Eddy Sid, porte-parole du syndicat Unité SGP Police-FO, salue les propos du chef de la Police en soutien au policier placé en détention provisoire à Marseille
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00:00 Est-ce que vous pensez que cette prise de parole dans les colonnes du Parisien, du DGPN,
00:05 et puis le fait qu'effectivement aussi les syndicats de police aient été reçus par la préfète de police de Marseille,
00:11 est-ce que vous pensez que ces mots très publics, de soutien extrêmement ferme à l'encontre de ce policier et des policiers en général,
00:20 on n'a pas détaillé toute l'interview mais le soutien est extrêmement ferme,
00:23 que c'est de nature à apaiser ce qu'il est en train de se passer à Marseille,
00:26 ces arrêts maladie qu'on l'a vu, on l'a entendu avec notre correspondante,
00:30 des répercussions sur la vie des commissariats et donc sur la sécurité éventuelle des Marseillais ?
00:35 Alors donc les mots effectivement, la venue hier effectivement du DGPN et de la directrice centrale de la sécurité politique, madame Bruner,
00:43 dédiait effectivement un premier signal qui était envoyé à mes collègues parce qu'ils ont pris du temps,
00:49 ils ont été reçus pendant quasiment deux heures, c'était un échange très cordial et très empathique,
00:52 ils ont vraiment voulu savoir ce qui se passait et quelle était la vision et le prisme effectivement de mes collègues
00:58 et aujourd'hui donc ce positionnement clair dans cette affiche, effectivement nous le saluons véritablement,
01:04 nous remercions cet éclaircissement et ce positionnement clair de la part de tirage policier,
01:08 on n'avait aucun doute sur cela, aujourd'hui ces écrits ne font que confirmer effectivement notre position et la vision que nous en avions.
01:18 Je ne vous cache pas qu'inéluctablement il est important de rappeler et c'est très important ce que je dis,
01:24 il est important de rappeler que la justice est en train de passer parce qu'on fait croire que les policiers s'opposent à la justice
01:30 ou empêchent la justice de faire, ce n'est pas du tout le cas, on a eu huit gardes à vue qui sont passés de façon plus ou moins banale,
01:35 des auditions de la même façon, des présentations de justice de la même façon,
01:38 on a trois collègues qui ont été mis en examen sous contre judiciaire, vous n'avez pas eu une lonce, une contestation de la police,
01:44 maintenant il est effectivement vrai qu'une détention de la sorte n'était ni fait ni à faire, si je puis dire,
01:51 donc tant qu'il n'y a pas eu condamnation, on est au balbutiement de l'enquête, on est au début de l'enquête, donc la direction du bureau...
01:57 Mais Edith, ça peut effectivement...