À votre écoute - Émission du 13 septembre - Vidéo Dailymotion

Sud Radio

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Transcript

00:00 Idealvoyance.fr, coaching de vie spirituelle par téléphone, chat et email présente

00:06 Sud Radio à votre écoute 16h-17h, Alexandre Delovane

00:12 Bonjour à tous, je suis ravi de vous retrouver tous les jours.

00:25 Alors, vous êtes nombreux à vouloir témoigner à l'antenne, certains nous disent qu'ils essaient d'intervenir depuis longtemps

00:32 et je le sais bien, mais ne désespérez pas car notre standard fait un travail extraordinaire

00:39 et nous prenons tous les témoignages qui sont conformes à l'éthique de l'émission.

00:44 Aujourd'hui, c'est peut-être votre tour en appelant le 0826 300 300.

00:50 Alors, je vais un petit peu me confier à vous. Hier soir, lors d'une réflexion, j'ai réfléchi sur le sentiment d'amour.

00:59 J'écoute beaucoup de gens autour de moi qui expriment leur sentiment d'aimer

01:04 mais parfois, il est difficile de dire à ses proches, par peur de leur faire du mal,

01:10 que ce qu'ils expriment n'est pas forcément celui-ci, mais souvent pour combler un vide.

01:16 Les signes indicateurs à ce sentiment d'amour sont comme des étoiles dans les yeux,

01:22 ça peut être aussi des papillons dans le ventre ou même vous pouvez avoir parfois les jambes tremblantes.

01:28 Mais il existe d'autres indications que nous aborderons tout le long de l'émission

01:33 et à 16h30, j'aurai le plaisir d'accueillir Véron Garnier, coach divinatoire

01:39 qui nous donnera l'interprétation et le message universel de la carte du jour par le tarot de Marseille.

01:46 Alors, on a hâte bien sûr de connaître notre message transmis par Véron.

01:51 Cette émission, c'est la vôtre. Je rappelle le numéro, c'est le 0826 300 300.

01:56 Vous pouvez aussi échanger et partager vos avis sur le groupe Facebook à votre écoute

02:02 et nous sommes en direct live sur Youtube.

02:04 Aujourd'hui à la réalisation de l'émission, c'est Lucille, au standard, Aude et Jordan.

02:10 Alors là, je viens juste de lire un petit post sur le groupe à votre écoute, Eva Cecilia,

02:26 qui nous dit qu'aujourd'hui, c'est la Sainte-Emée.

02:29 Alors, j'ignorais totalement puisque je vais vous parler un petit peu du sentiment d'amour.

02:34 Est-ce que c'est un hasard ou coïncidence ? Je dirais que c'est plus de la synchronicité.

02:39 Allez, si on écoutait Samira. Bonjour Samira.

02:42 Bonjour Alexandre, enchantée d'être à l'antenne avec vous.

02:46 Avec grand plaisir, merci de votre fidélité à Sud Radio.

02:51 Alors, juste avant de démarrer sur votre témoignage, je vais vous poser cette petite question du jour.

02:57 Avez-vous eu déjà le sentiment d'aimer, ce sentiment d'amour ?

03:02 Et quel a été, si c'est le cas, votre ressenti, votre sensation ?

03:06 Ben oui, je l'ai eu à plusieurs reprises, comme beaucoup de femmes à mon avis de mon âge.

03:13 Un sentiment de plénitude, de joie, de bonheur.

03:18 Après, avec toujours des hauts et des bas.

03:22 Est-ce que vous n'avez pas un sentiment où à un moment donné, on perd pied un peu ?

03:27 Oui, oui.

03:30 Mais après, j'essaye de m'entrer dans le sol quand même.

03:33 Exactement, il faut surtout.

03:35 Alors justement, on va revenir sur votre sujet Samira, parce qu'on va parler aussi d'amour.

03:40 Vous êtes en couple depuis deux ans et demi.

03:43 Depuis trois ans.

03:45 Bon, d'accord, j'avais l'info deux ans et demi, mais on va dire trois ans, puisque c'est votre information et elle est juste.

03:50 Votre compagnon auparavant était marié à une femme durant plus d'une vingtaine d'années, c'est ça ?

03:57 Tout à fait.

03:58 Et aujourd'hui, il est dans une procédure de divorce qui est toujours en cours et compliquée.

04:04 Alors, son ex-femme ne connaît pas votre existence et ne sait pas donc que vous êtes dans sa vie.

04:14 Lui-même a trois enfants de 18, de 20 ans et 22 ans.

04:18 Vous ne les connaissez pas non plus.

04:20 Alors racontez-nous un petit peu en détail la rencontre déjà avec cet homme, comment ça se passe au fil des jours

04:26 et comment vous vivez cette histoire qui me semble un petit peu compliquée quand même.

04:30 Alors écoutez, cette rencontre se fait sur un site de rencontre.

04:33 Il y a quelque chose de complètement improbable.

04:36 Voilà, et au fil des jours, des mois, on est devenus fusionnels.

04:43 Enfin vraiment un bel amour, quelqu'un de très bienveillant, gentil, toujours dans la gentillesse, la bienveillance, dans l'écoute,

04:52 en essayant toujours de faire au mieux par rapport à sa situation un peu compliquée, par rapport à la mienne qui est très simple.

05:01 Donc après, au fil des mois, des ans, on est vraiment devenus un couple à part entière,

05:08 où on passe des week-ends ensemble, des vacances ensemble,

05:11 où je vais, je viens chez lui dès que les enfants ne sont pas là.

05:16 Mais cette histoire de divorce qui n'en finit plus,

05:21 où son ex fait constamment appel par rapport à des problèmes financiers,

05:25 c'est quelque chose qui me pèse, qui lui pèse aussi.

05:29 Lui, comme beaucoup d'hommes, est moins dans l'expansion que moi.

05:35 Mais voilà, je sens que ça lui pèse, qu'il fait au mieux par rapport à notre relation.

05:40 Mais moi, c'est quelque chose qui commence à me peser de plus en plus,

05:44 car j'ai l'impression d'être cachée.

05:46 Lui me dit que non.

05:47 Moi, c'est mon sentiment.

05:49 C'est un sentiment qui, certains jours, ne me fait rien, d'autres jours, ne me fait plus de la peine.

05:55 Bien sûr, vous cherchez votre place un peu.

05:57 Voilà, et j'aurais voulu, après, à côté de ça, c'est vrai qu'il ne me cache pas vraiment,

06:01 parce qu'il m'a présenté à sa sœur, à des collègues.

06:04 Enfin, je sens que je ne suis pas cachée,

06:07 sauf pour ses enfants et son ex,

06:09 pour que ça n'amplifie pas les problèmes liés à ce divorce.

06:14 Donc moi, j'ai confiance en notre amour.

06:18 Je sais que cet amour, il est là.

06:20 Les sentiments sont là.

06:22 Les sentiments sont là.

06:23 Déjà, c'est beaucoup.

06:24 Il y a des synchronicités qui sont carrément bizarres,

06:27 que je note depuis trois ans qu'on est ensemble.

06:30 Donc voilà, pour moi, c'est vraiment une évidence que c'est ma sœur qui me l'a envoyé, cet homme.

06:35 Et ma sœur décédée.

06:38 Et voilà, donc moi, maintenant, j'attends, j'attends, j'attends,

06:42 au fil des mois, des années,

06:45 à chaque fois, elle fait appel, elle fait appel.

06:47 Moi, c'était de savoir quand est-ce que ce divorce va avoir lieu.

06:52 Et suite à ce divorce, est-ce qu'il va y avoir vraiment une vie en commun,

06:57 une vie de famille recomposée, des enfants en commun,

07:00 enfin des enfants, voilà, que nos enfants se rencontrent et qu'on forme une famille à part entière.

07:07 Effectivement, je comprends bien votre situation.

07:09 Et j'ai bien entendu votre souhait de vous réaliser dans cette vie,

07:15 dans cette réalisation ensemble, dans cette histoire, tout simplement,

07:19 de pouvoir suivre un chemin, on va dire, normal et sans pour autant qu'il soit parasité.

07:26 Alors, aujourd'hui, de ce que je ressens par rapport à cet homme,

07:30 c'est qu'il y a une certaine forme de maladresse.

07:32 Et quand je parle de maladresse, ce n'est pas pour porter un jugement

07:35 et pour essayer de le condamner ou dire de cet homme qui fait mal des choses,

07:41 mais je crois qu'il est face à une culpabilité.

07:45 Une culpabilité déjà de divorcer, de se séparer de cette famille,

07:51 parce que même si pour lui, il était nécessaire de se séparer pour différentes raisons,

07:57 peut-être parce qu'il avait le sentiment d'avoir vécu ce qu'il avait à vivre avec son ex-femme,

08:03 mais aussi parce qu'il vous a rencontrés et aujourd'hui, il a envie d'avancer et d'évoluer.

08:08 Mais quand je parle de maladresse, c'est une maladresse plus sur le fait qu'il n'affirme pas les choses.

08:14 Il n'arrive pas à se responsabiliser sur certaines choses et donc ça complique l'existence.

08:20 Et j'aurais tendance même à dire qu'inconsciemment,

08:23 Samir Aïk, c'est lui qui est un peu le maître de tout ça

08:28 et qui est un peu à l'œuvre de certaines complications.

08:32 Ensuite, chacun a sa personnalité, bien entendu,

08:36 et moi le but, ce n'est pas de faire un bilan sur lui ou sur son ex-femme.

08:40 Je crois qu'il y a une situation matérielle qui est là, qui est importante

08:44 et sur laquelle il doit être prudent pour éviter de perdre beaucoup de choses

08:50 et de préserver aussi autant pour lui que pour ses enfants et que pour son ex-femme.

08:54 Donc c'est sur cet aspect-là où les choses semblent être compliquées

08:58 sur peut-être la notion de l'entente matérielle et de la notion du partage.

09:03 Mais on arrive à une fin de procédure et on dirait que sur le début de l'année prochaine,

09:09 il semblerait qu'il y ait des conclusions qui se fassent

09:13 et qui soient données sûrement par la justice, évidemment,

09:17 et ça permettra de se libérer et de pouvoir ensemble envisager notre avenir.

09:23 Donc pour moi, tout est une question encore de persévérance,

09:27 une question de confiance, mais vous arrivez au bout

09:31 et il va pouvoir se dégager, même si le terme est un peu familier,

09:36 pouvoir en tous les cas sortir de la difficulté et de la fragilité dans laquelle il est aujourd'hui.

09:42 Oui, tout à fait. Écoutez, vous avez vraiment analysé vraiment d'une façon très claire et nette.

09:49 Il est dans la culpabilité, même si ce n'est pas lui qui est à l'origine de cette demande de divorce,

09:56 mais il est dans la culpabilité. En plus, on est tous les deux issus de familles maghrébines

10:02 avec beaucoup de principes et de valeurs, beaucoup de noms dits.

10:08 Samira, ce que je peux faire, c'est de vous inviter à nous recontacter

10:14 le moment où les choses vont évoluer pour qu'on puisse peut-être ensemble

10:18 voir ce qui va devenir de votre histoire, la continuité de votre histoire.

10:22 Est-ce que ça vous dit de nous rappeler lors de...

10:26 Dans l'immédiat, vous nous voyez rester ensemble.

10:29 Oui, complètement, vous allez rester ensemble et n'hésitez pas à nous rappeler.

10:33 Merci pour votre témoignage et prenez soin de vous.

10:37 Merci, au revoir.

10:38 Allez, on vous attend au standard, au 0826 300 300.

10:42 On se retrouve dans quelques minutes avec Vanessa qui vit une passion artisanale

10:48 et elle veut nous faire partager cette passion, mais elle nous parlera aussi

10:52 de cette volonté de devenir magnétiseuse. A tout de suite.

10:56 Et de retour sur Sud Radio, merci d'être à l'écoute de cette émission.

11:00 Une émission de confidence, de partage, de guidance et surtout de confiance

11:04 comme Vanessa que l'on retrouve dans quelques instants.

11:07 Mais avant tout, le savez-vous que le sentiment amoureux n'est pas que de l'ordre du pulsonnel,

11:15 mais aussi de l'empathie et de l'authenticité.

11:18 Alors, vous souhaitez témoigner et poser des questions, c'est au 0826 300 300.

11:24 Si on écoutait Vanessa. Bonjour Vanessa.

11:26 Oui, bonjour Alexandre.

11:28 Bienvenue sur Sud Radio.

11:30 Merci, c'est un plaisir, merci.

11:32 Est-ce qu'il fait beau là où vous êtes ?

11:33 Oui, je suis dans le Morbihan, il fait beau.

11:35 Ah super, très belle région.

11:37 Oui.

11:38 Vanessa, vous êtes artisan depuis 20 ans.

11:41 Oui.

11:42 C'est un métier passion qui vous prend beaucoup de temps, vous travaillez beaucoup

11:47 sur votre créativité puisque vous faites des perles de verre

11:51 et vous les travaillez même au chalumeau, c'est bien ça ?

11:54 C'est ça, fileuse de verre au chalumeau, oui.

11:57 Ah super, alors racontez-nous.

11:58 C'est des beaux métiers.

11:59 Exactement, et plutôt rare aujourd'hui.

12:01 Oui, tout à fait.

12:02 Surtout de la manière dont vous travaillez, dans sa méthodologie et tout ça.

12:05 Alors racontez-nous un petit peu comment vous êtes arrivée à ce genre d'activité

12:10 et pour quel objet aussi vous créez des perles ?

12:13 Alors en fait, je voulais m'orienter dans la bijouterie classique,

12:17 ce qui est la bijouterie métaux précieux, et de fil en aiguille,

12:21 j'ai été découvrir un atelier de perles de verre,

12:24 qu'à l'époque je ne savais même pas que c'était fait à la main, les perles de verre.

12:27 Et en fait, j'ai été subjuguée, j'ai été vraiment éprise de la gestuelle des filles dans l'atelier,

12:37 du bruit, de la flamme, de tout.

12:39 Et puis en fin de compte, j'ai été employée tout de suite.

12:42 Donc en fait, je n'ai pas fait de bijouterie joaillerie,

12:45 j'ai atterri dans la perle de verre,

12:48 métier que je pratique depuis 20 ans, et plus de 15 ans à mon compte.

12:53 D'accord, et c'est un métier recherché aujourd'hui ?

12:56 Alors, recherché, je ne sais pas si c'est le mot,

12:59 parce que le verre est un petit peu "malade" en France, depuis longtemps.

13:04 Donc la perle de verre, on est vraiment dans une niche,

13:07 c'est vraiment quelque chose de très particulier.

13:09 Moi, je fais principalement des bijoux,

13:11 mais je ne peux pas dire que ce soit recherché,

13:13 même si on s'adresse à une clientèle quand même un peu de connaisseurs.

13:18 Mais je ne peux pas, voilà, le mot recherché n'est peut-être pas là.

13:23 Je suis désolé, il n'est pas bien approprié, je suis désolé, mais il fallait le dire.

13:29 Mais voilà, tout à fait, après, il y a des connaisseurs, il y a des amateurs,

13:33 les gens recherchent un peu le beau et de l'exceptionnel dans le sens propre du terme.

13:38 Voilà, c'est des choses assez rares.

13:40 On peut continuer, vous ne m'en voulez pas ?

13:42 Non, pas du tout.

13:43 Allez, on continue.

13:45 Alors, vraiment, vous avez, Vanessa, découvert par la suite un don,

13:51 qui est le magnétisme.

13:52 Et vous avez d'abord essayé au travers de votre entourage.

13:57 Et puis, ça fait deux ans qu'apparemment, bien, vous réfléchissez sérieusement à cette activité-là.

14:02 C'est bien ça ?

14:03 Oui, tout à fait.

14:04 Oui, j'ai toujours été un petit peu connectée,

14:06 c'est-à-dire que je me suis mise à voir les auras par hasard, en fait.

14:11 Ça m'est venu par hasard, il y a une vingtaine d'années à peu près.

14:13 J'étais encore au lycée à l'époque, vous voyez, donc ça fait même plus de 20 ans.

14:16 Et puis, voilà, du coup, j'ai toujours été un petit peu connectée,

14:20 à ressentir, à voir des choses un peu.

14:23 Et je me suivrai.

14:25 Oui, justement, là, par contre, c'est ma partie.

14:27 Et je peux dire que des personnes comme vous sont quand même assez recherchées.

14:31 Et ça, vous n'allez pas me le contredire.

14:33 Merci, Vanessa.

14:35 Je prends !

14:37 Il fallait, il fallait.

14:39 Et alors, comment ça se passe pour vous ?

14:42 Comment vous évoluez dans cette discipline-là ?

14:46 Et comment vous en êtes aperçue au premier abord ?

14:49 Alors, aperçue, en fait, ça s'est fait vraiment, je vais dire, comme mon métier de base.

14:55 C'est par rencontre de gens et de faits variés.

15:01 Enfin, pas de hasard, parce que je ne sors pas au hasard.

15:03 Mais j'ai retrouvé un amour de jeunesse qui m'a parlé de ce qu'il faisait.

15:10 En fait, ça me parlait, quoi.

15:12 Il y avait des choses qui me parlaient beaucoup.

15:15 Et puis, ayant déjà un petit peu des facultés non exploitées du tout,

15:20 mais du coup, ça m'a ouvert un petit peu.

15:22 Je me suis dit, pourquoi pas, en fait.

15:24 Et donc, j'ai commencé à lire des bouquins,

15:27 à me brancher un peu sur le sujet par moi-même.

15:30 Et de là, j'ai été formée.

15:32 Et puis, pratiquement, j'ai appris un bouquin, j'ai commencé à magnétiser.

15:35 Citron, ça marchait. De l'eau, ça marchait.

15:38 Enfin, voilà. Un peu tout ce qui me tombait sous la main.

15:40 Et donc, j'ai fait une formation type à ça.

15:42 Et puis, ça marche, quoi.

15:44 Et vous pratiquez aujourd'hui ?

15:46 Alors, je pratique, mais de façon en loisir,

15:48 parce que mon premier métier me prend beaucoup de temps.

15:51 Et puis, en fait, je fais ça de bouche à oreille.

15:53 Donc, sur la famille, principalement, les amis, les animaux, mes chats,

15:56 quand ils veulent bien rester en place.

15:58 Mais vous voyez, j'aimerais bien.

16:01 Mon métier me prend beaucoup de place,

16:03 mais j'aimerais effectivement développer une autre activité.

16:07 Voilà, une deuxième activité que je ne pourrais pas pratiquer autant que la première.

16:11 Et c'est peut-être bien cette question-là que vous voulez me poser ?

16:15 Oui, c'est ça.

16:16 C'est savoir si vous me voyez professionnaliser la chose,

16:20 tout en sachant que là, je vais me faire une autre formation

16:22 pour peaufiner certaines techniques.

16:24 D'accord.

16:25 Alors, je vous réponds tout de suite.

16:27 Vous souhaitez, Vanessa, que je vous réponde ?

16:29 Oui.

16:30 Ah, très bien.

16:31 Alors, effectivement, pour moi, je pense que vous avez un besoin

16:35 de développer ou en tous les cas d'apporter aux autres.

16:38 Et ce n'est pas seulement de vouloir prouver ce que vous avez en termes de dons,

16:43 mais c'est aussi cette notion de transmission qui semble ressortir chez vous.

16:49 Il y a une certaine forme de générosité en vous.

16:52 Et quand je parle de générosité, c'est par rapport à ce que vous pouvez donner

16:56 avec l'humain et ce que vous pouvez transmettre à l'humain.

16:59 Donc, pour moi, oui, les choses vont se mettre en place progressivement.

17:03 Alors après, bien entendu, ça reste aléatoire parce qu'il faut du temps.

17:08 Il faut aussi qu'il y ait un climat de confiance qui s'installe entre vous

17:12 et les personnes qui viennent vous voir.

17:15 Mais si vous restez, comme je vous ressens aujourd'hui, intègres, honnêtes,

17:20 vous verrez que progressivement, les choses vont évoluer.

17:23 Et je n'ai pas de doute sur votre possibilité de réalisation à ce niveau-là.

17:28 Ça prend du temps parce qu'effectivement, il y a toujours cette activité-là

17:32 en tant qu'artisan qui est là et qui vous occupe.

17:36 Et puis, cette nouvelle activité où vous avez besoin de gagner peut-être en confiance,

17:40 de trouver un endroit aussi qui soit un endroit plus adapté à vous

17:44 et qui vous corresponde, qui soit en bonne résonance.

17:46 Mais pour moi, oui, sans problème, je vous sens développé.

17:50 D'accord. C'est gentil, ça m'a mis la larme à l'œil.

17:53 C'est super. Je partage avec vous ce sentiment-là aussi.

17:56 Et parce que je suis heureux de vous avoir entendu, je pense que nos éditeurs aussi.

18:00 Merci à vous Vanessa, prenez soin de vous et faites du bien aux autres aussi.

18:06 Bonne émission.

18:07 Allez, si on vous attend à l'antenne, c'est au 0826 300 300.

18:11 Ne bougez pas, on revient dans un instant avec notre experte du jour,

18:15 Véronne Garnier, formatrice dans les arts divinatoires et coach divinatoire.

18:19 Elle nous parlera de la vibration du jour avec le Tarot de Marseille.

18:22 A tout de suite.

18:23 Sud Radio, à votre écoute, 16h17, Alexandre Delovane.

18:28 Et nous arrivons presque à l'heure des 16h30, de retour bien sûr sur Sud Radio.

18:33 Et je vous rappelle que nous sommes en direct live sur YouTube.

18:37 Alors, comme tous les mercredis, j'ai le plaisir d'accueillir Véronne Garnier,

18:42 formatrice dans les arts divinatoires et coach divinatoire.

18:46 Eh bien, bonjour Véronne.

18:48 Eh bien, bonjour Alexandre et bonjour à tous les auditeurs.

18:51 Quel bonheur de vous entendre.

18:54 Également.

18:55 Bon, alors aussi le bonheur et la joie de savoir quelle sera notre carte du jour,

19:01 celle qui, la vibration du moment par le Tarot de Marseille, c'est ça ?

19:06 C'est bien ça.

19:07 Et la carte d'aujourd'hui, c'est l'arcadiciste, l'amoureux.

19:10 Alors, pour vous remettre dans le contexte.

19:12 Juste une question, pour qu'on sache et pour que les auditeurs puissent comprendre.

19:15 Comment vous faites, Véronne, pour choisir cette carte ?

19:18 Je les ai choisies en amont en fait, par rapport à la semaine.

19:21 Voilà, donc elle est bien pour aujourd'hui et elle peut quand même étendre son énergie pendant toute la semaine.

19:26 D'accord, d'accord.

19:27 C'est important de le préciser, je pense.

19:29 Eh oui, parce qu'il n'y a pas de hasard.

19:31 Donc voilà, la carte qui est sortie aujourd'hui, c'est bien pour aujourd'hui.

19:34 Alors justement, c'est l'arcadiciste et l'amoureux.

19:37 Et donc, pour vous remettre dans le contexte, visualisez un jeune homme debout face à un énorme dilemme.

19:42 Il est entouré de chaque côté par deux jeunes femmes et au-dessus de sa tête se trouve un ange armé,

19:47 prêt à décocher sa flèche.

19:49 Alors, cette carte vous transmet un message important, Alexandre.

19:52 Vous êtes tous peut-être confrontés actuellement à un choix, qu'il soit petit ou grand d'ailleurs,

19:57 et vous ne parvenez pas à prendre une décision.

19:59 Et ce choix, attention, ne représente pas seulement un choix sentimental,

20:03 comme le nom de cette carte pourrait le laisser penser,

20:05 mais plutôt un choix de cœur, tout domaine confondu.

20:09 Il vous rappelle que vous êtes à la croisée des chemins et que plusieurs options s'offrent à vous.

20:14 Je sais bien, les choix sont toujours déstabilisants,

20:17 parce que le mental s'empresse de nous bombarder de peur, d'incertitude,

20:20 ce qui est normal, car le mental déteste le changement.

20:23 Il n'est pas adaptable du tout.

20:25 Le doute, qui nous fait hésiter à prendre une décision, lui appartient au mental.

20:29 Et vous savez, on dit que le doute, c'est une pensée qui en télescope une autre de nature complètement différente.

20:34 Et le message de l'amoureux est clair.

20:36 Il vous demande de faire un choix, d'avoir foi en vous-même,

20:40 de prêter une oreille attentive à votre petite voix intérieure,

20:43 en faisant toutefois attention, évidemment, de distinguer la voix de la sagesse et la voix de l'ego.

20:49 - Alors ça tombe bien, parce que justement, le sujet du jour, aujourd'hui, c'est sur le sentiment d'aimer.

20:54 Et justement, on parle de choix et ça, c'est très intéressant.

20:57 Alors Véron, est-ce qu'il y a un petit exercice que vous pourriez nous recommander à faire ?

21:02 - Oui, même deux.

21:03 Alors il y a un petit exercice déjà très simple à faire,

21:06 afin de vous aider justement à prendre une décision.

21:09 Prenez quelques instants pour vous centrer dans un endroit calme, bien entendu.

21:13 Vous allez fermer les yeux, vous allez respirer profondément.

21:16 Et là, vous allez vous visualiser face à votre questionnement.

21:21 Vous allez ressentir la présence rassurante de votre cœur

21:25 et vous allez laisser votre intuition vous guider vers la réponse qui résonne le plus avec votre moi intime.

21:31 Et vous pouvez également, et ça, ça fonctionne très bien, avant de vous endormir,

21:36 demander à votre être intérieur de vous guider vers la meilleure option.

21:40 Et vous serez surpris de recevoir des signes le lendemain ou les jours suivants,

21:44 peut-être pas tout de suite en se réveillant,

21:46 qui vont vous aider à vous diriger vers l'évidence.

21:49 Pour conclure, souvenez-vous que le choix que vous vous apprêtez à faire est le vôtre.

21:55 Et qu'à ce titre, il est précieux.

21:57 Que les erreurs font partie de la vie et que grâce à elles,

22:00 vous contribuez à devenir la meilleure version de vous-même.

22:03 - Mais c'est magnifique.

22:04 Et puis Vérone, je pense qu'on est tous face à un choix, quel que soit le choix.

22:08 - Tout le temps.

22:09 - Voilà, tout le temps.

22:10 Et votre message est très important et je crois que tous nos éditeurs ont bien entendu.

22:14 Alors merci Vérone Garnier pour votre intervention.

22:19 On vous retrouve mercredi prochain pour un nouveau message du Tarot de Marseille.

22:24 J'aimerais sincèrement, Vérone, que mercredi ce soit demain encore.

22:27 - Oui, merci beaucoup, Alexandre.

22:29 Merci à tous et à la semaine prochaine.

22:31 - Merci. Passez une belle fin de journée.

22:34 Et à présent, j'accueille Isabelle. Bonjour Isabelle.

22:37 - Bonjour Alexandre.

22:39 - Bienvenue sur Sud Radio.

22:41 - Merci beaucoup de m'accueillir.

22:43 - Alors Isabelle, vous vous appelez pour votre fils.

22:47 - Oui.

22:48 - C'est bien ça.

22:49 Mais juste, puisqu'on parle du sentiment d'amour aujourd'hui,

22:52 est-ce que vous-même, vous avez eu ce sentiment

22:55 ou est-ce que, comme le dit si bien aujourd'hui Vérone,

22:58 vous êtes face à un choix, peut-être un choix différent ?

23:02 Est-ce que dans votre vie personnelle,

23:05 vous êtes face à une situation comme ça ?

23:08 Ou un sentiment ?

23:11 C'est peut-être une question qui est un peu délicate.

23:14 Surtout que vous vous appelez pour votre fils.

23:16 Mais vous avez déjà vécu ce sentiment d'amour ?

23:19 - Ah oui, je suis une amoureuse, moi, de la vie.

23:21 - Ah, voilà, voilà.

23:23 Et quel a été, je dirais, le sentiment,

23:26 le premier sentiment que vous avez eu face à une rencontre,

23:29 face à quelqu'un ?

23:30 C'était quoi pour vous ?

23:32 - Ah, ça peut être plein de choses, mais ça palpite.

23:34 Moi, j'écoute en général mes vibrations,

23:36 donc voilà, ça vibre de partout.

23:40 - Exactement.

23:41 - C'est ça mon guide.

23:42 - Et ça vibre, effectivement.

23:43 Alors, Isabelle, ça fait deux ans,

23:46 on va revenir sur votre fils,

23:47 ça fait deux ans qu'il est en CDI dans un restaurant.

23:51 À ce jour, il ne se sent pas bien dans son poste

23:54 et il souhaite démissionner.

23:56 Son patron lui a demandé de rester jusqu'à la fin octobre,

23:59 si c'est bien ça.

24:00 Voilà, et il a accepté en demandant à son patron

24:04 d'améliorer son rythme de travail

24:06 pour qu'il puisse vivre ses jours un peu plus sereinement.

24:11 Et de ce que j'ai aussi comme information sur votre fils,

24:14 vous le sentez, malgré tout, un homme volontaire,

24:17 motivé à évoluer dans sa vie,

24:20 même peut-être à vouloir changer de secteur d'activité.

24:24 Alors Isabelle, racontez-nous déjà

24:27 pourquoi il se retrouve dans cette situation actuelle,

24:30 quelles sont peut-être ses conditions de travail

24:32 et a-t-il évolué au sein de ce restaurant ?

24:35 - Alors oui, il a évolué,

24:38 puisque quand il a commencé,

24:40 il avait touché la restauration,

24:42 mais il voulait rajouter cette corde à son arc,

24:45 c'est-à-dire le service.

24:47 Et puis il est passé responsable de salle.

24:50 Et bon, il savait que c'était sa dernière expérience

24:56 parce qu'il a 22 ans,

24:58 mais ça fait 6 ans quand même qu'il est dans la restauration.

25:00 - 6 ans, il a commencé jeune donc ?

25:02 - Voilà, il a commencé à 16 ans.

25:04 - Il était apprenti ?

25:06 - Il est passé par un peu tous les stades,

25:08 plongeur, comique cuisine, voilà.

25:12 Et puis là, non, c'est vrai qu'avec...

25:15 Alors, c'est pas la patronne, c'est la femme du patron,

25:18 ça se passe pas bien du tout.

25:20 Il avait cerné le personnage,

25:22 mais depuis qu'il a annoncé en plus qu'il voulait partir,

25:25 c'est très compliqué.

25:27 Et mon fils prend les choses très à cœur,

25:31 et il le vit très très mal.

25:33 Il va pas bien du tout.

25:35 - Mais qu'est-ce qu'aujourd'hui il ne supporte plus

25:37 dans les conditions de travail ?

25:38 Bon, bien sûr qu'on sait que la restauration,

25:40 c'est un métier très ingrat au niveau des horaires,

25:42 au niveau d'une certaine rigueur, d'exigence et tout ça,

25:45 mais est-ce qu'il y avait des choses sur lesquelles

25:47 ces derniers temps ça s'est dégradé au-delà

25:49 du moment où il a annoncé qu'il s'arrêtait ?

25:52 Est-ce qu'il y a autre chose qui, pour votre fils,

25:55 était devenue insupportable ?

25:57 - Oui, je pense que c'est ce rapport avec ce femme.

26:02 Et puis, dans sa tête, de toute façon,

26:04 il avait choisi de passer par la restauration

26:07 en prévision de voyage,

26:09 parce qu'il s'est dit qu'avec ça,

26:11 il pourrait travailler partout.

26:13 Donc je pense qu'il a fait le tour de la question aussi.

26:16 - D'accord. Alors effectivement, moi,

26:18 de ce que je ressens, et même si les rapports sont difficiles,

26:21 avec la femme du patron,

26:23 mais je sens que votre fils est arrivé

26:26 à une échéance de sa vie, où il a fait un peu le tour de tout.

26:29 Et je crois qu'il s'est peut-être braqué,

26:33 et peut-être que, attention, je ne suis pas en train

26:35 de soutenir qui que ce soit, parce que je ne connais pas l'histoire,

26:37 et je ne me permettrai pas,

26:39 mais je crois que lui-même, et de ce que je ressens,

26:42 par rapport à votre fils,

26:44 il a été dans un état réactionnel.

26:46 Pourquoi ? Parce que lui a envie d'autre chose,

26:49 et lui n'est plus peut-être impliqué

26:51 de la même manière qu'il l'a été auparavant.

26:54 Donc il est devenu, je ne veux pas dire susceptible,

26:57 mais il est peut-être moins...

27:00 il est plus sensible à certaines réactions,

27:02 et peut-être moins souple sur ce qu'il aurait pu vivre

27:06 ou ce qu'il aurait pu faire auparavant

27:08 dans cette structure et dans cette société.

27:10 Alors, ce n'est pas grave en soi.

27:12 Ce n'est pas grave, parce que je crois qu'au contraire,

27:14 il a évolué,

27:16 il a montré preuve de courage, de force,

27:19 de volonté jusqu'à présent,

27:21 et puis à un moment donné, il faut savoir aussi s'arrêter,

27:23 il faut savoir aussi peut-être passer le relais,

27:26 et c'est ce qu'il est en train de faire aujourd'hui.

27:29 Et le fait de partir dans des conditions

27:31 comme il est en train de les négocier,

27:35 en demandant un allègement sur sa manière de travailler

27:39 et d'accepter le délai que son patron lui a fait,

27:42 je pense que c'est une manière de partir

27:45 de manière convenable

27:47 et avec beaucoup de respect des uns et des autres.

27:50 Donc, les choses vont se libérer pour lui.

27:53 Après, bien entendu qu'aujourd'hui,

27:56 votre fils est dans une réaction un peu émotionnelle,

27:58 donc ça peut lui être encore difficile,

28:00 mais tout ça va passer, ne vous inquiétez pas.

28:02 Et je le sens, effectivement,

28:04 vouloir un peu de temps pour lui,

28:07 pour réfléchir, peut-être voyager,

28:09 peut-être aussi prendre la décision

28:12 de monter un projet professionnel, personnel,

28:15 mais avoir ce besoin d'aller vers une petite formation.

28:19 Et je le sens, réfléchir, voyager,

28:22 une formation et ensuite se remettre

28:25 dans une autre activité,

28:27 avec à la clé une activité indépendante

28:30 et aussi rattachée à une structure et à une entreprise.

28:34 Et une activité qui lui permet de travailler la créativité.

28:37 Super !

28:39 Voilà, Isabelle, de ce que je ressens pour votre fils.

28:42 Je pense que c'est ses projets, oui.

28:44 D'accord, mais écoutez, n'hésitez pas à nous tenir au courant pour la suite.

28:48 C'est gentil, merci beaucoup.

28:50 Merci à vous, prenez soin de vous et de votre fils, bien entendu.

28:53 Merci, Alexandre, au revoir.

28:55 Sud Radio, à votre écoute, Alexandre Delevanne.

29:00 Et la parole est à Sabine. Bonjour, Sabine.

29:03 Bonjour, Alexandre.

29:05 Sabine, vous vous appelez d'où ?

29:07 De l'Occitanie.

29:09 D'accord. Alors, je sais que vous nous appelez pour un sujet très différent.

29:15 Mais vu que vous êtes en couple, et en fonction de mes informations,

29:18 est-ce que vous, et parce que c'est la question du jour,

29:21 est-ce que vous avez vécu déjà ce sentiment d'amour ?

29:24 Et peut-être, je pense, envers votre mari, non ?

29:27 Oui, oui, très fort.

29:29 Voilà, exactement, c'est super d'entendre ça.

29:31 Et quelles ont été les sensations, les effets,

29:34 que ce sentiment d'amour vous a procuré ?

29:38 Alors, nous, en plus, on travaille ensemble.

29:42 Donc, voilà, aujourd'hui, j'aurais beaucoup de mal, d'ailleurs,

29:46 de me passer de lui, parce qu'en étant...

29:49 D'un attachement.

29:50 Oui, oui, oui. Donc, toujours ensemble, travailler ensemble,

29:53 faire notre vie ensemble, quoi.

29:55 C'est très important pour nous, pour, voilà, d'avoir réussi.

30:00 Je dirais même que ce n'est pas évident de vivre une vie à deux, en couple,

30:05 et aussi de devoir associer le travail,

30:08 parce qu'il faut arriver à dissocier tout ça et faire la part des choses.

30:13 Et quand un couple fonctionne très bien, eh bien, c'est plutôt bravo.

30:17 Et ça dure depuis combien de temps, comme ça ?

30:19 Ça fait 35 ans.

30:21 35 ans, effectivement.

30:23 Alors, justement, et là, je rebondis un peu sur votre questionnement,

30:26 parce que vous avez une exploitation agricole viticole,

30:29 depuis 30 ans, c'est ça ?

30:31 Oui, un peu plus de 30 ans.

30:33 Un peu plus de 30 ans.

30:34 Vous êtes aujourd'hui, et vous avez le sentiment que vous êtes arrivé au bout d'une échéance,

30:39 et vous avez décidé de vendre cette exploitation.

30:42 Il y a eu une proposition pour vous, et malheureusement,

30:46 il y a eu un non-aboutissement à la vente, et vous avez été déçue.

30:51 Alors, pour quelle raison vous n'avez pas réussi à vendre cette exploitation-là ?

30:56 Parce qu'en fait, ils n'ont pas eu tous les accords financiers.

31:00 Il y avait les accords financiers, mais il y avait un apport qui devait être là,

31:05 et en fait, qui n'a pas été là.

31:06 Et du coup, la banque, après, n'a pas suivi, vu que l'apport personnel n'était pas là.

31:11 D'accord. Donc, ce n'était pas un problème de malhonnêteté ?

31:15 Non.

31:16 Non, c'était juste pour eux, vis-à-vis des engagements financiers ?

31:19 Oui, voilà, c'est ça.

31:21 Vous en êtes où, aujourd'hui ?

31:23 Eh bien, là, aujourd'hui, on reprend, parce que c'est quand même allé assez loin.

31:27 Donc, il y avait eu une promesse d'achat de faite,

31:31 et puis, nous, on devait même presque partir au 1er janvier 2023.

31:37 Donc, vraiment, nous, c'était vraiment projeté dans ce départ.

31:43 Et donc, du coup, et puis, en fait, arrivait le mois de janvier, le mois de février,

31:47 et puis là, ça a commencé à traîner.

31:49 Pourtant, les banques étaient d'accord,

31:51 mais sauf qu'il n'y a pas eu cet apport personnel.

31:54 Et donc, voilà, du coup, ça n'a pas pu se faire.

31:57 Et donc, nous, on est reparti à travailler.

32:01 En pleine activité ?

32:02 En pleine activité, quoi.

32:03 D'accord. Vous ne lâchez pas ?

32:05 Non, non, non, mais une exploitation agricole, on ne peut pas la lâcher comme ça.

32:09 Oui, c'est vrai.

32:10 Il faut le vivre pour connaître.

32:13 Oui, oui, c'est ça, c'est ça.

32:15 Et vous avez beaucoup de courage.

32:17 Voilà, et que j'avais un peu besoin de vous,

32:19 parce que, pour essayer de me redonner un peu de force.

32:23 Bien sûr, bien sûr.

32:24 Voilà.

32:25 Quel est votre questionnement ?

32:26 Eh bien, ma question, c'est de savoir si on va réussir à la vendre, cette exploitation.

32:31 Et si, parce qu'on avait fait un nouveau projet.

32:36 Et donc, voilà, si ce nouveau projet pourrait aboutir.

32:41 En fait, c'était une nouvelle maison qu'on a commencé à restaurer,

32:44 vu que vraiment, on avait bien avancé dans les démarches de la vente.

32:48 Et donc, voilà, et donc là, du coup, tout s'est arrêté.

32:52 Parce que, bon, les travaux vont continuer.

32:54 Mais quand même, c'est un projet de chambre d'hôte, gîte.

32:58 J'aurais bien aimé aller au bout.

33:00 Et de savoir, mais je ne peux pas faire les deux en même temps.

33:03 Bien sûr, bien sûr.

33:04 Mais en tout cas, ce qui est rassurant, c'est que vous allez vers un nouveau projet.

33:08 C'est-à-dire que, oui, aujourd'hui, Sabine, vous avez envie de lâcher, d'arrêter.

33:13 Mais derrière ça, se construit un nouveau projet.

33:15 Et ça, c'est ce qu'il y a de plus important.

33:17 Parce que quand il y a des personnes qui, malheureusement, veulent arrêter

33:22 et sans avoir de nouveau projet,

33:24 eh bien, on peut être face à un vide ou enfin au bord d'un précipice.

33:28 Et ça peut faire peur pour la suite.

33:30 Et là, pour moi, c'est rassurant.

33:32 Alors, je sens, et bien sûr que je me connecte à vous, Sabine,

33:37 vous allez pouvoir vendre cette exploitation.

33:39 Même si, on va dire que sur le plan économique,

33:43 aujourd'hui, ce n'est pas évident d'avoir une exploitation en France.

33:47 Mais vous allez y arriver.

33:49 Vous allez y arriver et vous verrez que, dans une période à peu près d'un an,

33:53 grand maximum, vous êtes dans cette transaction,

33:58 ou dans tous les cas, dans cette négociation de vente.

34:00 Et pour moi, ça viendrait par un système financier.

34:04 C'est-à-dire que, soit par le biais d'une banque,

34:06 qui peut très bien parler de votre projet de vente ou de votre exploitation,

34:12 ce n'est pas forcément votre banque à vous,

34:14 mais ça peut être un autre organisme financier

34:18 qui a votre dossier dans les mains,

34:20 et qui fait suivre, et serait éventuellement intéressé

34:24 pour reprendre cette exploitation-là.

34:26 Alors, ça ne veut pas dire que c'est une banque qui achète,

34:28 mais cet organisme-là peut être un intermédiaire.

34:33 Et ça me permettra de finaliser tout ça.

34:36 Et surtout aussi, de vous permettre de pouvoir aller vers ce projet

34:41 de chambre d'ode, de gîte, où là, vous êtes dans votre pleine réalisation.

34:46 Restez confiante, ne lâchez pas,

34:49 même si vous avez été à la limite du changement,

34:54 mais ce changement, il est pour demain.

34:56 Alors, peut-être qu'une période de non, ça vous paraît peut-être encore un peu long,

34:59 mais ça va vite passer.

35:01 N'hésitez pas à parler de vous, et à faire suivre votre projet de vente,

35:05 et surtout à des organismes financiers,

35:08 parce que c'est par ce biais-là que je vois que les choses vont bouger.

35:10 D'accord ?

35:11 D'accord, ok, super.

35:13 Ça me fait du bien, beaucoup de bien.

35:16 Ça réconforte.

35:17 Mais c'est magnifique.

35:18 C'est le but de cette émission à votre écoute.

35:21 Oui, oui, mais vraiment, j'en avais besoin,

35:24 et ça me réconforte, parce que je crois même à notre exploitation.

35:28 C'est une exploitation qui est vraiment viable,

35:30 et qui est très intéressante et tout.

35:32 Mais voilà, il faut trouver les bonnes personnes.

35:35 Et puis vous savez, il y a beaucoup de monde qui nous écoute depuis l'Occitanie,

35:38 on ne sait jamais, on ne sait jamais.

35:40 En tous les cas, n'hésitez pas, et puis si jamais vous la vendez avant l'heure,

35:44 rappelez-nous pour nous tenir informés.

35:47 Avec plaisir.

35:48 Merci à vous.

35:49 Merci Alexandre.

35:50 Merci.

35:51 Allez, on se retrouve dans quelques minutes avec des conseils sur le sentiment d'aimer.

35:55 On retrouvera aussi Sarah,

35:57 elle souhaite une vie un peu plus pimentée,

36:00 et envisage peut-être même une mutation.

36:03 On en parle dans un instant.

36:05 Sud Radio, à votre écoute, 16h17, Alexandre Delovane.

36:10 Et de retour sur Sud Radio pour cette dernière partie,

36:14 avant de retrouver les vraies voix,

36:16 présentées par Philippe David et Cécile de Minibus.

36:19 Alors, il vous reste quelques minutes pour passer à l'antenne de Sud Radio,

36:23 mais avant d'avoir notre prochaine auditrice,

36:26 je vais vous donner quelques conseils pour déceler le sentiment d'amour.

36:31 Alors, ça peut être quant au cœur qui bat un peu la chamade,

36:34 le fait aussi de ne pas tenir en place,

36:37 de déborder d'énergie,

36:39 mais aussi une profonde envie de profiter de la vie,

36:42 de l'autre, des moments ensemble,

36:44 de sourire, ce sourire qui s'affiche en continu sur le visage,

36:49 avec l'envie de plaisanter, de rire, de s'amuser.

36:52 Le sentiment aussi d'insouciance en étant enthousiaste,

36:56 et aussi d'avoir une grande curiosité sur pas mal de choses.

37:00 Et puis, vous êtes ensemble dans l'empathie et dans l'authenticité.

37:05 Et maintenant, la parole est à Sarah.

37:08 Bonjour Sarah.

37:09 Bonjour Alexandre, et bonjour à tous les auditeurs.

37:12 Merci, bienvenue sur Sud Radio.

37:14 Merci.

37:15 Alors, Sarah, vous trouvez que votre vie est ennuyeuse.

37:21 Vous dites que vous ne faites que travailler.

37:24 Vous avez deux activités, une en tant que vendeuse en boulangerie,

37:28 et la deuxième dans la fonction publique.

37:31 Vous cumulez ces deux activités pour que votre fille,

37:35 parce que vous avez une fille, puisse réussir ses études,

37:39 et surtout ne pas se préoccuper par l'aspect financier.

37:42 Donc, c'est tout à votre honneur, mais effectivement, ça demande beaucoup d'efforts.

37:47 Et à la suite de certains événements traumatisants,

37:51 vous avez été dans une prise de conscience,

37:55 avec des envies de changement, de nouvelles décisions.

37:58 Alors, avant toute chose, Sarah,

38:00 ces événements qui ont été traumatisants,

38:03 et qui vous ont amené à décider de changer de vie,

38:06 quels ont été ces événements-là ?

38:08 En fait, j'ai perdu ma soeur jumelle, mais ça fait huit ans.

38:14 D'accord.

38:15 Donc, après, je pense que j'ai continué ma vie,

38:19 mais en fait, sans vraiment, je la vivais, je la subissais un peu.

38:24 Voilà, travail, travail.

38:26 Et maintenant, j'aimerais bien rencontrer quelqu'un.

38:32 Ça, c'est la première chose.

38:35 Et j'aimerais bien avoir une mutation, pas très loin,

38:39 mais parce que je m'ennuie, c'est vrai, au travail, je m'ennuie dans mon travail.

38:42 D'accord. Là, vous êtes dans quel département ou quelle région ?

38:46 Dans l'Illande.

38:47 Dans l'Illande. Et vous souhaitez partir loin ?

38:50 Non, à côté de Bayonne.

38:53 D'accord, ok. Dans un endroit un peu plus dynamique, peut-être ?

38:57 Oui, mais bon, c'est parce que le travail m'intéresserait plus là-bas.

39:01 D'accord.

39:02 Voilà, c'est juste pour ça.

39:05 D'accord.

39:06 Et puis...

39:07 Vous avez déjà des pistes, alors ?

39:10 En fait, je fais des demandes de mutations tous les ans.

39:13 Je sais où je voudrais aller.

39:14 D'accord.

39:15 Voilà, je fais des demandes de mutations, j'aimerais bien savoir si ça va aboutir.

39:18 Oui.

39:19 Et puis, j'aimerais bien rencontrer quelqu'un, parce que moi, je suis seule, en fait.

39:23 Oui.

39:24 Alors, je suis quand même une solitaire.

39:25 Ce n'est pas que je m'ennuie vraiment seule, mais quand même.

39:29 En fait, je n'ai pas de copine.

39:32 Enfin, j'ai des copines, mais je suis toujours toute seule, en fait.

39:35 Je vais faire du sport, etc.

39:37 Je fais des activités, mais je suis tout le temps seule.

39:39 D'accord.

39:40 Et j'aimerais bien...

39:41 Bon, vous avez déjà vécu ce sentiment d'amour et d'aimer, quand même ?

39:46 Oui, c'est ce que vous avez décrit, là, il y a trois minutes, c'était ça.

39:48 Ah, bon, c'était ça.

39:49 Alors, c'est parfait.

39:50 C'est super.

39:51 Vous étiez dans le vrai.

39:52 Oui, et bien, pour moi, oui, de ce que je ressens, c'est que vous allez avoir une réponse favorable.

39:58 Alors, il y a peut-être...

39:59 On parle de deux réponses qui n'aboutissent pas, forcément, ou qui vous demandent d'attendre.

40:05 Et à la troisième, là, il y a quelque chose de bon.

40:07 Alors, peut-être que c'est déjà passé, peut-être qu'il y a eu déjà deux tentatives.

40:11 Oui, ça fait depuis deux, trois ans que je fais, en fait, que je demande.

40:19 Et là, la dernière, ça a été non.

40:21 Là, je vais redemander pour le mois de...

40:23 Je vais redemander, là, à la fin d'année et j'aurai la réponse en fin d'année pour l'année prochaine, en fait.

40:28 Pour l'année prochaine.

40:29 Alors, c'est pour ça.

40:30 C'est pour ça que, pour moi, je pense qu'à la troisième tentative, là, il y a quelque chose de plutôt favorable pour vous

40:35 et qui vous permettra, justement, d'aboutir à ce que vous souhaitez, à ce projet de changement de vie et de rencontrer quelqu'un.

40:42 Alors, pour la rencontre, il va falloir patienter un petit peu parce qu'il y a quand même des petites exigences chez vous.

40:47 Mais pour ceci, j'aimerais bien quand même que vous nous rappelez pour qu'on puisse éclaircir votre situation

40:54 et qu'on aille un peu plus loin parce que je suis sûr que j'ai des choses à vous dire plus intéressantes.

40:58 Mais là, on doit rendre l'antenne, malheureusement.

41:00 D'accord.

41:01 Je vous rappellerai.

41:02 Vous restez en ligne.

41:03 En ligne, on va vous reprogrammer.

41:05 Juste, je voulais vous poser, enfin, juste approfondir ce que vous m'aviez dit.

41:10 Vous voyez une mutation l'année prochaine ?

41:12 Oui, complètement.

41:13 Oui ? Bon.

41:14 Merci à vous.

41:15 Merci, Alexandre.

41:16 Restez en ligne.

41:17 Bonne soirée.

41:18 Merci.

41:19 Et pour conclure, je dirais, le sentiment amoureux donne la sensation d'être dans votre présent et confiant sur l'avenir.

41:24 Allez, nous, on se retrouve demain.

41:26 N'hésitez pas à aller sur le groupe à votre écoute.

41:28 Prenez soin de vous.

41:29 Et la place est à Philippe David.

41:31 Avec les vrais voix, avec Cécile de Mélibus et nos trois vrais voix du jour.

41:34 Et vous allez voir, c'est un trio de choc.

41:36 Au menu des vrais voix, notre grand débat 17h30.

41:39 Ça se passe partout en France.

41:40 À Nice, où une femme est entre la vie et la mort après une agression hyper violente.

41:43 À Marseille, où une femme de 24 ans est morte.

41:45 On ne va pas faire le tour de France.

41:47 On vous pose cette question.

41:48 Agression violente, règlement de compte, fusillade.

41:51 La justice est-elle à la hauteur de la situation ?

41:53 Ou est-ce que les peines sont assez lourdes ?

41:55 Est-ce que les juges ont la main assez lourde aussi ?

41:57 Est-ce qu'il faudrait les renforcer ?

41:59 Ou est-ce que tout va très bien ?

42:00 On vous attend au 0826 300 300.

42:03 Notre coup de projecteur, la loi immigration.

42:05 On en parle jour après jour et on vous pose cette question.

42:08 Qu'attendez-vous de la loi immigration ?

42:10 Quatre réponses.

42:11 Contrôler les frontières, faciliter les expulsions,

42:14 régulariser les sans-papiers ou créer des zones d'attente,

42:17 comme le font par exemple aujourd'hui le Royaume-Uni.

42:19 Vous voulez réagir ?

42:20 Vous attendez quelque chose ?

42:22 Ou vous dites, ça va être une énième loi où il ne se passera rien,

42:25 parce qu'on ne les applique pas pour nombre d'entre elles en France ?

42:27 Ou vous dites, voilà, on va changer les choses.

42:29 On vous attend aussi au 0826 300 300.

42:32 Avec Cécile de Ménibus, on aura à la baguette aujourd'hui

42:35 trois vrais voix de choc.

42:36 À la baguette ?

42:37 À la baguette, oui, absolument.

42:38 Philippe Hilger, Elisabeth Lévy et Olivier Dartigolle.

42:41 Ça promet.

À votre écoute - Émission du 13 septembre

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