• l’année dernière
La journaliste au Figaro Eugénie Bastié a réagi au nom d’un lycée nommé Angela-Davis qui va être changé par Valérie Pécresse : «Ils leur projettent un imaginaire nord-américain de guerre raciale […] Et après on s’étonne qu’il y ait du racisme anti-blanc». 

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Transcription
00:00 Rosa Parks, c'est l'icône de la lutte contre la ségrégation raciale.
00:03 Jusqu'à présent, du contraire, il n'y a jamais eu d'apartheid en France.
00:07 Il n'y a jamais eu de loi imposant la ségrégation.
00:12 Ils ont une telle ignorance de ce qu'a été la France,
00:17 comment elle s'est construite, quelle est sa nature profonde,
00:19 qu'ils imaginent qu'ils puissent importer comme ça le modèle américain.
00:23 Mais c'est catastrophique parce qu'ils poussent finalement ces élèves
00:26 qui sont déjà du mal à s'assimiler, à s'intégrer à la société française.
00:29 Ils leur projettent un imaginaire nord-américain de guerre raciale.
00:33 Et après, on s'étonne.
00:34 On s'étonne.
00:35 Mais au-delà, donc, madame, vous vous rappelez du problème.
00:38 Qu'il y ait du racisme anti-blanc.
00:39 Benaël est mort. Il est mort.
00:40 C'est hallucinant.
00:41 Vous savez, on ne sait pas.
00:42 Gaston Monnerville, premier président noir du Sénat.
00:46 Pourquoi on ne donne pas le nom de Gaston Monnerville ?
00:48 [Générique]

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