Gilles-William Goldnadel : «Notre pays est déjà freiné dans son indépendance à cause de l'immigration»

  • l’année dernière
L'essayiste Gilles-William Goldnadel, réagit aux propos scandés lors de la manifestation pro Palestine, dans Face à Face : «Notre pays est déjà freiné dans son indépendance à cause de l'immigration»

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Transcript
00:00 Malheureusement, il n'y a pas de contradiction.
00:02 Je suis désolé de le dire, les gens qui ont crié à l'AGBAR,
00:10 ceux-là, ils ne se sont pas rendus à Charlie.
00:12 Pas du tout.
00:13 Et d'une certaine manière, beaucoup approuvaient ce qui s'était passé au Bataclan.
00:21 La réalité, elle est là aussi.
00:22 Donc déjà, du temps du Bataclan, croyez-moi, le danger, c'est les mêmes.
00:29 Ce sont les mêmes.
00:31 On ne les a pas vus, les banlieues, dans la manifestation pour Charlie.
00:36 On l'a d'ailleurs remarqué.
00:38 Donc je vous dis pardon de le dire aussi crûment.
00:41 Aujourd'hui, notre pays est déjà freiné,
00:50 parce qu'on parlera peut-être du rôle de M. Macron,
00:53 mais il est déjà freiné dans son indépendance.
00:56 À cause de l'immigration.
00:58 À cause des risques d'insécurité, d'antisémitisme, à cause de l'immigration.
01:02 Mais si l'immigration n'est pas arrêtée,
01:06 on passera à la soumission au sens welbeckien du terme.
01:10 Je pense qu'il faut distinguer.
01:12 [Musique]
01:14 [Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org]

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