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00:00 Bonjour à tous, je vous invite à vous abonner à cette chaîne, à aimer, à partager, à
00:05 commenter ces vidéos, c'est très important.
00:07 C'est une manière de nous soutenir.
00:09 Merci à vous tous.
00:10 Bonjour Didier Maisto.
00:11 Bonjour Clément Soudiacova.
00:13 Ancien patron de Sud Radio, journaliste indépendant aujourd'hui.
00:17 Vous avez lu, vous avez même dévoré le livre d'Alexandre-Henri Oncote, vous en avez
00:21 fait un tweet hier.
00:22 Je viens de finir le livre, Les apprentis sorciers, vous l'avez dit, c'est passionnant
00:28 et terrifiant.
00:29 Pourquoi passionnant et terrifiant Didier Maisto ?
00:32 Passionnant parce que du haut de son expertise, puisque beaucoup de gens ont parlé du Covid
00:40 sans même savoir ce qu'est un noyau, un cytoplasme et une cellule, alors qu'elle
00:44 a consacré une large partie de sa vie à l'étude notamment de l'ARN, donc c'est
00:48 un avis autorisé, est terrifiant parce qu'on voit à quel point ces vaccins ont été mis
00:56 sur le marché sans aucune précaution, dans la précipitation, à une vitesse véritablement
01:03 éclair.
01:04 Et quand on creuse, on fouille, on interroge ce qu'a fait Alexandre-Henri Oncote, on
01:08 trouve énormément d'études qui vont dans le sens des avertissements qu'elle avait
01:16 pu dire, énoncer, émettre vis-à-vis de la société.
01:20 Et on se rend compte que même Pfizer ou Moderna, dans leurs études qui sont restées secrètes,
01:26 puisqu'on devait attendre 75 ans avant qu'elles soient divulguées, eux-mêmes savaient à
01:32 quoi les citoyens du monde allaient s'exposer en étant vaccinés, premièrement.
01:37 Et deuxièmement, on voit bien quand même que l'efficacité de ces vaccins, sans même
01:44 parler des effets secondaires et des conséquences sur notre santé, sur les modifications possibles
01:50 de l'ARN, on voit bien que ces vaccins n'ont servi sinon à rien, du moins à pas grand-chose.
01:56 Oui, on va en parler, parce que même peut-être que le vaccin a été pire que la maladie
02:02 elle-même, c'est quand même un des éléments qu'on peut retenir de ce livre absolument
02:06 passionnant.
02:07 Tout de suite, on reçoit Alexandre-Henri Oncote.
02:09 Bonjour Alexandre-Henri Oncote.
02:18 Bonjour Clémence, bonjour Didier.
02:20 Et merci beaucoup d'être avec nous aujourd'hui.
02:23 Avant de commencer, je voudrais vous présenter, et vous présenter bien pour que les choses
02:28 soient claires pour tous.
02:29 Vous êtes lauréat du prestigieux prix Eisenhower Fellowship aux Etats-Unis reçu en 2013.
02:35 Vous avez dirigé plusieurs équipes de recherche en génétique à l'hôpital Trousseau, puis
02:39 à NECAER en tant que directrice de recherche de l'Inserm.
02:42 Vous avez découvert l'implication de l'ARN dans différentes maladies génétiques de
02:46 l'enfant.
02:47 Vous avez révélé l'existence des ARN mitomyère.
02:51 Vous en parlez très bien d'ailleurs, c'est presque charmant quand vous en parlez des
02:58 ARN mitomyère dans votre livre, qui servent aux régulations fondamentales de la cellule.
03:03 Et vous commencez comme ça d'ailleurs, dans votre introduction Alexandre-Henri Oncote,
03:07 pendant 25 ans j'ai étudié comment l'environnement modifiait nos gènes, et notamment l'ARN,
03:13 et notamment dans les maladies infantiles.
03:15 Mes travaux m'ont valu d'être invité dans le monde entier.
03:18 En 2015, j'ai eu à cœur de rechercher des solutions de santé simples, peu coûteuses,
03:23 durables, éthiques.
03:24 Et puis vous avez donc décidé pour cela de fonder votre institut de recherche Simplicima.
03:29 A l'époque, la presse vous avait congratulé.
03:32 Et puis après, vous dites, et puis, et puis après, il y a eu le Covid et tout ce qui s'est
03:35 passé.
03:36 Et encore aujourd'hui, malgré tout ce qui tombe aujourd'hui, toutes les informations
03:41 qui tombent, on a pu voir des gens qui se prétendent docteurs, je ne les citerai même
03:45 pas, dire que votre livre est un torchon de complotisme.
03:49 Alors voilà, moi, c'est pour ça qu'il est important de bien dire d'où vous parlez,
03:54 qui vous êtes, quelle chercheuse et mérite vous êtes.
03:58 Et puis, évidemment, je vais reciter ce livre "Les apprentis sorciers, tout ce que l'on
04:02 vous cache sur l'ARN messager" aux éditions Alban Michel, qui est en effet très brillant
04:07 et brillant de simplicité également pour nous.
04:10 Évidemment, vous vous adressez ici au grand public.
04:13 Vous expliquez avec des mots très simples et souvent, la vérité peut passer par des
04:18 mots simples, contrairement au bafouillage de certains ministres qu'on ne citera pas
04:23 ici.
04:24 Voilà, c'est pour l'introduction, bien savoir d'où on parle et qui parle ici en
04:29 face de nous aujourd'hui.
04:30 Merci beaucoup, donc, Alexandre Arrond-Gaute, d'abord pour votre combat et de tenir le
04:35 coup puisque depuis le début et encore en ce moment, vous vous prenez tous les jours
04:40 des attaques.
04:41 Et à côté de ça, j'ai l'impression que beaucoup ne s'y trompent pas non plus.
04:45 Vous avez une foule, on a vu pendant plusieurs signatures pour votre livre, des foules de
04:50 cinq heures qui faisaient la queue, même s'il n'y avait même plus de livres, juste
04:53 pour vous voir.
04:54 Donc, il y a quand même une vraie reconnaissance aussi populaire.
04:57 Oui, écoutez, en fait, c'est une rencontre.
04:59 Je crois que c'est vrai que pour moi, j'en sors aussi très enrichi de chaque rencontre
05:09 avec chaque personne, chaque lecteur.
05:11 On a tous été extrêmement abîmés par ce que nous avons vécu depuis trois ans.
05:15 Et c'est l'occasion de remettre un petit peu d'humanité et de douceur dans ce que
05:22 nous avons vécu et dans ce que nous vivons, parce que nous voyons bien que nous sommes
05:27 appelés à être toujours un récipiendaire, donc recevoir des nouveaux vaccins tout le
05:37 temps, en permanence.
05:39 Il y a une espèce de course et de surenchère.
05:41 Désormais, je ne sais pas si on peut encore parler de médecine, mais de vaccination à
05:47 tout va, oui, ça, c'est certain.
05:48 Alors, l'objectif de votre livre, vous revenez d'abord sur tous les mensonges,
05:53 on va le dire maintenant, qui ont été dits sur ce vaccin.
05:55 Et pourquoi vous, depuis le début, vous avez tiré la sonnette d'alarme, vous qui
05:58 connaissez les ARN et vous nous les décrivez, vous nous les présentez.
06:01 On va revenir sur cette présentation, très agréable d'ailleurs, pour mieux comprendre
06:07 en quoi les ARN sont absolument géniaux, mais en même temps absolument inquiétants
06:12 et dangereux quand on ne les maîtrise pas parfaitement.
06:15 Je vais revenir d'abord sur les...
06:17 Vous commencez par le florilège de ce qui a été dit sur les vaccins.
06:20 Et alors le meilleur de tous à ce sujet, c'est Mario Draghi, premier ministre italien,
06:25 mais vous en citez beaucoup.
06:27 Appeler à ne pas se faire vacciner, c'est essentiellement appeler à mourir.
06:32 Voilà ce qu'il dit tout simplement.
06:33 "On ne se fait pas vacciner, on tombe malade, on meurt."
06:37 Ou "On tue, on ne se fait pas vacciner, on tombe malade, on contamine et quelqu'un meurt."
06:42 Voilà les propos de Mario Draghi, premier ministre italien, le 22 juillet 2021.
06:45 De tous ceux que vous citez, parce que vous en citez beaucoup, Joe Biden, Angela Merkel,
06:50 Emmanuel Macron évidemment, les sports...
06:52 - Poutine !
06:53 - Vous allez dire Poutine, tout à fait, très intéressant, pour d'autres raisons.
06:57 Mais en tout cas, celui-là c'est peut-être le plus gros dans les différentes années.
07:04 - Oui, Mario Draghi gagne la fin de la mesure, la démesure.
07:10 - Et là en fait après, ce que vous dites depuis le début, c'est que vous avez alerté vous.
07:14 Vous dites "les multiples formes d'ARN, leurs immenses capacités, leurs modifications,
07:18 leur rôle aussi divers que varié, le fait qu'il y en a partout, tous ces éléments
07:23 nous interdisent, et nous interdisait donc, de dire qu'on les connaît.
07:27 On sait des choses à leur sujet bien sûr, et surtout vous Alexandre Harriot-Code et
07:30 d'autres chercheurs, mais on ne les connaît pas parfaitement, on n'avait pas le droit
07:34 de dire qu'on savait ce qu'un vaccin à ARN messager ferait à notre corps à long terme,
07:39 ni même à moyen ou à court terme".
07:41 Je pense que ça c'est vraiment finalement l'essence de votre livre, cette phrase-là.
07:46 Vous connaissez certaines choses sur l'ARN, plus que les autres, et c'est pour ça que
07:51 vous étiez inquiète et que vous tiriez la sonnette d'alarme.
07:54 Et maintenant justement je vais vous laisser nous présenter cet ARN, avec les mots simples
07:59 que vous avez su utiliser dans le livre, et nous expliquer en quoi il est fascinant, génial,
08:04 en quoi il ouvre de multiples possibilités, mais en même temps extrêmement inquiétant,
08:08 ou peut l'être extrêmement inquiétant.
08:09 Oui, en venant ici dans la voiture je me disais que plutôt que "Les apprentis sorciers",
08:15 j'aurais pu aussi appeler ce livre "Si tu savais le don de l'ARN".
08:19 Parce qu'effectivement quand je pense que Didier, quand tu dis "passionnant",
08:24 je pense que c'est sur cette partie-là qui ouvre vraiment le champ de la merveille que
08:32 c'est que cet ARN.
08:34 C'est vrai que dans notre société on parle beaucoup d'ADN et on est plus habitué à
08:42 cette partie-là, et donc ça prend du temps quand même d'initier et de partager ce livre.
08:48 Et de partager ce qu'est l'ARN, donc d'ouvrir un petit peu ces boîtes, donc déjà de le
08:53 situer un petit peu dans la cellule, mais le but n'est pas d'être technique ce matin,
09:01 je crois qu'il y a tellement de choses à dire, mais au moins de comprendre que l'ARN,
09:09 nous dans ces interactions entre ARN, et donc ce qu'il faut comprendre déjà c'est
09:14 que l'ARN messager c'est un des membres de la grande famille des ARN, et cet ARN messager
09:22 il va interagir avec tout un tas de molécules.
09:25 Et vous dites il y a l'ADN et l'ARN, ils travaillent ensemble, ce sont les deux molécules
09:30 qui font notre corps.
09:31 Voilà, c'est ça.
09:32 Et donc tout ça, l'ARN circule énormément, c'est ce que je dis aussi, il circule absolument
09:37 partout, ça veut dire qu'il circule dans nos corps, mais à l'extérieur de nos corps
09:40 aussi, et donc dès lors que, vous comprenez que dès lors qu'on va injecter un bout d'ARN
09:49 messager aux gens, on touche à des équilibres tout à fait fondamentaux qui sont simplement
09:57 celui de notre patrimoine génétique.
09:59 Ce qui est évidemment très grave, sur lequel personne à mon avis peut anticiper ce que
10:10 cela va donner, et c'est une responsabilité, c'est vraiment ce que j'ai essayé de montrer
10:18 dans ce livre, je prends des exemples, vous savez à un moment je dis, si vous mangez
10:24 des noix, vous avez une répercussion au niveau de quelques ARN avec une signature, si vous
10:29 ne fumez pas vous avez une répercussion, si vous mangez, vous avez pris trop de paracétamol,
10:33 paf, il y a un ARN, un micro ARN en l'occurrence, un de ces ARN qui se met à circuler.
10:39 Donc on voit bien que c'est des équilibres très extrêmement réactifs et qu'il convient
10:46 de respecter si l'on veut respecter notre fonctionnement.
10:51 C'est aussi pour cela que si vous vous souvenez, je crois que c'était en juillet 2020, il
10:56 me semble que j'ai dit, c'est de la folie de vacciner un ARN messager une population
11:02 saine parce qu'évidemment l'ARN messager pourrait rester un outil mais pourrait, au
11:11 bout de 20 ans d'échec, et ça aussi je renvoie dans ce niveau, où je repasse en
11:18 revue chacun de ces échecs cuisants sur 20 ans, c'est long 20 ans.
11:24 D'études sur l'ARN messager, des tentatives de vaccins d'ailleurs.
11:26 Des tentatives de vaccins d'ARN messager sur des maladies lourdes et à chaque fois
11:32 en fait ça n'aboutissait pas et donc lorsque la crise Covid arrive, nous n'avons jamais
11:39 dépassé la phase 2 des vaccins ARN messager, autrement dit on est dans l'impasse.
11:45 Tandis que, et ça aussi je crois que je le montre bien, tandis que dans le même temps
11:51 des médicaments ARN ont été développés, mis sur le marché, comme quoi c'est pas
11:57 du racisme de la part des autorités de ne pas développer, de ne pas donner des permissions
12:05 à certaines technologies, c'est juste que c'est un échec.
12:08 C'est comme les thérapies géniques, finalement pendant des années on nous a expliqué au
12:12 Téléthon qu'on allait soigner toutes les maladies par les thérapies géniques et puis
12:16 au bout du compte on voit bien qu'on n'est quand même pas très avancé.
12:19 Pour vous reprendre aussi, vous citez avant de donner la parole à Didier Maestau, vous
12:25 dites "notre identité propre, notre singularité, nous la devons à l'ADN et à l'ARN",
12:30 donc on voit bien ce couple de ces molécules qui travaillent ensemble, mais comme vous
12:34 l'avez dit, l'ADN lui est stable, tandis que l'ARN est complètement instable, il
12:39 se balade partout, en dehors et à l'extérieur de notre corps et puis il peut sortir d'une
12:42 cellule, rentrer, on annule les unes, il a vraiment des pouvoirs assez incroyables et
12:49 qui ne sont pas encore complètement maîtrisés par la science.
12:52 Didier Maestau ?
12:53 Et on reçoit l'ARN de notre papa et de notre maman, enfin de notre maman et de notre
12:58 papa, ce qui est pareil, les gens ne savent pas, donc en fait on ne reçoit pas que le
13:02 patrimoine génétique ADN, mais on reçoit aussi l'ARN.
13:05 Didier Maestau ?
13:06 Oui, alors justement, pour faire le lien entre toutes ces différentes notions un peu techniques,
13:12 ce qui est très intéressant c'est que chaque fois qu'on débattait dans la société
13:15 française, enfin des ersatz de débat d'ailleurs, et qu'on disait "mais attention la technologie
13:21 ARN n'est pas complètement en point, les vaccins ont été, vous le dites, parfois
13:26 en 24 heures", tiens, tout, on trouve la formule extraordinaire, fantastique.
13:31 Alors premièrement, peut-être insister sur le fait, chaque fois on nous dit quoi ? On
13:38 nous dit "ah non mais attendez, cher monsieur, renseignez-vous, l'ARN est utilisé depuis
13:44 bien longtemps pour le traitement des cancers, etc." et vous vous dites que en fait, chaque
13:50 fois, dans toutes les maladies où on a utilisé l'ARN en phase de test, ça a foiré.
13:56 ARN messager.
13:57 ARN messager, bien sûr, ça n'a jamais fonctionné, premièrement.
14:03 Deuxièmement, pour faire le lien, effectivement, ce patrimoine génétique ADN et ARN qu'on
14:08 reçoit de nos parents, cet ARN qui circule, il circule aussi dans le corps, puisqu'on
14:13 nous a dit, quand vous êtes vacciné, ça reste dans le muscle.
14:18 Alors on ne va pas parler trop de la protéine Spike parce que c'est assez complexe, mais
14:23 on se rend compte, et vous le dites en tout cas, que cet ARN messager se retrouve dans
14:29 tous les organes, le cœur, le foie, etc.
14:32 Mais aussi, par exemple, dans le lait maternel.
14:36 Après vos recherches, puisque ça a été tabou, secret, on voit que le lait maternel,
14:41 par exemple, est plutôt bleuâtre, verdâtre, et qu'un certain nombre de substances se
14:47 retrouvent dans le lait maternel.
14:49 Et enfin, le dernier point, c'est que cette circulation avec cette protéine Spike pourrait,
15:03 selon vous, induire, évidemment, puisque ce sont des mécanismes de protection, c'est-à-dire
15:08 que la protéine Spike va elle-même fabriquer, puisqu'on lui donne un bout de séquence,
15:13 une réplique, et donc peut-être fabriquer des maladies auto-immunes, et vous craignez
15:20 l'explosion d'un certain nombre de maladies auto-immunes.
15:22 Voilà, je parle de ces trois points parce qu'ils me semblent fondamentalement liés
15:27 et qu'on a là à peu près toute l'étendue de la question en ce qui concerne la santé
15:35 de tous les citoyens du monde.
15:36 Alors, vous voulez répondre sur les trois points.
15:40 C'était quoi votre premier point, Didier Mélisto ?
15:42 Sur le fait que, justement, la RNMSAG n'a pas fonctionné.
15:46 Et ensuite, sur le fait qu'on retrouve ça un peu dans tous les organes et pas simplement
15:53 dans les muscles.
15:54 Sur le premier point, donc, Alexandre Royoncote, si vous pouvez nous raconter un peu ce que
15:58 vous racontez très bien dans le livre, c'est-à-dire cette série d'échecs de la vaccination
16:03 à RNMSAG, alors que, et c'est vrai qu'on nous a vraiment bassiné avec ça, non mais
16:08 la RNMSAG, on le connaît depuis bien longtemps, la preuve, on l'a déjà utilisée.
16:12 Oui, mais comment, avec qui et quel résultat ?
16:14 En fait, je crois qu'on a fait, comme souvent on fait dans notre société, des amalgames.
16:21 Donc, quand on dit "on connaît la RNMSAG depuis longtemps", j'imagine que les gens,
16:29 mes collègues, voulaient dire "on connaît la molécule de la RNMSAG depuis longtemps".
16:34 La belle affaire.
16:35 Ce n'est pas parce que vous connaissez une molécule que vous connaissez sa maîtrise
16:41 pour l'injecter chez des gens.
16:43 Après, effectivement, je me suis attelée à reprendre essai par essai au niveau de
16:55 l'institut qui les enregistre, qui est l'institut des essais cliniques américains, le NIH Clinical
17:02 Trials, et qui m'a permis de faire un espèce de point systématique de quand est-ce que
17:10 commençaient ces études et de quand est-ce que finalement elles s'arrêtaient parce
17:15 qu'elles n'avaient pas abouti.
17:17 Donc, c'est vrai que c'est là où je crois que c'est assez glaçant.
17:23 Il y a des moments où…
17:25 Je vais vous citer, si vous le voulez bien, à ce sujet.
17:28 Moi, je n'ose pas.
17:29 En 2000, on veut soigner le cancer de la prostate avec un vaccin à RNMSAG.
17:33 Conclusion, parce que je vais directer la conclusion.
17:35 Ce vaccin thérapeutique ne parvient pas à induire un bénéfice de survie en monothérapie
17:40 chez les patients atteints d'un cancer de la prostate.
17:42 Ça a le mérite d'être terriblement clair.
17:44 En 2005, on veut soigner un cancer de la peau avec un vaccin à RNMSAG.
17:48 Conclusion, les résultats de l'étude ont montré très faible performance dans le
17:52 groupe auquel on a administré l'ARN.
17:55 En 2009, on veut soigner le cancer du poumon avec un vaccin à RNMSAG.
18:00 Eh bien, il demande une enquête plus approfondie.
18:04 En gros, on n'a pas trouvé grand-chose.
18:06 En 2009, on veut soigner le VIH avec un vaccin à RNMSAG.
18:09 Conclusion, le vaccin à RNMSAG est un échec pour soigner le SIDA.
18:14 Et on continue.
18:16 En 2013, on veut soigner la rage avec un vaccin à RNMSAG.
18:19 La réponse "espérons que cette innovation ne suivra pas la voie des vaccins à ADN".
18:25 En gros, ça ne marche pas.
18:27 En 2015, on veut soigner le cancer du cerveau.
18:30 On s'obstine quand même, c'est incroyable quand on voit votre liste.
18:33 Et/ou de la moelle épinière avec un vaccin à RNMSAG.
18:36 Le vaccin à RN est un échec pour soigner le glioblastome.
18:41 En 2015 encore, on veut s'immiscer contre la grippe aviaire.
18:44 Et puis encore une fois, verdict, eh bien, inefficace.
18:48 Et on commence à s'étonner de la diversité et la sévérité des effets indésirables.
18:54 Et enfin, en 2016, on veut soigner l'insuffisance cardiaque.
18:59 On veut immuniser contre Zika avec un vaccin à RNMSAG.
19:02 En 2019, les cancers gastro-intestinaux.
19:05 En 2020, immuniser contre le VRS.
19:08 Et à chaque fois, c'est la même chose, un échec.
19:10 - J'ai envie de dire, laissons le mot de la fin,
19:14 parce que les gens vont dire "ah, mais ça c'est parce qu'elle est complotiste"
19:17 ou je ne sais pas quoi.
19:18 Alors, je précise dans le livre, d'ailleurs, je ne suis pas complotiste.
19:22 Donc, c'est important de le préciser.
19:26 Le mot de la fin, je souhaiterais l'apporter par le patron de Pfizer,
19:34 M. Bourla, qui dit "la technologie à RNMSAG n'a jamais délivré le moindre produit."
19:39 Jusqu'à ce jour, il parle en mars 2022,
19:43 il parle au Washington Post aux Etats-Unis.
19:47 Donc, je redis "la technologie à RNMSAG n'a jamais délivré le moindre produit
19:53 jusqu'à ce jour, de point, ni un vaccin, ni aucun autre médicament."
19:58 - Bon, il tire ce contre sa propre production, là.
20:01 - En fait, il est honnête, il est factuel.
20:07 - Pardon, en tout cas.
20:08 - Non, mais c'est très clair.
20:10 Enfin, je veux dire, moi, je n'ai rien à redire à cette phrase.
20:13 Là où il est, je ne dirais pas touchant, mais il dit "j'ai été surpris",
20:21 plutôt terrifiant, je dirais, "j'ai été surpris quand les scientifiques
20:26 m'ont suggéré que c'était la façon de poursuivre."
20:28 - D'accord.
20:29 - "J'ai suivi mon instinct, dit-il, qui ne me disait que ce qu'il savait, ce qu'il disait."
20:35 Voilà, donc son instinct, je pense que ce n'est pas forcément un instinct de médecin,
20:41 je veux dire, vétérinaire, mais probablement de chef d'une énorme entreprise.
20:50 Je pense que c'est cet instinct, mais là, pour le coup, je fais de l'extrapolation,
20:54 qu'on ne m'enveuille pas.
20:55 En tout cas, je crois que je ne peux pas mieux résumer tout ce que vous venez de lire
21:02 sur ces essais que par le patron de Pfizer.
21:06 - Évidemment.
21:07 - Je veux dire qu'on va commencer à en parler, puis on en parlera dans la deuxième partie
21:11 après le flash info.
21:12 Vous expliquez comment fonctionne un vaccin à ARN messager, contrairement à un vaccin,
21:18 on va dire, dit classique.
21:19 Vous dites "vaccin à ARN messager", on nous injecte une soucoupe, une petite soucoupe,
21:26 dans laquelle on met de l'ARN messager.
21:28 Et c'est cette technologie de la soucoupe qui, en fait, elle ensuite va fusionner avec
21:35 nos cellules.
21:36 Donc, si vous pouvez commencer à nous raconter comment ça fonctionne, c'est-à-dire et
21:38 en quoi c'est novateur.
21:39 - Oui, alors, ça, c'est très important.
21:45 C'est aussi ce qu'apporte mon livre.
21:47 C'était de respecter tous ces vaccinés parce que moi, j'ai remarqué autour de moi,
21:54 très proches de moi, qui ne savent pas ce que c'est que l'ARN messager.
21:58 Donc, en fait, ils n'ont toujours pas compris ce qu'ils ont reçu.
22:02 Donc, alors, mes collègues médecins de plateau ou scientifiques de plateau diront "mais on
22:08 leur a expliqué, on a fait des vidéos didactiques, etc."
22:12 Donc, il faut quand même savoir que c'est un échec de communication absolument majeure
22:17 parce que je vous assure que quand vous discutez avec les gens, ils disent un peu ce que Didier
22:23 disait, l'ARN messager, on connaît super bien.
22:26 En fait, ils redisent des espèces de phrases qu'ils ne veulent rien dire et qu'ils ne
22:29 comprennent pas du tout comment l'ARN messager fonctionne.
22:33 Par exemple, ils pensent qu'effectivement, ça reste dans le muscle alors qu'on voit
22:38 bien qu'en 15 minutes, donc ça c'était des documents par Pfizer même, le produit
22:45 va circuler, va se retrouver finalement dans des organes aussi cruciaux que le cerveau,
22:51 que des organes aussi fondamentaux que nos testicules et nos ovaires.
22:56 Et donc, logiquement, on doit être concerné par cette circulation de ce produit partout.
23:06 Après, il y a un autre aspect avec lequel on nous a bassinés, c'est "oui mais l'ARN
23:12 messager, c'est hyper fragile, ça se détruit tout de suite."
23:15 Alors là, c'est pareil, je vais dans le détail de cela.
23:20 Les gens confondent, on a entretenu je pense cette confusion entre l'ARN messager naturel
23:29 et un ARN messager totalement artificiel, dessiné, synthétisé pour n'être point
23:36 dégradé.
23:37 Toute cette molécule, toute la technologie de cet ARN messager, c'est justement de
23:43 faire en sorte qu'il ne soit pas dégradé.
23:46 Ce qui fait qu'actuellement, nous n'avons aucune idée de quand est-ce qu'il disparaît
23:52 du corps et que quand il y a eu des publications, les gens, certains ont regardé dans des organes
23:58 et ont dit "ah tiens, c'est bizarre, il est là encore deux mois après."
24:02 Donc en fait, on est donc sur, encore une fois, des mensonges.
24:08 C'est là où je dis, en fait, je vais assez loin en disant "on nous a menti."
24:12 Pourquoi on nous a menti ? Parce qu'on savait parfaitement que le code génétique
24:16 et je crois que je l'avais dit ici, le code génétique utilisé pour l'ARN messager
24:20 n'est pas un code génétique naturel.
24:22 Donc on est sur une molécule totalement synthétique.
24:27 Donc autrement dit, on accepte dans notre corps une molécule génétique totalement
24:32 synthétique et dont…
24:34 Ça risque de modifier notre ADN.
24:36 Ça risque pas que de modifier notre ADN, ça modifie de fait beaucoup de choses.
24:44 Alors on va continuer d'en parler.
24:46 C'est absolument passionnant.
24:47 Avec vous Alexandra Orion-Code et vous Didier Maisto.
24:49 Mais d'abord, rapidement, le flash information avec Adèle Rosnac.
24:53 Ligne droite.
24:55 Très haut, très haut.
24:57 Il y a une place pour nos idées.
25:01 Vu de haut.
25:02 Nous sommes toujours avec Alexandra Orion-Code, les apprentis sorciers, tous ceux que l'on
25:08 vous cache sur l'ARN messager aux éditions Albain Michel et évidemment avec Didier
25:13 Maisto, journaliste indépendant.
25:15 On parlait de l'ARN messager qui fonctionne comme une soucoupe.
25:18 La soucoupe fusionne avec nos cellules.
25:22 Comprenez que l'ARN messager est une de celles-là.
25:25 Et puis ensuite, elle vient donner des ordres après l'injection du vaccin.
25:29 D'ailleurs, il y a un laboratoire qui parle même de clés USB qui viendraient nous réorganiser
25:36 à l'intérieur de notre corps ordinateur.
25:39 Et là, ce qui est intéressant, Didier Maisto commençait à parler tout à l'heure, cela
25:44 nous fait produire de la spike qui est censée lutter contre ce virus, protéines SARS-CoV-2.
25:50 Et puis, sauf qu'en fait, après, vous allez un petit peu plus loin et vous dites que le
25:56 problème, c'est qu'il y a des risques que ce type de vaccination débouche sur une auto-destruction
26:00 partielle de notre corps et ouvre la porte à de possibles maladies auto-immunes.
26:05 Et c'est sur ce sujet également que je voudrais aller, c'est ce qu'on commençait à évoquer
26:10 tout à l'heure avec Didier, la modification de l'ARN, mais même d'aller jusqu'à l'auto-destruction
26:17 de notre corps, ce qui est quand même particulièrement inquiétant.
26:19 Là, pareil, je vais reprendre une phrase qu'a dite en 2017 un des gros acteurs de
26:30 Moderna, M. Tal Zaks, qui, pour définir la technologie d'ARN messager, explique "je
26:36 suis ici pour vous dire que nous piratons en fait le logiciel de la vie".
26:41 Et ça, je crois que c'est vraiment la partie la plus fondamentale.
26:47 Évidemment, il y a la partie auto-immune dont vous parlez avec les anticorps et toutes
26:52 les conséquences, c'est effectivement important, mais philosophiquement, il y a un aspect
26:56 qui n'a pas du tout été développé et qu'on n'a pas du tout entendu, c'est le fait même
27:03 d'arriver à une modification génétique de l'homme.
27:08 Ça commence à sortir un petit peu, certains disent "mais non, ça ne peut pas modifier
27:15 génétiquement", alors j'ai envie de leur dire "écoutez, lisez les propos de M.
27:21 Fischer dans la dépêche, d'Alain Fischer, le professeur Alain Fischer, il y a quelques
27:26 jours, un ou deux jours, je crois, dans la dépêche, où il dit lui-même que c'est
27:32 très peu probable.
27:34 Quand c'est très peu probable et que vous avez injecté des millions de, enfin beaucoup
27:40 plus que cela, de personnes, évidemment vous comprenez ce que cela veut dire, c'est que
27:45 la très faible probabilité devient réalité.
27:49 Et donc à partir de nous, en génétique, on sait ce que cela veut dire, c'est ce qu'on
27:54 appelle l'effet fondateur, c'est-à-dire l'effet fondateur dans les maladies, on a
27:59 tout d'un coup une mutation qui arrive dans une population et puis en fait ça se propage
28:04 et du coup, plein de personnes ont cette modification.
28:09 Donc on est en train de dire quelque chose de vertigineux, on est en train de dire qu'au-delà
28:13 du fait qu'en plus on a modifié génétiquement par le fait même de passer de la RN messager
28:19 aux enfants et donc à la génération de dessous, on modifie en plus potentiellement
28:27 l'ADN.
28:28 Je crois que ces deux modifications génétiques, vaillent qu'on en parle et qu'on en parle
28:34 beaucoup parce que quand on entend le patron de Moderna à Davos l'autre jour, il explique
28:44 qu'il souhaite qu'il y ait 15 vaccins à RN messager dans les tuyaux pour être prêts
28:52 à dégainer sur un prochain virus qui arriverait et de nous dire qu'il souhaite aller beaucoup
29:02 plus vite que 60 jours de développement parce qu'il dit la dernière fois, entre le moment
29:09 où on a eu la séquence du Omicron et le moment où on a mis le vaccin en pharmacie,
29:14 à RN messager en pharmacie, il s'est écoulé 60 jours et pour lui c'est beaucoup trop.
29:19 Ce qui est dérisoire.
29:20 Ce qui est dérisoire.
29:21 Donc ça veut dire quoi ? Ça veut dire qu'effectivement on est avec cette technologie à RN messager
29:25 pour le coup sur le plan industriel, technique, dans la capacité de développer dans un temps
29:32 record des vaccins à RN messager pour n'importe quelle maladie, que ce soit des virus ou…
29:40 si on ne les arrête pas.
29:41 Et c'est là où je dis, mais écoutez, à quel moment on va discuter du fait qu'il
29:46 y a modification génétique de l'homme, ne serait-ce que par le fait de passer de
29:53 la RN messager, donc comme je vous l'ai dit, au niveau patrimoine génétique et potentiellement,
29:58 comme le dit Alain Fischer justement, de cette possibilité sur laquelle on ne sait
30:05 rien.
30:06 Pourquoi on ne sait rien ? Alors certains disent oui mais si ça arrivait, on le saurait.
30:11 Mais non.
30:12 Et vous savez pourquoi ? Parce qu'aucune étude n'a été faite pour cela.
30:17 C'est-à-dire que, et ça je l'ai alerté très vite sur un plateau télévisé, je
30:21 crois que c'était chez Morandini ou autre, où je disais attention, on est sur des mailles
30:26 de filets qui sont colossales et on laisse passer les poissons.
30:30 Et qu'est-ce que c'est que ces poissons ? C'est les mailles de sécurité.
30:34 Et les mailles de sécurité normalement font des études pour vérifier ce que ça donne
30:39 au niveau de la toxicité sur le génome, donc ce qu'on appelle la génotoxicité.
30:43 Et pourquoi on fait ça ? Parce que c'est un produit génétique, on va évidemment
30:47 regarder s'il n'a pas une modification…
30:49 Oui, c'est logique.
30:50 C'est logique, non ? Et pareil sur la cancérogénicité, c'est-à-dire sur la possibilité de faire
30:54 des cancers.
30:55 Et tout cela, ça n'a pas été fait.
30:58 Donc, il est urgent que les gens lisent ce livre pour faire une espèce de pause.
31:07 Justement, la question, ce qui est intéressant de mettre en miroir, c'est que vous revenez
31:19 dans votre livre sur le fait que dans différents pays, avec différentes stratégies vaccinales,
31:26 beaucoup de vaccination, très peu de vaccination, moyennement, ouverture, confinement, pas de
31:33 confinement, etc., au final, on se retrouve avec des résultats assez médiocres dans
31:39 la mesure où maintenant on a assez de recul en tout cas pour constater que s'il y a
31:46 une efficacité en tout cas sur le Covid en termes de vaccination, celle-ci notamment
31:53 sur les personnes les plus fragiles, elle est très faible dans le temps.
31:56 Ça, c'est la première question.
32:00 Deuxièmement, on s'est rendu compte que, et c'est sorti aussi, mais vous le détaillez
32:05 dans votre livre, que l'immunité naturelle quand on a eu le Covid est à peu près identique
32:12 à celle de la vaccination et malgré cela, il y a une accélération, une chute en avant,
32:18 alors même qu'on n'a jamais essayé d'évaluer les potentialités notamment dangereuses
32:24 de l'ARN messager dans la vaccination.
32:27 On va très vite vous parler, par exemple, du fait que pour un vaccin normal, il faut
32:33 une dizaine d'années entre les phases de test, etc., pour que ce soit commercialisé.
32:39 Ça a été très vite, alors même que le danger est infiniment plus grand, juste parce
32:46 qu'on n'a pas d'études, qu'on ne sait pas et qu'on est effectivement dans une technologie
32:50 d'avant-garde ou d'apprenti sortier, comme vous le dites dans votre livre.
32:55 Pourquoi on en est là ? On comprend bien, je vous laisserai bien sûr le dire, qu'il
33:01 y a des logiques qui sont mercantiles, ça c'est sûr, tout le monde l'a compris, mais
33:07 selon vous, est-ce qu'il y a autre chose derrière ? Est-ce que c'est la faillite
33:12 des systèmes de santé qui conduit finalement à dire "bon, on se vaccine et puis il n'y
33:19 a plus de médecine, la technologie va nous sauver, l'homme transhumain, comme dirait
33:23 le docteur Alexandre, cet urologue belge, enfin français, exilé en Belgique, mais
33:29 tout à fait patriot, etc.
33:32 Donc je pense que c'est ça le cœur du sujet, est-ce que selon vous il y a d'autres
33:38 raisons, peut-être la disparition tout simplement de la médecine par un remplacement uniquement
33:46 technologique à base de séquençage et de vaccination, un peu comme on l'a fait pour
33:52 l'agriculture d'ailleurs, puisqu'on a complètement breveté le vivant, on a des
33:56 graines, on ne peut plus planter ce qu'on veut, il y a des catalogues mondiaux, et
34:01 puis bien sûr il y a des produits pour désherber, quand le sol est pollué il y a des dépolluants,
34:07 etc.
34:08 Et des graines de plantes qui ne peuvent plus, quand vous récupérez les graines de la nouvelle
34:13 plante, elles ne donnent plus rien, elles ne sont plus fertiles.
34:14 Voilà.
34:15 Donc ça fait marché-commerce.
34:16 Est-ce que pour résumer, au-delà de l'aspect business mondial, il y a une idéologie sous-jacente?
34:25 Alors c'est difficile de répondre à vos questions parce qu'en fait vos questions
34:30 sont pour moi des points, et à chaque fois je suis tout à fait d'accord avec tout
34:34 ce que vous dites, et je trouve qu'il n'y a rien à rajouter à ce que vous dites,
34:42 parce qu'en fait c'est une synthèse fulgurante.
34:44 Mais je vais effectivement aller dans votre sens.
34:48 Nous sommes donc rentrés dans une logique consumériste de santé, dès lors qu'on
34:52 nous explique qu'il faut prendre un abonnement vaccinal et qu'on va prendre pour toutes
35:00 ces maladies.
35:01 On a vu d'ailleurs notre président de la République aller dans des écoles, certains
35:05 l'ont traité de VRP.
35:07 C'est vrai qu'il y a quelque chose de dérangeant d'aller faire de la pub pour
35:12 un vaccin qui n'est pas obligatoire.
35:17 C'est pour le papillomavirus celui-ci.
35:20 Pour le papillomavirus, c'est inquiétant.
35:24 Pour revenir sur l'échec de ce vaccin Covid, je crois que je le synthétise par une série
35:33 de questions un petit peu douloureuses dès le début, en demandant est-ce que le vaccin
35:38 a stoppé l'épidémie ? Non.
35:40 Est-ce que le vaccin empêche d'attraper le Covid ? Non.
35:44 Est-ce que le vaccin empêche d'attrouper à nouveau le Covid ? Non.
35:49 Est-ce que le vaccin empêche d'infecter les autres ? Non.
35:54 Est-ce que le vaccin empêche de mourir du Covid ? On est donc bien en train de parler
36:01 des formes graves.
36:02 Non.
36:03 Donc à partir du moment où il y a eu tous ces échecs sur lesquels personne ne peut
36:08 m'opposer quoi que ce soit, parce que c'est juste enterriné, on est d'accord, c'est
36:14 vrai qu'on se demande pourquoi est-ce qu'on continuerait.
36:17 Vous avez parlé tout à l'heure du fait que les gens étaient un peu malades, peut-être
36:26 il fallait ou faibles, il fallait les injecter.
36:29 Alors dans le livre à un moment, je reviens sur une étude qui a été publiée dans Lancet
36:36 en juin 2022 et qui est réanalysée dans le journal Virologie et la conclusion elle
36:46 est quand même très importante parce que finalement, je cite le texte, il ajoute que
36:57 sur cette histoire de rappel des vaccins, les rappels ultérieurs doivent être interrompus.
37:06 En conclusion, la vaccination contre le Covid-19 est un facteur de risque majeur d'infection
37:14 chez les patients gravement malades.
37:16 Alors justement, vous voyez, je l'ai fait évidemment, vous avez compris, il y a des
37:21 seins, reprenons un peu les anciennes qu'on a entendues sur tous les plateaux de télévision
37:26 parce que chaque fois que vous apportiez avec quelques-uns la preuve de l'inefficacité
37:31 ou de la dangerosité d'un certain nombre de pratiques, on nous opposait finalement
37:37 des postulats qui avaient plus à voir avec la croyance et la foi qu'avec la réalité
37:43 scientifique.
37:44 Avec des chiffres quand même qui évoluaient, c'est-à-dire qu'au début ça nous protégeait
37:47 à 98%, on est quand même tombé à 2% à la fin.
37:50 Et puis surtout on nous disait "oui mais attendez, cher monsieur, chère madame, pour
37:54 les formes les plus graves, ça fonctionne".
37:57 Alors ça m'amène à une autre question, est-ce que finalement on s'est attaqué
38:03 aux conséquences dans le monde entier, de la manière la plus terrible d'ailleurs
38:07 qui soit, mais jamais aux causes ? Quand on regarde au début, Salomon le faisait
38:13 dans son point de presse quotidien, il parlait de l'âge et des comorbidités.
38:18 Or on se rend compte qu'il y a évidemment dans la manière de vivre, dans la façon
38:22 de se nourrir, dans l'art de vivre, les gens qui sont par exemple aux États-Unis,
38:28 en obésité, avec des maladies cardiovasculaires, avec du diabète, avec des insuffisances
38:35 respiratoires, toutes ces pathologies.
38:38 Je rappelle qu'en France aujourd'hui, maintenant on a un adolescent sur deux qui
38:41 est en surpoids, voire en obésité.
38:43 Est-ce qu'on n'aurait pas dû s'occuper de la façon de s'alimenter ? Si on réduit
38:50 les risques de diabète, de maladies cardiovasculaires, d'obésité, de surpoids, de tout ce qu'on
38:56 veut, de sucre et d'alimentation, on va voir que la létalité du coronavirus, elle
39:05 est infinie.
39:06 Déjà elle est très faible, mais alors on ne parle plus de rien.
39:08 Qu'est-ce que vous en pensez ?
39:10 Oui, oui, je vais aussi un petit peu dans ce sens-là.
39:13 À un moment je dis, mais finalement, vu les découvertes que nous avons faites sur l'ARN,
39:20 l'alimentation sur l'ARN dans le sperme des hommes et les spermatozoïdes, il faudrait
39:28 dire aux hommes, aux jeunes hommes, de faire attention à ce qu'ils mangent quand ils
39:34 sont dans un but, avec une envie de procréer.
39:39 Et donc effectivement, comme vous le dites, si jamais au lieu de nous vacciner à tout
39:46 va, on revenait à des fondamentaux qui sont ce que l'on met dans notre corps, que ce
39:51 soit par l'alimentation et encore plus au bout d'une seringue, je crois qu'on
39:55 éviterait pas mal d'ennuis.
39:57 Vous avez parlé de différentes choses tout à l'heure, vous avez dit un mot qui me
40:01 semble fondamental sur lequel il faut revenir, vous avez dit le mot faillite.
40:04 Je crois qu'effectivement nous assistons à la faillite de notre système de santé,
40:12 notamment et de façon très importante, au niveau des aspects de vigilance, de sécurité
40:19 du médicament.
40:20 J'en ai parlé récemment sur un plateau télévisé et finalement avec le journaliste
40:25 on était d'accord à la fin sur le fait qu'il fallait militer, travailler à la
40:32 transparence des données des organismes régulateurs qui s'occupent normalement.
40:40 C'est comme ça, Alessandra Orion-Cotte qui a éclaté le scandale Mediator, puisque
40:44 l'agence du médicament ou son ancêtre avait été totalement infiltrée par le
40:51 labo Servier qui avait mis à chaque poste clé de l'agence du médicament ces hommes,
41:03 alors même que les comités de pharmacovigilance départementalisés faisaient des remontées
41:09 et tout partait à la poubelle.
41:10 D'ailleurs je reviens sur un certain nombre de scandales.
41:14 Les auditeurs comprennent que c'est cette agence qui labellise des molécules et des
41:21 médicaments, qui ensuite les fait rembourser par la Sécurité sociale et en plus ces médicaments
41:26 ont des prix qui sont dix fois normalement leur valeur, puisque vous le dites vous-même,
41:31 la dose est à plus de 21 euros aujourd'hui entre Moderna et Pfizer, entre 19 et 21 euros
41:38 et le coût de fabrication est de 6 centimes.
41:41 Il faut bien que les auditeurs comprennent cela, c'est fondamental dans le mécanisme.
41:47 Si on est sur une faillite de nos systèmes, il est temps de lancer l'alerte aussi de
41:56 ce côté-là en disant que nos organismes ont échoué.
42:02 C'est vrai que quand Salomon faisait ses rapports de décès, j'avais envie de faire
42:08 un rapport en ce moment qui est de sortir chaque publication scientifique qui rapporte
42:14 des effets post-vaccinaux.
42:16 Franchement j'ai l'impression qu'il ne se passe pas un jour où il n'y a pas un
42:21 article qui sort pour dire, donc c'est des publications scientifiques à chaque fois,
42:29 pour expliquer tel effet au niveau des troubles neurologiques, tel effet au niveau des troubles
42:35 du cycle de saignement, tel effet au niveau de l'AVC, tel effet...
42:42 C'est vertigineux.
42:43 Les myocardites, si jamais au lieu de nous faire le "count up" des décès, on disait
42:56 à chaque fois, regardez il y a cette nouvelle publication scientifique, cette nouvelle publication.
43:00 Alors je ne le fais pas, pourquoi ? Parce qu'en fait je ne veux pas démoraliser les
43:03 uns et les autres parce que le pire n'est pas forcé.
43:05 Ça aussi c'est important.
43:08 Et donc comme le pire n'est pas forcé, ça c'est aussi un espoir que j'ai à travers
43:14 ce livre, c'est d'ouvrir la parole.
43:16 Si on libère la parole, qu'est-ce qui va se passer ? Des médecins vont accepter d'arrêter
43:21 de dire "Ah ça, c'est pas le vaccin, ça peut pas être le vaccin".
43:25 Qu'est-ce que tu en sais ? Qu'est-ce que tu sais ? Qu'il n'y a pas du tout de
43:29 lien entre par exemple ces cancers qu'on voit apparaître, c'est les moins de 50
43:33 ans.
43:34 Les turbocancers ? Alors n'appelons pas "turbo", visiblement
43:37 ça les met en pétard.
43:38 Ça les met en pétard, je ne sais pas pourquoi.
43:42 Parce qu'effectivement ça ne correspond pas à une appellation habituelle, mais pourquoi
43:45 ça ne correspond pas à une appellation habituelle ? Parce que ça a l'air nouveau.
43:49 C'est-à-dire que ce sont des cancers qui flambent.
43:51 Alors qu'ils me disent qu'il y en a toujours eu qui ont flambé, oui c'est vrai.
43:55 Mais là c'est assez préoccupant et d'ailleurs il n'y a qu'à lire les journaux pour voir
44:01 qu'ils alertent en disant "épidémie prévue de cancers chez les moins de 50 ans,
44:06 épidémie de cancers de foie, etc."
44:09 Et donc au lieu de dire "ça ne peut pas être le vaccin", et si on regardait, si
44:14 on n'avait pas d'idée sur tout.
44:18 Moi je rappelle quand même qu'il y a eu des vaccins qui ont été retirés du marché.
44:23 Pourquoi ? Parce qu'il y a eu des signaux qui ont montré qu'il y avait 1 à 14 pour
44:29 100 000 vaccinés, effet de certains syndromes pour différents vaccins, dont le pandémie
44:42 RICS.
44:43 Et en fait, j'aime bien rappeler cela parce qu'en fait, si on était sur les myocardites
44:48 comme vous dites, les myocardites on n'est pas sur du 1 ou 14 pour 100 000, il y a une
44:53 étude thaïlandaise qui dit carrément qu'on est sur du pourcent, au niveau de pourcentage,
44:58 donc même pas pour 100 000.
44:59 Donc à ce moment-là c'est catastrophique parce que ce n'est pas une population qui
45:03 est à risque, et donc évidemment il faut arrêter.
45:06 Et d'ailleurs dans ce sens-là, un certain nombre de pays autour de nous ont arrêté
45:10 la vaccination des plus jeunes.
45:13 Donc, notre faillite du système, il va aussi dans le fait qu'il n'y a eu aucune transparence
45:18 des données finalement pour comparer les non-vaccinés des vaccinés, leur santé.
45:23 Pierre Chaillot le rappelait encore dernièrement également dans son livre, c'est vrai que
45:28 ce sont des données qui sont réclamées et qui ne sont pas données.
45:32 Je voudrais qu'on aille à Alexandra Royencaude parce qu'il nous reste finalement peu de
45:35 temps.
45:36 Moi j'aimerais juste dire par exemple, si jamais on dosait la Spike dans le sang des
45:42 jeunes vaccinés, on permettrait potentiellement d'identifier ceux qui semblent à risque
45:50 d'une myocardite.
45:51 Et donc voilà typiquement ce genre de solution merveilleuse qui fait qu'on est plus dans
45:56 une anticipation plutôt que de subir et de se dire "je suis peut-être à risque ou
46:03 pas à risque".
46:04 C'est quand même très inconfortable quand on voit ces jeunes qui tombent.
46:07 On a vu encore un concert aux musiciens que je parle, aux musiciens de Die Maestro, de
46:15 gars qui tombent comme on n'a jamais vu que des gens tombent avec des tremblements
46:19 et des spasmes.
46:20 C'est quelque chose de très très surprenant.
46:22 Et là on se dit "il faut être dans, accompagner cela en disant, voilà moi je reste toujours
46:29 très positive, il ne faut pas que ce soit une fatalité".
46:32 Donc évidemment il faut prendre acte de la dangerosité de ces injections ARN messagers
46:38 parce que la technologie n'était pas mûre et elle ne l'est toujours pas, vu le nombre
46:43 d'effets secondaires et de décès.
46:45 Et par ailleurs accompagner la santé de ceux qui ont été vaccinés.
46:50 Justement je voudrais qu'on aille quand même sur les, non pas sur les effets secondaires
46:53 mais sur la modification, enfin plus généralement sur la modification que peut entraîner cette
46:57 ARN messager, génétique, modification du patrimoine génétique.
47:00 Oui et puis après on conclura sur les nouvelles accusations encore que vous recevez.
47:04 Finalement, et vous l'avez dit rapidement au départ, on a parlé de cette petite soucoupe
47:10 volante, enfin soucoupe pas volante de l'ARN messager qui est injectée dans le muscle
47:16 et puis qui en 15 minutes est à peu près partout dans notre corps, dans le foie, dans
47:21 la rate, dans les glandes, dans les ovaires, dans la moelle osseuse, dans les poumons,
47:25 les reins, la vessie, les yeux, le cœur, le cerveau, bref partout.
47:27 Donc on a de quoi s'inquiéter parce qu'elle peut venir modifier donc à chaque fois notre
47:34 ADN.
47:35 Et ce que je voulais vous demander c'est en quoi finalement, en quoi est-ce que cela
47:40 est inquiétant finalement ?
47:41 Par exemple, je sais par exemple un petit embryon, les enzymes en fait qui vont faire
47:54 la photocopie j'ai envie de dire de l'ARN en ADN donc risquer cette intégration dans
48:01 leur patrimoine génétique, elle est très active.
48:03 On a vu dans des travaux in vitro que cela activait déjà de base ce genre de machinerie
48:13 qui copie l'ARN en ADN.
48:16 On nous a dit bassiné que l'ARN ne pouvait pas rentrer dans le noyau.
48:21 Il se trouve qu'une publication montre que l'ARN messager, alors ça c'est vraiment
48:27 rare, moi-même j'étais surprise de cela, est accompagné et peut aller dans le noyau
48:33 en tant qu'ARN messager.
48:34 D'habitude il vient en tant qu'ADN.
48:37 Donc on voit bien qu'en fait on ne connaît pas du tout, on ne maîtrise pas du tout cette
48:41 séquence qui est très artificielle.
48:44 Et donc si jamais on la met dans tout l'espace humain, dans tous les corps, et bien qu'est-ce
48:50 qu'on fait ? On crée une vulnérabilité par cette séquence qu'on a en commun et
49:01 sur laquelle on ne sait pas exactement comment elle se passe.
49:05 On ne sait pas ce qu'elle peut produire.
49:06 Et puis comme vous l'avez dit, en revanche, elle fait faire une réaction de création
49:11 d'anticorps sur plein de petits bouts qui sont aussi des protéines que nous avons.
49:16 Mais même que nous avons, donc en faisant du coup ce risque de réaction auto-immune.
49:23 C'est ce qu'on comprend.
49:24 Donc là je vais vraiment dans ce qu'on essaye de comprendre actuellement.
49:29 Donc ça, ça fait partie vraiment des dangers et qu'on a pu déjà un petit peu constater
49:33 notamment dans les effets secondaires de cette vaccination.
49:38 Donc voilà, du coup, le but c'est vraiment de rencontrer les gens, d'essayer de régler
49:47 ce problème que nous avons tous, de façon collective.
49:51 C'est un problème que nous avons tous, dans toutes nos familles.
49:56 Donc maintenant, c'est pour ça que c'est un peu douloureux, quand vous disiez tout
50:01 à l'heure glaçant.
50:02 Oui, c'est aussi glaçant, mais je crois qu'il y a un moment où on ne peut pas faire
50:10 l'autruche.
50:11 Il vaut mieux regarder la réalité et puis dire bon ben maintenant on va trouver des
50:16 solutions.
50:17 - Et juste avant que vous n'abordiez les accusations d'antivax que vous avez pu subir,
50:24 juste préciser que justement, ouvrir cette parole permettrait à des chercheurs enfants
50:28 de se consacrer aussi à des solutions peut-être pour soigner ces personnes qui auraient des
50:32 effets secondaires.
50:33 - C'est ce que j'espère, c'est ce que j'espère, parce que quand même, vous avez
50:36 vu la liste des effets indésirables, elle est vraiment effectivement glaçante.
50:40 - Alors Alexandra Aurioncote ?
50:41 - Est-ce que vous permettez très brièvement un avis personnel, une fois n'est pas coutume.
50:45 On se rend compte aussi que ce qu'on fait aujourd'hui grâce à Clémence et la matinale
50:52 Ligne Droite, c'est important.
50:53 C'est important d'écrire des livres et c'est important de faire des émissions sur
50:57 le temps long, parce que le système médiatique reproduit finalement ce qui se fait en termes
51:04 de santé, en termes économiques et on est dans l'accélération du temps.
51:09 Entre deux palmadries, on va vous accuser de complotisme, d'être une folle dingue,
51:16 d'une illuminée, etc.
51:17 - On va y revenir.
51:18 - Donc prenons le temps, parce que ce sont des questions complexes, tout ne peut pas
51:22 se régler en dix secondes sur un plateau télé, donc il est important d'écrire des
51:27 livres et il est important de faire des émissions sur du temps long, en faisant un peu de pédagogie,
51:33 en expliquant une question sous toutes ses facettes.
51:35 Et ça aussi, ça me semble fondamental qu'il y ait encore des émissions qui sont rarissimes
51:40 où on puisse comme ça aller au fond des choses.
51:42 Voilà, je ferme la parole.
51:44 - Merci Didier Meysseau pour cet hommage à la matinale.
51:46 Je précise qu'Alexandra Aurioncote, elle, a bien écrit le livre.
51:50 Elle nous demande les références, on a beaucoup d'appels.
51:52 "Les apprentis sorciers, tout ce que l'on vous cache sous l'ARN messager" chez Albert
51:57 Michel, d'ailleurs un livre qui fait un carton total dans les ventes Amazon et autres.
52:02 Alors on parlait justement des accusations de complotisme et tout ça, évidemment,
52:07 Alexandra Aurioncote en est la cible, l'une des cibles premières.
52:11 Et bien Michel Cymes a récidivé hier sur RTL.
52:17 Il a dit que la généticienne Alexandra Aurioncote, qui assure que la vaccination contre la Covid
52:23 est à l'origine de cancer, il faut arrêter de lui donner la parole, tout simplement.
52:27 Comme ça, on clôt le débat.
52:30 Il faut arrêter de donner la parole aux antivax, dit Michel Cymes.
52:34 Qu'est-ce que vous avez à répondre, Alexandra Aurioncote ?
52:36 J'ai à répondre que sur le même RTL, j'ai été taxée par Laurent Alexandre de complotiste.
52:44 Donc il a dit qu'il ne fallait pas me donner la parole en gros, aussi, parce qu'effectivement
52:50 j'étais complotiste.
52:51 Donc en fait, j'aimerais savoir si je suis antivax ou si je suis complotiste ou si je
52:57 suis illuminée, comme a pu écrire aussi Le Figaro.
53:01 Donc en fait, ça me semble intéressant parce qu'en fait, vous voyez bien que ce qui m'est
53:07 reproché, c'est une étiquette qu'on colle sur le dos.
53:12 Et puis, ils ne sont même pas d'accord avec l'étiquette.
53:13 Ce n'est pas pareil, à mon avis, d'être antivax et complotiste.
53:16 Mettez-vous d'accord !
53:17 Pour moi, Laurent Alexandre, à mon endroit, a porté les mêmes accusations.
53:23 Il faut dire qu'il a 30 mots de vocabulaire, ce monsieur.
53:25 Donc il puise de temps en temps.
53:27 Il y a une certaine occurrence.
53:29 On voit bien comment, et ça je l'ai dénoncé dans une petite vidéo que j'ai fait, on
53:33 voit bien comment en fait, on porte une étiquette sur quelqu'un pour le neutraliser et empêcher
53:37 qu'il parle.
53:38 Alors j'aimerais juste dire à monsieur Simès, comme à Laurent Alexandre, que contrairement
53:44 à ce qu'ils disent sur mon torchon, et s'ils ne veulent pas lire le torchon, moi je les
53:49 invite parce que je comprends, ils font une réaction à Alexandrite aiguë, et c'est
53:54 peut-être très dangereux, et peut-être l'État, et peut-être qu'il n'y a pas de vaccin
53:58 à ARN messager, contre l'Alexandrite.
53:59 Alors à ce moment-là, chers collègues, je vous incite à prendre simplement les notes
54:05 de mon livre, et à cliquer sur la totalité des références de mon livre, car vous ouvrirez
54:11 à chaque fois des références auxquelles vous devriez vous référer, puisque c'est
54:17 ou l'OMS, ou Pfizer, ou le CDC qui est l'organisme américain, ou des publications scientifiques.
54:25 Donc en fait je ne fais que citer des documents qui sont hautement publics, des résultats
54:33 de ministères de la santé des différents pays.
54:36 Et à ce moment-là, on arrêtera de mettre des étiquettes, parce que quand on a des
54:41 références, comme j'ai mes références, on ne peut pas dire ni anti-vax, ni complotiste,
54:47 ni immuniste.
54:48 Oui, Alexandra, et puis je pense que Clémence va corroborer, vous êtes populaire, donc
54:56 dans le public vous vendez énormément de livres, et d'ailleurs, disons-le, l'intégralité
55:01 des bénéfices sera reversée, pour pas qu'on vous accuse aussi.
55:06 Ça d'un peu, justement, il faut être précis, voilà.
55:09 C'est-à-dire que le livre est effectivement premier au box-office, et il a caracolé,
55:15 même avant sa sortie dans les premiers, donc là il est tout premier.
55:20 Les gens, parce qu'il est en rupture de stock dans beaucoup d'endroits, donc les
55:25 gens peuvent quand même l'acheter sur Amazon, je sais que c'est peut-être pas toujours
55:29 beau petit mal.
55:30 Vous le commandez en avance dans une petite librairie.
55:32 Voilà, mais ça c'est important, pourquoi ? Parce que je n'ai aucun enrichissement
55:36 personnel sur ce livre, au contraire, il y a un cercle vertueux au travers de ce livre,
55:42 c'est-à-dire tous mes droits d'auteur, je les reverse à ceux qui n'ont plus pu
55:48 travailler depuis 540, je crois, 5 jours.
55:53 Ce qui sont ce qu'on appelle les soignants suspendus, c'est-à-dire, voilà, le fait
56:00 que, refusant de montrer la moindre certificat de vaccination à des administratifs, donc
56:10 en reprenant le cours de ce que c'est que la médecine, ont été exclus de notre société
56:17 avec une douleur effroyable.
56:19 Et donc je ne peux que m'associer moi-même qui suis la cible de toutes ces attaques viles
56:26 et honteuses, alors que je ne suis toujours que calme et mesuré dans mes propos, toujours
56:32 sourcée en plus.
56:34 Donc c'est vrai que c'est assez désagréable et donc je ne peux que dire que je suis vraiment
56:40 en compassion avec ces personnes.
56:44 Et bien, merci de tout à votre honneur.
56:46 Alexandra Henrion-Code, je précise d'ailleurs que vous n'êtes pas la seule, Pierre Chaillot
56:50 lui aussi, verse tous les bénéfices de ces livres.
56:54 Où est mon cycle pour ces femmes qui ont perdu leur cycle notamment ou qui ont leur
56:59 cycle perturbé depuis la vaccination ? Comme quoi, les choses sont assez claires, on sait
57:03 où sont les mercenaires.
57:04 Merci beaucoup Alexandra Henrion-Code, votre livre chez Albin Michel, Les apprentis sorciers,
57:10 tout ce que l'on vous cache sur la RN messager, c'est extrêmement bien écrit, très pédagogique,
57:15 donc n'hésitez pas à vous le procurer.
57:17 Merci beaucoup à vous Didier Meisto et à très bientôt.