• l’année dernière
HardTalk : Violence envers les femmes : Comment en finir avec cet autre fléau social ?Michael Jean Louis reçoit la journaliste Ruqayah Khayrattee et l’activiste Corinne Camille, respectivement présidente et secrétaire de l’ONG Fam An Mars, l’avocate Mokshda Pertaub, vice-présidente de l’ONG Empower et consultante en genre, violence liée au sexe et droit de la famille et Rado Harintsoa Rakotosamimanana, spécialisé dans la promotion et la protection des droits humains à Madagascar. Le psychologue Krishna Seebaluck interviendra au téléphone. Vos appels au 213 7777.

Category

🗞
News
Transcription
00:00:00 Bon après-midi à tous, bienvenue dans une nouvelle édition de Hot Talk.
00:00:13 Nous nous intéressons aujourd'hui à un fléau.
00:00:15 Ce n'est pas une date d'hier ou d'avant-hier.
00:00:17 Au fil des siècles, il fait une période durée.
00:00:19 Il fait évoluer aussi.
00:00:20 Nous pouvons évoquer la violence faite aux femmes de Turquie dans trois jours.
00:00:24 Sur le 25 novembre, nous pouvons célébrer la journée internationale de l'élimination
00:00:28 de la violence envers les femmes.
00:00:30 Aussi, j'ai envie de préciser qu'il nous cause ce thème-là, donc violence faite aux
00:00:35 femmes, cela va du féminicide à la violence domestique en passant par toutes sortes d'abus
00:00:40 et d'exploitations sexuelles ou autres contre une femme, un petit fils.
00:00:45 Même si nous préciser qu'il y a un certain type de violence aussi qui se fait contre
00:00:50 les garçons.
00:00:51 Donc, si ce fléau-là finit toujours d'exister, nous pouvons dire aussi qu'il n'y a jamais
00:00:55 eu autant de volonté un peu partout à travers le monde pour l'éliminer.
00:01:00 Mais, l'itinérance, elle part ou elle disparaît.
00:01:04 Quelles sont les conditions que nous avons réunies pour qu'ils nous éliminent ce problème-là,
00:01:09 ce problème de violence envers les femmes?
00:01:11 Quelles sont les mesures anciennes ou nouvelles que nous avons appliquées pour pouvoir éradiquer
00:01:16 cela?
00:01:17 Nous accueillons aujourd'hui sur notre plateau d'abord la journaliste Rukaya Kairati et l'activiste
00:01:23 Corinne Camille, respectivement présidente et secrétaire de l'ONG Femmes en Morse, qui
00:01:28 peut organiser une conférence sur le droit de la femme le 24 novembre.
00:01:33 Nous accueillons aussi l'avocate Moksha Petho, consultante en genre et aussi en violence
00:01:41 liée au sexe et au droit de la famille.
00:01:44 Elle est aussi vice-présidente de l'ONG Empower, qui finit d'organiser récemment une conférence
00:01:52 sur le droit de la femme et sur le droit de nos féminicides.
00:01:54 Et c'est aussi avec un plaisir qu'il nous accueille Rado Arinsoa Rakotsami Manana, spécialisé
00:02:03 dans la promotion et la protection des droits humains à Madagascar, country director de
00:02:09 l'Aga Khan Foundation de Madagascar et aussi président de l'ONG Women Lead de ce pays-là,
00:02:16 de Women Lead Movement de ce pays.
00:02:18 Bienvenue, merci d'avoir accepté notre invitation.
00:02:24 Bonjour, bon après-midi Michael et merci à vous qui nous sollecivez cet après-midi.
00:02:33 Voilà, c'était une longue introduction.
00:02:35 Donc, je vous rappelle aussi que nous pouvons avoir l'occasion d'entendre le psychologue
00:02:39 Krishna Sibalok à 18h pour intervenir au téléphone.
00:02:41 Et aussi, je vous rappelle aussi qu'ici, on vient intervenir sur le sujet, vous appelez
00:02:44 nous pour 213 777 777 et moi, je vous invite à tous suivre nous sur notre page Facebook
00:02:50 Top FM, pour que tout le monde ne se pose pas de questions ou laisse un commentaire.
00:02:53 Et si jamais il y a une question, on va révéler-la à nos invités.
00:02:57 Donc, je commence avec notre amie Rado, donc une conférence récemment sur le féminicide
00:03:05 et une autre bientôt sur les droits des femmes.
00:03:08 Peut-on dire que la sensibilisation est à son apogée, même si nous aurions tous préféré
00:03:14 ici que le problème n'existe pas et qu'il n'y ait pas besoin de sensibiliser sur le
00:03:18 sujet.
00:03:19 Merci beaucoup pour la question, Michael.
00:03:21 Je sais que vous comprenez le créole, donc je ne sais pas si vous pouvez vous exprimer
00:03:24 en créole, mais allez.
00:03:25 Il est bon pour moi.
00:03:26 Mais en fait, c'est une question.
00:03:31 Cette question-là, elle est globale.
00:03:33 Aujourd'hui, à un certain apogée, je pense qu'il y a toujours quelque chose à faire
00:03:37 parce que les violences, elles continuent.
00:03:38 Et puis, moi, ce que je pense, c'est que toutes les activités que font, par exemple,
00:03:44 Empower, Mauritius ou encore Femmes en Mars à Maurice, ce sont des gouttes d'eau, en
00:03:52 fait, qui, quand elles se rassemblent, donnent une ampleur à cette...
00:03:55 Parce que c'est un fléau, il faut le dire aujourd'hui.
00:03:57 Et puis, moi, quand je peux parler, par exemple, du cas de Madagascar, il y a énormément
00:04:02 de violences dans le pays.
00:04:03 C'est pour ça que vous avez beaucoup travaillé sur cette problématique, donc dans la région.
00:04:08 Sur le continent africain.
00:04:10 Sur le continent africain, oui.
00:04:11 D'accord.
00:04:12 Et oui, justement.
00:04:13 Et donc, ce n'est pas uniquement un cas isolé à Madagascar, à Maurice ou au Botswana,
00:04:19 par exemple, mais c'est un cas qui est très généralisé dans tous les pays du continent
00:04:22 africain.
00:04:23 Donc, à son apogée, c'est assez dur, c'est assez fort comme terminologie, enfin comme
00:04:29 appellation, mais je vais dire que chaque organisation essaie autant que faire se peut
00:04:36 d'atteindre une certaine...
00:04:38 Enfin, le reach out, pour pouvoir justement arriver à faire diminuer et plus tard, vraiment
00:04:45 éradiquer, parce qu'il s'agit aussi justement d'éradiquer, parce qu'on a signé des accords
00:04:49 des traités internationaux qui vont justement éradiquer ces violences.
00:04:51 Et c'est pour ça.
00:04:52 Aujourd'hui, on parle des activités, mais c'est aussi un process très long en même
00:04:58 temps, parce qu'il s'agit de violences.
00:04:59 Donc, parfois, c'est des choses qui sont à raciner depuis très longtemps.
00:05:03 Et donc, il faut prendre du temps pour déraciner cette partie-là.
00:05:06 Et c'est là que le plaidoyer, il vient.
00:05:08 Et je dis tout le temps que le plaidoyer n'est pas un événement, parce qu'on a toujours
00:05:11 tendance à le dire, mais le plaidoyer n'est pas un événement, mais c'est un process
00:05:15 où chaque jour, chaque mois, chaque année, on a toujours quelque chose à faire pour
00:05:20 sensibiliser et pour faire.
00:05:21 Parce qu'après, quand on parle de plaidoyer, c'est vraiment changer un système et changer
00:05:24 une loi.
00:05:25 Donc, c'est très important.
00:05:26 Et donc, aujourd'hui, l'activité de Empower ou l'activité de Femmes en marge fait partie
00:05:31 de ce process pour changer un système.
00:05:33 Moi, je t'appelle Tom.
00:05:34 Est-ce que le fait, donc, je me rappelle qu'Empower a organisé une conférence sur le féminicide,
00:05:38 ça a été un plan, donc, une réunie dans tout le pays, ils ont dit, et le pays Vaux-de-Saint-Denis.
00:05:43 Donc, féminicide, c'est, donc, la tue de la femme, de sa nature, parce qu'elle est
00:05:49 une femme.
00:05:50 Est-ce que le fait que ce terme ait été accepté, donc, les courants maintenant, les
00:05:56 courants, ça a aussi montré à la fois l'ampleur du problème, mais aussi un certain progrès
00:06:00 dans le combat contre la la la violence envers les femmes?
00:06:02 Oui, moi, je pense que c'est un terme vraiment important parce que le crime, donc, le crime
00:06:09 contre une femme, tuer une femme, c'est un crime invisible avant qu'il ne s'agisse
00:06:13 à terme là.
00:06:14 À terme là, c'est inventé, disons, en soixante-seize.
00:06:18 Mais ça regroupe aussi la question féminicide, ça regroupe la question, c'est pas simplement
00:06:23 si un homme peut tuer une femme, mais c'est aussi qui va le soutenir, qui va le supporter,
00:06:27 et comment le système peut empêcher ça, peut prévenir ça.
00:06:31 Et moi, je veux aussi rejoindre un petit peu ce que mon camarade a dit, un pari que nous
00:06:36 avons eu, ça a été, ça a colloqué une conférence, féminicide et violence domestique,
00:06:43 parce que féminicide, c'est pas simplement lié dans sa définition générale et large,
00:06:49 c'est pas simplement lié à la violence domestique, mais c'est aussi lié à c'est aussi lié
00:06:56 à toute forme de violence envers une femme, parce qu'il s'agit d'une femme et donc
00:07:01 qui a un moment que c'est la vie de la femme qui ça.
00:07:05 Et même si nous vous avions dit qu'il y a beaucoup de cas, donc, il y a un problème
00:07:08 de violence domestique qui des fois mène les débouches, les culmines dans certains
00:07:13 cas malheureusement, l'ON féminicide.
00:07:15 Et quand il y a de la violence domestique, on ne peut pas dire violence domestique de
00:07:20 conjoint, intimate, partenaire, on ne peut pas dire violence domestique dans le sens que
00:07:25 papa, tonton, famille, donc la grande, la grande famille aussi quoi.
00:07:29 C'est domestique relationship, on ne peut pas dire dans sa perspective là aussi.
00:07:33 D'accord?
00:07:34 Surtout quand on parle des enfants, des jeunes filles, parce qu'on nous cause violence contre
00:07:38 une madame, c'est pas, ce terme là, c'est violence envers les femmes et les filles.
00:07:43 Les deux c'est englober une fois que ça se pille là, en même temps.
00:07:47 Ok, donc moi je me rappelle qu'ils étaient pour faire une ou l'association euh femme
00:07:52 en mort c'est pour faire une conférence, le droit euh des des des femmes le 24 novembre
00:07:59 et les deux liés me trouvent un lien dans le sens que quand on connaît le droit, donc
00:08:05 des fois ça capable euh ça a l'impact, ça ou bien ça capable on pêche euh ça la
00:08:11 violence ou alors là, comment on peut dire donc une femme féminicide qui a qui a arrivé.
00:08:17 Oui justement, quand une madame qui connaît ce droit, qui connaît comment, qui les bien
00:08:20 faire quand il est dans les dans une situation qu'il peut faire face mais tout le temps
00:08:25 je dis des affaires, je crois que je suis d'accord avec moi euh quand une madame, il
00:08:29 peut faire face à une difficulté, sa premier moment là, peu importe qui qu'on se l'ait
00:08:33 éduqué, l'esprit bloqué.
00:08:34 C'est là qu'il commence à dire bien accompagnement, bien en communiquer comme
00:08:38 un peu plus de soutien, de pas de soutien, un besoin de conseil mais souvent des fois
00:08:44 on a trouvé euh bande madame de nos jours, surtout si je peux, je peux n'ai un soutien
00:08:48 financier donc je préfère baisser les bras, assiser, pas connaître qui peut faire, je
00:08:53 suis assis, je suis très sans place et du coup, pour avoir un avocat à l'écouter,
00:08:58 je dirais, OK, nous restons en place, on est pour faire mais c'est dans nos coins.
00:09:03 Mais c'est là à partir de là qui comment dire bon nous que de femmes en masse nous
00:09:08 disons nous on a envie de changer nos affaires.
00:09:09 Nous ne pouvons pas dire nous pouvons donner cadeau mais en même temps nous pouvons vraiment
00:09:13 empower la femme, comment, comment nous dire nous nous montrer les la piste, nous ne pouvons
00:09:18 pas donner ni pour ça mais nous montrer la piste, nous montrer les semaines droites, nous
00:09:21 montrer les comment, dans quelle direction les bisens, les qui les bisens faire dans
00:09:24 ce moment qui les fait qu'il y a une difficulté là.
00:09:26 Nous accompagner les bout en bout, ça veut dire dès le départ jusqu'à la fin.
00:09:32 C'est ça un peu comme si le but et justement par rapport à ces affaires qui nous fait
00:09:36 organiser le 24 là, c'est là nous peut donner madame l'occasion, venez ce jour là, que
00:09:40 vous êtes capable de poser votre question, mais pour et vous pouvez bénéficier de cet
00:09:45 un conseil légal cadeau et que vous pouvez bénéficier de cette aide-là, le discounted
00:09:51 rate.
00:09:52 Allez, tu veux rejoindre?
00:09:53 Oui, on veut rejoindre parce que dans Empower, on fait plus ou moins la même chose.
00:09:58 On veut une société côté de bien-être familial, donc nous regroupe ça beaucoup
00:10:02 plus large, sinon seulement on travaille pour madame aussi, on veut une société free from
00:10:07 violence, donc pas de violence, pas de discrimination.
00:10:10 Exactement.
00:10:11 Et pas d'inégalité, donc on travaille pour madame, pour les enfants et pour les citoyens
00:10:16 et aussi pour les messieurs parce que non plus, on va bien oublier que quand on cause
00:10:21 des violences, mais euh, il existait, il existait aussi.
00:10:26 Donc, euh, nous sommes à trois cent.
00:10:28 Est-ce que des fois euh, nous est tenu, nous est tenu euh, on va dire qu'il existe des
00:10:34 victimes de violences, on va dire que par contre, nous autres droits, il y en a pas de
00:10:37 madame, on peut penser qu'ils ont dit pour se voyager, ils ont permis son mari ou euh,
00:10:42 quelque part aussi, ils ont euh, sorti, ils ont fait des maris là d'accord, etc.
00:10:47 Donc, des fois, on peut être tenu qui a a a en deux-mille-vingt-trois, dimoune aussi
00:10:53 peu conscient de de de de droit.
00:10:56 Justement parce qu'on reconnaît que le droit n'est pas suffisant, mais dans une mesure
00:11:00 en place qui m'a aussi mais dans une structure en place qui m'a aussi euh, amène l'éducation
00:11:05 là dans l'école euh, au début de quitter violences, qu'ils aient abus, que ce soit
00:11:10 émotionnel, physique, euh, sexuel parce qu'il y en a beaucoup en vrai dans nos enfants
00:11:14 qui reste dans banne euh, famille toxique, qui vive sa violence là au quotidien et
00:11:19 pour eux, c'est une affaire normale qu'ils ont réussi de vivre et quand ils ont grandi,
00:11:22 ils ont trépidé de même affaire.
00:11:24 Il est pas euh, obligatoire qu'ils aient pourviné banne bourreau, mais il y a un soutien
00:11:29 euh, psychologique qui accompagne sa banne euh, dimoune là, sa banne famille là, qui
00:11:33 éduque eux pour rapport à violence et il y a aucun euh, ça vient banne femme qui est
00:11:39 vulnérable sur le terrain de banne pauvre de pauvreté, qui pas gaie accès à banne
00:11:44 réseaux sociaux, qui pas nécessairement pour écouter radio ou ça pour lire journal,
00:11:48 ben nous faisons la campagne sensibilisation mais il y a pas accès à sa banne femme là.
00:11:52 Et qu'il y a des mesures qu'il peut mettre en place ou ça qui est banne structure qu'il
00:11:56 mette en place mais il y a pas nécessairement répondre à réalité euh, sa banne femme
00:12:01 là ou solution qui devrait banner la PBZ dans cette époque là euh, comme je le dois
00:12:05 oui mais quand je peux guérir batté euh, il y a pas ouais, il y a pas suffisant.
00:12:09 Ça l'est là où on va l'évoquer.
00:12:10 Exactement, il y a pas suffisant.
00:12:11 Donc vous êtes à l'intégrité plus qui quand il peut guérir batté ben il y a en
00:12:15 vrai banne alternative, banne solution qui finit mettre en place qui euh, qui viable,
00:12:19 qui concret, qui euh, qui morsée donc peut-être en vrai à partir de là avec l'éducation
00:12:25 euh pas uniquement pour bannes enfants mais aussi en vrai l'éducation pour banne euh
00:12:29 famille aussi qui peut vivre là-dedans donc rééduquer les parents donc peut-être ça
00:12:34 il peut amener à diminution de banne violent de la société pour apport banne femme.
00:12:39 Euh, Radho euh, moi, moi j'ai vu un lien est-ce que, est-ce que vous pouvez nous dire
00:12:46 en tant que moi je suis pas spécialiste mais vous vous pouvez être spécialisé dans sur
00:12:49 le sujet est-ce que est-ce qu'il y a un lien entre connaître ses droits et justement ne
00:12:55 pas être ou ne plus être ou diminuer euh le fait d'être victime.
00:13:00 Exact oui parce que quand on parle de connaître ses droits on parle d'une responsabilisation
00:13:03 et le empowerment devient à ce moment là euh, une force enfin donc du coup les actions
00:13:09 par exemple de empower et devient une force pour qu'après on se dit ok on connaissant
00:13:15 ses droits on peut s'éloigner de quelque chose on peut dire oui d'accord je connais
00:13:18 la violence comment je peux justement m'éloigner de cette violence là mais tout ensemble tout
00:13:22 en parce qu'après quand on a des responsables, connaître ses droits nous donne une espèce
00:13:27 de responsabilisation mais qui engage en même temps toute une communauté et donc quand
00:13:31 on connaît ses droits on partage et puis c'est toute la communauté qui qui qui qui
00:13:36 travaille avec nous parce qu'après connaître ses droits c'est c'est pas juste dire ok
00:13:40 I know my rights and that's all period et que tout s'arrête là mais pour qu'après
00:13:46 la violence elle s'arrête on connaît ses droits on les partage on fait savoir ce qui
00:13:51 est autour et voilà c'est un choix et puis donc avec une tâche d'huile ça commence
00:14:00 avec sur un système de tâche d'huile donc ça ça ça fait un peu enfin ça ça fait
00:14:05 effet autour petit à petit.
00:14:07 Bon Xavier, au point de vue en tant qu'ex magistrate aussi.
00:14:14 Bon en tant qu'ex magistrate on trouve un cas, on donne un jugement, un cas de domestique
00:14:19 violence, on dit qu'il y a un cas là.
00:14:21 Ce qui est important c'est que et puis le travail social qu'il nous fait faire avec
00:14:25 l'ONG et comme avocate on a des victimes et tout ça.
00:14:30 Beaucoup de gens ne parlent pas de nos droits.
00:14:32 Qui madame, qui monsieur.
00:14:33 Mais il faut que madame discute avec madame.
00:14:34 Beaucoup de madame ne parlent pas de nous.
00:14:35 Nous on fait notre l'autre, nous on a cause problème monsieur mais là.
00:14:40 Et là on peut rejoindre ce que madame Corine nous dit c'est que il nous faut bien pour
00:14:46 autant c'est l'éducation.
00:14:47 A quel stage nous devons nous devons nous devons éduquer c'est quoi la violence?
00:14:54 C'est quoi le contrôle, le contrôle du comportement?
00:14:57 C'est quoi la coercion?
00:14:58 C'est quoi la violence psychologique?
00:15:00 C'est une éducation ça.
00:15:02 Nous ne sommes pas nés dans le monde et nous connaissons tout ça.
00:15:05 Donc c'est une éducation qu'il nous faut donner parce qu'il faut des victimes de reconnaître.
00:15:11 Beaucoup de victimes de violence.
00:15:13 Moi il y a une madame qui m'a rencontré dans la conférence.
00:15:16 Pendant 23 ans il y a une réception des victimes de violence psychologique, manipulation
00:15:22 etc.
00:15:23 Pendant 23 ans, l'église est fermée.
00:15:25 Si nous avons envie nous l'église est ouverte.
00:15:27 Il nous faut connaître, il nous faut éduquer les gens et moi je pense que c'est vrai que
00:15:31 c'est une éducation qui commence à l'école.
00:15:33 Donc éducation c'est quoi la violence et deuxième zéro tolérance sur la violence.
00:15:38 Donc comme Radopé a dit il nous faut connaître nos droits parce que quand on nous connaît
00:15:43 c'est quoi la violence et puis nous connaît comment nous devons faire pour prévenir
00:15:47 la violence.
00:15:48 Et quelles sont les mesures qu'il a dans la loi, dans le social, dans tout le système.
00:15:54 Dans le système et là nous devons prendre une décision.
00:15:58 La personne qui est victime elle a décidé non je ne vais pas aller subir ça, non je
00:16:03 vais briser les dents parce que c'est le grand plus grand truc que Dieu peut dire.
00:16:08 Il me fait des enfants qui vont arriver donc je vais rester, rester, rester.
00:16:12 Et tout ça là, tout ça là.
00:16:15 Du goulive toxique.
00:16:16 Oui et tout ça c'est donc, c'est ça que nous pouvons faire dans Empower.
00:16:20 Nous pouvons sensibiliser, nous sensibiliser aussi dans tous les 9 districts à Maurice.
00:16:24 Nous faisons un programme, un programme avec le National Women's Council de février jusqu'à
00:16:29 octobre.
00:16:30 Nous sensibilisons les madames, sont madame par district.
00:16:33 C'est un programme en accès, accès à la justice, accès à la loi.
00:16:38 En créole, on explique la loi en créole par les madames.
00:16:42 Mais l'association dit là, le truc, le problème c'est que madame qui est plus susceptible
00:16:47 d'être violentée, donc de souffrir de abus, mais madame elle travaille.
00:16:51 Donc on ne peut pas, on ne sait pas connait.
00:16:54 Donc je me pensais là, je me disais franchement les missions qu'on va faire c'est ça, c'est
00:16:57 ça, c'est peut-être euh, faire madame euh, conne de droit.
00:17:02 C'est, c'est important.
00:17:03 Corinne Camille, est-ce qu'il nous est capable de dire, nous passons maintenant à une série
00:17:06 de questions donc euh, peut-être on a une réponse assez courte.
00:17:10 Est-ce qu'il est-ce qu'il est-ce qu'il nous qu'a dire que la violence faite aux femmes,
00:17:14 donc la violence domestique et autres, les touche tout, toutes les couches sociales,
00:17:18 tout, tous les quartiers, donc contrairement à ce qu'il y a, il y a des moments où il
00:17:23 y a, il y a, il y a pensée, donc les touche, ça peut toucher tout le monde.
00:17:26 Bien sûr, parce que normalement la violence contre les femmes n'est pas uniquement violence
00:17:30 conjugale, c'est la violence de dans le poste de pauvreté.
00:17:33 Il y a aussi violence dans, dans le travail, dans le lieu de travail, il y a beaucoup de
00:17:38 femmes qui ont reçu bien euh, harcèlement, qui subit discrimination par rapport à d'autres
00:17:42 genres et c'est un sujet qui est assez tabou, qui n'est pas euh, voice out, qui euh, qui
00:17:49 n'est pas cause de l'aura, mais c'est, si on revient à une forme de, de violence,
00:17:52 il n'est pas nécessairement à cause euh, d'une certaine classe qui ne peut dire que
00:17:56 euh, sa bonne femme-là, elle est beaucoup plus vulnérable ou ça beaucoup plus euh,
00:18:00 sous euh, l'influence d'être victime, mais il, effectivement, on re-touche plusieurs,
00:18:06 plusieurs couches de la société, il y a aussi quelques-uns de violences par rapport
00:18:10 à un lieu public, il y a des femmes qui sont recelées, qui sont poursuivies et que c'est
00:18:15 si on ne fait pas euh, ne pas prendre attention, ça veut dire que vous allez euh, vous allez,
00:18:21 mais sans euh, prendre au sérieux et que c'est si.
00:18:25 Justement, vous pensez que ça fait une vilaine, une normale, vous ne vous enlevez pas.
00:18:30 Voilà.
00:18:31 Mais, mais, mais est-ce que le nombre de cas donc euh, aussi fait contribuer à euh, donc
00:18:36 poursuivre et nous prendre conscience euh, de ce problème?
00:18:38 On peut pas dire qu'il nous nous pas, tu prends conscience avant mais euh, par exemple, trois
00:18:42 cas, trois féminicides euh, le mois dernier, nous fin trouvés à dans un pays étranger
00:18:46 aussi, il y en a beaucoup de cas aussi, il y en a beaucoup euh, ça, ça, ça, ça, ça,
00:18:52 ça, c'est dans l'actualité, nous finons aussi un Mauritien donc parce qu'il se euh,
00:18:56 un qui qu'un, un c'était pas son compagnon, donc un jeune Mauritien qui est en France
00:19:01 et qui est euh, tu es sur les coups d'un d'un d'un est-ce que tout ça là fait une
00:19:07 permette donc réalise donc la la mon père pour dire ça mais la gravité euh, de sa
00:19:15 problème là.
00:19:16 Oui, il a raison, oui, il a raison, ça fait là, les les euh, les pavés graves de jour
00:19:21 en jour parce que comme on fait dire, ces ces femmes-là, les les les les les passées
00:19:26 dans la case, ils vont faire donc, on n'est pas pour bouger et du coup, les les les capables
00:19:30 de la fête fatale. Donc, c'est là que je te disais, bouger et là, c'est mon c'est
00:19:34 ça le but de femmes et que tu commences vraiment nous parler pour vous, nous parler pour vous
00:19:40 femmes, c'est femme, voilà, ouais, c'est femme en moi aussi. Mais si pour pour précision,
00:19:46 c'est là que nous nous disons, nous disons non mais si je peux faire face à une affaire,
00:19:51 it's time to voice out, je te disais, vienne de l'avant, cause parce que demain, je ne
00:19:55 suis pas capable de victime, ça m'a dit une victime de euh, récemment, peut-être
00:19:59 que comment dire, je ne partiens pas le moyen, soit pour manque d'éducation justement,
00:20:03 je dirais dans un coin et comment on fait faire le sorti à Mouchida euh, je te paie
00:20:09 la société, mon voisin qui peut dire, mon camarade qui peut dire, dimon qui peut dire
00:20:13 dans l'école qui pourrait arriver aux enfants. Et et et moi vous ajoute là que quand la
00:20:18 question qu'on me posait c'est que c'est pas que bonne femme d'un milieu social,
00:20:22 c'est pas que bonne femme d'un milieu social, c'est la femme dans tous les couches,
00:20:26 tous les couches sociales. Mais seulement dans certaines couches qui professionnelles,
00:20:29 etc. Je peux peut-être rebanner les autres moyens, soit je peux le divorcer, soit je
00:20:35 peux séparer, mais je peux pas les autres moyens pour son c'est là-dedans ou à cause
00:20:38 justement d'appartenir à une couche sociale et c'est ça que nous revenons à une société
00:20:41 nous une société patriarcale dans le spectrum de un à dix quand même nous l'environs
00:20:45 aussi sept de patriarquie quand même à Maurice hein et ça fait que femme là pour considérer
00:20:51 les enfants, les enfants, les situations qui peuvent arriver donc euh et le problème social
00:20:59 qui nous admet qu'il est là. Justement et tant qu'il nous peut dans une société patriarcale,
00:21:04 nous ne pouvons pas avancer. Et justement, même en récit euh par rapport à la féminicide
00:21:10 qui est arrivée cette année-là, on peut commencer à prendre conscience mais le débat
00:21:14 pour mettre la table sérieusement n'est pas là. Et aussi euh dans Maurice, c'est
00:21:21 ben citoyenne qui peut euh prendre l'initiative pour mettre un mis de conscience parce qu'il
00:21:28 est dans la rédésociation, il y a beaucoup de plateformes qui ont créé pour aider les
00:21:32 femmes ou ça pour euh euh ou ça pour motiver, pour encourager, mais c'est les femmes citoyennes
00:21:39 qui ont créé ça, ça va être une affaire là et que ça aussi a envrai créé sensibilisation
00:21:43 par rapport à ce sujet-là. Mais le débat important qui se posait mettre sur la table
00:21:49 n'est pas nécessairement là. Et c'est ça et c'est la raison pour laquelle qui
00:21:54 nous pense à quoi nous flagship. Pendant un an, nous pouvons faire beaucoup d'apparences,
00:21:59 nous pouvons faire beaucoup de nous pouvons attirer l'attention sur féminicide, c'est
00:22:03 pas une nouvelle affaire ça. Depuis l'année dernière, en mars, c'est quatre féminicides
00:22:07 dans un mois. Et de plus en plus, on peut remarquer que madame qui peut assassiner
00:22:12 par exemple conjoint, ex-conjoint ou en séparation, souvent, c'est bien en pleine journée et
00:22:17 c'est bien assassiné dans une place publique ou tentative d'assassinat de féminicide
00:22:21 par exemple. Donc d'abord, il faut nommer le problème parce que c'est pas nom le problème,
00:22:26 c'est un féminicide euh parce qu'il y a une quitte sa michelle là, les séparés
00:22:31 c'est parce que oui, exactement. C'est le truc qui fait que voilà. Et donc peut-être
00:22:39 donc dans la tête du monde, the male ego takes over whatever it is et donc en public. Donc
00:22:48 c'est aussi pas oublié, c'est un message donc à tout le monde dans la même situation
00:22:53 qui vive dans une frière. Aster, écoutez depuis vingt-cinq ans, on veut dans le domaine
00:22:57 domestique violence là. Quand tu peux faire session de sensibilisation à l'époque, tu
00:23:01 peux dire tu veux une décalote, tu veux battre, c'est ça. Maintenant, j'ai fait attention
00:23:04 à la situation. Donc, il faut pas rester dans la situation. trigger point grave. Mais
00:23:13 mais allez une question à l'avocate. Féminicide finit accepté le terme donc il finit beaucoup
00:23:18 enfin pas les mots banalisés donc tout le monde connaît c'est quoi? Est-ce que dans
00:23:24 la loi le le féminicide mais souvent nous connaît la loi. Il prévoit une sanction,
00:23:29 il prévoit une circonstance aggravante, etc. Mais est-ce qu'il est-ce qu'il euh. Il est
00:23:33 pas défini dans la loi. Il est pas défini dans la loi parce que c'est dans le code pénal
00:23:37 mais il y a un jugement qui est dans de la cause suprême que je ne prends en compte que
00:23:41 je ne vraiment euh explique et je ne définis euh féminicide. Par exemple, il y a un jugement
00:23:47 de juge euh Jean-Louis donc là-dedans il y en a quand même beaucoup de euh indications
00:23:54 qu'il donnait. Et après euh ce qu'il nous faisait réaliser c'est que nous faisons définition.
00:24:00 Donc, nous nous avons fait définir c'est quoi féminicide.
00:24:04 Donc, c'est ça la deuxième partie de ma question. Oui.
00:24:10 Dans nos dans nos
00:24:13 attention c'est aussi qui nous a attiré l'attention dans nos
00:24:17 recommandations qui nous mettaient c'est que dans la loi aussi il y a un
00:24:20 un section de code pénal section deux-huit-quatre-vingt-deux qui
00:24:23 sectionne l'adultère. Côte euh comme ça que si un un époux trouve
00:24:29 qu'il est un peu euh exoparamo mais ce crime qui est une femme là est plus excusable. En d'autres mots, on peut enlever le féminicide. C'est un crime passionnel. Mais c'est non attends, crime passionnel est passionnel quand même. Exactement. Et la loi c'est un quand même un un un instrument de de change social change. La loi n'est pas là pour les enlever pour commettre des crimes.
00:24:53 Donc, donc la loi tu peux avoir acceptable la loi et et nous pas d'accord, nous pensons qu'il est pas acceptable mais euh, à un certain époque révolution, donc je vous dis pas acceptable.
00:25:11 Un, un, un, oui donc
00:25:25 Donc, la langue qui peut présumer, madame là, comment dire, l'Issa, les parcours qui peuvent arriver. Alors, si il y a un certain patriarcat dans la loi, que maintenant quand même...
00:25:33 Tu vas me zoomer vers la loi à l'époque.
00:25:35 Voilà, on peut dire tout.
00:25:37 Non mais c'est vrai.
00:25:38 On peut dire tout, c'est ça quoi.
00:25:39 Oui, oui. Mais moi je trouve surtout, et pour rajouter à ce que disait Mokjida tout à l'heure, c'est qu'on devrait travailler sur une logistique où on devrait définir ce qui est un crime justement. Et donc, mais c'est un crime le féminicide.
00:25:50 C'est vrai que c'est vrai.
00:25:51 Je dois préciser que vous êtes aussi légiste, avocat, donc vous pratiquez en Afrique du Sud, mais donc vous êtes...
00:25:57 Exact, oui. Et donc, c'est parce qu'après aujourd'hui, il y a absence de définition d'un crime que justement, on a tendance à oublier ou de pénaliser ce crime-là.
00:26:10 Et donc aujourd'hui, je pense que comme dans toutes les autres lois des autres états africains, il y a une absence de définition. Par exemple, à Madagascar, il faut dire que le viol est absent, la définition du viol est absent dans le code pénal.
00:26:22 Donc aujourd'hui, il faut toujours, il faut s'en remettre au juge de dire, OK, est-ce que c'est un viol ou pas ?
00:26:27 Donc, c'est vraiment un exemple de travailler sur la logistique pour dire, OK, d'accord, comment la personne qui va écrire les lois maintenant va travailler sur ça.
00:26:36 Mais définir, parce que c'est urgent, c'est très important de définir un crime avant de pouvoir...
00:26:41 Exactement.
00:26:43 Allez, voilà, donc il est 18h, nous pouvons organiser une pause pour le top horaire et après, nous voyons le psychologue Krishna Sibalek au téléphone.
00:26:52 Mon rappel est qu'il nous précoce de la violence faite aux femmes. Mon rappel est aussi que le 25 novembre, c'est la journée internationale, la journée mondiale pour l'élimination de ce type de violence, donc de la violence envers les femmes.
00:27:07 Nous marquons une pause, nous retrouverons vous dans quelques secondes.
00:27:10 [Musique]
00:27:13 [Musique]
00:27:15 [Musique]
00:27:43 [Musique]
00:27:46 [Musique]
00:27:48 sous-titres réalisés par la communauté d'Amara.org
00:27:51 Le laboratoire de la République de l'Ontario
00:27:54 a été créé en 2013
00:27:57 pour la première fois
00:28:00 en tant qu'organisation de la République.
00:28:03 Le laboratoire a été créé
00:28:06 pour la première fois
00:28:09 en tant qu'organisation de la République.
00:28:12 Le laboratoire a été créé
00:28:15 pour la première fois
00:28:18 en tant qu'organisation de la République.
00:28:21 Le laboratoire médical Procare
00:28:24 propose un service à domicile
00:28:27 pour des prises de sang à travers l'île
00:28:30 et dans nos points de collecte
00:28:33 à Forestside, Ocoulé, Menil et Larosa.
00:28:36 Nous proposons aussi un test général
00:28:39 à partir de 750 roupies
00:28:42 avec des résultats bien détaillés et précis
00:28:45 pour les personnes qui ont besoin de l'aide.
00:28:48 Le laboratoire a été créé
00:28:51 pour la première fois
00:28:54 en tant qu'organisation de la République.
00:28:57 Le laboratoire médical Procare
00:29:00 propose un service à partir de 750 roupies
00:29:03 avec des résultats bien détaillés et précis
00:29:06 avec des résultats bien détaillés
00:29:09 et précis
00:29:12 pour les personnes qui ont besoin de l'aide.
00:29:15 Le laboratoire médical Procare
00:29:18 propose un service à partir de 750 roupies
00:29:21 avec des résultats bien détaillés et précis
00:29:24 avec des résultats bien détaillés et précis
00:29:27 et avec des résultats bien détaillés et précis.
00:29:31 [Musique]
00:29:34 [Applaudissements]
00:29:37 [Musique]
00:29:40 [Applaudissements]
00:29:43 [Musique]
00:29:46 [Applaudissements]
00:29:49 [Musique]
00:29:52 [Applaudissements]
00:29:55 [Musique]
00:29:58 [Applaudissements]
00:30:01 [Musique]
00:30:04 [Applaudissements]
00:30:07 [Musique]
00:30:10 [Musique]
00:30:13 [Applaudissements]
00:30:16 [Musique]
00:30:19 [Musique]
00:30:22 [Applaudissements]
00:30:25 [Musique]
00:30:28 euh, novembre, nous on est là,
00:30:34 la journaliste, l'activiste,
00:30:41 euh, monsieur euh, radio à
00:30:46 donc spécialisé dans la
00:30:49 promotion et la protection des
00:30:50 droits humains à Madagascar.
00:30:53 Nous euh, rappelons-nous à
00:30:54 partir de dix-quatre-trente euh,
00:30:55 deux-cinq-sept-deux-cent-treize,
00:31:00 sept-sept-sept-sept-sept et aussi
00:31:00 nous avons tous suivi Facebook.
00:31:06 Si la régie n'a pas fait si nous
00:31:06 n'a pas en ligne? Non. OK, la
00:31:11 régie euh, une chose euh, à deux.
00:31:12 Oui. Je vois que euh, donc, il
00:31:15 faut aussi dire que le féminicide
00:31:16 est un problème universel. Selon
00:31:18 cet un chiffre, on voit que deux
00:31:20 des continents, deux des régions
00:31:22 les plus touchés donc euh, où on
00:31:25 parle de femmes victimes euh,
00:31:28 des enfin de meurtre euh, donc
00:31:31 on parle d'Asie et d'Afrique.
00:31:33 L'Asie en premier et Afrique en
00:31:35 second. L'Asie et puis l'Afrique
00:31:36 oui parce qu'après en Asie donc
00:31:37 on a presque on a ce qu'on on
00:31:38 appelle le crime d'honneur donc
00:31:40 du coup c'est quelque chose de
00:31:41 très très récurrent et qui qui
00:31:43 qui se passe beaucoup en Afrique
00:31:45 ici parce que on a du mal à
00:31:47 justement à redéfinir, à mettre
00:31:49 un mot sur ce qu'on appelle le
00:31:50 féminicide. Et aujourd'hui quand
00:31:51 on parle de l'Afrique,
00:31:52 l'Afrique du Sud aujourd'hui est
00:31:53 un des cas les plus récents du
00:31:55 du féminicide que chaque jour
00:31:58 aujourd'hui on entend euh, un
00:32:00 meurtre à par-ci par-là, on
00:32:01 entend un meurtre à Johannesburg,
00:32:03 on a un meurtre par-ci par-là,
00:32:04 à Cape Town, deux femmes, donc
00:32:07 un féminicide. Quoi qu'il en
00:32:08 soit, la loi je je peux dire
00:32:10 aujourd'hui que la loi
00:32:11 sud-africaine est très solide en
00:32:12 matière de protection des
00:32:14 droits de la personne. Sauf
00:32:16 qu'aujourd'hui il y a encore.
00:32:17 Donc aujourd'hui enfin la leçon
00:32:19 à prendre c'est que même dans
00:32:21 les systèmes les plus solides,
00:32:22 on a toujours des meurtres.
00:32:23 Donc aujourd'hui qu'est-ce qui
00:32:24 se passe dans les pays où on a
00:32:26 même pas de définition sur sur
00:32:28 des cas comme le féminicide.
00:32:29 Donc c'est c'est c'est c'est
00:32:30 c'est une matière à réflexion
00:32:32 où se dire aujourd'hui d'accord
00:32:33 euh, il y a toujours quelque
00:32:35 chose à améliorer en termes de
00:32:37 de légifération de de comptant
00:32:38 légifère. Et donc euh,
00:32:40 aujourd'hui par exemple,
00:32:41 l'Afrique du Sud a commencé à
00:32:43 à à à faire une réforme sur
00:32:46 euh, sur la loi et qui
00:32:48 justement euh, autorise le le
00:32:50 le le droit de la vie humaine
00:32:53 sur toutes les personnes qui
00:32:55 sont euh, jugées euh, enfin
00:32:58 présumés euh, pour justement
00:33:02 euh, enclencher des des
00:33:03 poursuites contre des poursuites
00:33:04 pénales contre ces personnes.
00:33:05 Allez. Le psychologue Christian
00:33:08 C'est bon après-midi ou bon
00:33:11 soir. Bonsoir. Euh, voilà donc
00:33:14 merci que vous pouvez venir
00:33:15 rejoindre nous. Euh, avant de
00:33:16 poser ma première question,
00:33:17 donc moi tu peux envier
00:33:20 l'inviter à la table.
00:33:23 Euh,
00:33:25 euh,
00:33:28 situation d'abus, d'une
00:33:31 situation
00:33:34 réalisées. Donc est-ce qu'ils
00:33:38 confirment ça donc?
00:33:38 confirment ça donc?
00:33:38 confirment ça donc? Oui oui.
00:33:42 Oui oui. Oui oui. Oui oui.
00:33:44 Oui oui. Très bien. Oui bon
00:33:47 déjà bonsoir à tous les
00:33:48 spectateurs et euh, moi
00:33:51 certainement les étudiants
00:33:52 désolés certainement me
00:33:54 confirme ça enfin c'est c'est
00:33:57 tout à fait vrai pour tout
00:33:59 simplement vous savez la
00:34:01 confiance en soi et ça c'est
00:34:04 une affaire que souvent
00:34:07 arrivée une victime une
00:34:10 finie dans sa victime là moi
00:34:12 un peu comment ça se passe
00:34:15 là?
00:34:18 ce monsieur ou ce madame
00:34:21 point fort et point faible.
00:34:24 point fort et point faible.
00:34:27 point faible là. Dans ce
00:34:30 faveur. Des fois quand il a
00:34:33 une situation qui est capable
00:34:36 euh, à la faute et pour que
00:34:39 l'affaire là, l'élément de la
00:34:40 conversation pour montrer que
00:34:41 non, c'est pas moi, c'est vous
00:34:42 et ça blâme là, l'autre
00:34:45 personne là, il connaît
00:34:46 comment pour changer, pour
00:34:48 montrer que la personne tout le
00:34:50 temps disant tout jamais, moi
00:34:52 mon tour dit tout le temps
00:34:54 tout. Alors, c'est à chaque
00:34:56 fois que pas une fois, il dit
00:34:58 ça, ça processe sa vie, ça
00:34:59 processe sa vie. Il répétait
00:35:01 souvent que de la personne en
00:35:04 question, il peut commencer
00:35:05 euh, des fois, il peut
00:35:06 commencer à dire, OK, capable
00:35:08 de retenir la raison, quitte à
00:35:09 moi-même, mon tour. C'est là
00:35:11 que la personne dit, OK, mais
00:35:13 au final, c'est moi-même en
00:35:14 tour, moi-même à cause moi-même
00:35:16 qui pique en discussion, à
00:35:17 cause moi-même qui pique en
00:35:18 l'arguer, à cause moi-même, ça
00:35:19 coupe là, peut casser, vous
00:35:20 voyez? Alors, c'est une façon
00:35:22 de contrôler l'autre, l'autre
00:35:24 partenaire, dans une façon,
00:35:26 d'une autre, que tu fais lui
00:35:27 croire qu'il lui-même, qui en
00:35:29 tour, lui-même, qui tout le
00:35:31 temps, peut agacer, peut, peut,
00:35:33 peut, peut, crasser, ça coupe
00:35:34 là. Et c'est là que on voit
00:35:36 que, voilà, malgré que la
00:35:38 personne n'est capable d'un
00:35:39 soutien financier, n'est capable
00:35:41 d'un accueil à côté, n'est
00:35:42 capable d'un travail, mais
00:35:44 l'épatantie dit, faut assez
00:35:46 pour pouvoir sortir de cette
00:35:47 relation-là. Et définitivement,
00:35:50 bien sûr, comme un ou deux
00:35:52 collaborateurs m'ont mentionné,
00:35:54 et c'est société qui vous
00:35:56 dit, écoutez, si on ne peut
00:35:58 que casser la tête avec
00:35:59 société, et du coup, au final,
00:36:01 c'est, vous sentez-vous un bon
00:36:03 à rien, vous sentez-vous qu'il
00:36:05 n'y a pas pour rien, vous
00:36:06 sentez-vous que vous préférez
00:36:07 vivre une vie mortarisée et
00:36:09 tant que des fois, vous faites
00:36:10 du bien ou du mal, une partie
00:36:12 de la société, du coup, juge ou
00:36:14 même d'une façon négative.
00:36:15 - Mais, mais une situation
00:36:16 comme ça capable de durer des
00:36:17 années, Christian Cibale?
00:36:18 - Durer des années, oui, oui,
00:36:20 oui, certainement. Vous savez,
00:36:22 c'est pour ça que je vous dis
00:36:24 qu'il y a un processus. Ça se
00:36:25 passe pendant quelques jours,
00:36:27 et il y a un bon moment qui
00:36:29 est arrivé au début quand la
00:36:31 victime en question, du coup,
00:36:33 a été convaincue parce que,
00:36:35 vous savez, c'est un individu
00:36:37 qui peut manipuler, il le
00:36:39 connaît, c'est pour ça que je
00:36:41 vous dis, il ne connaît pas
00:36:43 un faux et pas un faible. Il
00:36:45 connaît comment il est dans la
00:36:47 recherche, il connaît comment
00:36:49 il est dans une coco, il peut
00:36:51 faire quoi, où il a le contrôle.
00:36:53 Mais au final, c'est moi, en
00:36:55 tant que cet individu qui a
00:36:57 envie de contrôler, moi qui
00:36:59 peux manipuler, moi qui peux
00:37:02 montrer que ça c'est vrai, ça
00:37:04 c'est vrai, ça c'est vrai, ça
00:37:06 c'est vrai. Donc, c'est ça,
00:37:08 c'est pour ça que je vous dis
00:37:10 que c'est une bonne relation
00:37:12 extraconjugale. Là, moi, je
00:37:14 fais référence à une relation
00:37:16 extraconjugale, là, je fais
00:37:18 référence à des parents qui
00:37:20 sont bons, qui se retirent de
00:37:22 la société. Ça veut dire qu'il y
00:37:24 a des gens qui, en tant que
00:37:26 victime, qui ont des amis,
00:37:28 qui ont des familles, des
00:37:30 cousins, des cousines, qui
00:37:32 ont des amis, qui ont des
00:37:34 amis, qui ont des amis, qui ont
00:37:36 des amis, qui ont des amis, qui
00:37:38 ont des amis, qui ont des amis.
00:37:40 Et puis, on a des gens qui
00:37:42 sont bons, qui sont très bons,
00:37:44 qui sont très bons, qui ont des
00:37:46 amis, qui ont des amis, qui ont
00:37:48 des amis. Et puis, on a des
00:37:50 gens qui sont bons, qui ont des
00:37:52 amis, qui ont des amis, qui ont
00:37:54 des amis. Et puis, on a des
00:37:56 gens qui sont bons, qui ont des
00:37:58 amis, qui ont des amis, qui ont
00:38:00 des amis. Et puis, on a des
00:38:02 gens qui sont bons, qui ont des
00:38:04 amis. Et puis, on a des gens
00:38:06 qui sont bons, qui ont des amis.
00:38:08 Et puis, on a des gens qui sont
00:38:10 bons, qui ont des amis. Et puis,
00:38:12 on a des gens qui sont bons, qui
00:38:14 ont des amis. Et puis, on a des
00:38:16 gens qui sont bons, qui ont des
00:38:18 amis. Et puis, on a des gens
00:38:20 qui sont bons, qui ont des amis.
00:38:22 Et puis, on a des gens qui sont
00:38:24 bons, qui ont des amis. Et puis,
00:38:26 on a des gens qui sont bons, qui
00:38:28 ont des amis. Et puis, on a des
00:38:30 gens qui sont bons, qui ont des
00:38:32 amis. Et puis, on a des gens qui
00:38:34 sont bons, qui ont des amis. Et
00:38:36 puis, on a des gens qui sont
00:38:38 bons, qui ont des amis. Et puis,
00:38:40 on a des gens qui sont bons, qui
00:38:42 ont des amis. Et puis, on a des
00:38:44 gens qui sont bons, qui ont des
00:38:46 amis. Et puis, on a des gens qui
00:38:48 sont bons, qui ont des amis. Et
00:38:50 puis, on a des gens qui sont
00:38:52 bons, qui ont des amis. Et puis,
00:38:54 on a des gens qui sont bons, qui
00:38:56 ont des amis. Et puis, on a des
00:38:58 gens qui sont bons, qui ont des
00:39:00 amis. Et puis, on a des gens qui
00:39:02 sont bons, qui ont des amis. Et
00:39:04 puis, on a des gens qui sont
00:39:06 bons, qui ont des amis. Et puis,
00:39:08 on a des gens qui sont bons, qui
00:39:10 ont des amis. Et puis, on a des
00:39:12 gens qui sont bons, qui ont des
00:39:14 amis. Et puis, on a des gens qui
00:39:16 sont bons, qui ont des amis. Et
00:39:18 puis, on a des gens qui sont bons,
00:39:20 qui ont des amis. Et puis, on a
00:39:22 des gens qui sont bons, qui ont
00:39:24 des amis. Et puis, on a des gens
00:39:26 qui sont bons, qui ont des amis.
00:39:28 Et puis, on a des gens qui sont
00:39:30 bons, qui ont des amis. Et puis,
00:39:32 on a des gens qui sont bons, qui
00:39:34 ont des amis. Et puis, on a des
00:39:36 gens qui sont bons, qui ont des
00:39:38 amis. Et puis, on a des gens qui
00:39:40 sont bons, qui ont des amis. Et
00:39:42 puis, on a des gens qui sont bons,
00:39:44 qui ont des amis. Et puis, on a
00:39:46 des gens qui sont bons, qui ont
00:39:48 des amis. Et puis, on a des gens
00:39:50 qui sont bons, qui ont des amis.
00:39:52 Et puis, on a des gens qui sont
00:39:54 bons, qui ont des amis. Et puis,
00:39:56 on a des gens qui sont bons, qui
00:39:58 ont des amis. Et puis, on a des
00:40:00 gens qui sont bons, qui ont des
00:40:02 amis. Et puis, on a des gens qui
00:40:04 sont bons, qui ont des amis. Et
00:40:06 puis, on a des gens qui sont bons,
00:40:08 qui ont des amis. Et puis, on a
00:40:10 des gens qui sont bons, qui ont
00:40:12 des amis. Et puis, on a des gens
00:40:14 qui sont bons, qui ont des amis.
00:40:16 Et puis, on a des gens qui sont
00:40:18 bons, qui ont des amis. Et puis,
00:40:20 on a des gens qui sont bons, qui
00:40:22 ont des amis. Et puis, on a des
00:40:24 gens qui sont bons, qui ont des
00:40:26 amis. Et puis, on a des gens qui
00:40:28 sont bons, qui ont des amis. Et
00:40:30 puis, on a des gens qui sont bons,
00:40:32 qui ont des amis. Et puis, on a
00:40:34 des gens qui sont bons, qui ont
00:40:36 des amis. Et puis, on a des gens
00:40:38 qui sont bons, qui ont des amis.
00:40:40 Et puis, on a des gens qui sont
00:40:42 bons, qui ont des amis. Et puis,
00:40:44 on a des gens qui sont bons, qui
00:40:46 ont des amis. Et puis, on a des
00:40:48 gens qui sont bons, qui ont des
00:40:50 amis. Et puis, on a des gens qui
00:40:52 sont bons, qui ont des amis. Et
00:40:54 puis, on a des gens qui sont bons,
00:40:56 qui ont des amis. Et puis, on a
00:40:58 des gens qui sont bons, qui ont
00:41:00 des amis. Et puis, on a des gens
00:41:02 qui sont bons, qui ont des amis.
00:41:04 Et puis, on a des gens qui sont
00:41:06 bons, qui ont des amis. Et puis,
00:41:08 on a des gens qui sont bons, qui
00:41:10 ont des amis. Et puis, on a des
00:41:12 gens qui sont bons, qui ont des
00:41:14 amis. Et puis, on a des gens qui
00:41:16 sont bons, qui ont des amis. Et
00:41:18 puis, on a des gens qui sont
00:41:20 bons, qui ont des amis. Et puis,
00:41:22 on a des gens qui sont bons, qui
00:41:24 ont des amis. Et puis, on a des
00:41:26 gens qui sont bons, qui ont des
00:41:28 amis. Et puis, on a des gens qui
00:41:30 sont bons, qui ont des amis. Et
00:41:32 puis, on a des gens qui sont bons,
00:41:34 qui ont des amis. Et puis, on a
00:41:36 des gens qui sont bons, qui ont
00:41:38 des amis. Et puis, on a des gens
00:41:40 qui sont bons, qui ont des amis.
00:41:42 Et puis, on a des gens qui sont
00:41:44 bons, qui ont des amis. Et puis,
00:41:46 on a des gens qui sont bons, qui
00:41:48 ont des amis. Et puis, on a des
00:41:50 gens qui sont bons, qui ont des
00:41:52 amis. Et puis, on a des gens qui
00:41:54 sont bons, qui ont des amis. Et
00:41:56 puis, on a des gens qui sont
00:41:58 bons, qui ont des amis. Et puis,
00:42:00 on a des gens qui sont bons, qui
00:42:02 ont des amis. Et puis, on a des
00:42:04 gens qui sont bons, qui ont des
00:42:06 amis. Et puis, on a des gens qui
00:42:08 sont bons, qui ont des amis. Et
00:42:10 puis, on a des gens qui sont bons,
00:42:12 qui ont des amis. Et puis, on a
00:42:14 des gens qui sont bons, qui ont
00:42:16 des amis. Et puis, on a des gens
00:42:18 qui sont bons, qui ont des amis.
00:42:20 Et puis, on a des gens qui sont
00:42:22 bons, qui ont des amis. Et puis,
00:42:24 on a des gens qui sont bons, qui
00:42:26 ont des amis. Et puis, on a des
00:42:28 gens qui sont bons, qui ont des
00:42:30 amis. Et puis, on a des gens qui
00:42:32 sont bons, qui ont des amis. Et
00:42:34 puis, on a des gens qui sont
00:42:36 bons, qui ont des amis. Et puis,
00:42:38 on a des gens qui sont bons, qui
00:42:40 ont des amis. Et puis, on a des
00:42:42 gens qui sont bons, qui ont des
00:42:44 amis. Et puis, on a des gens qui
00:42:46 sont bons, qui ont des amis. Et
00:42:48 puis, on a des gens qui sont bons,
00:42:50 qui ont des amis. Et puis, on a
00:42:52 des gens qui sont bons, qui ont
00:42:54 des amis. Et puis, on a des
00:42:56 gens qui sont bons, qui ont des
00:42:58 amis. Et puis, on a des gens qui
00:43:00 sont bons, qui ont des amis. Et
00:43:02 puis, on a des gens qui sont bons,
00:43:04 qui ont des amis. Et puis, on a
00:43:06 des gens qui sont bons, qui ont
00:43:08 des amis. Et puis, on a des gens
00:43:10 qui sont bons, qui ont des amis.
00:43:12 Et puis, on a des gens qui sont
00:43:14 bons, qui ont des amis. Et puis,
00:43:16 on a des gens qui sont bons, qui
00:43:18 ont des amis. Et puis, on a des
00:43:20 gens qui sont bons, qui ont des
00:43:22 amis. Et puis, on a des gens qui
00:43:24 sont bons, qui ont des amis. Et
00:43:26 puis, on a des gens qui sont bons,
00:43:28 qui ont des amis. Et puis, on a
00:43:30 des gens qui sont bons, qui ont
00:43:32 des amis. Et puis, on a des gens
00:43:34 qui sont bons, qui ont des amis.
00:43:36 Et puis, on a des gens qui sont
00:43:38 bons, qui ont des amis. Et puis,
00:43:40 on a des gens qui sont bons, qui
00:43:42 ont des amis. Et puis, on a des
00:43:44 gens qui sont bons, qui ont des
00:43:46 amis. Et puis, on a des gens qui
00:43:48 sont bons, qui ont des amis. Et
00:43:50 puis, on a des gens qui sont bons,
00:43:52 qui ont des amis. Et puis, on a
00:43:54 des gens qui sont bons, qui ont
00:43:56 des amis. Et puis, on a des gens
00:43:58 qui sont bons, qui ont des amis.
00:44:00 Et puis, on a des gens qui sont
00:44:02 bons, qui ont des amis. Et puis,
00:44:04 on a des gens qui sont bons, qui
00:44:06 ont des amis. Et puis, on a des
00:44:08 gens qui sont bons, qui ont des
00:44:10 amis. Et puis, on a des gens qui
00:44:12 sont bons, qui ont des amis. Et
00:44:14 puis, on a des gens qui sont bons,
00:44:16 qui ont des amis. Et puis, on a
00:44:18 des gens qui sont bons, qui ont
00:44:20 des amis. Et puis, on a des
00:44:22 gens qui sont bons, qui ont des
00:44:24 amis. Et puis, on a des gens qui
00:44:26 sont bons, qui ont des amis. Et
00:44:28 puis, on a des gens qui sont bons,
00:44:30 qui ont des amis. Et puis, on a
00:44:32 des gens qui sont bons, qui ont
00:44:34 des amis. Et puis, on a des gens
00:44:36 qui sont bons, qui ont des amis.
00:44:38 Et puis, on a des gens qui sont
00:44:40 bons, qui ont des amis. Et puis,
00:44:42 on a des gens qui sont bons, qui
00:44:44 ont des amis. Et puis, on a des
00:44:46 gens qui sont bons, qui ont des
00:44:48 amis. Et puis, on a des gens qui
00:44:50 sont bons, qui ont des amis. Et
00:44:52 puis, on a des gens qui sont
00:44:54 bons, qui ont des amis. Et puis,
00:44:56 on a des gens qui sont bons, qui
00:44:58 ont des amis. Et puis, on a des
00:45:00 gens qui sont bons, qui ont des
00:45:02 amis. Et puis, on a des gens qui
00:45:04 sont bons, qui ont des amis. Et
00:45:06 puis, on a des gens qui sont
00:45:08 bons, qui ont des amis. Et puis,
00:45:10 on a des gens qui sont bons, qui
00:45:12 ont des amis. Et puis, on a des
00:45:14 gens qui sont bons, qui ont des
00:45:16 amis. Et puis, on a des gens qui
00:45:18 sont bons, qui ont des amis. Et
00:45:20 puis, on a des gens qui sont
00:45:22 bons, qui ont des amis. Et puis,
00:45:24 on a des gens qui sont bons, qui
00:45:26 ont des amis. Et puis, on a des
00:45:28 gens qui sont bons, qui ont des
00:45:30 amis. Et puis, on a des gens qui
00:45:32 sont bons, qui ont des amis. Et
00:45:34 puis, on a des gens qui sont
00:45:36 bons, qui ont des amis. Et puis,
00:45:38 on a des gens qui sont bons, qui
00:45:40 ont des amis. Et puis, on a des
00:45:42 gens qui sont bons, qui ont des
00:45:44 amis. Et puis, on a des gens qui
00:45:46 sont bons, qui ont des amis. Et
00:45:48 puis, on a des gens qui sont bons,
00:45:50 qui ont des amis. Et puis, on a
00:45:52 des gens qui sont bons, qui ont
00:45:54 des amis. Et puis, on a des
00:45:56 gens qui sont bons, qui ont des
00:45:58 amis. Et puis, on a des gens qui
00:46:00 sont bons, qui ont des amis. Et
00:46:02 puis, on a des gens qui sont
00:46:04 bons, qui ont des amis. Et puis,
00:46:06 on a des gens qui sont bons, qui
00:46:08 ont des amis. Et puis, on a des
00:46:10 gens qui sont bons, qui ont des
00:46:12 amis. Et puis, on a des gens qui
00:46:14 sont bons, qui ont des amis. Et
00:46:16 puis, on a des gens qui sont
00:46:18 bons, qui ont des amis. Et puis,
00:46:20 on a des gens qui sont bons, qui
00:46:22 ont des amis. Et puis, on a des
00:46:24 gens qui sont bons, qui ont des
00:46:26 amis. Et puis, on a des gens qui
00:46:28 sont bons, qui ont des amis. Et
00:46:30 puis, on a des gens qui sont
00:46:32 bons, qui ont des amis. Et puis,
00:46:34 on a des gens qui sont bons, qui
00:46:36 ont des amis. Et puis, on a des
00:46:38 gens qui sont bons, qui ont des
00:46:40 amis. Et puis, on a des gens qui
00:46:42 sont bons, qui ont des amis. Et
00:46:44 puis, on a des gens qui sont bons,
00:46:46 qui ont des amis. Et puis, on a
00:46:48 des gens qui sont bons, qui ont
00:46:50 des amis. Et puis, on a des gens
00:46:52 qui sont bons, qui ont des amis.
00:46:54 Et puis, on a des gens qui sont
00:46:56 bons, qui ont des amis. Et puis,
00:46:58 on a des gens qui sont bons, qui
00:47:00 ont des amis. Et puis, on a des
00:47:02 gens qui sont bons, qui ont des
00:47:04 amis. Et puis, on a des gens qui
00:47:06 sont bons, qui ont des amis. Et
00:47:08 puis, on a des gens qui sont bons,
00:47:10 qui ont des amis. Et puis, on a
00:47:12 des gens qui sont bons, qui ont
00:47:14 des amis. Et puis, on a des gens
00:47:16 qui sont bons, qui ont des amis.
00:47:18 Et puis, on a des gens qui sont
00:47:20 bons, qui ont des amis. Et puis,
00:47:22 on a des gens qui sont bons, qui
00:47:24 ont des amis. Et puis, on a des
00:47:26 gens qui sont bons, qui ont des
00:47:28 amis. Et puis, on a des gens qui
00:47:30 sont bons, qui ont des amis. Et
00:47:32 puis, on a des gens qui sont
00:47:34 bons, qui ont des amis. Et puis,
00:47:36 on a des gens qui sont bons, qui
00:47:38 ont des amis. Et puis, on a des
00:47:40 gens qui sont bons, qui ont des
00:47:42 amis. Et puis, on a des gens qui
00:47:44 sont bons, qui ont des amis. Et
00:47:46 puis, on a des gens qui sont bons,
00:47:48 qui ont des amis. Et puis, on a
00:47:50 des gens qui sont bons, qui ont
00:47:52 des amis. Et puis, on a des gens
00:47:54 qui sont bons, qui ont des amis.
00:47:56 Et puis, on a des gens qui sont
00:47:58 bons, qui ont des amis. Et puis,
00:48:00 on a des gens qui sont bons, qui
00:48:02 ont des amis. Et puis, on a des
00:48:04 gens qui sont bons, qui ont des
00:48:06 amis. Et puis, on a des gens qui
00:48:08 sont bons, qui ont des amis. Et
00:48:10 puis, on a des gens qui sont bons,
00:48:12 qui ont des amis. Et puis, on a
00:48:14 des gens qui sont bons, qui ont
00:48:16 des amis. Et puis, on a des gens
00:48:18 qui sont bons, qui ont des amis.
00:48:20 Et puis, on a des gens qui sont
00:48:22 bons, qui ont des amis. Et puis,
00:48:24 on a des gens qui sont bons, qui
00:48:26 ont des amis. Et puis, on a des
00:48:28 gens qui sont bons, qui ont des
00:48:30 amis. Et puis, on a des gens qui
00:48:32 sont bons, qui ont des amis. Et
00:48:34 puis, on a des gens qui sont bons,
00:48:36 qui ont des amis. Et puis, on a
00:48:38 des gens qui sont bons, qui ont
00:48:40 des amis. Et puis, on a des gens
00:48:42 qui sont bons, qui ont des amis.
00:48:44 Et puis, on a des gens qui sont
00:48:46 bons, qui ont des amis. Et puis,
00:48:48 on a des gens qui sont bons, qui
00:48:50 ont des amis. Et puis, on a des
00:48:52 gens qui sont bons, qui ont des
00:48:54 amis. Et puis, on a des gens qui
00:48:56 sont bons, qui ont des amis. Et
00:48:58 puis, on a des gens qui sont bons,
00:49:00 qui ont des amis. Et puis, on a
00:49:02 des gens qui sont bons, qui ont
00:49:04 des amis. Et puis, on a des gens
00:49:06 qui sont bons, qui ont des amis.
00:49:08 Et puis, on a des gens qui sont
00:49:10 bons, qui ont des amis. Et puis,
00:49:12 on a des gens qui sont bons, qui
00:49:14 ont des amis. Et puis, on a des
00:49:16 gens qui sont bons, qui ont des
00:49:18 amis. Et puis, on a des gens qui
00:49:20 sont bons, qui ont des amis. Et
00:49:22 puis, on a des gens qui sont bons,
00:49:24 qui ont des amis. Et puis, on a
00:49:26 des gens qui sont bons, qui ont
00:49:28 des amis. Et puis, on a des gens
00:49:30 qui sont bons, qui ont des amis.
00:49:32 Et puis, on a des gens qui sont
00:49:34 bons, qui ont des amis. Et puis,
00:49:36 on a des gens qui sont bons, qui
00:49:38 ont des amis. Et puis, on a des
00:49:40 gens qui sont bons, qui ont des
00:49:42 amis. Et puis, on a des gens qui
00:49:44 sont bons, qui ont des amis. Et
00:49:46 puis, on a des gens qui sont bons,
00:49:48 qui ont des amis. Et puis, on a
00:49:50 des gens qui sont bons, qui ont
00:49:52 des amis. Et puis, on a des gens
00:49:54 qui sont bons, qui ont des amis.
00:49:56 Et puis, on a des gens qui sont
00:49:58 bons, qui ont des amis. Et puis,
00:50:00 on a des gens qui sont bons, qui
00:50:02 ont des amis. Et puis, on a des
00:50:04 gens qui sont bons, qui ont des
00:50:06 amis. Et puis, on a des gens qui
00:50:08 sont bons, qui ont des amis. Et
00:50:10 puis, on a des gens qui sont bons,
00:50:12 qui ont des amis. Et puis, on a
00:50:14 des gens qui sont bons, qui ont
00:50:16 des amis. Et puis, on a des gens
00:50:18 qui sont bons, qui ont des amis.
00:50:20 Et puis, on a des gens qui sont
00:50:22 bons, qui ont des amis. Et puis,
00:50:24 on a des gens qui sont bons, qui
00:50:26 ont des amis. Et puis, on a des
00:50:28 gens qui sont bons, qui ont des
00:50:30 amis. Et puis, on a des gens qui
00:50:32 sont bons, qui ont des amis. Et
00:50:34 puis, on a des gens qui sont bons,
00:50:36 qui ont des amis. Et puis, on a
00:50:38 des gens qui sont bons, qui ont
00:50:40 des amis. Et puis, on a des gens
00:50:42 qui sont bons, qui ont des amis.
00:50:44 Et puis, on a des gens qui sont
00:50:46 bons, qui ont des amis. Et puis,
00:50:48 on a des gens qui sont bons, qui
00:50:50 ont des amis. Et puis, on a des
00:50:52 gens qui sont bons, qui ont des
00:50:54 amis. Et puis, on a des gens qui
00:50:56 sont bons, qui ont des amis. Et
00:50:58 puis, on a des gens qui sont bons,
00:51:00 qui ont des amis. Et puis, on a
00:51:02 des gens qui sont bons, qui ont
00:51:04 des amis. Et puis, on a des gens
00:51:06 qui sont bons, qui ont des amis.
00:51:08 Et puis, on a des gens qui sont
00:51:10 bons, qui ont des amis. Et puis,
00:51:12 on a des gens qui sont bons, qui
00:51:14 ont des amis. Et puis, on a des
00:51:16 gens qui sont bons, qui ont des
00:51:18 amis. Et puis, on a des gens qui
00:51:20 sont bons, qui ont des amis. Et
00:51:22 puis, on a des gens qui sont bons,
00:51:24 qui ont des amis. Et puis, on a
00:51:26 des gens qui sont bons, qui ont
00:51:28 des amis. Et puis, on a des gens
00:51:30 qui sont bons, qui ont des amis.
00:51:32 Et puis, on a des gens qui sont
00:51:34 bons, qui ont des amis. Et puis,
00:51:36 on a des gens qui sont bons, qui
00:51:38 ont des amis. Et puis, on a des
00:51:40 gens qui sont bons, qui ont des
00:51:42 amis. Et puis, on a des gens qui
00:51:44 sont bons, qui ont des amis. Et
00:51:46 puis, on a des gens qui sont bons,
00:51:48 qui ont des amis. Et puis, on a
00:51:50 des gens qui sont bons, qui ont
00:51:52 des amis. Et puis, on a des gens
00:51:54 qui sont bons, qui ont des amis.
00:51:56 Et puis, on a des gens qui sont
00:51:58 bons, qui ont des amis. Et puis,
00:52:00 on a des gens qui sont bons, qui
00:52:02 ont des amis. Et puis, on a des
00:52:04 gens qui sont bons, qui ont des
00:52:06 amis. Et puis, on a des gens qui
00:52:08 sont bons, qui ont des amis. Et
00:52:10 puis, on a des gens qui sont bons,
00:52:12 qui ont des amis. Et puis, on a
00:52:14 des gens qui sont bons, qui ont
00:52:16 des amis. Et puis, on a des gens
00:52:18 qui sont bons, qui ont des amis.
00:52:20 Et puis, on a des gens qui sont
00:52:22 bons, qui ont des amis. Et puis,
00:52:24 on a des gens qui sont bons, qui
00:52:26 ont des amis. Et puis, on a des
00:52:28 gens qui sont bons, qui ont des
00:52:30 amis. Et puis, on a des gens qui
00:52:32 sont bons, qui ont des amis. Et
00:52:34 puis, on a des gens qui sont bons,
00:52:36 qui ont des amis. Et puis, on a
00:52:38 des gens qui sont bons, qui ont
00:52:40 des amis. Et puis, on a des gens
00:52:42 qui sont bons, qui ont des amis.
00:52:44 Et puis, on a des gens qui sont
00:52:46 bons, qui ont des amis. Et puis,
00:52:48 on a des gens qui sont bons, qui
00:52:50 ont des amis. Et puis, on a des
00:52:52 gens qui sont bons, qui ont des
00:52:54 amis. Et puis, on a des gens qui
00:52:56 sont bons, qui ont des amis. Et
00:52:58 puis, on a des gens qui sont bons,
00:53:00 qui ont des amis. Et puis, on a
00:53:02 des gens qui sont bons, qui ont
00:53:04 des amis. Et puis, on a des gens
00:53:06 qui sont bons, qui ont des amis.
00:53:08 Et puis, on a des gens qui sont
00:53:10 bons, qui ont des amis. Et puis,
00:53:12 on a des gens qui sont bons, qui
00:53:14 ont des amis. Et puis, on a des
00:53:16 gens qui sont bons, qui ont des
00:53:18 amis. Et puis, on a des gens qui
00:53:20 sont bons, qui ont des amis. Et
00:53:22 puis, on a des gens qui sont bons,
00:53:24 qui ont des amis. Et puis, on a
00:53:26 des gens qui sont bons, qui ont
00:53:28 des amis. Et puis, on a des gens
00:53:30 qui sont bons, qui ont des amis.
00:53:32 Et puis, on a des gens qui sont
00:53:34 bons, qui ont des amis. Et puis,
00:53:36 on a des gens qui sont bons, qui
00:53:39 ont des amis. Et puis, on a des
00:53:41 gens qui sont bons, qui ont des
00:53:43 amis. Et puis, on a des gens qui
00:53:45 sont bons, qui ont des amis. Et
00:53:47 puis, on a des gens qui sont bons,
00:53:49 qui ont des amis. Et puis, on a
00:53:51 des gens qui sont bons, qui ont
00:53:53 des amis. Et puis, on a des gens
00:53:55 qui sont bons, qui ont des amis.
00:53:57 Et puis, on a des gens qui sont
00:53:59 bons, qui ont des amis. Et puis,
00:54:01 on a des gens qui sont bons, qui
00:54:03 ont des amis. Et puis, on a des
00:54:05 gens qui sont bons, qui ont des
00:54:07 amis. Et puis, on a des gens qui
00:54:09 sont bons, qui ont des amis. Et
00:54:11 puis, on a des gens qui sont bons,
00:54:13 qui ont des amis. Et puis, on a
00:54:15 des gens qui sont bons, qui ont
00:54:17 des amis. Et puis, on a des gens
00:54:19 qui sont bons, qui ont des amis.
00:54:21 Et puis, on a des gens qui sont
00:54:23 bons, qui ont des amis. Et puis,
00:54:25 on a des gens qui sont bons, qui
00:54:27 ont des amis. Et puis, on a des
00:54:29 gens qui sont bons, qui ont des
00:54:31 amis. Et puis, on a des gens qui
00:54:33 sont bons, qui ont des amis. Et
00:54:35 puis, on a des gens qui sont bons,
00:54:37 qui ont des amis. Et puis, on a
00:54:39 des gens qui sont bons, qui ont
00:54:41 des amis. Et puis, on a des gens
00:54:43 qui sont bons, qui ont des amis.
00:54:45 Et puis, on a des gens qui sont
00:54:47 bons, qui ont des amis. Et puis,
00:54:49 on a des gens qui sont bons, qui
00:54:51 ont des amis. Et puis, on a des
00:54:53 gens qui sont bons, qui ont des
00:54:55 amis. Et puis, on a des gens qui
00:54:57 sont bons, qui ont des amis. Et
00:54:59 puis, on a des gens qui sont bons,
00:55:01 qui ont des amis. Et puis, on a
00:55:03 des gens qui sont bons, qui ont
00:55:05 des amis. Et puis, on a des gens
00:55:07 qui sont bons, qui ont des amis.
00:55:09 Et puis, on a des gens qui sont
00:55:11 bons, qui ont des amis. Et puis,
00:55:13 on a des gens qui sont bons, qui
00:55:15 ont des amis. Et puis, on a des
00:55:17 gens qui sont bons, qui ont des
00:55:19 amis. Et puis, on a des gens qui
00:55:21 sont bons, qui ont des amis. Et
00:55:23 puis, on a des gens qui sont bons,
00:55:25 qui ont des amis. Et puis, on a
00:55:27 des gens qui sont bons, qui ont
00:55:29 des amis. Et puis, on a des gens
00:55:31 qui sont bons, qui ont des amis.
00:55:33 Et puis, on a des gens qui sont
00:55:35 bons, qui ont des amis. Et puis,
00:55:37 on a des gens qui sont bons, qui
00:55:39 ont des amis. Et puis, on a des
00:55:41 gens qui sont bons, qui ont des
00:55:43 amis. Et puis, on a des gens qui
00:55:45 sont bons, qui ont des amis. Et
00:55:47 puis, on a des gens qui sont bons,
00:55:49 qui ont des amis. Et puis, on a des
00:55:51 gens qui sont bons, qui ont des
00:55:53 amis. Et puis, on a des gens qui
00:55:55 sont bons, qui ont des amis. Et
00:55:57 puis, on a des gens qui sont bons,
00:55:59 qui ont des amis. Et puis, on a des
00:56:01 gens qui sont bons, qui ont des
00:56:03 amis. Et puis, on a des gens qui
00:56:05 sont bons, qui ont des amis. Et
00:56:07 puis, on a des gens qui sont bons,
00:56:09 qui ont des amis. Et puis, on a des
00:56:11 gens qui sont bons, qui ont des
00:56:13 amis. Et puis, on a des gens qui
00:56:15 sont bons, qui ont des amis. Et
00:56:17 puis, on a des gens qui sont bons,
00:56:19 qui ont des amis. Et puis, on a des
00:56:21 gens qui sont bons, qui ont des
00:56:23 amis. Et puis, on a des gens qui
00:56:25 sont bons, qui ont des amis. Et
00:56:27 puis, on a des gens qui sont bons,
00:56:29 qui ont des amis. Et puis, on a des
00:56:31 gens qui sont bons, qui ont des
00:56:33 amis. Et puis, on a des gens qui
00:56:35 sont bons, qui ont des amis. Et
00:56:37 puis, on a des gens qui sont bons,
00:56:39 qui ont des amis. Et puis, on a des
00:56:41 gens qui sont bons, qui ont des
00:56:43 amis. Et puis, on a des gens qui
00:56:45 sont bons, qui ont des amis. Et
00:56:47 puis, on a des gens qui sont bons,
00:56:49 qui ont des amis. Et puis, on a
00:56:51 des gens qui sont bons, qui ont
00:56:53 des amis. Et puis, on a des gens
00:56:55 qui sont bons, qui ont des amis.
00:56:57 Le laboratoire médical Procare
00:56:59 propose un service à domicile pour des
00:57:01 prises de sang à travers l'île et dans
00:57:03 nos points de collecte à Forestside,
00:57:05 Aucoulé, Ménil et La Rosa. Nous
00:57:07 proposons aussi un test général à
00:57:09 partir de 750 roupies avec des
00:57:11 résultats bien détaillés et précis
00:57:13 dans un délai raisonnable.
00:57:15 Pour tous vos renseignements, appelez
00:57:17 Procare Medical Laboratory sur le
00:57:19 660 60 60
00:57:21 660 60 60
00:57:23 Nos lits de téléphone sont ouverts
00:57:25 de 6h30 jusqu'à 20h30
00:57:27 7 jours sur 7.
00:57:29 [Musique]
00:57:51 Hardtalk, hardtalk.
00:57:53 [Musique]
00:57:59 De retour dans Hardtalk, nous
00:58:01 prévoquons la violence faite aux
00:58:03 femmes en prévision donc de
00:58:05 la journée internationale, que vous célébrez
00:58:07 le 25 novembre. On rappelle
00:58:09 qu'en studio, nous avons
00:58:11 l'avocate Mojda Péthob,
00:58:13 nous avons la journaliste
00:58:15 Rukaya Kairati, nous avons
00:58:17 l'activiste Corinne Camille, et
00:58:19 nous avons un
00:58:21 spécialiste de la promotion
00:58:23 et la protection des droits humains à
00:58:25 Madagascar, Radu Arintsoa
00:58:27 Rakusus
00:58:29 Sawa, Radu
00:58:31 Arintsoa
00:58:33 C'est ce que j'avais
00:58:35 Donc, nous
00:58:37 rappelons qu'il est maintenant au capable aussi
00:58:39 de téléphoner-nous si vous en avez
00:58:41 une, commenter sur le sujet, donc en vie de portage
00:58:43 ou ce que vous pensez sur ce sujet-là, ou téléphone-nous
00:58:45 le 213 777 777
00:58:47 777 mais avant, nous passons à la loi, comment
00:58:49 vous pouvez-vous dire, ou vous pouvez-vous en virager
00:58:51 par rapport à l'éducation
00:58:53 Corinne Camille
00:58:55 Oui, exactement, parce qu'on veut nous vivre
00:58:57 dans une société patriarcale, et que
00:58:59 l'éducation est importante pour nous prendre
00:59:01 conscience de ce qu'est la violence, parce qu'on
00:59:03 veut, comment on peut dire, quand
00:59:05 on a fait des vies trop tôt, de là qu'on
00:59:07 veut nous prendre conscience, alors qu'au début
00:59:09 il y a eu beaucoup de signes, beaucoup de violence
00:59:11 psychologique, beaucoup de violence
00:59:13 émotionnelle, qui ne nous prend pas
00:59:15 nécessairement compte, nous dire
00:59:17 c'est jaloux, c'est à quoi on nous compte
00:59:19 alors que c'est une forme de violence
00:59:21 et que les mamans,
00:59:23 les enfants qui ont vécu avant, nous,
00:59:25 les générations, les mamans, les grands-mères et tout
00:59:27 mais elles transmettent leur génération
00:59:29 leur éducation
00:59:31 leur modèle qu'elles ont connu, ce n'est pas
00:59:33 par rapport, ce n'est pas des autres choses, c'est ça
00:59:35 qu'elles ont connu, c'est ça qu'elles ont vécu
00:59:37 donc c'est les mamans
00:59:39 qui ont élevé leurs enfants
00:59:41 et par rapport à comment elles ont élevé
00:59:43 cette fille et comment elles ont élevé ce garçon
00:59:45 ce garçon, ce n'est pas différent
00:59:47 donc il y en a beaucoup, je ne peux pas dire
00:59:49 tous les gens, toutes les mamans, bien sûr
00:59:51 donc il y en a beaucoup qui ont élevé
00:59:53 cette petite fille pour être leur futur époux
00:59:55 donc des petits petits, qui nous montrent
00:59:57 comment on peut nettoyer la maison, comment
00:59:59 on peut manger, pour avoir un beau mari
01:00:01 pour avoir un beau mari, alors que
01:00:03 le garçon
01:00:05 ne participe pas du tout
01:00:07 à ses tâches ménagères
01:00:09 il n'a pas du tout de responsabilité
01:00:11 par rapport à sa responsabilité
01:00:13 familiale, il n'est pas
01:00:15 qu'on lave ça, il n'est pas qu'on fait
01:00:17 tout ça, et quand il
01:00:19 grandit, donc le garçon n'est pas
01:00:21 mature, et quand il
01:00:23 grandit, il y a encore des enfants
01:00:25 il y a encore
01:00:27 il n'est pas assez responsable
01:00:29 et quand il peut se joindre à sa épouse
01:00:31 si cette femme-là
01:00:33 vive dans une famille
01:00:35 où elle porte la parité
01:00:37 où elle trouve sa maman avec son
01:00:39 papa, faire ses tâches
01:00:41 ensemble, ce n'est pas
01:00:43 une femme qui peut la cuisiner
01:00:45 donc papa, si il est capable
01:00:47 de la cuisiner, alors que cette femme-là
01:00:49 est fatiguée parce qu'elle travaille
01:00:51 à la maison, il a sa
01:00:53 profession, il a ses enfants
01:00:55 son mari, tout ça, il fait tout
01:00:57 mais si cette femme-là
01:00:59 sortait d'une base
01:01:01 où elle porte la parité
01:01:03 où ils contribuent tous ensemble
01:01:05 et qu'un garçon, il n'est pas habitué
01:01:07 à ça, il n'est pas habitué à la maman
01:01:09 la maman laissait la maman laver, faire tout
01:01:11 et c'est là que se trouve la base
01:01:13 du problème. Et si on ne commence pas
01:01:15 à avoir des petits garçons là, depuis
01:01:17 l'école, depuis petit à petit
01:01:19 donc après, il y a un peu
01:01:21 de temps, mais pas trop de temps
01:01:23 il y a un peu de temps, et quand on prend conscience
01:01:25 qu'il peut subir de la violence
01:01:27 il y en a beaucoup qui prennent conscience
01:01:29 après plusieurs années
01:01:31 qu'après plusieurs dizaines d'années qu'il peut subir
01:01:33 de la violence, mais dix ans
01:01:35 il ne passe pas, donc on remarque là, pour dire
01:01:37 qu'il est habitué à faire comme maman
01:01:39 habitué à faire, et qu'il pourrait mettre ça
01:01:41 en question, ça c'est un gros travail
01:01:43 à faire. Et moi je me remets chez vous
01:01:45 de façon remorquable, ce que vous m'avez
01:01:47 dit tout à l'heure
01:01:49 allez voilà, donc
01:01:51 je suis entièrement
01:01:53 d'accord avec Corinne Camille sur ce point là, parce que
01:01:55 on a aujourd'hui des programmes qu'on appelle
01:01:57 la masculinité positive
01:01:59 où justement, on essaie
01:02:01 on essaie, parce qu'on travaille
01:02:03 sur ça, d'inculquer
01:02:05 aux enfants, que ce soit aux jeunes filles ou aux jeunes
01:02:07 garçons, que un rôle
01:02:09 n'est pas uniquement
01:02:11 le rôle, parce qu'aujourd'hui dans le patriarcat
01:02:13 la femme a toujours ce rôle
01:02:15 de reproducteur, donc
01:02:17 aujourd'hui ce rôle reproducteur
01:02:19 insinue une soumission parfois
01:02:21 donc du coup les violences, il faut
01:02:23 l'encaisser parce que tu as ce rôle reproducteur
01:02:25 encasse-les, mais aujourd'hui
01:02:27 dans ce programme qu'on appelle
01:02:29 la masculinité positive, on dit justement
01:02:31 aux jeunes garçons et aux jeunes filles, that's fine
01:02:33 tu peux faire le chose aujourd'hui, tu peux faire la vaisselle
01:02:35 tu peux faire la lessive, mais il n'y a pas
01:02:37 de... - Tu peux faire la lessive ou la vaisselle
01:02:39 de la même façon que tu peux
01:02:41 faire de grandes choses aussi - Exact
01:02:43 et que c'est pas, et que
01:02:45 aller chercher de l'eau ne revient pas uniquement
01:02:47 à la jeune demoiselle qui est là
01:02:49 mais que toi aussi en tant que jeune garçon
01:02:51 tu peux participer aux tâches
01:02:53 ménagères, et donc du coup à ce moment là
01:02:55 le rôle reproducteur
01:02:57 est brisé
01:02:59 mais qu'après, le rôle
01:03:01 producteur est partagé
01:03:03 par que ce soit
01:03:05 la jeune fille ou le jeune garçon
01:03:07 et puis après plus tard l'homme et la femme
01:03:09 - Allez, nous venons à la loi, donc il y a une nouvelle
01:03:11 loi qui est en préparation
01:03:13 enfin un projet de loi qui est en préparation
01:03:15 c'est ce qui est finalement annoncé au Parlement
01:03:17 moi que je dois appeler tout le monde
01:03:19 et on a des mondes comme ça qui ne nous parlent pas
01:03:21 qu'on existe pour la loi, mais seulement, est-ce que la loi
01:03:23 c'est le premier pas, ou le deuxième pas
01:03:25 ou est-ce qu'il y a une part importante ?
01:03:27 - Moi je pense que la loi c'est une part importante
01:03:29 la loi c'est un instrument qui amène un social change
01:03:31 donc la loi, elle vient
01:03:33 définir, c'est quoi les règles
01:03:35 de la société, quand on coupe la route
01:03:37 on coupe la route, si on ne coupe pas la route
01:03:39 demain on va se faire chasser
01:03:41 donc on a besoin de la loi pour définir
01:03:43 c'est quoi, le truc c'est que
01:03:45 le problème c'est qu'avec nous la loi
01:03:47 de violence domestique
01:03:49 et la loi qui nous est là, malgré
01:03:51 que la loi est amendée, elle s'est améliorée
01:03:53 à chaque fois, mais on peut trouver le problème là
01:03:55 qui peut diminuer, donc
01:03:57 on a besoin de la loi beaucoup plus efficace
01:03:59 et aussi de la loi beaucoup plus
01:04:01 moderne, dans le sens qui va marcher à tous les temps
01:04:03 parce que maintenant qu'on a eu de la violence
01:04:05 moi et Madame, on peut trouver de la violence aussi
01:04:07 sur internet
01:04:09 par exemple, là où il y a des "revenge porn"
01:04:11 des vidéos, etc. on connait
01:04:13 un nouveau type de crime
01:04:15 on peut trouver avec
01:04:17 "co-controlling behavior"
01:04:19 par exemple, dans la loi, c'est la loi qui a été
01:04:21 le "Domestic Abuse Act 2021"
01:04:23 quand on définit, c'est qui
01:04:25 qui a fait la fermeture de la maison
01:04:27 qui a fait la sortie
01:04:29 qui a fait le contrôle de tous les mouvements
01:04:31 qui a envoyé des vidéos
01:04:33 sur les côtés d'hôtels, les côtés de la maison
01:04:35 tout ça, c'est une forme d'abus
01:04:37 qui nous prend en compte
01:04:39 dans nos nouveaux lois
01:04:41 donc oui, c'est bien
01:04:43 et autre chose, c'est qu'aussi
01:04:45 on doit travailler
01:04:47 sur les agresseurs
01:04:49 Avant de passer à l'autre, on a
01:04:51 Madame Sheila
01:04:53 de Rivière-des-Anguilles, bonsoir
01:04:55 Oui, bonsoir
01:04:57 Bonsoir Madame, n'est-ce que tu?
01:04:59 Au fait, moi, je trouve la loi
01:05:01 pas trop sévère, parce que
01:05:03 je suis une victime, au fait, mon père
01:05:05 mon mari, ils m'emmènent, ils l'emmènent
01:05:07 au moins, ils m'emmènent chez moi
01:05:09 mais pour moi, c'est étranger, ça veut dire
01:05:11 étranger, c'est un voisin qui me frappe
01:05:13 devant ma porte, il me bat
01:05:15 mais là, je suis 40 ans
01:05:17 mais
01:05:19 mais c'est ça que je veux
01:05:21 que je connais, qui fait que quand un mari se bat sur une femme
01:05:23 la loi rentre plus vite
01:05:25 tandis que quand un étranger
01:05:27 peut battre une madame, pas sur madame
01:05:29 une autre madame, mais je trouve la loi
01:05:31 elle est bien sereine pour réagir
01:05:33 et
01:05:35 là, ce que je suis capable de dire quand je suis à la cour
01:05:37 aussi, ce que j'ai encore trouvé
01:05:39 c'est que quand la madame prend du courage
01:05:41 quand elle est à la cour, elle raconte ses difficultés
01:05:43 ses souffrances, je trouve que c'est
01:05:45 inréel, mais c'est ça que je veux
01:05:47 écouter à la radio, comment se fait-il?
01:05:49 Allez, merci beaucoup
01:05:51 madame
01:05:53 vous êtes là, enfin, d'homme non?
01:05:55 Oui, on est des avocats
01:05:57 Allez, moi je vais vous répondre
01:05:59 en tant qu'ex magistrate, comment vous répondez à cette question?
01:06:01 En tant qu'avocate
01:06:03 qui fait pratique dans la
01:06:05 loi Maurice
01:06:07 c'est vrai, c'est un grand courage
01:06:09 pour une madame à servir
01:06:11 le système, de commencer
01:06:13 depuis le début sur la police, jusqu'à
01:06:15 qu'elle soit à la cour, le jugement c'est un
01:06:17 c'est un
01:06:19 c'est un
01:06:21 c'est un
01:06:23 les problèmes
01:06:25 qui m'a amené
01:06:27 c'est un voisin
01:06:29 qui s'est amené
01:06:31 donc la loi
01:06:33 et qu'il a
01:06:35 donc
01:06:37 la loi
01:06:39 donc
01:06:41 le domestique
01:06:43 donc
01:06:45 le système marche beaucoup plus vite parce qu'il a souvent
01:06:47 la dangere de mort
01:06:49 donc il marche plus vite
01:06:51 les cibles, les tombe le côté, les tombe en bas
01:06:53 les boutons en bas, assault
01:06:55 donc là c'est notre chemin
01:06:57 donc le process est différent là
01:06:59 mais c'est vrai que beaucoup ce qui est arrivé
01:07:01 c'est que madame, vous connaissez aussi
01:07:03 comment le système a marché dans la cour
01:07:05 access to justice
01:07:07 donner, moi je pense
01:07:09 c'est que vous comprenez en créole
01:07:11 qui était ça, ça qui peut arriver, qui peut arriver
01:07:13 après, comment le système a été
01:07:15 vous vous comprenez qui fait que ça a réglé
01:07:17 vous vous comprenez
01:07:19 qui ça avait poursuivi, la députée qui ça a de l'air
01:07:21 le prosecuteur qui ça a de l'air
01:07:23 donc il nous faut faire un peu d'éducation
01:07:25 aussi
01:07:27 et souvent oui, souvent pénalité
01:07:29 et souvent il nous faut dire aussi que dans la cour
01:07:31 les convoyés
01:07:33 des fois, qui sont les témoins, qui sont les victimes
01:07:35 etc, donc tout ça
01:07:37 dérouler sans roue, comme si
01:07:39 on était au second plan
01:07:41 donc c'est pas au
01:07:43 bien rare, à l'adresse même, ou si vous avez
01:07:45 un condamné, ou bien vous avez un
01:07:47 envoyé, donc ça aussi peut être un petit
01:07:49 effort pour faire, mais ça c'est
01:07:51 un autre sujet, un autre débat
01:07:53 mais le fait que la loi amende souvent
01:07:55 autant amende, rafistoler, etc
01:07:57 est-ce que ça peut prouver
01:07:59 que, donc il y a un problème
01:08:01 oui, il y a un problème
01:08:03 définitivement il y a un problème
01:08:05 il a amendé quatre fois
01:08:07 et comme on dit
01:08:09 c'est dans l'implémentation
01:08:11 la loi là, il y a beaucoup de choses
01:08:13 la mise en oeuvre de la loi
01:08:15 est-ce que, qu'est-ce que madame
01:08:17 parle de l'avent, à cause
01:08:19 de ces autres caisses, de ces autres casses
01:08:21 oui, ça assiste à notre fait
01:08:23 ce qui souvent, souvent
01:08:25 sur le coup, on a les hautes plaintes
01:08:27 et qui, ben la police, qui
01:08:29 arrive un moment
01:08:31 donc des jours, trois jours après
01:08:33 madame la revue, retire, retire sa plainte
01:08:35 exactement, donc il y a des affaires comme ça qui arrivent
01:08:37 donc ça veut dire, ça veut dire quoi
01:08:39 c'est un soutien
01:08:41 un soutien qu'il est bien gagné pour qu'il soit capable d'aller jusqu'au bout
01:08:43 mais c'est aussi une éducation pour qu'il comprenne
01:08:45 le choix qu'il peut faire
01:08:47 qui se met en conséquence
01:08:49 mais c'est aussi, dis-moi une fois, les pères
01:08:51 tu connais, je dirais, la police
01:08:53 par exemple, tu connais, on peut mettre
01:08:55 une caisse quand on peut, mais il faut payer son travail
01:08:57 il ne peut pas avoir de promotion
01:08:59 qu'est-ce qu'il faut payer, l'éducation, les leçons, l'école
01:09:01 aux enfants, mais tout ça va être une facture
01:09:03 là, il faut prendre en considération
01:09:05 et c'est ça qui est le système de soutien
01:09:07 quoi, vous pensez c'est pareil, non ?
01:09:09 oui, oui, et puis moi je pense qu'en même temps
01:09:11 quand on travaille sur la loi
01:09:13 il est important de mettre en place
01:09:15 une espèce de mécanisme de dénonciation
01:09:17 et comment justement ce mécanisme de dénonciation
01:09:19 opère, parce que
01:09:21 parfois, et même dans les pays les plus avancés
01:09:23 aujourd'hui, ce mécanisme de dénonciation
01:09:25 il existe des failles, donc entre temps
01:09:27 quand la personne dénonce ce qu'elle est en train
01:09:29 de vivre, ce qu'il ou elle est en train de vivre
01:09:31 il y a un parcours à l'intérieur où
01:09:33 au final la personne se
01:09:35 dit "non je me retire finalement parce que
01:09:37 voilà, j'ai pas le soutien nécessaire"
01:09:39 ou "there is a fear of retaliation"
01:09:41 et ça arrive très souvent
01:09:43 dans des cas comme ça
01:09:45 et c'est très important déjà de définir
01:09:47 quel est ce mécanisme
01:09:49 de dénonciation qui peut justement
01:09:51 soutenir la personne
01:09:53 qui dénonce du début jusqu'à la fin
01:09:55 du process, parce que c'est un process
01:09:57 aujourd'hui, par exemple aujourd'hui
01:09:59 mettre une espèce de coalition où
01:10:01 tous les acteurs
01:10:03 sont compris dans ça, les psychologues
01:10:05 la police, les juges
01:10:07 les avocats, pour qu'après
01:10:09 dans ce système
01:10:11 la personne
01:10:13 se sente
01:10:15 comfortable to share
01:10:17 the experience, like the self experience
01:10:19 à l'aise, voilà, et puis
01:10:21 mais en même temps, pour que
01:10:23 il n'y a pas revictimisation
01:10:25 de ce qui se passe
01:10:27 parce que être
01:10:29 interviewé 50 000 fois
01:10:31 pour une infirme
01:10:33 c'est très difficile
01:10:35 pour ces personnes là
01:10:37 et après quand on peut donner un protection order par exemple
01:10:39 ils ont eu un protection order, ils sont dans la case
01:10:41 ils peuvent le parler
01:10:43 mais c'est-à-dire que
01:10:45 il y a une frière
01:10:47 agressée, même que
01:10:49 pour avoir une sanction, il faut prendre
01:10:51 une sanction sérieuse, mais souvent
01:10:53 vous trouvez dans le passé
01:10:55 bon, moi je vais changer maintenant
01:10:57 mais je ne sais pas
01:10:59 justement, il y a beaucoup de
01:11:01 lacunes dans la loi
01:11:03 parce que justement, Gétard, il y a une cause
01:11:05 de violence psychologique
01:11:07 qui fait que tu as atteint
01:11:09 quand même une égratignure, ne pas dire
01:11:11 battre, ce n'est pas de casser les dents, ce n'est pas de casser les affaires
01:11:13 mais qui fait que tu as atteint
01:11:15 il faut donner une marque égratignure
01:11:17 pour que la police prenne action
01:11:19 soit une fois que cette égratignure est
01:11:21 bien minime, donc je dis que ce n'est pas grave
01:11:23 tu as atteint
01:11:25 mais il y a une preuve
01:11:27 que la preuve du moment
01:11:29 où il est arrivé, c'est là qu'il est arrivé en forme
01:11:31 de féminicide
01:11:33 une violence psychologique
01:11:35 est beaucoup plus grave
01:11:37 qu'une violence
01:11:39 effectivement, je rappelle qu'on a fait une émission
01:11:41 il y a quelques temps, donc la madame
01:11:43 a témoigné, tu peux dire
01:11:45 qu'elle est traumatisée pour dire que
01:11:47 son mari ne l'a pas battu mais les abus
01:11:49 etc, donc c'est un traumatisme
01:11:51 et elle dit que tu préfères
01:11:53 tu préfères battre les gens plutôt que
01:11:55 vivre sa telle traumatisme
01:11:57 quand les pères vont rentrer dans la maison
01:11:59 tout ce qu'il leur donne c'est de la paix dans la maison
01:12:01 justement c'est sa crainte
01:12:03 qui est beaucoup plus grave et du moment
01:12:05 que la madame accumule, tous les jours
01:12:07 déjà il y a du stress dans le travail
01:12:09 parce que nous tous faisons face
01:12:11 à des problèmes dans le travail, nous avons du stress
01:12:13 quand on rentre dans la maison, on s'expecte de gagner
01:12:15 la paix, mais pas dans la paix
01:12:17 on peut subir ça
01:12:19 ramasser, ramasser, ramasser
01:12:21 on peut se déborder, mais là
01:12:23 c'est plus grave. Ça m'a même pensé que du moment
01:12:25 que la madame est dans la station, elle donne
01:12:27 une pré-measure, peu importe ce soit un statement
01:12:29 ou qu'elle peut subir une violence psychologique
01:12:31 je pensais là le vrai travail
01:12:33 a commencé à se faire là
01:12:35 et c'est à partir de là qu'elle est capable
01:12:37 de vraiment empêcher
01:12:39 la situation à aggraver.
01:12:41 Je vais réagir à ça
01:12:43 le premier point, le premier point
01:12:45 que la madame a fait aller, c'est d'écouter la police
01:12:47 donc c'est très important que la police
01:12:49 soit formée, donc qu'on prend
01:12:51 sa bonne réaction là. Parce que la police
01:12:53 a trop de preuves
01:12:55 il a besoin d'avoir des preuves, et des preuves
01:12:57 visibles pour eux. Donc c'est la formation
01:12:59 de la police, c'est
01:13:01 important, et deuxième
01:13:03 c'est madame
01:13:05 la même, quand elle est allée
01:13:07 le système, elle a bien réalisé
01:13:09 que c'est un système
01:13:11 un système plein
01:13:13 d'obstacles, visibles
01:13:15 et invisibles.
01:13:17 Un mot
01:13:19 Corinne sur l'impact sur les enfants
01:13:21 donc nous parlons de l'été très bien
01:13:23 à bout de ça, donc souvent dans les cas là
01:13:25 étant donné que vous travaillez aussi
01:13:27 rehabilitation
01:13:29 dans le centre de réhabilitation, est-ce que
01:13:31 ça peut affecter les enfants aussi?
01:13:33 Parce qu'il nous remonte
01:13:35 dans la société dans laquelle
01:13:37 nous vivons actuellement, mais il y a beaucoup
01:13:39 de parents qui
01:13:41 s'occupent de ce travail parce qu'ils sont moindres
01:13:43 et le coût de la vie est très cher
01:13:45 tous les jours ils travaillent
01:13:47 et il n'y a aucun
01:13:49 espace émotionnel
01:13:51 ou l'espace familial
01:13:53 où ils peuvent faire des affaires ensemble
01:13:55 télévision, manger ensemble
01:13:57 il n'y a pas beaucoup de choses là
01:13:59 et quand tous les parents
01:14:01 sont en travail, ils sont très fatigués
01:14:03 ils se trompent de la maison, mais ça aussi
01:14:05 ça paye le temps de dépenser
01:14:07 avec les enfants là. Donc il y a
01:14:09 des devoirs depuis l'école
01:14:11 il y a des affaires depuis l'école
01:14:13 et il n'y a aucun espace
01:14:15 dans la maison pour
01:14:17 les réchercher pour montrer
01:14:19 qu'ils sont contents, qu'ils passent une bonne journée
01:14:21 et du fait qu'ils se retrouvent
01:14:23 enfermés eux-mêmes
01:14:25 et qu'actuellement
01:14:27 quand on peut vivre la technologie
01:14:29 avec le virtuel, tous les
01:14:31 enfants ont un portable
01:14:33 donc les parents ne sont pas
01:14:35 capables ou ne savent pas contrôler
01:14:37 qui les offre pour les garder
01:14:39 avec qui ça peut causer
01:14:41 et qu'ils laissent à eux-mêmes
01:14:43 donc on dirait qu'ils peuvent
01:14:45 se débrouiller eux-mêmes dans un petit
01:14:47 bulle qui n'est pas nécessairement
01:14:49 sain, qui
01:14:51 n'a aucun guide, qui n'a aucun
01:14:53 repère, donc on dirait qu'ils sont dans une maison
01:14:55 entouré avec sa famille
01:14:57 peut-être avec souvent les autres soeurs et frères
01:14:59 mais chacun d'entre eux peut vivre dans un monde
01:15:01 chacun d'entre eux a un portable
01:15:03 donc il peut manger dans le portable, il peut faire des affaires
01:15:05 mais seulement dans le portable, il ne peut pas
01:15:07 connecter avec l'humain
01:15:09 donc voilà, il peut
01:15:11 il peut continuer
01:15:13 ça veut dire qu'il peut vivre
01:15:15 dans une cellule familiale
01:15:17 qui n'est pas portée dans des affaires
01:15:19 ça déjà ça, mais
01:15:21 là aussi il y a un problème de violence
01:15:23 ça a fait quelle idée dans votre œuvre ?
01:15:25 ça veut dire que l'enfant
01:15:27 lui-même n'a pas aucun
01:15:29 guide avec qui
01:15:31 il est capable de confier et actuellement
01:15:33 le problème de la drogue est extrêmement grave
01:15:35 donc il n'a pas aucun lien
01:15:37 il n'a aucun lien avec
01:15:39 son autre frère ou sa pote
01:15:41 donc c'est ouvert
01:15:43 full time, midi, minuit
01:15:45 nous, on est vers 10h du matin
01:15:47 on est là pour aller à la boutique
01:15:49 mais alors qu'ils sont, ils ont besoin d'accès
01:15:51 peu importe, même si on est
01:15:53 un petit peu pérassé, peu importe si André-Jean
01:15:55 Follin a 10 ans, peu importe André-Jean
01:15:57 Follin a combien il a été
01:15:59 ou si il a fait
01:16:01 un bon travail, il a fait un bon travail
01:16:03 donc André-Jean Follin, vu qu'André-Jean n'a pas
01:16:05 aucun repère, aucun guide
01:16:07 et qu'il
01:16:09 ne gagne pas les autres influences
01:16:11 par rapport à
01:16:13 parce qu'il peut débrouiller lui-même
01:16:15 et quand il peut mettre un
01:16:17 mauvais chemin
01:16:19 qui malheureusement, actuellement, on ne peut trouver
01:16:21 de la société un peu partout
01:16:23 donc qui
01:16:25 va aller à psychologique
01:16:27 en Russie, ou ça
01:16:29 il va développer ce traumatisme
01:16:31 qui est monopédiste
01:16:33 et ça, c'est ce que Mme Corine
01:16:35 nous dit, c'est que
01:16:37 les enfants qui subissent
01:16:39 trop de parents pour la guerre, pour les parents
01:16:41 pour les coups de poing, coups de pied, avec physique
01:16:43 psychologique et tout ça, ces enfants-là
01:16:45 se souffrent extrêmement
01:16:47 et ça peut se reproduire
01:16:49 dans une cause de migrants aussi, soit
01:16:51 des victimes, soit des
01:16:53 agresseurs et
01:16:55 il nous a ajouté que dans la loi, nous ne pouvons
01:16:57 pas nous rendre compte que dans la loi actuelle
01:16:59 qui sont ces enfants capables
01:17:01 de protéger ces enfants-là
01:17:03 Une des mesures
01:17:05 qui peut évoquer de plus en plus, c'est le bracelet électronique
01:17:07 il avait dit qu'il était en train de
01:17:09 pour chaque protection
01:17:11 qui est mis
01:17:13 pour une famille, pour permettre à la police
01:17:15 de réveiller, donc
01:17:17 le bracelet électronique, selon vous, capable
01:17:19 est-il une solution
01:17:21 ou une option
01:17:23 pour aider
01:17:25 à la lutte ?
01:17:27 Oui, je dirais qu'il y a une solution
01:17:29 pour aider
01:17:31 mais est-ce qu'il faut vraiment prévenir
01:17:33 la violence domestique ?
01:17:35 C'est un moyen
01:17:37 et c'est un moyen quand même coûteux
01:17:39 je pense que
01:17:41 le plus, dans mon opinion, c'est
01:17:43 formation, sensibilisation
01:17:45 et depuis le jeune âge
01:17:47 faire la responsabilité
01:17:49 de la femme, mais aussi mettre
01:17:51 l'enfance de l'agresseur
01:17:53 c'est important, communiquer dans le couple
01:17:55 ou pas, battre la femme, tuer la femme
01:17:57 et ne pas communiquer
01:17:59 justement, c'est un manque de communication
01:18:01 parce qu'il nous prend des affaires
01:18:03 il y a un monsieur qui a un problème
01:18:05 dans son ménage, justement c'est le manque de communication
01:18:07 c'est dans les venteurs, c'est dans les vengeurs
01:18:09 mais les vengeurs, ce qu'ils peuvent faire, justement
01:18:11 ils peuvent communiquer, mais ils peuvent communiquer
01:18:13 à travers
01:18:15 une tierce personne
01:18:17 mais qui fait exactement
01:18:19 un gommage, justement
01:18:21 mais tout ça, à la base, même si nous finissons
01:18:23 de montrer ces affaires-là, la communication c'est un grand rôle
01:18:25 parce qu'il y a beaucoup de hommes de nos jours
01:18:27 il y a des femmes aussi, qui malgré
01:18:29 ce qu'elles ont grandi, ne sont pas capables
01:18:31 de communiquer bien, ne sont pas capables de causer
01:18:33 bien, justement, il y en a qui comme je disais,
01:18:35 ont eu des traumas peut-être par
01:18:37 partie bon, ils ont eu
01:18:39 un coup de pied dans la case
01:18:41 ou une violence psychologique
01:18:43 ou même une violence physique, donc c'est une
01:18:45 malgrandie, mais
01:18:47 à la base, c'est la communication
01:18:49 parce que du moment qu'il nous parle devant le juge, le juge
01:18:51 a essayé de trouver des lits pour que les gens prennent une décision
01:18:53 et quand il y prend une décision, il peut
01:18:55 avoir une probation, il peut, c'est là, c'est la
01:18:57 communication. C'est ce qu'il fait quand il faut aussi
01:18:59 communiquer devant le juge. Le juge
01:19:01 communique. Le juge n'a pas communiqué entre le couple.
01:19:03 Et aussi dans la loi, il y a
01:19:05 un counselling. Mais quand
01:19:07 on regarde la loi, là qu'il y a en ce moment
01:19:09 c'est le counselling, beaucoup
01:19:11 de couples qui payent la guerre,
01:19:13 M. Mariland dit oui, oui, nous pouvons aller au counselling
01:19:15 mais il n'y a pas d'obligation.
01:19:17 Mais justement, le counselling là aussi
01:19:19 pour le juge, c'est obligatoire.
01:19:21 Parce qu'il y a beaucoup de cas
01:19:23 que bon, tous les jours, je ne parle pas à
01:19:25 madame ni monsieur, si monsieur
01:19:27 là, il a décidé de dire non,
01:19:29 je ne peux pas faire le counselling, je vais arrêter la même
01:19:31 barre. Soit la madame là aussi
01:19:33 dit non, je ne peux pas faire le counselling, je vais arrêter la même
01:19:35 barre. Mais justement,
01:19:37 quand une famille est brisée, quand une maman
01:19:39 et un papa sont brisés, ces enfants-là
01:19:41 parce que maman et papa là, ils peuvent perdre
01:19:43 plus de 70 ans dans la cour, faire galoper,
01:19:45 avec l'avocat, avouer, je crois qu'il y a des affaires qui
01:19:47 avouer, avouer quand même, il n'a plus gagné de temps,
01:19:49 il n'a plus gagné de temps, il n'a pas eu de téléphone, il n'a pas gagné de temps
01:19:51 mais il peut négliger ses enfants-là
01:19:53 ses enfants-là quand ils vont grandir, ils vont pouvoir travailler
01:19:55 et c'est le même qui demain,
01:19:57 peut-être, il persiste dans le parlement
01:19:59 mais c'est le même comme si il ne passe pas
01:20:01 mais qu'il est comment il peut faire pour un pays
01:20:03 deuxièmement, je ne vais pas dire
01:20:05 qui c'est le cas
01:20:07 je ne vais pas dire qui c'est le cas mais
01:20:09 demain, vous savez ce que je veux dire,
01:20:11 c'est nos futures générations, c'est eux qui vont décider
01:20:13 pour la société. Alors
01:20:15 vraiment, nous avons un attaque problème
01:20:17 mais on a des racines, on ne peut pas dire
01:20:19 mais attendre qu'ils arrivent, nous finirons
01:20:21 de s'en moquer, soit nous finirons d'être
01:20:23 coupés, là, là, nous prenons action.
01:20:25 Et parfois même quand on finit d'être coupé, si la police
01:20:27 ne prend pas action, hein?
01:20:29 Tout ça là, nous devons remédier à la situation.
01:20:31 En principe, maintenant, si
01:20:33 il y a une directive, il est obligatoire
01:20:35 dans la loi que la police devienne
01:20:37 prendre action dans le registre de
01:20:39 violence, obligé quand madame vient de donner une
01:20:41 caisse de violence, il faut prendre action
01:20:43 d'après la loi. Mais souvent des fois, il dépend
01:20:45 de la police. Exactement. Comment on
01:20:47 dirait la formation, c'est important, même pour un
01:20:49 policier aussi. Allez, je vous laisse le mot de la fin
01:20:51 Le mot de la fin, je ne sais pas.
01:20:53 Le mot de la fin dans l'émission.
01:20:55 D'accord.
01:20:57 Mais, mais permettez-moi de revenir justement sur la
01:20:59 cette, enfin, sur la question où
01:21:01 on va, il y a un projet de réforme de la loi.
01:21:03 Moi, je trouve que c'est aussi positif en même temps parce que
01:21:05 comme disait tout à l'heure, il y a un problème.
01:21:07 Donc, ça veut dire qu'on a détecté des
01:21:09 dans la loi. Donc,
01:21:11 euh, c'est pour ça qu'après, il y a changement.
01:21:13 Aujourd'hui, ce qui est très important, c'est que
01:21:15 la République de Maurice a ratifié
01:21:17 le protocole de Maputo.
01:21:19 Le plus important aujourd'hui, c'est de
01:21:21 s'inspirer
01:21:23 de ce protocole qu'on a, qu'on a,
01:21:25 que la République a ratifié.
01:21:27 Et parce que dans,
01:21:29 dans ce document,
01:21:31 parce que c'est un instrument juridique,
01:21:33 enfin, régional, puissant,
01:21:35 on peut justement s'inspirer
01:21:37 pour protéger la femme.
01:21:39 Le protocole de Maputo est spécifique
01:21:41 pour le continent africain.
01:21:43 Donc, il y a justement
01:21:45 des mesures à prendre,
01:21:47 des mesures d'accompagnement
01:21:49 pour prévenir les violences
01:21:51 domestiques
01:21:53 pour ne pas arriver justement au féminicide.
01:21:55 Aujourd'hui, il faut le dire, même le protocole
01:21:57 de Maputo ne mentionne pas spécifiquement
01:21:59 le féminicide, mais
01:22:01 ils sont très exigeants
01:22:03 sur la mise en application,
01:22:05 la domestication du coup,
01:22:07 de la prévention
01:22:09 des violences domestiques.
01:22:11 Merci beaucoup. Oui, allez, viens.
01:22:13 Je veux dire une dernière chose
01:22:15 envers la loi.
01:22:17 Quand Maurice, nous signons
01:22:19 une convention internationale,
01:22:21 quand nous disons qu'on peut respecter le droit
01:22:23 de la femme pour ne pas la battre,
01:22:25 pour ne pas la tuer,
01:22:27 donc, nous devons aussi
01:22:29 aborder cela. Et nous, comme société civile,
01:22:31 nous sommes capables
01:22:33 de mettre en oeuvre
01:22:35 un processus, un système
01:22:37 au niveau international
01:22:39 pour nous demander justement
01:22:41 d'améliorer le système à Maurice,
01:22:43 pour demander à notre État parti,
01:22:45 donc l'État mauricien, comment on peut
01:22:47 faire pour protéger notre femme dans le pays,
01:22:49 par exemple. Donc, la loi,
01:22:51 ce n'est pas négligé.
01:22:53 Et justement, nous avons fait une causerie
01:22:55 hier en ça, et nous devons
01:22:57 prendre en avant le
01:22:59 "strategic litigation" pour ne pas
01:23:01 protéger qu'une femme, mais pour protéger
01:23:03 toute notre femme. Voilà. Donc,
01:23:05 la conférence aura lieu...
01:23:07 Bon, voilà, je vais vous montrer
01:23:09 ce que je fais
01:23:11 pour vous montrer la situation.
01:23:13 Le 24 novembre,
01:23:15 à l'hôtel Saint-Georges, nous allons faire
01:23:17 une... je ne vais pas vous dire, ce n'est pas une conférence
01:23:19 exactement, mais plutôt un tour
01:23:21 de la femme, nous allons
01:23:23 parler de la justice, nous allons parler de Nansha Bola,
01:23:25 qui est dans Empower.
01:23:27 Nansha Bola, c'est une femme qui a
01:23:29 subi un respect avec lui pendant 5 ans.
01:23:31 C'est une femme "self-made",
01:23:33 et justement, elle a été épouvée par la cause du bullying.
01:23:35 Et nous sommes bien honorés
01:23:37 qu'elle nous ait regardé dans ce jour-là.
01:23:39 Alors, nous vous invitons à tout le monde, madame,
01:23:41 à profiter de cette occasion-là,
01:23:43 que vous puissiez poser vos questions,
01:23:45 vos doutes, gratuitement.
01:23:47 Allez, voilà. Donc, Corinne Camille, merci,
01:23:49 Rukaya Kairati, merci,
01:23:51 Mokjida Petom, merci. Merci à vous, Michael.
01:23:53 Eradu Arintsoa,
01:23:55 Racoteu, Saminara.
01:23:57 Donc, merci beaucoup,
01:23:59 merci d'être venu sur notre plateau.
01:24:01 Bonne soirée à vous tous.
01:24:03 Merci.
01:24:05 Sous-titrage Société Radio-Canada
01:24:07 © Sous-titrage Société Radio-Canada
01:24:09 Sous-titrage Société Radio-Canada
01:24:11 Sous-titrage Société Radio-Canada
01:24:13 Sous-titrage Société Radio-Canada
01:24:15 Sous-titrage Société Radio-Canada
01:24:17 Sous-titrage Société Radio-Canada
01:24:19 Sous-titrage Société Radio-Canada
01:24:21 Sous-titrage Société Radio-Canada
01:24:23 Sous-titrage Société Radio-Canada
01:24:25 Sous-titrage Société Radio-Canada
01:24:27 Sous-titrage Société Radio-Canada
01:24:29 Sous-titrage Société Radio-Canada
01:24:31 Sous-titrage Société Radio-Canada
01:24:33 Sous-titrage Société Radio-Canada
01:24:35 Sous-titrage Société Radio-Canada
01:24:37 Sous-titrage Société Radio-Canada
01:24:39 Sous-titrage Société Radio-Canada
01:24:41 Sous-titrage Société Radio-Canada
01:24:43 Sous-titrage Société Radio-Canada
01:24:45 Sous-titrage Société Radio-Canada
01:24:47 Sous-titrage Société Radio-Canada
01:24:49 Sous-titrage Société Radio-Canada
01:24:51 Sous-titrage Société Radio-Canada
01:24:53 Sous-titrage Société Radio-Canada
01:24:55 Sous-titrage Société Radio-Canada
01:24:57 Sous-titrage Société Radio-Canada
01:24:59 Sous-titrage Société Radio-Canada
01:25:01 Sous-titrage Société Radio-Canada
01:25:03 Sous-titrage Société Radio-Canada
01:25:05 Sous-titrage Société Radio-Canada
01:25:07 Sous-titrage Société Radio-Canada
01:25:09 Sous-titrage Société Radio-Canada
01:25:11 Sous-titrage Société Radio-Canada
01:25:13 Sous-titrage Société Radio-Canada
01:25:15 Sous-titrage Société Radio-Canada
01:25:17 Sous-titrage Société Radio-Canada
01:25:19 Sous-titrage Société Radio-Canada
01:25:21 Sous-titrage Société Radio-Canada
01:25:23 Sous-titrage Société Radio-Canada
01:25:25 Sous-titrage Société Radio-Canada
01:25:27 Sous-titrage Société Radio-Canada
01:25:29 Sous-titrage Société Radio-Canada
01:25:31 Sous-titrage Société Radio-Canada
01:25:33 Sous-titrage Société Radio-Canada
01:25:35 Sous-titrage Société Radio-Canada
01:25:37 Sous-titrage Société Radio-Canada
01:25:39 Sous-titrage Société Radio-Canada
01:25:41 Sous-titrage Société Radio-Canada
01:25:43 Sous-titrage Société Radio-Canada
01:25:45 Sous-titrage Société Radio-Canada
01:25:47 Sous-titrage Société Radio-Canada
01:25:49 Sous-titrage Société Radio-Canada
01:25:51 Sous-titrage Société Radio-Canada
01:25:53 Sous-titrage Société Radio-Canada
01:25:55 Sous-titrage Société Radio-Canada
01:25:57 Sous-titrage Société Radio-Canada
01:25:59 [SILENCE]

Recommandations