• l’année dernière
Il adore son job, il en parle avec passion sur les réseaux sociaux, il s’élève contre les jugements un peu trop faciles sur la médecine esthétique mais, surtout, il pratique au quotidien auprès d’une patientèle qui a besoin d’être rassurée et accompagnée. Savoir-faire + savoir être : Fabien Giausseran nous raconte son quotidien à Lille, à Paris et ailleurs, entre patients, formations et stories insta !

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Transcription
00:00 Je pense que ça peut apporter vraiment de la crédibilité à toute notre génération
00:04 et à la future génération de médecins esthétiques.
00:06 On a besoin d'un socle, d'un abac.
00:08 Et je trouvais que ce socle-là était plutôt bien fait.
00:11 Évidemment, une notion qui revient régulièrement, c'est de traiter des patients qui sont plutôt
00:26 en bonne santé.
00:27 Et c'est surtout la satisfaction qui ressort de tous les traitements et de tous les soins
00:33 qu'on adresse aux patients.
00:34 Et le fait d'améliorer leur confiance en eux-mêmes nous apporte beaucoup également.
00:39 Ce que j'entends plus et ce que je vois le plus, docteur, c'est très très simple, je
00:47 n'ai besoin de quasiment rien, c'est juste ça.
00:50 Et ça justement, c'est tout le domaine de la médecine esthétique, c'est-à-dire sans
00:54 passer par la case lifting, avoir traité le relâchement cutané et le bas du visage.
00:59 Ça, c'est une grosse demande.
01:00 Les deux zones qui reviennent le plus souvent, c'est la zone du regard et la zone du sourire.
01:04 Il y a beaucoup de lasers qui sont de plus en plus performants sur les radiofraquances,
01:12 microneedling, sur des soins non-invasifs qui permettent vraiment de retravailler le
01:17 bas du visage, presque sans passer par la case de chirurgie ou en tout cas de différer
01:22 ce timing et de gagner 5, 10, 15 ans avant la case lifting.
01:27 Et également la médecine régénérative, tous les polynucléotides, toutes ces molécules
01:33 qui sont là pour rebooster la peau de l'intérieur sans créer de faux volumes.
01:38 Je pense que ça peut apporter vraiment de la crédibilité à toute notre génération
01:46 et à la future génération de médecins esthétiques.
01:48 On a besoin d'un socle, d'un nabac et je trouvais que ce socle-là était plutôt bien
01:52 fait.
01:53 Et puis je pense que c'est aussi le côté practico-pratique pour le collègue.
01:57 On peut vraiment différer les phases de learning, d'apprentissage, les workshops, les ateliers,
02:04 les phases pratiques de façon à s'intégrer dans nos vies de médecin et de papa, de famille.
02:09 C'est sympa.
02:10 C'est la nature même de la médecine et d'Hippocrate, c'est-à-dire de donner, de
02:17 recevoir, de recevoir, de donner.
02:19 La façon de le mettre en place, parfois ça peut être du compagnonnage et c'est exactement
02:24 ce qu'on fait à travers les différentes formations, ce que je fais également aujourd'hui,
02:29 c'est-à-dire accompagner, faire voir, donner à voir et puis transmettre.
02:34 C'est très plaisant aussi.
02:35 Et puis de toute façon, je dis toujours qu'au décours de nos formations, moi-même, j'en
02:40 ressors toujours grandir et j'apprends également.
02:42 Prendre son temps parce qu'on ne devient pas médecin d'une journée ou d'un mois
02:49 ou d'une année, c'est un long parcours initiatique, en esthétique également.
02:53 Avoir confiance en soi et être bien accompagné avec les gens qui vont vous le faire découvrir,
02:58 que ce soit le parcours universitaire, académique ou les compagnons de parcours.
03:03 Et puis également garder son libre arbitre parce que dans le mot médecine esthétique,
03:07 il y a avant tout le mot médecine, donc savoir poser le diagnostic et être maître de ses
03:12 gestes, de ses techniques et de ses produits.
03:15 Profiter de chaque instant parce que la vie est très très courte et passe en une fraction
03:22 de seconde, donc être bien présent à chaque instant de sa vie.
03:26 [Musique]

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