Le 1er novembre 2023, le Dr. Ahmat Yacoub Dabio, président du Centre d'études pour le développement et la prévention de l'extrémisme (CEDPE), était l'invité de la Télévision nationale du Tchad, où il a partagé ses réflexions sur l'accord de principe de Kinshasa, signé la veille entre le gouvernement tchadien et le parti Les Transformateurs de Dr. Succes Masra.
L'accord de principe de Kinshasa est salué comme un pas décisif et encourageant par le Dr. Ahmat Yacoub Dabio. Il exprime son optimisme quant à l'impact positif de cet accord sur le processus de réconciliation nationale au Tchad, soulignant que c'est un message destiné à un large éventail d'acteurs politiques, y compris ceux qui n'ont pas encore signé l'accord de Doha, ainsi que les partis politiques qui n'ont pas été impliqués dans le Dialogue National Inclusif (DNIS). Le Dr. Dabio est convaincu que cet accord renforcera la stabilité du pays et favorisera la coexistence pacifique entre les Tchadiens.
Le rôle du facilitateur de la CEEAC, Félix Tshisekedi, a également été salué par le Dr. Ahmat Yacoub Dabio. Il a exprimé sa gratitude envers M. Tshisekedi pour sa capacité à rapprocher les points de vue des parties impliquées, permettant ainsi au leader des Transformateurs, Succès Masra, de revenir au pays et de jouer un rôle politique actif. Il considère que c'est désormais le moment de faire la paix, soulignant la nécessité de s'engager dans un processus de réconciliation qui mettra fin à des décennies d'instabilité au Tchad.
Dr. Ahmat Yacoub Dabio a également appelé à l'implication des acteurs politico-militaires qui n'ont pas encore signé l'accord, ainsi qu'à des discussions constructives avec les partis politiques pour mettre fin aux conflits et se concentrer sur la reconstruction du pays.
L'accord de principe de Kinshasa est perçu comme une avancée significative vers la réconciliation nationale au Tchad, suscitant l'optimisme quant à un avenir de paix et de stabilité pour le pays.
L'accord de principe de Kinshasa est salué comme un pas décisif et encourageant par le Dr. Ahmat Yacoub Dabio. Il exprime son optimisme quant à l'impact positif de cet accord sur le processus de réconciliation nationale au Tchad, soulignant que c'est un message destiné à un large éventail d'acteurs politiques, y compris ceux qui n'ont pas encore signé l'accord de Doha, ainsi que les partis politiques qui n'ont pas été impliqués dans le Dialogue National Inclusif (DNIS). Le Dr. Dabio est convaincu que cet accord renforcera la stabilité du pays et favorisera la coexistence pacifique entre les Tchadiens.
Le rôle du facilitateur de la CEEAC, Félix Tshisekedi, a également été salué par le Dr. Ahmat Yacoub Dabio. Il a exprimé sa gratitude envers M. Tshisekedi pour sa capacité à rapprocher les points de vue des parties impliquées, permettant ainsi au leader des Transformateurs, Succès Masra, de revenir au pays et de jouer un rôle politique actif. Il considère que c'est désormais le moment de faire la paix, soulignant la nécessité de s'engager dans un processus de réconciliation qui mettra fin à des décennies d'instabilité au Tchad.
Dr. Ahmat Yacoub Dabio a également appelé à l'implication des acteurs politico-militaires qui n'ont pas encore signé l'accord, ainsi qu'à des discussions constructives avec les partis politiques pour mettre fin aux conflits et se concentrer sur la reconstruction du pays.
L'accord de principe de Kinshasa est perçu comme une avancée significative vers la réconciliation nationale au Tchad, suscitant l'optimisme quant à un avenir de paix et de stabilité pour le pays.
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00:00 (Propos en arabe)
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00:45 (Propos en arabe)
00:54 (Propos en arabe)
01:19 (Propos en arabe)
01:42 (Propos en arabe)
02:11 (Propos en arabe)
02:26 (Propos en arabe)
02:55 (Propos en arabe)
03:04 Monsieur le Président, en matière de coopération et de recherche de la paix,
03:09 que fait-il pour cet accord ?
03:15 Vous devez savoir que le Tchad a suffisant depuis six époques.
03:20 Des guerres, des combats, et beaucoup de victimes.
03:28 Tous les citoyens tchadiens attendent des moments comme celui-ci,
03:34 qui pourraient soutenir l'espoir de tous les tchadiens
03:41 pour que le Tchad soit un pays pacifique
03:44 et pour que nous puissions faire face à la reconstruction de ce pays
03:51 en matière de politique, économique et social.
03:55 Car nous avons souffert beaucoup.
03:58 Je crois que le peuple tchadien, en son rôle, soutient.
04:02 J'ai vu une réaction il y a un moment.
04:06 Il soutient, mais il dit que l'Egypte ne le représente pas
04:11 et qu'il a d'autres demande.
04:14 C'est pourquoi il faut que les autorités
04:20 se préoccupent de tous ceux qui ont des complotités
04:26 et qu'ils se débattent avec eux.
04:28 Le dialogue n'a pas été seulement pour l'Egypte,
04:31 mais il y a eu plus de 18 mouvements de l'armée
04:38 qui n'ont pas prévu l'accord de Doha.
04:42 Il y a une course à suivre pour les unir.
04:49 Il y a une semaine, le président m'a rencontré
04:54 et nous avons discuté de deux sujets.
04:58 Le premier, c'est le DDR,
05:02 c'est-à-dire la réunification et la rétablissement des opposants
05:07 qui sont des membres des mouvements de l'armée.
05:10 Et la course à suivre pour la réunification
05:13 avec les mouvements qui n'ont pas prévu.
05:16 Je pense que dans les semaines à venir,
05:21 il y aura des initiatives nouvelles.
05:27 Monsieur le Président, est-ce que l'accent
05:29 sur la réunification économique des pays du Moyen-Orient,
05:33 le président de la démocratie du Congo,
05:36 Antoine Félix Kassidi, a-t-il gagné la réunification
05:39 parce que certaines critiques l'ont mis en avant
05:41 dans les années passées ?
05:43 Est-ce qu'il a réussi à faire cela ?
05:45 Je dirais que c'est une étape
05:48 qui est une des étapes qui vont venir.
05:52 Il faut rappeler que le TCHAD a joué un rôle important
05:57 pour soutenir le paix au Congo.
06:00 Le TCHAD a envoyé des forces de défense
06:03 et, de ces forces,
06:05 il y a eu des gens qui ont perdu la vie au Congo.
06:08 C'est pourquoi nous voulons remercier
06:15 le président de la démocratie du Congo
06:18 pour son rôle dans la réunification économique des pays du Moyen-Orient.
06:20 Mais c'est une étape qui est une des étapes
06:25 que nous attendons pour s'assurer
06:29 de soutenir la réunification du pays au TCHAD.
06:34 Que pensons-nous de cette réunification ?
06:37 Ce n'est pas possible.
06:39 Il faut y revenir.
06:42 Il y a un an,
06:44 et c'est le 20 octobre 2022,
06:49 il y a eu une violence au TCHAD.
06:52 Plus de 150 personnes ont été tuées après le jihad.
07:02 C'est une espérance pour les TCHAD.
07:09 Quand nous entendons l'Egypte,
07:12 qui était en train de se développer
07:16 avec des mots très forts
07:21 et parfois très extrêmes,
07:24 il dit qu'il y a un moment pour la guerre
07:28 et un moment pour le paix.
07:30 C'est très bien.
07:32 Monsieur le Président,
07:34 le Centre des études pour la défense des extrêmes
07:39 que vous présentez,
07:41 est-il intéressé par cette file
07:44 qui est un début d'une solution politique ?
07:46 Bien sûr.
07:47 Je vous ai dit que je me suis rencontré
07:50 avec le Président de la République la semaine dernière
07:52 sur la file de la DDR
07:55 et la file de la réunification nationale
07:58 concernant ceux qui n'ont pas été tués.
08:02 Ils étaient 18 et le Président a dit qu'il y avait plus de 40.
08:08 C'est la TCHAD.
08:10 Plus de personnes.
08:11 Oui, plus de personnes.
08:12 Parce que les autorités ont maintenant l'occasion
08:17 de se promouvoir vers la réunification nationale.
08:20 Parce que ceux qui portaient des armes
08:23 sont en situation difficile.
08:26 Parce que plus Libye se déplace,
08:31 plus la défense des extrêmes sera faible.
08:36 C'est à l'intérêt de la gouvernement
08:38 de se promouvoir vers la réunification nationale
08:42 pour que la situation se déplace dans le TCHAD.
08:44 Monsieur le Président,
08:45 quel est le rôle du Centre pour la défense des extrêmes ?
08:51 Le rôle du Centre est d'étudier...
08:57 Nous avons environ 10 chercheurs
09:00 qui étudient la prévention.
09:04 Nous leur disons aux sociétés de la défense
09:07 de faire leur part.
09:09 Comme je l'ai dit au président,
09:13 la DDR est en manque.
09:20 Pour faire la DDR, il faut faire un profil.
09:24 Il faut faire une identification et un recensement
09:27 pour pouvoir faire des comptes.
09:33 Mais nous faisons comme les Français disent,
09:38 "On met la charrue avant le beu."
09:41 Nous avons fait des comptes.
09:42 Nous avons fait des comptes artistiques.
09:45 Mais il faut...
09:48 Le président a accueilli cette idée.
09:52 Nous avons la technologie au Centre
09:56 qui nous aide dans ce domaine techniquement
10:00 et non politiquement.
10:02 Monsieur le Président,
10:04 quelle est votre dernière parole
10:06 sur l'initiative de la Démocratie du Congo ?
10:10 Je ne pense pas que c'est la dernière parole.
10:14 Mais nous voulons que cette réconciliation
10:20 soit une étape pour empêcher
10:24 les autres frontières de se déplacer
10:30 et d'appeler à une réconciliation nationale
10:34 pour que le système se reste en place
10:38 et que nous passions vers les élections libres et indépendantes
10:45 et tout ce que nous voulons pour ce pays.
10:48 le docteur Ahmed Yaqoub Dabia,
10:49 le président du centre d'administration.