Le journaliste Jacques Cardoze qui était ce matin invité en direct de Morandini live est revenu sur son passage à la tête de Complément d'Enquête sur France 2 et son expérience dans la chaîne. Face à Jean-Marc Morandini sur Cnews il a dénoncé la façon dont a été faite l'enquête sur le Puy du fou par son ancienne émission :
"Lorsqu'on fait un portrait sur quelqu'un et que vous avez peu de choses à dire, il faut aller chercher par capillarité des sujets qui n'ont rien à voir. Donc quand on dit qu'on fait des portraits, tout dépend de la façon dont on le fait. C'est ce qui a été fait sur l'enquête sur le Puy du fou par exemple.
On dit qu'on enquête sur le Puy-du-fou mais on va chercher quelqu'un qui affirme avoir été victime d'abus sexuels. Ca n'a aucun rapport avec l'enquête. Sur le Puy du Fou, il y a une malhonnêteté intellectuelle ! Moi quand j'étais à la tête de l'émission jamais je n'aurai laissé passer ça ! J'ai refusé un certain nombre d'enquêtes et de reportages qui ne me paraissaient pas tenir la route."
L’avocat de Philippe de Villiers, Gilles-William Goldnadel, avait annoncé dans le JDD, son intention de porter plainte contre la chaîne publique pour des propos niant le génocide vendéen. Premier point les sommes touchées par Philippe de Villiers, et une grosse colère de Me Gilles-William Goldnadel :
"Dans le cadre d’un véritable réquisitoire à charge, empilant les contre-vérités, ses responsables ont laissé dire par une personne prévenue contre lui et sans aucunement mettre en doute ses accusations, que mon client aurait touché la somme de 15 millions d’euros en contrepartie des scénarios qu’il a écrits pour le Puy du Fou.
Or, à plusieurs reprises, Philippe de Villiers a indiqué solennellement que, jamais et d’aucune manière en quarante ans, ni directement ni indirectement, il n’avait touché ni voulu toucher le moindre centime de rémunération à titre de droit d’auteur ou pour toute autre raison, en contrepartie de ces scénarios.
Je mets au défi les réalisateurs de l’émission de prouver le contraire." Mais ce n'est pas tout car l'avocat est également vent debout contre l'émission de France 2 qui aurait nié le génocide Vendéen dans son reportage."
"Lorsqu'on fait un portrait sur quelqu'un et que vous avez peu de choses à dire, il faut aller chercher par capillarité des sujets qui n'ont rien à voir. Donc quand on dit qu'on fait des portraits, tout dépend de la façon dont on le fait. C'est ce qui a été fait sur l'enquête sur le Puy du fou par exemple.
On dit qu'on enquête sur le Puy-du-fou mais on va chercher quelqu'un qui affirme avoir été victime d'abus sexuels. Ca n'a aucun rapport avec l'enquête. Sur le Puy du Fou, il y a une malhonnêteté intellectuelle ! Moi quand j'étais à la tête de l'émission jamais je n'aurai laissé passer ça ! J'ai refusé un certain nombre d'enquêtes et de reportages qui ne me paraissaient pas tenir la route."
L’avocat de Philippe de Villiers, Gilles-William Goldnadel, avait annoncé dans le JDD, son intention de porter plainte contre la chaîne publique pour des propos niant le génocide vendéen. Premier point les sommes touchées par Philippe de Villiers, et une grosse colère de Me Gilles-William Goldnadel :
"Dans le cadre d’un véritable réquisitoire à charge, empilant les contre-vérités, ses responsables ont laissé dire par une personne prévenue contre lui et sans aucunement mettre en doute ses accusations, que mon client aurait touché la somme de 15 millions d’euros en contrepartie des scénarios qu’il a écrits pour le Puy du Fou.
Or, à plusieurs reprises, Philippe de Villiers a indiqué solennellement que, jamais et d’aucune manière en quarante ans, ni directement ni indirectement, il n’avait touché ni voulu toucher le moindre centime de rémunération à titre de droit d’auteur ou pour toute autre raison, en contrepartie de ces scénarios.
Je mets au défi les réalisateurs de l’émission de prouver le contraire." Mais ce n'est pas tout car l'avocat est également vent debout contre l'émission de France 2 qui aurait nié le génocide Vendéen dans son reportage."
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TVTranscription
00:00 Pour parler de l'enquête sur M. De Villiers sur le Puy du Fou,
00:05 dont vous avez parlé ici dans cette émission,
00:07 on est quand même allé chercher quelqu'un qui a été victime,
00:12 le dit-il, d'abus sexuels.
00:15 Ça n'a aucun rapport avec l'enquête sur le Puy du Fou.
00:18 Pour moi, ça, c'est une forme de malhonnêteté intellectuelle.
00:22 Moi, personnellement, pendant mes trois ans,
00:23 je n'aurais jamais laissé passer quelque chose comme ça.
00:26 J'ai refusé un certain nombre de reportages et d'enquêtes
00:30 qui me paraissaient pas tenir la route.
00:32 Et à l'inverse, il y a certaines choses que je n'ai pas réussi à faire,
00:35 et en particulier cette enquête sur Mélenchon.
00:37 Et je peux vous dire, Jean-Marc, que oui,
00:40 il y a des amitiés au sein de compléments d'enquête.
00:43 Il y a des gens qui sont ouvertement d'extrême gauche
00:45 et à qui ça pose un problème.
00:47 Et je maintiens ce que j'ai dit.
00:49 Une journaliste m'a dit « ce n'est pas possible,
00:51 on ne peut pas faire ça, les Insoumis nous donnent
00:54 un certain nombre de dossiers ».