord vous avez la date en décembre ? Oui c'est
07:27 le 15. Alors peut-être qu'il y aura un rendu du jugement peut-être à la période du mois de
07:34 janvier. Mais en tous les cas je sens que la période du mois de janvier il y a quelque chose
07:42 qui est en train de se finir, de s'achever, de se conclure. Donc est-ce que d'après vous,
07:48 par rapport aux éléments que vous apportez, de ce que vous souhaitez, de ce que votre ancienne
07:54 entreprise peut aussi exiger ou demander, est-ce que vous sentez qu'on peut aller sur un terrain
08:00 assez convenable ? C'est votre ressenti, je fais appel à votre ressenti. Oui oui oui je pense
08:09 oui il n'y a pas de raison, de toute façon ça ne sert à rien de faire... Non il n'y a pas de
08:14 raison, bien sûr que ça ne se termine pas correctement. Et bien restez confiant, restez
08:17 confiant parce que je ressens que sur ce début d'année et notamment le mois de janvier, il y a
08:22 des choses, il y a des conclusions qui vont permettre de pouvoir finaliser le dossier et
08:27 de pouvoir repartir sur autre chose et surtout de vous concentrer sur votre nouvelle activité,
08:34 celle que vous avez mis en place. L'activité aujourd'hui c'est dans quel secteur ? C'est
08:40 toujours le même ? Oui c'est le même, c'est chauffage, chauffage climat. D'accord, et ça
08:46 démarre bien ? Ça démarre doucement mais c'est prometteur. C'est prometteur, effectivement c'est
08:53 ce que je ressens, donc il y a une évolution, ça va être progressif, il faut faire attention aussi
08:58 à ce que ça n'évolue pas trop vite et que vous ne vous sentiez pas dépassé par les événements
09:02 parce qu'il ne faut pas oublier que vous sortez d'un burn-out et donc il faut y aller doucement
09:07 et je vous sens vouloir satisfaire une clientèle ce qui est très bien et ça c'est plutôt positif
09:13 mais à vouloir peut-être trop satisfaire et bien on se met en surcharge de travail et parfois en
09:19 état de stress aussi donc il y aura juste ça à contrôler. Mais après en termes de gestion
09:25 d'entreprise, de continuité, de stabilité, pour moi c'est une affaire qui roule. C'est super,
09:31 je vous remercie. On fait un petit point dans quelques mois ? Oui super, avec grand plaisir.
09:36 Bon très bien. Merci à vous, prenez soin de vous Philippe. Moi aussi, bonne fête. Merci à vous
09:45 aussi, également, bonne fête. Et on se retrouve dans quelques instants ou dans quelques minutes
09:51 avec Marie. Marie se pose des questions concernant sa relation sentimentale et la vente d'un bateau.
09:58 On en parle dans quelques instants. Restez à l'écoute de Sud Radio. Sud Radio à votre écoute
10:03 16h17, Alexandre Delovane. Et de retour sur Sud Radio, merci d'être à l'écoute de cette émission
10:10 au programme de l'émission La Gratitude. Alors est-ce que vous pratiquez la gratitude au quotidien ?
10:15 Vous souhaitez témoigner sur ce sujet et poser des questions concernant votre devenir ? Je suis
10:20 à votre écoute au 0826 300 300. Allez, passons à la minute du Saviez-vous. Le Saviez-vous que la
10:28 gratitude permet de se détourner du manque, de l'envie et de la jalousie. Elle permet de
10:34 s'intéresser à ce qu'il se passe autour de soi et aux autres et elle améliore à la fois l'humeur
10:40 au quotidien mais aussi les interactions avec les autres et lutte contre l'égoïsme et l'égo-centrisme.
10:46 Et à présent, si on écoutait Marie. Bonjour Marie. Bonjour Alexandre. Bienvenue sur Sud Radio.
10:53 Oui, je vous avais eu au mois de septembre. Ah très bien. Moi j'aime bien quand les auditeurs
11:01 rappellent pour donner un peu un retour de tout ça. Vous nous appelez du Gers ? Oui. Il fait beau
11:07 là-bas ? Non, je crois que c'est un peu général. Je serais bien aimée mais là franchement ça s'approche
11:15 plus d'un temps de Bretagne que de Gers. Oui, effectivement, je crois que c'est un peu général.
11:20 Alors Marie, vous avez 65 ans et vous êtes bénévole pour différentes associations. Oui,
11:26 c'est la gratitude. Je vais vous poser cette question. La gratitude, ça vous parle ? Oui,
11:33 pour moi c'est un remerciement et c'est une récompense. Si vous n'avez pas de gratitude
11:41 vis-à-vis de quelqu'un ou quelque chose, c'est que vous n'avez pas d'empathie ou que vous êtes
11:48 quelqu'un qui n'aimait pas partager. Vous savez, dans les associations, nous, on est là pour aider
11:56 les autres. Mais c'est vrai que quand on vous dit de la gratitude, vous savez, un sourire,
12:01 même quand vous promenez dans un petit village et que vous avez aidé telle et telle personne,
12:06 et quand elle vous fait un petit coucou ou un petit sourire, vous voyez, ça s'appelle de la
12:11 gratitude. Ce n'est pas grand-chose, mais on existe un petit peu à travers ça. Vous avez raison de
12:16 dire ça. Mais exactement, je trouve que ça se perd justement cette gratitude. Et si on était
12:21 beaucoup plus bienveillant et on appliquait plus cette gratitude, peut-être que ça permettrait
12:26 de changer aussi notre rapport au monde et moins d'être dans l'agressivité. Bien, ce sujet,
12:31 mon Dieu, si je sais ce que ça ferait, je pense que c'est de l'utopie. Mais bon, j'ai envie d'aimer
12:40 bien voir ça. Espérons, espérons tout au moins que ça change positivement. Alors,
12:44 vous nous avez appelé à quelle période exactement ? Je vous ai appelé au mois de septembre. Mon
12:53 compagnon avec qui j'étais depuis trois ans m'avait quitté soudainement et j'avais un bateau
12:59 à vendre, un voilier. Et à l'époque, vous m'avez dit, soyez patientes et je vois que ça se fera à
13:10 la fin de l'année. Et le bateau, il s'est vendu il y a une semaine. Champagne ! C'est pour cela
13:18 que j'ai rappelé pour dire que j'en revenais pas. Et par ailleurs, vous posez juste une petite
13:26 question puisque mon compagnon, je pense qu'il est un peu perdu. Il est parti sur Toulon,
13:32 il est perdu, je ne sais pas ce qu'il veut. Donc moi, je me remets de ça, mais je voulais savoir
13:38 si je dois lui donner une deuxième chance ou si je dois me protéger parce que j'ai quand même
13:44 souffert et morflé. - Pour se repositionner et vous restituer un petit peu, votre relation avec
13:52 votre compagnon était difficile. Vous avez perdu confiance en lui. Je crois qu'il y avait des
13:58 mensonges, c'est ça ? - Oui, il y avait des mensonges, beaucoup de mensonges, mais des mensonges
14:05 pas des mensonges de femme ou quoi ou quelque chose. Des mensonges, c'est de la mythomanie,
14:09 etc. Et donc il a fui, il est parti. Je sais où il est, mais il se rapproche de plus en plus de moi
14:16 en voyant des textos ou en me parlant. Mais moi, je sais qu'il est dans une situation financière et
14:26 très, très, très, très critique. - Et ensemble, vous êtes resté combien de temps ? - Trois années.
14:34 - Vous viviez sous le même toit, tous les deux ? - Oui. - D'accord. Et c'est vous qui lui avez
14:42 dit de partir ou c'est lui qui est parti ? - C'est lui qui est parti en me disant "écoute, j'ai
14:46 cherché du travail à Toulon, 800 kilomètres, c'est cool". Et puis je pense qu'il a fait la crise de
14:55 la soixantaine et puis il est parti comme un gamin, pas comme un ado. - Mais dites-moi Marie,
15:02 est-ce que cet homme était fidèle durant votre lien ensemble et votre relation ? Est-ce qu'il a
15:08 été fidèle ? - Je pense que oui. - D'accord, il n'y a pas de doute à ce niveau-là ? - Non,
15:14 ça aurait été ou alors, c'était de l'épistolaire, mais ça m'étonnerait. - D'accord. Et donc à la
15:24 suite de cette séparation, il y avait cette histoire de bateau. Il siégeait où ce bateau ? - À Port-le-Cate.
15:31 - D'accord, ok. Donc là, cette histoire est complètement réglée, le bateau est vendu et
15:38 aujourd'hui cet homme revient vers vous et il voulait savoir si éventuellement vous lui laissez
15:42 une seconde chance. - Si moi je me laisse une chance pour moi. - Et pourquoi vous lui laissez une chance ?
15:49 Est-ce que vous avez songé à ça ? - Je ne sais pas, par empathie ? - Et pas par ennui, parce que vous
15:56 vous ennuyez, donc il faut combler le temps, j'espère que ce n'est pas ça ? - Non, je fais partie
16:04 de tellement de choses et des activités. Non, m'ennuyer, non, mais si vous voulez, je ne sais pas.
16:11 Je ne sais pas, vous me posez cette question, mais c'est pas par ennui, non. - Alors, moi je vais vous répondre, enfin de ce que je
16:18 ressens bien sûr, et vivez votre expérience et surtout ne soyez pas influencés par ce que je
16:23 vais vous dire, mais je crois que votre histoire, elle est terminée. Sincèrement, je pense qu'elle
16:29 est terminée, mais elle n'est pas seulement complètement terminée, dans le sens où il y a, entre
16:35 vous, il y a eu des blessures, il y a eu, je dirais, des petites fractures entre vous, il y a eu
16:43 des contrariétés, il y a eu un sentiment, peut-être de culpabilité, parce qu'il y a eu un sentiment,
16:49 à un moment donné, vous avez été peut-être un peu dur avec lui, lui il a cette culpabilité parce
16:52 qu'il n'a pas été assez clair avec vous, donc il y a tout un aspect de choses qui rentrent en compte et
16:58 qui font que, bien lui revient vers vous et vous, vous êtes dans un doute et dans une hésitation, et
17:03 je pense que vous allez à nouveau lui tendre la main, et qu'il y a une autre chance qui se donne,
17:07 mais ce que vous avez vécu avant va se reproduire un peu de la même manière dans le futur, donc je
17:15 dirais, et surtout, vivez ce que vous avez à vivre dans votre quotidien et dans le moment présent,
17:22 mais préservez-vous, et surtout que votre relation ensemble, elle s'est beaucoup faite aussi, ou elle
17:29 s'est construite aussi, avec un aspect financier matériel, par rapport au projet du bateau, par
17:35 rapport à d'autres choses... - Oui, c'est moi qui me dois de l'argent... - D'accord, il y a quand même un rapport à l'argent,
17:41 il y a un rapport financier, et aujourd'hui il est en difficulté, donc soyez prudente, mais pour moi,
17:46 je vous sens, et de ce que vous, enfin, par rapport à ce que vous me demandez, je vous sens reprendre,
17:51 je vous sens quand même tendre la main, mais je vous sens être assez méfiante, pour qu'à un moment
17:56 donné, vous dites stop, là on ne peut pas aller plus loin... - J'ai envie de dire stop, et puis je voudrais aussi
18:02 peut-être pouvoir rencontrer, j'ai des amis, je suis cœur, mais pouvoir rencontrer quelqu'un par la suite...
18:10 - Ça viendra, mais il y a encore une étape à franchir avec lui, qui n'est pas complètement
18:15 terminée, mais moi ce que je vous propose, c'est de nous rappeler dans quelques semaines,
18:20 ou dans quelques petits mois, pour voir un petit peu comment ça évolue, et puis peut-être que je
18:25 vous donnerai encore une bonne nouvelle sur une éventuelle rencontre. - Oh super !
18:30 - En attendant, je vous souhaite une bonne fin d'année, une bonne fête aussi. - Écoutez, également, de bonnes fêtes,
18:37 oui, ce n'est pas la période que j'aime particulièrement, mais bon, il faut bien, il faut la vivre,
18:42 je vous souhaite de très belles fêtes, et merci pour l'émission et votre écoute.
18:48 - Merci à vous Marie, prenez soin de vous. Allez, si vous aussi vous posez des questions sur votre
18:54 devenir, et vous souhaitez témoigner à l'antenne, c'est le 0 826 300 300, ne bougez pas, on revient
18:59 dans un instant avec Sandrine pour une lourde affaire immobilière qui a été même médiatisée,
19:04 on en parle dans quelques minutes, et on dévoilera aussi le grand gagnant du sapin de Noël de Sud
19:08 Radio, à tout de suite. - Sud Radio, à votre écoute, 16h17, Alexandre Delevanne. - Et de retour sur Sud Radio,
19:17 il est pratiquement 16h30, alors vous pouvez aussi nous suivre en direct live sur YouTube,
19:22 et maintenant c'est le grand sapin de Noël sur Sud Radio, et c'est maintenant, c'est le moment pour vous nourrir votre cadeau de Noël en direct sur Sud Radio,
19:32 et nous accueillons tout de suite Eric, bonjour Eric. - Bonjour. - Bienvenue sur Sud Radio, alors vous avez été
19:40 sélectionné comme étant le 11ème appel, et vous allez gagner quoi Eric ? Est-ce que vous savez ce que vous allez gagner ?
19:48 - A priori un bon d'achat, pour faire plaisir un petit peu plus aux enfants. - Voilà, exactement, vous avez gagné un bon de cadeau, d'un montant de 75 euros
19:57 chez cadeau.com, alors vous allez pouvoir retrouver plus de 5000 cadeaux originaux à personnaliser avec un prénom, une photo,
20:05 un message livré en express directement chez vous. Quelle joie de vous offrir ce bon cadeau de 75 euros, et vraiment, est-ce que vous êtes heureux Eric ?
20:15 - Complètement, merci beaucoup en tout cas, un grand plaisir. - Et vous vous appelez d'où Eric ? - Allô, la ville d'Allô, dans les Bouches du Rhône.
20:24 - Et vous savez quel usage vous allez en faire de ce bon de cadeau, est-ce que c'est pour quelqu'un de votre famille ?
20:29 - Je pense qu'il y a des cadeaux adaptés, peut-être pour les enfants, pour leur faire un petit peu plus plaisir cette année.
20:34 - Bon, très bien, merci, et puis passez de bonnes fêtes Eric. - Vous aussi, merci beaucoup.
20:40 - Merci. Allez, Le Grand Sapin de Noël sur Sud Radio continue jusqu'au 25 décembre, restez connectés sur Sud Radio toute la journée pour ouvrir avec nous
20:48 et en direct votre cadeau de Noël, et doublez vos chances en vous connectant sur nos réseaux sociaux et sur sudradio.fr.
20:57 Et à présent, si vous voulez témoigner ou réagir dans l'émission de demain sur le sujet "Les double vies",
21:02 eh bien si vous avez aussi vécu ce genre de situation, appelez le 0826 300 300, Aude au standard vous attend.
21:10 Et à présent j'accueille aussi Sandrine. Bonjour Sandrine. - Bonjour Alessandro. - Bienvenue sur Sud Radio.
21:17 - Merci, je suis très heureuse que vous ayez accepté de me prendre en ligne, c'est la première fois que je témoigne sur Sud Radio.
21:24 - Eh bien écoutez, avec plaisir. Alors Sandrine, vous avez un témoignage quand même assez fort, puisque vous avez 55 ans, vous habitez le Cap d'Agde,
21:33 et auparavant vous avez pratiqué comme métier celui de l'esthétique, en tant qu'esthéticienne.
21:40 Et actuellement vous êtes en arrêt pour justement la raison que vous allez nous évoquer tout à l'heure.
21:47 Mais d'abord je vais quand même vous poser la question du jour, Sandrine, est-ce que vous vous êtes sensible à la latitude,
21:53 ou est-ce que vous la pratiquez au quotidien ? - Alors, je suis sensible, je fais du bien aux gens, les massins,
22:02 donc après quand ils reviennent, ils me disent que ça leur a fait du bien, ou même en sortant qu'ils vont mieux,
22:07 parce que quand ils sont rentrés, je trouve ça génial, mais c'est surtout le matin, on se lève, on ouvre les yeux,
22:13 on a le soleil, on a la nature, et surtout de la gratitude envers l'espace qui nous entoure actuellement,
22:21 plus qu'envers les gens, c'est vrai. - Exactement. - Et le sourire de mon petit-fils, mon compagnon qui est charmant,
22:30 qui ne demande jamais rien et qui m'aide beaucoup, voilà, oui, j'ai de la gratitude, parce qu'il le mérite,
22:36 et que c'est tellement plaisant. - Exactement, et la gratitude n'est pas une simple politesse, c'est aussi une sincérité,
22:45 c'est un sentiment spontané qui vient, et de ressenti aussi. Alors, Sandrine, vous avez une drôle d'histoire,
22:55 racontez-nous un petit peu. - Alors, bon, j'ai un mari, deux enfants, jusqu'en... les militaires, jusqu'en 2008,
23:04 c'était extraordinaire, on avait une famille normale, très bien, tout se passait bien. - Alors, excusez-moi,
23:10 vous vous êtes rencontrée en quelle année avec votre mari ? - On s'est rencontré en 92. - 92, d'accord.
23:20 Et donc, vous avez vécu toutes ces années, vous avez eu deux enfants, ils ont quel âge aujourd'hui, vos enfants ?
23:25 - Alors, 25 et 28. - D'accord, ce sont des grands, hein ? - Ah oui. - Et toute cette petite famille a été heureuse, a vécu,
23:32 votre mari, il fait quoi dans la vie ? - Mais en fait, c'est ça, il était militaire de carrière, et c'est un choc de guerre
23:40 qui a fait que tout a basculé. - C'est-à-dire ? Racontez-nous un petit peu. - C'est-à-dire qu'en... le 18 août 2008,
23:49 il y a eu l'Afghanistan et le cataclysme qu'on a vu, et j'ai su que mon mari était vivant parce qu'il s'est mis derrière
23:55 M. Sarkozy, voilà. Parce qu'il n'y avait plus de communication, plus rien, et qu'encore là, il communiquait,
24:01 parce que c'était aussi l'anniversaire de ma fille, enfin de notre fille, ce jour-là. Ben tout allait très bien jusqu'à ce jour-là,
24:06 et puis il est rentré, un mois quelques après, et là, mutinisme, et pendant 7 ans, nous avions un zombie à la maison,
24:14 et on a essayé tout le temps de le ramener. Il s'est vu mourir, en fait, voilà. Ce qui a créé...
24:20 - Et pour vous, combien de temps vous avez pensé qu'il n'était plus de ce monde ? Pendant combien de temps ? Vous n'avez pas eu de nouvelles ?
24:27 - Ah ben, il vivait avec nous, hein. Il vivait avec nous, mais pendant 7 ans. - Oui, mais la période où il était en Afghanistan
24:34 et que vous n'avez plus de nouvelles, pendant combien de temps vous avez... vous vous êtes aperçue ?
24:38 - On l'a su par les journaux, en fait, si vous voulez, mais on n'avait plus de communication directe, donc... - Et durant combien de temps ?
24:45 - 3-4 jours, on n'avait rien. Et après, c'est l'assistance sociale qui nous a rappelé. - D'accord, ok.
24:50 Et pendant 7 ans, comme vous dites, un zombie. - Voilà, un zombie. C'est-à-dire qu'il ne parlait pas, même au travail,
24:59 il travaillait très bien, il n'avait pas de réaction normale, il se mettait des heures pour faire les choses, il mangeait à l'heure précise,
25:06 et c'était quelque chose... comme une boîte qu'on pose quelque part et qui... voilà. Jusqu'à ce que mon psy me dise,
25:12 "Écoutez, c'est ou vous chutez toute la famille avec lui ou vous passez à autre chose." Voilà. Ça a duré 7 ans.
25:18 - Et il a accepté un suivi psychologique ? - Du tout, justement. Le jour où il est rentré en disant "Je suis content", là, on l'a entendu parler,
25:26 c'était au bout d'à peu près de 6 mois et demi, on l'a entendu parler, il est rentré en disant qu'il était heureux et content
25:31 parce qu'il n'aurait pas besoin d'aller voir un psy. Et à partir de là, c'est tout le reste de la famille qui s'est fait suivre.
25:36 Enfin, notamment moi et mes filles étaient jeunes, donc voilà. - Donc vous avez décidé de vous séparer ?
25:42 - Oui, on a décidé de se séparer, mais ça... voilà. Donc là, actuellement, on dira presque normalement, il n'a pas de réaction normale,
25:52 mais bon, c'est parce que c'est que des factures, il ne sait pas ce que c'est que des charges, mais il a une copine, donc je suis très heureuse pour lui.
26:00 Moi, je vis aussi de mon côté avec un compagnon, mais bon, on a quelque chose qui s'est greffé là-dessus, financier par contre, voilà.
26:08 Et là, mon problème. - Alors, racontez-nous justement, par rapport à ce problème financier, qu'est-ce qui se passe ?
26:13 - Alors, juste avant qu'il parte justement en Afghanistan, on avait acheté une maison, une grosse maison, un SCI,
26:20 parce qu'on ne pouvait pas l'acheter autrement, donc pour pouvoir la faire payer par les loyers, en fait.
26:25 Voilà, quand on est un SCI, ils prennent en compte les loyers. Donc c'était juste avant qu'il parte en Afghanistan, on a signé les papiers,
26:31 j'ai même eu la procuration pour finir de signer, puisqu'il a dû partir. Et donc cet SCI, après ce cataclysme de guerre, je l'assume toute seule.
26:41 Et là, je ne peux plus, sauf que le crédit n'est pas fini, il finit en 2029, et j'ai des locataires qui maintenant, depuis deux ans et demi, ne payent plus les loyers.
26:52 Donc je ne peux plus l'assumer. Et entre tout, je suis tombée en dépression en janvier, en ayant commencé à me faire aider par les judiciaires, tribunals, etc.
27:05 Et là, le tribunal, ça vient de tomber, après trois audiences renvoyées, ils ne seront pas expulsés, ces gens, ils me doivent plus de 20 000 euros.
27:13 Et en fait, la banque a dénoncé le crédit, puisque j'ai eu trois loyers de retard, parce que ne travaillant plus, je n'ai pas pu assumer, les quatre derniers mois, je n'ai pas pu assumer.
27:24 La banque m'est tombée dessus, parce qu'en fait, je dis "moi", parce qu'en fait, ils n'appellent pas mon mari, puisqu'ils ne répondent pas.
27:31 Ils me disent "mais c'est la SCI, que ce soit vous ou votre mari, c'est pareil". Donc, comme il n'y a que moi qui réponds, et qui jusqu'à présent est payé, ils s'attaquent à moi.
27:40 Donc, ils ont dénoncé le capital, et là, ils m'ont demandé, sous huit jours, de leur donner le capital restandu, qui était, avec les frais qu'ils ont rajoutés, 101 000 euros.
27:51 Donc, là, ils me demandent de rembourser, en une semaine, 101 000 euros.
27:56 - Ah oui, mais bon, vous avez le sourire, il vaut mieux. - Ah, je suis très positive.
28:01 - Oui, effectivement. Mais ce qui est quand même fou, c'est que vous avez des locataires depuis deux ans et demi, avec des loyers impayés, et aujourd'hui, on ne les dénonce pas, ils peuvent rester chez vous encore.
28:15 - Je croyais en la justice, mais non, ils ont pu prendre des avocats avec l'aide juridictionnelle, puisqu'ils ne la payent pas.
28:22 Moi, en n'ayant plus grand-chose, j'ai pris quand même un avocat au bout de la troisième audience qu'ils m'ont renvoyée, parce que le juge ne m'écoutait pas, donc il ne voulait pas donner la parole.
28:32 Donc, il a fallu que je prenne un avocat, et l'avocat, là, m'a annoncé, donc, il y a une semaine, qu'en fait, on avait perdu le procès, qu'il fallait recommencer.
28:39 - Incroyable. - Parce que, voilà. Et donc, on est au point de départ, et je vais perdre ma maison, et tout, quoi. Voilà.
28:47 - Et quelle est votre question ? C'est par rapport à ce que vous demande la banque, aujourd'hui, du remboursement, une semaine, de payer le dû, c'est ça ?
28:55 - J'ai négocié, j'ai expliqué la situation, donc ils m'ont donné un an, en fait, pour pouvoir rembourser la dette.
29:02 Donc, jusqu'à novembre 2024, sauf que là, je suis tellement épuisée que je m'ai questionnée, est-ce qu'en continuant à faire des efforts,
29:10 et en faisant tout ce que je peux, en hypothécaire, tout ce que je trouve partout, en me faisant aider, est-ce que si j'arrive à...
29:17 - A vendre ? - A vendre, déjà. Est-ce que je vais arriver à vendre ? Est-ce que je vais arriver à m'en sortir avec cette maison, et partir sur une vie normale ?
29:24 - Moi, pour moi, vous allez vendre. C'est ce que je ressens, et ce temps, là, donné, dès un an, ça va vous permettre de pouvoir vendre cette maison.
29:32 Ensuite, par rapport au montant, entre ce que vous remboursez les arriérés de certaines choses,
29:38 je n'ai pas le sentiment que vous fassiez un véritable bénéfice sur la vente de cette maison.
29:44 Mais le principal, c'est de sortir de ces dettes, et surtout, de sortir aussi de cette pression, et de cette machine judiciaire, un peu, dans laquelle vous êtes aujourd'hui.
29:55 Donc, vous allez y arriver, et ne baissez pas les bras. Et ce que j'entends, c'est bien, je veux dire que vous êtes quelqu'un de persévérante,
30:04 vous êtes courageuse, vous avez quand même le sourire, et vous ne vous laissez pas abattre, même si la vie ne vous fait pas de cadeaux, à ce niveau-là.
30:13 Mais vous verrez que, pour moi, il y a une réalisation, il y a quelque chose de bon et de positif, et à partir de ce mois de mars-avril,
30:19 vous rentrez dans une période de changement et de transformation. On dirait qu'entre la période de ce mois de mars, et la période du mois de juin 2024,
30:28 c'est là où les choses vont pouvoir se décider, vont pouvoir se faire. Alors, ça va être juste, parce que le temps passe vite,
30:35 mais à l'échéance de novembre 2024, votre maison sera vendue, et ça permettra de pouvoir calmer les choses,
30:43 et de mettre votre compte à zéro, et de solder tout ce qui reste à payer.
30:50 D'accord. Merci, je vais garder courage.
30:55 Gardez courage, et surtout restez persévérante comme vous l'êtes aujourd'hui.
31:00 Merci beaucoup, ça va, vous m'avez beaucoup aidée. Merci.
31:04 Bonne fête de fin d'année. Merci à vous.
31:07 Sud Radio, à votre écoute, 16h17, Alexandre Delovane.
31:12 Et la parole est à Jean-Baptiste. Bonjour Jean-Baptiste.
31:16 Bonjour Alexandre.
31:17 Bienvenue sur Sud Radio.
31:19 Bienvenue, oui.
31:20 Alors Jean-Baptiste, vous avez 56 ans, vous êtes opérateur de production, et vous vivez dans le Médoc, c'est bien ça ?
31:27 C'est ça, c'est ça, tout à fait, oui.
31:29 Et je vais vous poser cette question du jour, est-ce que vous, vous êtes sensible à la gratitude, ou est-ce que vous la pratiquez au quotidien ?
31:34 Moi c'est tous les jours que je pratique la gratitude, parce que j'ai un grand cœur.
31:39 Je rends service à beaucoup de monde, sans attendre rien en retour.
31:43 Moi je le tiens sur la main, je rends service, je pète des affaires, même si des fois ça m'a joué des tours, mais bon c'est pas grave.
31:50 C'est la vie qui est comme ça.
31:52 Mais moi, voilà, j'aime bien rendre au service.
31:56 Et c'est la nature, je suis généreux, voilà.
32:00 Alors je retiens ce que vous venez de dire, c'est que vous rendez service sans attendre rien des autres, et en retour tout au moins,
32:09 bon, peut-être en attendant un merci, ça fait toujours plaisir, et ça fait partie de la gratitude,
32:14 mais en attendant, vous vous attendez pas de retour, d'échange ou autre ?
32:18 Et oui, c'est ça la gratitude, c'est pas d'être dans cette notion de calculer ou de stratégie,
32:23 c'est des choses sur lesquelles, tout simplement, on dit merci et on est reconnaissant de ce qu'on peut faire aux autres.
32:30 Et ça c'est très bien.
32:31 Mais restez comme vous êtes, ne changez pas, même si parfois on peut penser qu'il y a beaucoup de gens qui n'ont pas cette faculté-là ou cette qualité-là,
32:41 mais en tous les cas, il en existe, c'est la preuve, vous êtes en train de nous l'énoncer.
32:46 Alors Jean-Baptiste, quelle est votre question et que puis-je pour vous ?
32:51 Eh bien ma question, elle est que j'ai mon épouse qui est décédée dans un accident le 26 septembre dernier,
32:59 et je voulais savoir, c'est très dur de se retrouver seul après 36 ans de vie commune, 31 ans de mariage,
33:06 bon, j'ai deux grandes filles de 21 et de 29 ans qui ne sont plus à la maison,
33:12 et ma question est de savoir si je vais retrouver une compagne pour continuer la vie et puis l'aimer, la chérir,
33:19 parce que moi j'ai aimé mon épouse parce que si l'amour ne nous avait pas séparés, je pense qu'on aurait vécu encore longtemps et heureux ensemble.
33:27 C'est un accident de voiture ?
33:30 Oui, c'est un accident de voiture.
33:32 Vous étiez avec ou elle était... ?
33:34 Non, non, elle était avec sa mère, elle est décédée sur le coup.
33:37 Alors il y aura un procès qui ira au mois de mars, parce que le chauffard a reconnu ses torts,
33:44 donc bon, je n'ai pas de haine vers cette personne, je te l'avis, il va continuer et il va me sourire un petit peu plus en me donnant peut-être une nouvelle compagne, je ne sais pas.
33:55 Alors, oui, votre témoignage est assez touchant et je ne veux pas me laisser déstabiliser par ce message-là,
34:02 mais effectivement, déjà tout le monde vous dirait que vous le méritez d'être heureux et d'avoir à nouveau du bonheur,
34:09 mais pour moi, de ce que je ressens, il y a un voisinage, et un voisinage pas très loin, de proximité,
34:17 où il y a une personne qui peut très bien vouloir se rapprocher de vous,
34:23 essayer d'être justement dans cette notion d'empathie, de bienveillance envers vous,
34:28 et je sens cette personne très sensible à vous, et vous avoir un regard différent.
34:36 Alors, cette personne, on dirait que vous la connaissez, mais vous n'avez jamais peut-être porté tant d'attention sur cette personne,
34:42 parce qu'apparemment vous n'étiez pas dans cet état d'esprit-là, donc c'est pour ça.
34:48 Mais il y a un changement pour vous qui semble se faire, alors ce n'est peut-être pas encore tout de suite,
34:55 mais sous une période d'un an, c'est-à-dire que d'ici la fin 2024, je vous sens dans ce changement de vie,
35:03 et dans cette approche avec cette personne-là, une personne qui semble être un peu plus jeune que vous,
35:09 et vous verrez qu'à partir de là, ça mettra du temps, parce que vous aurez besoin de gagner de la confiance,
35:14 et elle aussi aura besoin de gagner de la confiance, mais vous verrez que la confiance s'installera ensemble,
35:20 et ça vous permettra d'envisager un avenir et un futur ensemble.
35:24 Mais vous avez peut-être besoin encore de vivre votre deuil, et d'intérêt d'accepter malheureusement ce malheur qui vous est tombé dessus.
35:36 - D'accord, ok.
35:38 - Il faut persévérer, mais c'est autour de l'homme.
35:40 - Je veux aller de la mort.
35:41 - Oui, exactement, c'est très bien.
35:43 - Et donc vous dites que c'est proche de moi, de mon voisinage.
35:48 - Exactement, c'est proche de vous, et ça viendra très naturellement, sans que vous ayez vraiment à chercher.
35:53 Alors, soyez curieux et observateurs de ce qui se passe, mais vous verrez que les choses vont se faire de cette manière-là.
36:00 N'hésitez pas à nous tenir au courant, vraiment Serge.
36:04 - D'accord, ok. Merci bien.
36:06 - Merci à vous, à très bientôt.
36:08 - Merci, au revoir.
36:10 - Si vous aussi vous avez besoin de me ressentir et d'être accompagné dans votre évolution de vie, n'hésitez pas à appeler le 0 826 300 300.
36:19 Et on se retrouve dans quelques minutes avec Serge, j'ai déjà énoncé le prénom juste avec notre auditeur précédent.
36:25 Il est, lui, à la croisée des chemins. Ne bougez pas, on en parle dans un instant et c'est sur Sud Radio.
36:30 - Sud Radio, à votre écoute, 16h17, Alexandre Delovane.
36:36 - Et de retour sur Sud Radio pour cette dernière partie, avant de retrouver les vraies voix présentées par Philippe David et Cécile Minibus.
36:43 Alors, il vous reste quelques minutes pour passer à l'antenne de Sud Radio.
36:47 Et avant de retrouver Serge, je vais vous donner les 5 bienfaits de la gratitude.
36:51 Alors, dans un premier temps, un bien-être psychologique, physique et relationnel est important.
36:56 Il faut aussi avoir un sentiment de satisfaction et d'utilité.
37:01 Il y a aussi une augmentation de la confiance en soi et dans les autres états aussi.
37:06 Une amélioration des relations sociales et un regard positif sur la vie.
37:11 Et je reprends aussi un message sur le groupe, à votre écoute, de Sandrine, qui nous dit
37:17 "Dans la vie quotidienne, il me semble que c'est important d'avoir de la gratitude envers ses amis, ses voisins, sa famille et ses enfants."
37:24 Alors, je suis tout à fait d'accord avec vous, Sandrine, et surtout à cette période de fête où la gratitude est encore plus demandée.
37:32 Allez, la parole est à Serge. Bonjour, Serge.
37:35 - Oui, bonjour, Alexandre. Et puis, je vous remercie encore pour votre émission.
37:40 - Merci à vous, Serge. Alors, Serge, vous avez 55 ans, vous travaillez dans la logistique et vous habitez Evry.
37:49 Je vais vous poser cette question du jour. Est-ce que vous, vous êtes sensible à la gratitude ou est-ce que vous la pratiquez au quotidien ?
37:55 - Je la pratique au quotidien avec mes enfants, mes amis et mes petits-enfants.
38:00 - Très bien. Allez, racontez-nous un petit peu votre parcours et quelle est votre question, Serge ?
38:06 - Alors, j'en aurais deux. Donc, mon parcours, j'ai été marié deux fois, divorcé deux fois.
38:13 Et ça fait 14 ans que je vis tout seul. Et voilà. Et aujourd'hui, c'est pareil, je sors d'une rupture conventionnelle.
38:21 Et mes questions étaient les suivantes. C'était savoir si j'allais retrouver quelqu'un dans ma vie sentimentale et mon avenir professionnel.
38:31 Je me pose des questions. - Vous êtes séparé depuis combien de temps ?
38:35 - Alors, moi, ça fait 14 ans que je vis tout seul, si vous voulez.
38:39 - Mais vous n'avez pas eu d'histoire ? - Si, j'ai eu des histoires, mais je ne me suis pas engagé.
38:45 - Pas d'engagement. Et aujourd'hui, vous avez vraiment envie et ce besoin de vous engager ?
38:50 - Oui, oui. Et puis bon, c'est vrai que ça fait quelques années, je laissais le temps passer.
38:55 Mais là, au bout de 14 ans, on se pose les mêmes questions pour mon avenir professionnel aussi.
39:02 - Bien sûr, mais à chaque fois, c'est vous qui stoppez les relations ou c'est vos compagnes qui arrêtent la relation ?
39:08 - Je pense que c'est moi ou qui n'avait pas envie de m'engager parce que j'ai été marié deux fois.
39:16 - Alors, moi, de ce que je ressens, c'est très étrange parce que ce que je vais vous répondre est aussi en lien avec votre travail.
39:24 C'est-à-dire que pour moi, chez vous, il y a une certaine forme d'ennui et d'insatisfaction.
39:30 Vous êtes très vite insatisfait sur les choses, comme si très vite vous vous ennuyez et vous avez envie de passer à autre chose.
39:38 Donc, je ne dis pas que vous êtes instable, je ne me permettrai pas, mais attention d'essayer de cultiver justement cette notion de stabilité,
39:46 je dirais sur le plan psychologique, pour pouvoir perdurer autant sur le plan affectif et sur le plan professionnel.
39:54 Et sur le plan, dans un premier temps affectif, vous allez aller vers une nouvelle rencontre.
39:59 Il y a un potentiel et une possibilité, mais je vous sens être quand même très autonome, très indépendant,
40:05 même si ça fait 14 ans que vous êtes seul ou vous vivez seul.
40:09 La relation avec qui vous pourriez éventuellement faire un bout de chemin, elle se fera, mais à condition que chacun ait son chez-soi
40:17 et que ça permette de pouvoir se réaliser tout doucement, gentiment, mais au fil du temps et non pas dans un engagement direct.
40:25 Et puis, sur le plan professionnel, je sens qu'il y a là, actuellement, une opportunité, il y a des possibilités,
40:31 mais vous verrez que vous êtes en train déjà de semer des contacts ou des possibilités qui vont vous permettre d'avoir une opportunité professionnelle.
40:42 Courant entre janvier et février 2023, vous avez une autre proposition professionnelle,
40:51 vous êtes sollicité par une autre structure et là, je sens une meilleure stabilité pour vous.
40:57 Bon, c'est des bonnes nouvelles tout ça ?
40:59 Oui, ce sont des bonnes nouvelles Serge. Il va falloir maintenant prendre soin de vous et travailler cette stabilité là.
41:06 D'accord ?
41:07 Très bien, merci beaucoup.
41:08 Passez de bonnes fêtes.
41:10 Bonne joyeuse fête aussi à vous, à tous.
41:12 Merci.
41:13 Merci, au revoir Alexandre.
41:15 Alors, vendredi, nous avons parlé du bonheur et pour conclure, je dirais, savourer le bonheur est un acte de gratitude.
41:22 On se donne rendez-vous demain, on parlera des double vie. Avez-vous déjà vécu ce genre de situation ?
41:29 Eh bien, si oui, n'hésitez pas à appeler le 0 826 300 300 pour pouvoir passer à l'antenne
41:37 et puis vous pouvez aussi poster vos témoignages sur le groupe A votre écoute de Facebook, je vous répondrai à l'antenne.
41:44 Et je reviens à dire qu'un message sur le groupe A votre écoute de Catherine qui nous dit sur la gratitude,
41:50 "Activez le pouvoir de la gratitude, m'a sauvé, j'avais tout et je ne la voyais pas pour autant."
41:56 Allez, passez une belle fin de journée, prenez soin de vous et la place s'étend vers Evoa.
42:01 Bonsoir Philippe David.
42:03 Bonsoir Alexandre Delovane.
42:05 C'est un petit peu la course aujourd'hui.
42:06 Ah oui, oui, oui, c'est bien, ce sont des choses qui arrivent.
42:08 Bah oui, parce que le programme est chargé peut-être aussi.
42:10 Ah le programme est très chargé vu l'actualité, on peut dire particulièrement lourde du week-end.
42:16 Le grand débat des vrais voix 17h30 #Valse #Le Pen, faut-il imposer la rétention de sûreté pour des faits de terrorisme ?
42:24 Vous avez vu que le personnage qui a commis l'attentat de la tour Eiffel, même si ce n'était pas tout à fait, c'était à 500 mètres de la tour Eiffel,
42:31 avait quand même un lourd passif, préparation d'attentat, troubles psychiatriques.
42:36 Est-ce qu'il faut imposer une rétention de sûreté ?
42:38 Au nom du principe de précaution, ou non, est-ce qu'une fois qu'on a purgé sa peine, on doit être libre comme l'air ?
42:44 Venez nous donner votre avis au 0826 300 300.
42:47 Notre experte du jour sera Jacqueline Eustache-Brignaud, sénatrice LR,
42:51 qui a notamment fait une proposition de loi qui a été retoquée par le Conseil constitutionnel en 2020,
42:56 avec qui elle, Braun pivait, sur l'encadrement des personnes condamnées pour faits de terrorisme.
43:00 A 18h37, notre coup de projecteur #RoutelCrieff, le tweet de Mélenchon, est-il irresponsable ?
43:08 Il a balancé un tweet qui fait beaucoup réagir, et pas seulement dans la classe politique.
43:13 Et vous, qu'est-ce que vous en pensez ? Est-ce que c'est de la provocation ?
43:16 Est-ce que c'est une stratégie politique ? Est-ce un dérapage ?
43:19 Ou est-ce clairement ce qu'il pense ?
43:21 Venez nous le dire au 0826 300 300.
43:24 Notre experte du jour sera Frédéric Durand, directeur de la revue "L'inspiration politique",
43:28 nos vrais voix du jour, Philippe Bilger, Jean-Michel Fauvergue et Virginie Calmels.
43:33 Bonne nuit.
43:34 Sud Radio, à votre écoute, 16h17, Alexandre Delovane.
43:39 Avec Idealvoyance.fr, coaching de vie spirituelle par téléphone, chat et email.