Greenweez Paris Major Premier Padel, 2ème édition
Du lundi au vendredi, dans Demain au travail, un responsable d'entreprise raconte au micro d'Europe 1 une innovation mise en place au sein de son entreprise pour le bien-être de ses salariés.
Retrouvez "Demain au travail" sur : http://www.europe1.fr/emissions/demain-au-bureau
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00:00 -Europe 1.
00:01 -La France bouge.
00:02 Elisabeth Assaillague.
00:04 -Bien sûr qu'elle bouge, cette France.
00:07 On le voit avec des entrepreneurs, des patronnes, des patrons,
00:10 des parcours de vie.
00:11 Peut-être que vous aussi, vous vous dites
00:14 que vous voulez monter votre entreprise,
00:16 lancez-vous, car chaque jour, sur Europe 1,
00:18 autour de la table de la France bouge,
00:21 on voit des personnes qui osent franchir le pas
00:23 de l'entreprenariat.
00:24 Aujourd'hui, nous sommes en direct de Roland-Garros.
00:27 On a un magnifique studio Europe 1, au pied de la tribune présidentielle,
00:32 juste au sein du cours central.
00:34 On parle de ces entreprises françaises
00:36 qui font vivre le tournoi, qui créent des emplois.
00:39 L'impostique, on en parle avec vous.
00:41 Vous êtes le président de Potel et Chabot,
00:44 partenaire de Roland-Garros depuis 42 ans.
00:46 Vous nous disiez, hors antenne,
00:48 mais c'est sympa de le raconter pour les auditeurs,
00:51 au tout début, ce n'étaient pas des villages hyper prestigieux,
00:54 c'étaient des tentes.
00:56 -Tout à fait. On m'a raconté que la première année,
00:58 les équipes de la Fédération française du tennis se sont dit
01:01 pourquoi ne pas faire unir des partenaires
01:04 et leur permettre de recevoir leurs invités sur le stade.
01:07 Il y a un petit village de tentes qui s'est construit
01:10 pour réaliser les premières hospitalités, c'était en 1980.
01:13 Je pense qu'il y a eu 1 000 invités sur la quinzaine à cette époque.
01:17 -A l'époque, c'est 1 000 invités.
01:19 Aujourd'hui, on est à... -Plutôt 100 000.
01:21 -C'est plus que l'année dernière ?
01:23 -Oui, parce que les sessions de soirée
01:25 sont en train de prendre leur envol et de recueillir un vrai succès.
01:29 -Vous voulez dire qu'il y a plus de monde
01:31 dans les sessions du soir, ce qui n'était pas le cas ?
01:34 -Oui, je pense que les Parisiens sont en train de s'habituer
01:37 à l'idée d'arriver sur le stade à 18h30, ce qu'on leur demande,
01:41 ce qui est assez tôt pour des Parisiens,
01:43 pour être sur le cours à la bonne heure.
01:45 Nous, nous organisons pour leur proposer une gastronomie
01:48 qui est servie en 45 minutes à travers des recettes
01:51 dont nous avons le secret.
01:53 -C'est quoi votre recette préférée de cette année à Roland-Garros ?
01:56 -Ma recette préférée cette année à Roland-Garros,
01:59 c'est une petite tarte
02:02 au pickle de légumes
02:05 sur un espuma de burrata.
02:07 C'est très léger.
02:09 -Ca l'air très bon. -Ca donne envie.
02:11 -Je me tourne vers vous, Arnaudy Pasqual.
02:14 On poursuit avec vous.
02:15 Vous êtes un grand joueur de tennis.
02:18 Avant de replacer le contexte,
02:21 on va d'abord vous représenter.
02:23 En 1997, vous êtes sacré champion du monde junior.
02:27 -Oui, c'est ça. -On va retracer votre vie.
02:30 Vous avez été professionnel de 1998 à 2006.
02:33 En 2000, vous avez battu Roger Federer
02:36 pour la médaille de bronze au Géosydnée.
02:39 -Exact. Tout est juste pour l'instant.
02:41 -Tout est juste pour l'instant. On va passer à vous.
02:44 -La France bouge, la pépite du jour.
02:48 -Si vous êtes dans la France bouge, Arnaudy Pasqual,
02:51 c'est parce que vous avez été nommé par la Fédération française de tennis
02:55 pour déployer le Padel en France,
02:57 avec le deuxième tournoi ici, à Roland-Garros,
03:00 en septembre prochain.
03:02 -Exactement. -Je vous laisse pitcher.
03:04 Une minute, et après, on revient sur le Padel.
03:07 C'est parti.
03:08 -Le Greenwich Paris Major,
03:10 le 3e événement organisé par la Fédération française de tennis.
03:14 Il y a Roland-Garros, le Rolex Paris Masters
03:16 et le Greenwich Paris Major.
03:18 Ce n'est pas du tennis, c'est du Padel.
03:21 Le Padel, c'est un sport en France
03:23 qui a la plus forte croissance ces cinq dernières années.
03:26 Le Greenwich Paris Major,
03:28 c'est l'équivalent d'un grand chelum pour le Padel.
03:31 On réunit les meilleurs joueuses et les meilleurs joueurs du monde
03:34 au stade Roland-Garros du 3 au 10 septembre.
03:37 C'est un stade, en fait, au Roland-Garros,
03:40 revisité aux couleurs du Padel.
03:42 Par exemple, place des Mousquetaires,
03:44 de nombreuses animations, un DJ set,
03:46 de la pétanque, du molki, des foot-tracks.
03:49 Une ambiance très after-work.
03:51 C'est vraiment l'occasion de revenir au stade Roland-Garros
03:55 pour voir ou découvrir le Padel dans un cadre unique.
03:58 C'est un projet très ambitieux développé
04:00 par la Fédération française de tennis
04:02 qui a pour but de mettre cette discipline
04:04 dans une autre dimension.
04:06 -Une minute. Bravo. Félicitations.
04:10 On sent le champion, on sent la grève du champion.
04:13 Merci, Arnaud Di Pasquale, pour votre pitch.
04:15 Merci de vous être prêté à l'exercice.
04:17 Green With Paris Major, c'est le Roland-Garros du Padel.
04:21 -Exactement. C'est le plus grand tournoi de Padel au monde.
04:24 C'est au stade Roland-Garros du 3 au 10 septembre.
04:27 -C'est important que vous précisiez "stade Roland-Garros"
04:30 car vous ne pouvez pas dire "Padel à Roland-Garros".
04:34 -Roland-Garros appartient au tennis
04:36 et à tous les partenaires qui investissent
04:39 dans le tennis pour Roland-Garros.
04:41 Quand on parle du stade Roland-Garros,
04:43 c'est le stade Roland-Garros.
04:45 -Vous êtes chargé de développer le Padel en France.
04:48 Vous êtes un grand joueur de tennis.
04:50 Quand on parle de Padel,
04:51 on a l'impression que c'est comme si on recommençait
04:54 tout à zéro avec le tennis, sauf que c'est le Padel.
04:57 -On ne recommence pas tout à zéro,
04:59 mais parce que c'est un sport de raquette
05:01 et que c'est sous le giron fédéral
05:03 et que la fédération a récupéré la délégation
05:06 pour le développer en 2014.
05:08 Là, on fait de gros efforts, encore une fois,
05:11 pour essayer de mettre le Padel dans une autre dimension.
05:14 Aujourd'hui, on compte déjà 400 000 pratiquants.
05:17 -400 000 pratiquants.
05:18 On est à un virage. Il se passe quelque chose.
05:21 -On est à un virage et on a voulu l'année passée
05:23 s'inscrire dans le circuit international
05:26 et planter le drapeau.
05:27 C'était notre volonté,
05:29 car c'est la plus belle vitrine
05:30 que de pouvoir offrir le stade Roland-Garros au Padel.
05:34 On a fait notre 1re édition l'année passée.
05:36 Du 3 au 17 ans, c'est une très bonne date.
05:39 C'est une date de rentrée.
05:40 Elle sera peut-être un peu meilleure que le 14 juin.
05:43 -C'est une bonne date, oui.
05:45 -C'est une très bonne date.
05:46 On est ravis. Il y a de plus en plus de demandes,
05:50 de joueurs, de pratiquants.
05:52 C'est encore un sport de pratiquants
05:53 plus que de spectateurs.
05:55 -Ca se développe aussi grâce à des célébrités
05:58 comme Zinedine Zinad ou Cyril Hanouna,
06:00 qui le pratiquent.
06:01 Tout ça, ça donne une certaine visibilité.
06:04 Quand vous dites que ce sont des pratiquants,
06:07 ça signifie qu'on ne vient pas pour regarder,
06:09 mais pour jouer ?
06:11 -Je pense que, comme tous les sports
06:13 en phase de développement,
06:15 s'ils ne sont pas totalement à maturité,
06:17 il faut aller chercher le spectateur.
06:20 Il faut faire savoir qu'il y a un tournoi au stade Roland-Garros.
06:23 C'est encore tout nouveau.
06:25 C'est diffusé maintenant sur Canal+,
06:27 mais c'est encore très récent.
06:29 Les personnalités qui nous font cette promotion,
06:32 cette pub, font un bien fou.
06:34 -Parce qu'ils sont passionnés.
06:35 -Ils sont passionnés.
06:37 -Il paraît que c'est un sport de...
06:39 -Vraiment. Je vous explique pourquoi c'est très simple.
06:42 C'est évidemment très accessible,
06:45 c'est ludique, c'est très convivial.
06:47 On aime bien passer au bar, en général,
06:49 à la sortie du match ou de la partie.
06:51 -Combien de temps dure en moyenne un match ?
06:54 -Un match, c'est entre 1h15 et 2h.
06:56 -Ce sont les mêmes règles que le tennis ?
06:58 -C'est exactement les mêmes règles.
07:00 Ca ne se joue qu'en double.
07:02 En convivialité, ça ne se joue qu'en double.
07:05 Mais on compte exactement comme au tennis.
07:07 -Aujourd'hui, on est à un virage, vous venez de le dire.
07:10 400 000 pratiquants.
07:13 Je crois même qu'il y a des listes d'attente.
07:16 Ca commence à...
07:17 -En fait, dans les...
07:18 Il y a... Comment dire ?
07:20 En Ile-de-France, notamment,
07:22 on manque de terrain par rapport aux bassins de population.
07:25 -C'est pas sur la terre battue ?
07:27 -Non, c'est une moquette.
07:29 C'est un cours que l'on pose avec...
07:31 C'est un mélange de tennis et de squash.
07:33 Il y a des vitres avec lesquelles on peut jouer.
07:36 C'est très ludique.
07:37 C'est un peu à contre-courant du tennis.
07:39 Un match tennis, vous devez frapper fort.
07:42 Là, la balle peut revenir après la vitre.
07:44 Vous pouvez vous faire cueillir et offrir une sorte de pénalty.
07:48 C'est très intéressant. Ca devient très subtil.
07:50 Beaucoup plus fin qu'on ne le pense.
07:53 C'est un vrai jeu de placement.
07:54 -Donc de stratégie.
07:56 -De stratégie.
07:57 Tout le monde, et c'est ce que je disais en têne,
08:00 il faut savoir qu'il est bon à ce sport.
08:02 C'est ce qui rend ce sport très populaire.
08:04 -Vous êtes bon ? Vous jouez ?
08:06 -Je pense l'être aussi, comme tous les autres.
08:09 -Il paraît que vous avez mis en place des formations
08:12 d'enseignement du padel.
08:13 Aujourd'hui, si on a envie d'apprendre à jouer,
08:16 c'est pas instinctif, il faut connaître les gestes,
08:19 vous avez des enseignants ?
08:21 Ou vous êtes sur la lancée ?
08:22 -Bien sûr. Jusque-là, c'était le 2e sport d'une vie.
08:25 On commençait plus tôt,
08:27 après avoir pratiqué beaucoup un autre sport.
08:30 On essaie d'aller chercher des jeunes,
08:32 car c'est un monde qui se professionnalise.
08:34 Il y a un price-money.
08:36 Les joueuses et les joueurs vont gagner de plus en plus d'argent.
08:39 On commence à travailler sur la formation.
08:42 Il faut des enseignants.
08:43 -Vous les avez trouvés ?
08:45 -On commence à former.
08:46 -Former les formateurs.
08:48 -Ils vont passer non pas un diplôme d'Etat,
08:50 mais un titre à finalité professionnelle, un TFP.
08:53 On a les 1ers enseignants formés depuis un an,
08:56 qui commencent à aller dans les clubs
08:58 et travailler sur les écoles de padel
09:00 et former nos futurs champions.
09:02 -Il y a des licenciés ?
09:03 -Il y a des licenciés.
09:05 Il y a une licence dédiée padel depuis un an.
09:07 C'était la licence tennis qui permettait
09:10 de jouer à toutes les disciplines fédérales,
09:13 dont le beach tennis.
09:14 On a voulu mettre en avant cette discipline,
09:17 justement, en créant cette licence dédiée.
09:21 Là, on peut considérer qu'il y a autour de 100 000 licenciés
09:25 déjà à la Fédération française de tennis
09:28 de padel.
09:29 -Des femmes ? -Des femmes, trop peu.
09:31 -En Espagne, elles sont 44 %.
09:33 -Bien sûr. Mais après, c'est là...
09:35 -Parmi les joueuses de padel.
09:37 -Il y a une différence entre pratiquants et licenciés.
09:40 C'est difficile de savoir dans la proportion des pratiquants
09:44 et pratiquantes la proportion de femmes qui jouent.
09:47 -Vous restez autour de la table de la France Bouge.
09:50 Arnaud Dippasquale, directeur de Greenwitz Paris.
09:53 Je me tourne vers Nathalie Carré,
09:55 qui est directrice de l'Association des sports et d'industrie.
09:58 Chaque jour, elle produit des conseils
10:00 pour les entreprises qui se développent.
10:03 Bonjour, Nathalie. -Bonjour, Elisabeth.
10:05 -Comment Roland-Garros, les tournois ou les festivals,
10:08 peuvent-ils être source de tests pour ces start-up françaises ?
10:12 Là, on a de beaux exemples.
10:13 Ce ne sont pas des start-up, ce sont des grandes boîtes.
10:17 Est-ce qu'il y a quelque chose à faire ?
10:19 Est-ce qu'on peut s'insérer dans les tournois et les festivals ?
10:23 Souvenons-nous de l'origine des 24 heures du Mans.
10:25 L'idée initiale, c'était une course de 8h
10:27 pour éprouver la solidité des automobiles.
10:30 Ce n'était pas du tout un truc sportif.
10:32 C'était pour tester la solidité des automobiles,
10:35 car c'était une industrie encore naissante.
10:37 Ça a continué, c'est toujours le cas.
10:39 Ca marche pour les entreprises qui ont des années d'expérience,
10:43 comme Potel et Chabot, car chaque année,
10:45 elles doivent se remettre en cause pour rester partenaires.
10:49 Ca booste l'innovation interne.
10:51 On peut tester des nouveaux produits,
10:53 comme des pneus sur un circuit de Grand Prix automobile,
10:56 ou une moto.
10:57 Ca fonctionne pour les jeunes entreprises
10:59 qui vont tester un prototype en grandeur nature,
11:02 comme Ascendance Flight Technology,
11:04 qui devraient tester son aéronef mi-avion, mi-hélicoptère...
11:08 -Pour les JO. -A l'occasion des JO.
11:10 On est sur un prototype, donc on est vraiment au tout début.
11:13 Ca fonctionne pour les entreprises
11:15 qui ont déjà commercialisé leurs produits,
11:18 mais qui, grâce à un événement d'ampleur,
11:20 ont une solidité de la technologie, de process,
11:23 d'expérience utilisateur.
11:25 On a eu Mojo, qui propose des replays intelligents,
11:27 ou Bodyguard, que vous allez recevoir tout de suite.
11:30 Ces tests utilisateurs en grandeur nature,
11:33 sont toujours indispensables pour une jeune entreprise,
11:36 mais il faut choisir avec soin le contexte de test,
11:39 éviter que l'ampleur de l'événement soit trop importante
11:42 pour ne pas se faire déborder, et préparer minutieusement.
11:45 Au-delà de l'image de marque,
11:47 ces tests apportent des informations fondamentales
11:50 pour savoir comment a évolué son produit ou son organisation,
11:53 voire son positionnement marketing.
11:55 -Ca donne envie à tous les startupeurs qui veulent se lancer,
11:59 mais comment peut-on faire pour devenir partenaire ?
12:01 C'est compliqué d'être partenaire de ces événements.
12:04 -Ca dépend de la notoriété de l'événement,
12:07 mais de plus en plus souvent,
12:09 même dans les appels d'offres,
12:10 il y a des appels d'offres ou appels à partenariat
12:13 avec une forte ouverture vers les startups.
12:16 Pour les JO 2024, le travail a commencé en 2017,
12:19 et des startups ont été convoquées
12:21 pour raffiner les besoins.
12:22 Pour les festivals, il faut souvent se rapprocher
12:25 des organisateurs.
12:27 C'est souvent la proximité géographique qui joue,
12:29 comme l'entreprise O-Code, basée à Nantes,
12:32 qui propose aux festivaliers du Hellfest,
12:34 on sort du cadre de Roland-Garros,
12:36 d'imposer des codes sous forme de stickers
12:40 pour identifier les objets de valeur,
12:42 et en cas de perte, un festivalier ou un bénévole
12:45 peut contacter le propriétaire.
12:47 Pour être clair, si tester son offre lors d'un événement
12:50 est une reconnaissance,
12:52 ce n'est pas le gage de la réussite de l'entreprise.
12:55 Certaines n'ont pas perduré.
12:57 C'est un coup de boost,
12:58 mais avec un risque à ne pas négliger,
13:00 qui est l'hypercroissance,
13:02 parce que ça signifie recruter, changer les process,
13:05 trouver de nouveaux fournisseurs,
13:07 dans un temps très court,
13:09 pour ne pas décevoir les nouveaux clients.
13:11 Ils pourraient se détourner de l'entreprise
13:14 aussi vite qu'ils se sont intéressés.
13:16 - On a parlé de ces startups
13:18 qui pourraient faire leur test officiel
13:20 et consolider leur entreprise
13:22 en venant dans les festivals ou les tournois.
13:25 Vous jouez au paddle ?
13:26 - Pas du tout. - Ça vous donne envie ?
13:28 - Absolument. J'ai joué au tennis assez longtemps,
13:31 mais ensuite, j'ai arrêté.
13:33 Le paddle pourrait me donner envie de reprendre une raquette.
13:36 - Le taux de transformation est quasiment de 100 %.
13:39 Quand vous le testez, vous l'adoptez.
13:41 - C'est incroyable. - Attention.
13:43 - On a tous envie de tester.
13:45 - On a l'impression qu'il y a quelque chose de complètement addictif.
13:48 Vous restez avec moi autour de la table de La France Bouge
13:52 à suivre "Que sont-ils devenus ?"
13:53 ...
13:56 Europe 1.
13:57 On va passer un coup de fil à un membre
14:00 de la communauté de La France Bouge.
14:02 C'est le fondateur de Bodyguard
14:04 qui lutte contre le cyberharcèlement.
14:06 Figurez-vous qu'ici, à Roland-Garros,
14:08 il y a du boulot. A tout de suite.
14:10 - Elisabeth Assaillague sur Europe 1.
14:12 ♪ ♪ ♪