• il y a 2 ans
Zoom Extra : Vikram Punchoo, ancien Second Deputy Governor de la Banque de Maurice, est l’invité de Michael Jean Louis dans l’Interview Grand Format Il évoquera la reprise économique, le combat contre l’inflation, un coût de la vie qui ne cesse d’augmenter et la dépréciation de la roupie. Quel est l’état du pays sur le plan économique ? À suivre aussi les interventions des économistes Pierre Dinan et Dr Takesh Luckho. Vos appels au 213 7777.

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00:00:00 Bon après-midi à tous, bienvenue dans une nouvelle édition de Zoom Extra. L'actualité
00:00:08 maokée pour une fête qui finit déroulée dans les environs de Grand Bassin et c'est
00:00:12 pour ça qu'en outard, un politicien pose Kari ou Salme Sèvres c'est en référence
00:00:16 à sa caisse là. Mais pour la population zodi, fait à commission une vime, une casse-tête.
00:00:23 Donc tout du monde connaît quand mettre les pieds dans le supermarché, nous plissés,
00:00:27 on commence à causer créole là-dessus. C'est pourquoi de temps à autre il est important
00:00:31 nous prendre l'actualité chaude pour nous évoquer l'autre type d'actualité. Il n'est
00:00:36 pas sexy, mais ça fait un petit effort pour comprendre, mais il est tout aussi important
00:00:40 parce qu'il concerne l'avenir du pays, il concerne l'avenir aux enfants, l'avenir aux
00:00:45 familles. D'un côté, tout le monde reconnaît que le coût de la vie finit horriblement
00:00:50 augmenté. Depuis hier, jusqu'à ce que Tchibaba ne vienne hors de prix, bientôt pour la famille
00:00:56 de la famille, il y a un ressortissement de couches de siphon qui vous lavez tous les
00:00:59 temps tôt. D'un autre côté, nous pouvons trouver une prévision de l'organisme, l'inflation
00:01:04 et la croissance, optimiste parfois, pessimiste parfois et incompréhensible pour le commun
00:01:10 des motels la plupart du temps. Là, à l'autre front, nous pouvons dire que la reprise en
00:01:17 bonne voie du pays peut revenir à un niveau avant la COVID, notamment touristes, notamment
00:01:23 les entreprises qui ont des exploitations qui de l'or euh, peut rentrer dans le pays
00:01:30 et enfin, il y en a qui peuvent dire qu'ils ont de la guerre contre la dépréciation
00:01:34 de la qui amène augmentation des prix et qui c'est ben opératifs et ben la banque
00:01:39 qui peut travailler contre nous ou euh, et contre le pays. Si comment moi ou pas rétrouve
00:01:45 vous dans tout ça là, pas inquiétu euh, ou pas fou, normal, suive-nous l'émission,
00:01:51 nous espérer du moins avec nous sur le plateau de l'économiste donc qui est ancien second
00:01:56 député de la banque de Maurice Bon après-midi merci. Bon après-midi à toi. Oufi, acceptez-nous
00:02:02 l'invitation. Et bon après-midi aux auditeurs aussi de voilà. Et euh, mon rappel, nous
00:02:08 allons dîter qui euh, l'occasion durant l'émission, écoute, l'intervention de deux autres économistes,
00:02:14 Pierre Dinon et le docteur Takish Leku. Évidemment, ben, dis-moi qui ont envie d'intervenir sur
00:02:19 ce sujet-là, mon invité de Zout, téléphone-nous sur deux cent treize sept-sept sept-sept
00:02:23 deux cent treize sept-sept sept-sept à partir de dix-huit heures quinze et évidemment,
00:02:27 ou quoi pas, suive-nous. Nous, nous page Facebook, top FM, euh, Maurice. Ma première question
00:02:33 vite crampon tu l'es pour bien, c'est un député de la banque de Maurice et pour préciser
00:02:38 qui lorsqu'il est où le premier député qui fait de mon temps, peut-être c'est un
00:02:45 problème ou une fonction? Enfin, moi, je vais répondre pour un gars
00:02:50 de la BDH, mais nous devons comprendre que la banque centrale est établie late sixties.
00:02:56 À cette époque, les fonctions d'une banque centrale étaient très, disons, on va dire
00:03:01 basique, mais très très simple, hein, currency, un peu de réserve, management, etc., etc.
00:03:06 Mais avec le temps, avec ben, des défis comme la financial stability, comme la supervision
00:03:11 banquière, comme même, euh, ça qui est venu à cause de l'inflation targeting. Demandez
00:03:17 une spécialisation. Un gouverneur tout seul, il va caguer tout ça là.
00:03:21 Hum hum. Euh, l'hébizain des députés gouvernants, il y en a la banque centrale qui en a trois,
00:03:25 il y en a la banque centrale qui en a quatre. Hum hum. Bien sûr, Maurice, nous trouvait
00:03:29 deux suffisants et, et, en fait, moi, moi aussi, comme un, moi aussi second député
00:03:35 gouverneur, on sort de la supervision banquière et on sort de l'administration de la banque,
00:03:41 comme on le voit, pendant un moment qui aurait, disons, les bras croisés. Ben, de chez là,
00:03:46 venez et des fois, ben, tu ne m'as pas dit tout, ben, le banquier ne t'a pas dit tout.
00:03:50 Euh, nous, cause ben, des défis, ben, le problème que nous avons, c'est que, là,
00:03:52 you have to resolve les choses, pas seulement locales, internationales, les familles pour
00:03:56 venir, pour dire à nous, bien, qui vous pensez, là, qui arrive au système bancaire, qui
00:04:00 arrive à l'économie, qui l'impact est là, tout ça, on ne sait pas répondre. Bien
00:04:04 sûr, le gouverneur, il est le chief executive, hein, de tous, euh, députés gouvernants,
00:04:08 et c'est lui, le chief executive, il prend des décisions et il ne peut pas oublier qu'il
00:04:13 nous aussi, nous font partie du board of directors, hein, même pas entière, parce qu'on veut
00:04:18 dire qu'en gouvernance, on nous a fait oui, oui, on nous est d'accord. Parfois, malheureusement,
00:04:22 ça amène des frictions. Hein, des frictions. Ah, si, justement, euh, euh, je me rappelle
00:04:26 qu'il est où, donc, en Haouti, second député gouverneur, donc, euh, le premier député
00:04:29 gouverneur, c'était Padayatchi et, euh, le gouverneur, c'était Yann Bradet Gugulay,
00:04:33 si je ne me trompe pas, euh, euh, qui est dans la, la, la, sa place. Avant, avant, oui,
00:04:39 oui. Euh, il y a quelques semaines, donc, mais tu peux dire qu'il, un député gouverneur,
00:04:43 il a failli se subir à une pression qui, surtout lorsque le gouvernement ou, euh, le
00:04:47 ministre des Finances, pas trop d'accord avec le gouverneur, donc, il a fallu la pression
00:04:51 qui vient. Non, mais ça n'est pas tout, n'est pas tout, parce que nous, nous, nous avons
00:04:55 un mandat d'avouer la loi, hein, euh, peut-être, ça se passe actuellement, hein, parce qu'il
00:05:02 peut avoir, pour quand l'inflation est très forte, nous, puis, euh, décisive dans l'action,
00:05:06 nous, puis, augmenter l'intérêt très, très rapidement pour qu'on donne du moins de confiance
00:05:10 pour, euh, qui, euh, prix, nous pourrions aussi contrôler le prix là après, hein,
00:05:14 mais, bon, évidemment, le gouvernement, lui, le ministre des Finances n'aime pas que les
00:05:17 taux d'intérêt augmentent, hein, c'est logique. Donc, il y a des frictions, mais
00:05:21 c'est pour ça qu'il a une monétarité politique, comité, c'est pas une personne qui décide,
00:05:26 c'est le comité qui décide. Différents points de vue, différents points de vue,
00:05:29 ben, dis bon, nommé par le premier ministre lui-même, nommé par le ministre des Finances,
00:05:32 mais c'est indépendant, c'est différent background, et dans le couvert, c'est, alors, chacun amène
00:05:38 son point de vue et très souvent, nous, c'est un consensus, hein, il faut y avoir, d'avoir
00:05:42 un consensus. Allez, on nous rend dans le vif du sujet. L'actuel gouverneur de la banque
00:05:46 de Maurice, et le ministre du tourisme, Steven Obegadou, peut dire, euh, en ce qui concerne
00:05:52 donc l'entrée des devises, en ce qui concerne l'entrée des devises et l'autre, en ce qui
00:05:56 concerne les arrivées touristiques, qui nous pérévine à un niveau, donc, d'avant en
00:06:00 COVID, le ministre des Finances l'est plusieurs fois, l'est fini de dire qu'il a repris
00:06:04 finalement aussi, qu'il est en bonne voie, à quel point, euh, tout ça, donc, à quel
00:06:09 point nous finirons, finirons cette reprise? Bon, là, malheureusement, nous, pour vous
00:06:15 dire, on est un peu dans le détail technique, bon, moi, pour vous faire rendre ça le plus
00:06:19 simple possible, mais nous, pas capable, sans passer à un petit détail, là, hein. Alors,
00:06:24 quand nous, dans le, euh, si il y a ça sur le web, enfin, pas si il y a ça, Statistique
00:06:28 de recherche sur le website, nous guettent les chiffres, par exemple, nous, il y en a
00:06:32 des chiffres, là, c'est ce qu'on appelle le « the real GVA », hein, « gross value
00:06:35 added », c'est ça, moi, quoi, le, le, euh, la mesure préférée du ministre des
00:06:39 Finances, pour 2023, nous trouver qu'il est, d'après, d'après ces 26 chiffres-là, nous
00:06:44 nous finirons, dépassent, euh, 2019, ce niveau. Pour 2022, moi, quoi, on fait que réviser
00:06:51 les chiffres, les « just », peut-être 10 milliards, moins que ça. Mais, pour moi,
00:06:57 me trouver, il y en a beaucoup d'incertitude, là-dedans, hein, pas oublier qu'il est le
00:07:01 GVA, c'est une estimation, c'est pas une affaire qui nous, il est, euh, « the real
00:07:06 GVA », hein, « the real GVA », il est « non observable », pis il n'y a aucune part
00:07:11 qu'il y a de « the real GVA ». Et, pis il n'y a aucune moyenne, aussi, pour, pour
00:07:16 gagner ça directement, se déflatter, hein, pour, pour, pour, pour le nominal. Alors,
00:07:21 qu'est-ce que je veux te faire, si je viens de ma estimation, estimation, qu'est-ce que
00:07:24 je veux te faire, je te le fais avec une proxy deflater, hein. Par exemple, vous trouvez,
00:07:28 nous ne parlons pas de deflater direct du GVA, mais nous parlons de faire avec une proxy
00:07:31 deflater. Ça, avec une proxy deflater-là, il y a une « underlying assumption », moi,
00:07:36 une petite assumption qui, je peux vous parler, comment on prend du « real GVA », OK, du
00:07:42 nominal GVA, comme ça, on gagne « the real ». Alors, vous ne comprenez pas qu'il est
00:07:45 dans le nominal GVA qui nous, qui nous est né, hein, si, il y a ça, le GVA, ça s'effleure,
00:07:51 et il y a un effet prix, un effet volume. Alors, vous êtes d'accord avec moi, si nous
00:07:55 successivement prix, nous gagnons plus de volume, si nous surestimons prix, nous gagnons
00:08:00 moins de volume. Alors, là, évidemment, statistique, mon research, il y en a beaucoup
00:08:06 d'expérience là-dessus, il faut faire ça, travailler là, beaucoup, mais moi, mon point,
00:08:11 c'est que, quand l'inflation est stable, quand il y a « low prices », nous, quand
00:08:15 il y a, qu'il y a une proxy deflater-là, puis vous, c'est pareil, comment, il y a
00:08:19 un prix du GVA nominal, hein, mais quand il y a une dynamique de prix qui est différente,
00:08:26 comme on est dans la « high inflation », « exchange rate », « depreciation » ou
00:08:31 « devaluation », « whatever you may call it », nous gagne, nous gagne, l'importation,
00:08:36 le prix à l'impôt, bien, bien fort, il n'est pas forcément vrai, parce qu'il y a
00:08:40 une dynamique changée, quand une entreprise paye 7 « prices », ce qu'elle peut faire,
00:08:46 c'est, elle peut calculer quels prix elle a pour l'été à l'avenir, parce qu'elle
00:08:50 fait un atout de cette attitude. Et quand on est dans une situation pareille, il n'est
00:08:54 pas forcément correct qu'il nous servent les mêmes méthodes sans aucun assistement,
00:08:59 nous dirions, nous servons les mêmes méthodes qu'on nous servait avant 2019, quand l'inflation
00:09:03 s'est bassée pour arriver à sa réelle GVA. Maudit Nou, par exemple, une mesure,
00:09:11 par exemple, nous prenons le tourisme, « accommodation and food services », « activities ». Alors,
00:09:16 quel est l'indicateur, le proxy, que Statistik Moshos a utilisé ? C'est le volume, là,
00:09:23 il n'est pas qui fait le prix, là, là, il y a le volume. « Based on the number of
00:09:28 tourist arrivals ». Allez, « just imagine », un touriste vient de mourir, on va dire
00:09:32 « caricature », il vient de mourir, il a le travail noir. Mais est-ce que ça fait
00:09:39 partie de la croissance de l'industrie ? Non. Alors, peut-être que c'est bizarre,
00:09:44 mais il y a beaucoup de choses qui étaient peut-être vraies avant, mais qui ne sont
00:09:49 pas forcément vraies maintenant. Là, ils font une hypothèse qui est tout le temps
00:09:55 le tourisme identique. Alors, ça, c'est un peu… Oui, oui.
00:09:59 Est-ce que mon collègue, là, vous pouvez comprendre, là ?
00:10:02 Vous pouvez comprendre, oui. Allez, viens, bon. OK ?
00:10:04 Ensuite, nous prenons une autre aberration, « telecommunication services ». Alors,
00:10:08 qui déflate-t-il, il s'est dit ? Il prend le prix de ses téléphones « calls ». Mais
00:10:12 tout le monde sait WhatsApp. WhatsApp, oui. Tout le monde sait Messenger. Mais le prix
00:10:17 de ses téléphones « calls », il n'y a pas de manque du tout. Hein ? Mais finalement,
00:10:21 déflater, là, il reste, on va dire, il peut avoir des mêmes bousilles. Tout ce qui
00:10:25 est télécom peut mesurer, peut venir dans le volume. Alors, c'est où il y a une bande
00:10:31 professionnelle, scientifique, qui a dit « deflation by consumer price index ». Alors,
00:10:35 tout ça me… Tout ça, mais nous à quelle conclusion ?
00:10:38 À la conclusion qu'il peut être OK en période de stable et de l'inflation,
00:10:45 mais c'est définitivement pas OK quand il y a une inflation élevée, une incertitude
00:10:51 sur les prix futurs. Est-ce qu'il est capable, moi, à partir
00:10:54 de sa conclusion que vous pouvez faire là, de dire que peut-être que les chiffres sont
00:10:58 faussés intentionnellement ou pas intentionnellement ?
00:11:00 Non, je ne vais pas vous dire ça. Peut-être, peut-être, les poumons, si c'est une recherche
00:11:05 qui est négligeable ou non, peut-être que moi, je sais ce que je peux dire, peut-être
00:11:08 que ça va faire sens. Peut-être que je vais dire ça. Mais ce n'est pas fini, hein.
00:11:11 Ce n'est pas fini. Je vais donner une autre chose, que moi, je vais trouver un pays, disons,
00:11:19 je ne vais pas vous dire fort, en fait, ce qui nous arrive au niveau 2019, mais un signe
00:11:23 difficile pour, disons, pour nous avaler ça tout de suite. Et d'ailleurs, quand on
00:11:27 regarde sa augmentation 2023-là, il existe pas 11 millions par rapport aux chiffres de
00:11:32 2019, ce qui veut dire que quand on a fait une approximation, on a toujours les mêmes
00:11:36 erreurs. Et il est fort possible que ce n'est pas le cas. Alors, moi, je vais donner encore
00:11:40 un petit, peut-être, des trois petits exemples, là. Nous pouvons prendre CPI pour une déflatée,
00:11:46 hein. Mais CPI…
00:11:47 Consumer Price Index.
00:11:48 Consumer Price Index, oui. Consumer Price Index. Mais c'est une panier qui date de
00:11:52 2017. Quote, Food, par exemple, Food and Non-Alcoholic Beverages, 28,4% du panier du consommateur.
00:12:00 On prend une tellement augmentée, au cas du mois de jeudi, et quand ça a les 25 000
00:12:04 euros, si on est d'accord pour dire qu'il est toujours à 28,4%, c'est possible.
00:12:11 Nous sommes dans les 50%. Donc, nous pouvons servir les vieux, les indicateurs qui n'aiment
00:12:16 pas dépasser, qui n'aiment pas dépasser pour nous déflater certaines activités.
00:12:21 Donc, pour moi, disons, je suis un peu… évidemment, là, nous supposons que le 2022,
00:12:27 je suppose qu'il y a une nouvelle sur le budget, nous ne pourrons pas avoir de résultat.
00:12:31 Mais nous avons un coût qui peut arriver. Je ne vais pas dire toutes les affaires. Si
00:12:39 vous demandez à un petit gars de l'État, vous savez, je ne vais pas lui poser de questions,
00:12:41 mais je demande à un petit gars de l'État encore. Maintenant, ce que vous faites, moi,
00:12:44 je vous donne un coût statistique, tout le prix, tout les indicateurs qui sont dans
00:12:48 le prix. Nous prenons un indicateur important qui s'appelle Import Price Index. Nous
00:12:54 voulons que ce soit de l'évolution de 2019 à 2020. Bon, évidemment, pas dans 2023,
00:12:58 ni en 2020. 2019, c'est -.09. 2020, c'est +10.2. 2021, c'est +19.1. 2022, c'est +34.3.
00:13:11 Bon, il y a des précisions de l'Europe. Il adore. Maintenant, nous prenons le CPI.
00:13:18 Même époque 2019, 0.9. 2020, c'est +2.7. 2026, c'est +12.2. Mais quand nous regardons
00:13:27 le déflateur, nous trouvons quand même des affaires qui ne sont pas correctes. -.6, +3.2,
00:13:36 +7.5. Évidemment, il est -3.10. Mais moi, j'ai l'impression qu'il est par exemple de
00:13:40 l'autre côté. Parce que si le prix de l'importation peut monter, le prix de la consommation qui
00:13:45 est de l'importation, c'est un prix qui peut monter. Mais qu'est-ce qui m'est arrivé
00:13:49 au milieu là? Comment est-ce qu'on a pris au milieu le prix de l'importation? Ou bien
00:13:54 l'importation croît moins fort que ce qui nous pèse? Alors, je trouve que c'est pénissant.
00:14:01 Je pense à ça. Peut-être que c'est bon que quelqu'un explique ça. Moi, moi-même,
00:14:06 personnellement, j'ai l'expérience, je pense qu'il est de l'autre côté.
00:14:10 -2 minutes encore. Vous connaissez, vous pourrez se poser des questions, mais 2 minutes encore.
00:14:16 Ainsi que nous avons, je dirais, des chiffres qui ne sont pas des statistiques de nos richesses,
00:14:20 admettons. Quand nous avons ces chiffres, nous trouvons qu'il y a ce qu'on appelle une
00:14:26 réconciliation inévitable. Nous avons une secte qui a ce bon en 2023, projection bien sûr,
00:14:34 qui est en cours en bas 2019 sur le divier réel, sur le réel output. Nous avons une secte qui
00:14:42 reste positive tout le temps et nous avons une secte qui est récupérée, mais récupérée très
00:14:48 faiblement. Il y en a qui est récupérée en 2021, il y en a qui est récupérée en 2022,
00:14:51 il y en a qui est récupérée en 2023. Nous avons un exemple là. Par exemple,
00:14:55 une secte qui est en cours en bas 2019, c'est Texas, l'électricité, le gaz et le steam,
00:15:00 construction, distributif, commerce, transport et stockage. Une banque qui reste résiliente,
00:15:06 c'est l'information et les communications, les services financiers et l'insurance. Et là-dedans,
00:15:10 l'information et les communications, nous connaissons la télécommunication,
00:15:13 c'est une grande partie. Nous avons un problème, nous avons un problème de la faille à déflatter.
00:15:16 Et après, nous avons la public administration, le gouvernement,
00:15:20 son contribution aussi est importante. Donc pour moi, les constats là, c'est que l'économie,
00:15:26 finalement, n'est pas aussi résiliente que ça. Par exemple, si nous prenons les États-Unis,
00:15:30 par exemple, je tombe dans une récession rapidement,
00:15:33 « two free quarters » et on finit récupérés. Mais nous, le fait qu'il y ait encore une secte
00:15:38 qui est en cours sous la base de 2019, ça a démontré qu'il n'y a pas 50% de résilients
00:15:44 qui nous vivaient là. Maintenant, on peut dire aussi qu'il y a des constats de télécommunications,
00:15:49 financial services qui fait qu'ils sont résilients. Et ce qui, par exemple, parce qu'il y a une
00:15:53 digitalisation, c'est pour ça qu'ils ont une PME de zôte malgré COVID, ils ont une récession
00:15:57 assez hausse. Et de pas moi, moi, une dernière intervention là, un dernier point.
00:16:01 Si nous regardons, secondairement, on regarde aussi la productivité et le coût du travail.
00:16:06 Nous trouvons que ce qui est extraordinaire dedans, c'est que la productivité ne reprend
00:16:12 pas maintenant. OK? Les chiffres de 2022, malheureusement, ne sont pas disponibles.
00:16:17 Alors, productivité reprend, mais le coût du travail unique, en rupees, il monte bien sûr,
00:16:23 mais il y a de l'or, il est négatif tout au long. Alors, le problème, quelle est la politique du
00:16:30 gouvernement? Est-ce que c'est une politique qui vise à maintenir la compétitivité du pays
00:16:36 au détriment des travailleurs? Ou bien, c'est un, ça veut dire, nous revenons un peu de même
00:16:41 dans la façon dont beaucoup nous avons discuté, socialising losses, privatising gains. Et
00:16:48 finalement, malheureusement, c'est que les travailleurs, je ne vais pas passer voir ça
00:16:52 parce qu'ils sont un peu victimes de l'illusion monétaire. Et, moi, je dis maintenant, si les
00:16:55 syndicats aussi comprennent. Alors, en conclusion, hein, en conclusion, bon, moi, je trouve que c'est
00:17:00 une situation économique encore très fragile. Pas mal de secteurs économiques sont encore sous
00:17:04 l'eau. Et maintenant, la grande question, est-ce que c'est un problème de conjoncture? Ou bien,
00:17:10 c'est un problème de structure? Ça, c'est un grand, un grand travail qui va peut-être être
00:17:14 une de tes missions de cas closures, là. Voilà. Voilà, OK. Merci, Vikram Bantu. Donc,
00:17:18 euh, bonne économie, c'est tout du monde, bizzère, donc, bizzère de base, donc, pour se faire
00:17:23 bonne comparaison et bonne prévision. Ma question est là, nous, une petite réponse assez, euh,
00:17:28 courte, euh, Vikram Bantu, euh, quand nous guettons, comment tout finit sans eau, comment
00:17:31 la situation finit sans eau, est-ce qu'il y a référence au niveau d'avant Covid? Donc,
00:17:35 souvent, nous pouvons prendre la base, c'est 2019, est-ce qu'il y a encore toujours une
00:17:39 insupportable? Euh, mon conseil, il y a une insupportable parce que, quand même,
00:17:43 nous avons l'idée que, disons, Covid a été un phénomène exceptionnel, hein, d'une envergure
00:17:48 inimaginable. Donc, finalement, ça a été un bon repère pour nous, hein, pour nous connaître,
00:17:55 où nous sommes. Mais seulement, on a pris quand même quatre ans pour éviter ça, hein,
00:18:00 à ce niveau-là, en gros. Et ça aussi, quand nous nous posons avant, ce qui…
00:18:03 Nous part. Nous patiente, nous patiente. Mais, mais c'est sûr qu'à l'étranger,
00:18:08 c'est plus visible, hein, que l'économie a changé. Par exemple, « work from home »
00:18:11 est une vinaigre, ça fait… normal. Moi, moi, j'ai pas de famille qui reste en Amérique.
00:18:16 Je travaille en Amérique, mais je vais travailler en ligne. Maurice, bon,
00:18:20 vous venez, quel est le… l'extent de sa « work from home » là? Mais le tourisme aussi,
00:18:25 après Covid, peut-être, il demande un peu plus d'environnement, ben, il chaute l'environnement,
00:18:30 tout ça. C'est sûr, si nous continuons avec le même « mindset » d'avant Covid, peut-être,
00:18:36 il est plus difficile pour nous, pour nous, disons, redémarre l'économie de façon simple.
00:18:41 We have to change the model, hein, nous, peut-être, ça nous casse.
00:18:44 Effectivement. Donc, l'inflation, justement, l'inflation qui a affecté tout du monde,
00:18:49 pas pay arrêt augmenté, donc quand nous payons déjà l'inflation, c'est-à-dire que le coût
00:18:54 de la vie peut augmenter, en même temps, nous ne pouvons pas trouver une prévision
00:18:57 de croissance peut être revue, à la baisse, du moins, FMI, Finfi Ali, 5,4 maintenant pour 2023,
00:19:04 l'IPDR, qui prévoit 4,6, SBM aussi, finit de revoir l'IPXPEC 5,2, selon un dernier document
00:19:12 qu'ils nous finissent de trouver. Nous avons ce gros débat qui, le combat contre l'inflation,
00:19:17 passe forcément par un coût à la croissance, qui lui a affecté la croissance. Est-ce qu'il
00:19:23 est dans un schéma là, aujourd'hui, selon vous, et comment nous sauter là-dedans?
00:19:26 Si oui. Bon, nous disons, disons, en écologie, il résout sans problème, hein,
00:19:32 la direction économique abondante, là, des, ce qu'on appelle les "short-term trade-offs".
00:19:37 Mais, "in the long run", je dirais, auquel la monnaie, par exemple, est neutre, ça veut dire
00:19:43 qui? "In the long run", c'est la force réelle qui détermine la croissance. A ce terme, nous
00:19:49 devons calculer qui nous peut guéir là. Est-ce qu'il nous peut guéir "fluctuation", "around the
00:19:53 trend", c'est-à-dire "business cycle", ça veut dire "up and down", ou bien nous peut "focus"
00:19:57 "on the trend". La politique économique, bien sûr, disons, quand nous avons une "departure from
00:20:04 the trend", par exemple, là, nous avons une, le COVID, nous le dessinons en bas, nous, l'économie,
00:20:08 en récession, "technical recession", on peut appeler ça. Donc, nous pensons qu'il y a une
00:20:14 grande affaire, oui, il y a une grande affaire si nous avons un effet qui commence permanent.
00:20:19 Mais tant que nous avons des effets restants pour rien, nous ne faisons qu'un manuel de ça,
00:20:22 pour qu'il nous retourne rapidement vers la croissance. Maintenant, si nous prenons une
00:20:25 mesure, plus qu'il nous le faut, nous sommes capables de régler l'économie, parce qu'il
00:20:30 fait, l'économie, ce ne sont pas des affaires que nous pouvons faire n'importe quoi, et surtout,
00:20:34 très important, nous ne pouvons pas faire des affaires en isolation, ça n'a pas lieu de faire
00:20:38 des affaires de deux, ça n'a pas lieu de faire des affaires de deux, ça n'a pas lieu de faire des
00:20:41 affaires de deux. Non, parce que, quitte à faire, il faut qu'il s'équilibre d'une façon,
00:20:45 ce qu'on appelle "general equilibrium", ça veut dire qu'il faut que le "whole system"
00:20:49 s'équilibre. Mais tu es capable, tu peux faire ça, tu es capable, tu peux penser à un effet,
00:20:54 mais il y a un "counter effect" sur moi. Alors, parfois, je me rends un peu confus,
00:20:59 quand je regarde la proche, ça me fait des manières de dire ça, ça me fait des manières de dire ça.
00:21:05 Je me rends un peu confus, hein! Mais allez, ok, vous faites des affaires là-dedans,
00:21:12 hein? Vous les gagnez bien, est-ce qu'ils peuvent les gagner bien, selon vous?
00:21:15 Ouf! Là, je te pose une question bien difficile. Peut-être que je peux répondre à ça différemment,
00:21:21 je vais dire si je peux faire ça différemment. Oui, allez, on va faire ça aussi, donc,
00:21:28 et s'il prend une bonne mesure en plus, donc, plus qu'il vise à ça,
00:21:31 on est capable de dérégler pour tout, mais est-ce qu'il, selon vous, c'est ça qu'il peut faire?
00:21:37 Donc, je vais te donner un exemple. Tu connais, dans l'écoute, allez,
00:21:39 dis-moi un petit exemple, hein? Dis-moi qu'il y a un boulot,
00:21:44 une propriété pour lui monter dans la case. Il n'y a pas qu'à payer,
00:21:47 maintenant, si c'est sur la case. OK, c'est fait, game.
00:21:50 Une entreprise, l'il prend une mauvaise décision stratégique ou bien ça,
00:21:57 l'il fait faillite, MIC, il va le soutenir. Mais où est la logique? Où est le marché?
00:22:04 Le rationnel, le marché logique. Soit on nous donne une économie de marché
00:22:10 pour payer, permettre à quelqu'un qui prend la case, il va avoir un boulot pour faire,
00:22:14 mais tout le monde a le boulot, c'est fait, laisse quelqu'un d'autre le découvrir.
00:22:17 Elle n'a pas reçu son chèque, elle veut, et si elle n'a pas reçu son chèque,
00:22:21 les investissements qu'il a acheté à la prix, je ne sais pas,
00:22:24 je ne sais pas, je ne sais pas, qui fait le gouvernement,
00:22:27 je ne comprends pas qui fait le gouvernement, il a acheté ça à prix faux.
00:22:30 Laisse l'entreprise la faire. OK, les gens peuvent faire du travail.
00:22:34 Mais justement, c'est ça l'argument.
00:22:36 Non, mais il ne peut pas faire du travail, parce qu'il y a dix,
00:22:39 dix personnes qui peuvent ouvrir une entreprise pour les étrangers,
00:22:42 qui peuvent venir s'ouvrir, régler leur modèle, continuer à employer des gens.
00:22:46 C'est ce qui se passe dans la banque, par exemple,
00:22:49 il y a une entreprise, mais tout le monde est heureux.
00:22:51 Non, on l'a acheté, on l'a fait, on l'a découvert.
00:22:53 Avant ça, c'était facile, c'était bête, tu fais un déficit,
00:22:57 mais personne ne peut faire du travail.
00:22:58 À moi, c'est une foutue professionnellement, ça c'est autre chose.
00:23:01 Mais je ne comprends pas qui fait dans le cas des entreprises,
00:23:04 un peu trop cosy avec le secteur privé, je ne sais pas, moi je sais,
00:23:09 moi je veux dire que c'est dans la logique du marché,
00:23:11 de ne pas faire de mauvaise décision, tu payes le prix.
00:23:13 Qui fait un mauvais débat avec toi?
00:23:15 C'est un faux débat ça.
00:23:17 Donc, vous voulez dire qu'en ce qui concerne la MIC,
00:23:21 il y a un certain sauvetage, un truc qui peut-être n'a pas été justifié?
00:23:24 Non, pour éviter ça qui nous fait cosy,
00:23:26 quand on va parler de ça, comme ça, qui ne fait peut-être plus ce qu'il veut.
00:23:29 C'est ça, je vais te donner un exemple,
00:23:32 qu'on ne fait, disons, à mon avis, plus ce qu'il veut.
00:23:36 Est-ce qu'on a reçu le bon débat?
00:23:39 Non, parce que si cette entreprise est allée dans le réchauffement,
00:23:43 tu ne peux pas gagner le prix à bas prix.
00:23:45 Mais allez, justement, comment vous pouvez évoquer ça?
00:23:47 Moi, je viens de le savoir, le gouverneur de la banque de Maurice,
00:23:51 finit de dire dans son dernier rapport annuel,
00:23:54 que les pays défendent la MIC.
00:23:58 Alors, ce qui nous connait, c'est qu'il y a la FMI,
00:24:00 donc qui fait une très critique envers la création de cette compagnie.
00:24:06 Je vais te le dire, là, je vais répondre à ça différemment.
00:24:10 Je vais te le dire comme ça, aux États-Unis,
00:24:13 il y a une récession, très rapidement, l'économie répond parce qu'il y a des dynamiques.
00:24:17 Maurice, il va nous tauler,
00:24:20 parce qu'il avait toujours mal problème là,
00:24:23 parce qu'il ne peut pas laisser le seul suivre son cours.
00:24:28 OK?
00:24:29 Quand tu as un bon deal,
00:24:30 quand tu peux faire ça,
00:24:31 nous, tu peux faire ça,
00:24:32 nous, tu peux faire ça,
00:24:33 si tu ne peux pas faire ça, tu peux arriver à ça.
00:24:34 Mais, ce n'est pas un argument.
00:24:37 Soit tu n'as pas d'optique logique.
00:24:39 Je vais prendre un exemple,
00:24:42 nous, qui avons causé ça,
00:24:43 c'est un homme,
00:24:43 nous, qui avons causé ça.
00:24:44 Je vais penser pour causer ça, après,
00:24:45 je vais donner un autre exemple.
00:24:47 Moi, je suis choqué,
00:24:48 je viens de dire, le terme anglais, c'est "flabbergasted".
00:24:51 Vous comprenez?
00:24:52 Parce que vraiment,
00:24:52 [Rires]
00:24:53 Tu connais?
00:24:53 C'est bien avec l'accent, tu vois.
00:24:55 L'association des hôteliers.
00:24:57 Je viens de le dire au ministre des Finances,
00:25:00 pendant les consultations,
00:25:01 je vais dire,
00:25:02 quand nous faisons une rénovation,
00:25:05 quand nous faisons une rénovation de l'hôtel,
00:25:07 nous allons gagner des révenus,
00:25:08 mais si tu as compté gagner des gouvernements.
00:25:10 Le ministre des Finances,
00:25:11 il va dire, oui, OK,
00:25:11 nous, pour donner cette considération,
00:25:13 peut-être, nous allons diminuer tout ça.
00:25:14 Mais, qu'est-ce que c'est que ce business?
00:25:15 Qu'est-ce qu'il fait d'un balance sheet et des réserves?
00:25:18 Les réserves, c'est juste...
00:25:21 Quand tu es dans une situation comme ça,
00:25:23 tu ne peux pas continuer à rouler ta compagnie.
00:25:25 Mais qui?
00:25:26 Le gouvernement qui te fait une dette,
00:25:27 qui te bouffe.
00:25:28 Mais aujourd'hui, il nous donne une logique
00:25:31 qui est trop cosy avec le secteur privé.
00:25:35 Et moi, je met un point là-dedans,
00:25:36 qui est que nous devons prendre
00:25:39 la propriété du policier.
00:25:41 Aujourd'hui, disons,
00:25:44 au nom de la consultation privée, publique,
00:25:47 comment le secteur privé influence le policier
00:25:52 au détriment de la population?
00:25:54 Je vais vous donner un autre exemple.
00:25:55 Tourisme, un problème de main-d'oeuvre.
00:25:59 Right.
00:26:00 Bien beau.
00:26:02 Si tu veux augmenter le salaire,
00:26:04 regarde, il y a une logique du marché qui est très simple.
00:26:07 Tu peux travailler à Wadidou,
00:26:09 tu augmentes le prix, tu augmentes les salaires.
00:26:11 Tu prends une certaine salaire,
00:26:12 qui te permet de travailler avec toi.
00:26:14 Et d'ailleurs, le même Mauritien,
00:26:16 quand il perd son rôle, il peut payer plus.
00:26:17 Mais donc, quelle a été la faute du tourisme?
00:26:21 La faute du tourisme, c'est l'accueil du Mauritien,
00:26:23 le sourire du Mauritien.
00:26:24 Maintenant qu'ils ont fait un état, non.
00:26:26 Nous voulons un port de forêt libre.
00:26:28 Pour travailler dans le...
00:26:30 Mais, toi, un gouvernement,
00:26:31 tu ne peux pas dire ça.
00:26:32 "This is not possible, you have to pay higher wages."
00:26:35 Non, où est la faute de l'étranger venu?
00:26:38 Maintenant, pour poser la question,
00:26:41 si tu fais une ratio
00:26:42 entre le salaire du CEO, plus le bénéfice,
00:26:47 et le salaire le plus bas,
00:26:49 ou bien le salaire d'avantage dans l'hôtel,
00:26:53 tu peux facilement en descendre.
00:26:55 Facilement.
00:26:56 Mais, n'est-ce pas quand même une certaine aberration?
00:27:02 En descendant,
00:27:04 ça c'est le théâtre de la théorie,
00:27:06 tu prends n'importe qui c'est que théâtre,
00:27:07 tu acquittes ça.
00:27:08 Mais, ça veut dire, bas non bas,
00:27:11 malheureusement, ils ne payent l'adéquité.
00:27:15 Mais, d'un autre point,
00:27:17 tu connais quand tu es en économie,
00:27:18 sur un état de développement,
00:27:20 disons, dans le "developing economy",
00:27:23 on peut bouger, on peut enlever un peu plus de développement.
00:27:25 Par exemple, dans le "low income group",
00:27:27 tu as une "middle income group",
00:27:29 tu as une "upper middle income group",
00:27:30 après tu as une "high income group".
00:27:32 C'est un peu le cas, on va dire,
00:27:33 quand on arrive à "upper middle",
00:27:34 on a une dessaine au remonté, whatever.
00:27:35 - Oui, oui.
00:27:36 - Mais, automatiquement,
00:27:38 "prices go up", "wages go up".
00:27:41 Qui fait, d'après toi,
00:27:43 un pays développé,
00:27:46 qui fait "services payés plus high".
00:27:51 Mais, parce qu'il te donne logique de développement,
00:27:54 tu as besoin de plus de "wages" pour que tu ailles plus loin.
00:27:56 Non, non, on peut monter dans ça,
00:27:59 mais c'est maintenant qu'on peut maintenir la pression,
00:28:01 pour aller en bas.
00:28:03 Mais, il n'y a pas de logique.
00:28:04 Il y a tout un travail à faire, bonjour.
00:28:07 - Allez, nous vous réveillons là.
00:28:08 Nous vous avons pris une pause,
00:28:09 donc d'abord, nous vous rappelons qu'il y a un "lift-off"
00:28:12 dans quelques minutes.
00:28:14 Et aussi, nous vous avons pris la pause pour la pub.
00:28:17 Après, nous vous écoutons les deux autres économistes
00:28:20 qui nous finissent d'interroger, comme le collègue Nnamata Dilsan
00:28:22 finit d'interroger hier.
00:28:23 Donc, nous mordons la pause et nous retrouvons des quelques minutes.
00:28:27 (Générique)
00:28:32 (...)
00:28:35 (...)
00:28:36 - On a le plaisir de vous présenter
00:28:38 l'heure de l'iftar et le nid yate pour l'iftar.
00:28:41 Et vous souhaite Ramadan Moubarak.
00:28:43 (Musique)
00:28:49 - Selon l'horaire établi par la Djouma Mosque,
00:28:51 l'iftar pour les régions de Roseil et Quatre-Bornes
00:28:54 sera 3 minutes après le bip.
00:28:56 Pour les régions de Kerpip et le Sud,
00:28:58 ce sera 5 minutes après le bip.
00:29:00 Quant à Vaqua, 4 minutes après le bip.
00:29:02 (Musique)
00:29:06 (...)
00:29:09 (...)
00:29:12 (...)
00:29:15 (...)
00:29:18 (...)
00:29:21 (...)
00:29:25 (...)
00:29:27 (...)
00:29:29 (...)
00:29:31 (...)
00:29:33 (...)
00:29:35 (Propos en arabe)
00:29:37 (...)
00:29:39 (...)
00:29:41 (...)
00:29:43 (...)
00:29:45 (...)
00:29:47 (...)
00:29:49 J'ai confiance en toi. Je romps ce jeûne avec la nourriture que tu m'as pourvue.
00:29:54 Accepte ce jeûne de moi. Amen.
00:29:58 C'était l'heure de l'yvetard avec Prodigal Mincemeat, Hill Tuto et Mauritius Union
00:30:03 qui vous propose le blanc des pommes en une taque à foule.
00:30:05 TomTom FM
00:30:08 Hé, t'en trouves m'aux bannes homemade burgers poulet ?
00:30:11 Aché !
00:30:12 T'es cousi m'aux bannes cutlets poulet ?
00:30:14 Aché !
00:30:15 M'on fer aussi boulet t'es que ça ou maille poulet ?
00:30:17 Aché !
00:30:18 Samoussas poulet ?
00:30:20 Aché !
00:30:20 M'imbuis sautés poulet ?
00:30:22 Aché !
00:30:23 Spaghettis bolognese poulet ?
00:30:25 Aché !
00:30:26 Pâtés poulet ?
00:30:27 Aché !
00:30:28 Zameu poulet ?
00:30:29 Zameu poulet ?
00:30:31 Zameu poulet ?
00:30:33 Zameu poulet ?
00:30:35 Présentez Girnar Détox Desi Kava
00:30:38 Un thé avec un twist
00:30:40 Mangez-le avec le soleil qui se réveille
00:30:42 Ou goûtez-le après une longue course
00:30:45 Vous vous réveillez pendant un jour hectique
00:30:47 Ou quand vous êtes dans les montagnes loin d'ici
00:30:50 Le meilleur des thés verts, des herbes et des épices
00:30:53 Donnez un goût qui est deux fois plus agréable
00:30:56 Détoxer, maintenant fait facile
00:30:58 Mangez-le et mangez-le
00:31:00 Sans doute, ils disent
00:31:01 Girnar
00:31:02 Mai chai, mai time
00:31:05 Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org
00:31:08 [Musique]
00:31:33 La roue, la poule et mes bâtons dans la roue
00:31:38 Où avec nous, nous avec vous, nous papouquillez
00:31:42 L'ami dans l'ami, nous papoulaisses
00:31:44 Liberté menacée
00:31:46 Sans frayer, à nif' paver, nous amène
00:31:49 Où la vérité, la roue, la poule et
00:31:52 Mes bâtons dans la roue
00:31:55 Où avec nous, nous avec vous, nous papouquillez
00:31:59 L'ami dans l'ami, nous papoulaisses
00:32:02 Liberté menacée
00:32:04 Sans frayer, à nif' paver, nous amène
00:32:07 Où la vérité
00:32:09 [Musique]
00:32:20 Le laboratoire médical Procare vous propose un bilan de santé général
00:32:24 Pour seulement 700 roupies pour un temps limité
00:32:27 Nous offrons également des services de prise de sang à domicile à travers l'île
00:32:31 Laboratoire médical Procare, Ramdani Building Forestside et Santa House au coulé
00:32:36 En face de la station service Shell
00:32:38 Nos lignes téléphoniques sont ouvertes de 6h30 à 20h30 tous les jours
00:32:43 Appelez-nous au 660 60 60
00:32:46 660 60 60 pour plus d'informations
00:32:49 [Musique]
00:33:19 [Musique]
00:33:29 [Musique]
00:33:39 [Musique]
00:33:59 [Musique]
00:34:19 [Musique]
00:34:29 [Musique]
00:34:57 [Musique]
00:35:26 [Musique]
00:35:31 105.7 et le centre 104.4
00:35:36 [Musique]
00:35:38 [Musique]
00:35:40 Zoom Extra
00:35:42 De retour dans l'interview grand format
00:35:45 Aujourd'hui nous parlons de la reprise économique, nous parlons de l'inflation, le coût de la vie
00:35:49 Et aussi la dépréciation de la roupie
00:35:52 Nous avons avec nous en studio l'économiste Vikram Panchu
00:35:57 Ancien second député gouverneur de la banque de Maurice
00:36:01 Nous avons l'occasion dans quelques minutes d'écouter deux autres économistes
00:36:06 Le Dr Takeshi Roku et l'économiste Pierre Dinan
00:36:10 Avant la pause, et je vous rappelle qu'il appartient à 18h15
00:36:13 Donc vous pouvez téléphoner nous si vous voulez intervenir sur le sujet
00:36:16 Avant la pause, je peux dire que le gouvernement, les autorités, ont pris le rôle de policiers
00:36:27 Ma question c'est, est-ce qu'il n'est pas plus facile quand vous n'êtes pas une politique, ou pas un politicien
00:36:33 Pour dire ça, est-ce qu'il n'est pas plus compliqué quand vous avez cet aspect politique à prendre au niveau ?
00:36:40 Non, mon pensée dépend de ce que vous voulez dans votre vie
00:36:44 Est-ce que, quand vous allez à une quête de fonction, les gens ont des réponses
00:36:50 Par exemple, à l'écoil, il y a une bouquine faible pour le pays, même si c'était difficile
00:36:55 Ou bien, il y a des "myopic"
00:36:58 C'est-à-dire, nous devons donner une bonne situation pour que les voisins soient garantis de l'évolution
00:37:02 C'est un des ingrédients que nous avons dans l'expression
00:37:04 C'est-à-dire que nous devons connaître, nous devons avoir des réponses, une image qui nous fait nous dévoir
00:37:10 Par exemple, nous devons calculer qui est la bonne génération à venir
00:37:15 Nous avons deux passages, nous avons deux passages
00:37:18 Moi, je dirais peut-être 20 ans pour vivre encore
00:37:21 Mais, il y a une grande chose pour moi, c'est de dire, nous devons laisser, si jamais demain il y a une occasion
00:37:27 Nous laissons ça pour les générations à venir
00:37:30 Alors, si nous pouvons tout le temps être de chaudes oeuvres, de très chaudes oeuvres, nous n'allons jamais faire progrès
00:37:35 Tout le monde qui fait progrès, que ce soit Dubaï, que ce soit l'Unité Arabie Méditerranée, que ce soit Singapour
00:37:41 Il y a des bonnes leaders qui viennent avec une vision
00:37:44 Où ils veulent être dans 25 ans, où ils veulent être dans le temps et travailler vers leur vision
00:37:49 Mais, si nous pouvons dire que le chanteur ne va pas arriver à l'année
00:37:52 D'ailleurs, nous, quand nous regardons l'économie par rapport aux autres
00:37:55 Par exemple, quand nous avons un FDI de Royal State
00:37:59 Cinq pays en Afrique ont un FDI de 4 milliards de dollars dans les startups technologiques
00:38:05 Nous, nous avons un FDI dans le Royal State, un bâtiment
00:38:08 Le Kenya fait qu'il y a une satellite là, avec une fusée américaine dans le...
00:38:14 Mais, mais, qui nous peut faire nous?
00:38:17 Mais, nous devons prendre l'économie de gouvernance avec nos banques de frais africains
00:38:21 Parce que nous pouvons faire tout le mal, nous ne pouvons pas vivre nous
00:38:25 Nous ne pouvons pas construire gauche ou droite sans aucune planification
00:38:30 Et nous n'avons pas de plan, nous n'avons pas de plan
00:38:35 Mais, nous n'avons pas trouvé que nous nous contenions comme ça
00:38:38 C'est pas nous pour... nous pour un pays qui a un futur devant
00:38:42 Parce que tout le monde est indicateur, il y a quelqu'un d'indicateur
00:38:44 Et nous ne pouvons pas faire ça
00:38:46 La situation n'est pas aussi bonne que nous pouvons penser qu'elle l'était
00:38:50 Allez, ok, allez, nous prévenons-le là dans quelques minutes
00:38:53 Mais, une autre question, donc, il se cache depuis tout à l'heure
00:38:56 On évite, moi je vous pose la question carrément avec un bonjour
00:39:00 Dans ce, dans ce, dans ce message, donc, le gouverneur de la banque
00:39:05 Demeurait se dire que la création de MIC fait un "decisive tool"
00:39:10 Donc, un outil décisif pour sauver l'économie, donc, pendant le COVID, etc.
00:39:15 Et nous connaît toutes les critiques qu'il fait là contre MIC, notamment pour FMI
00:39:20 Ou, je vous pose la question, est-ce qu'il fallait créer ce "tool" là?
00:39:26 Bon, c'est très facile, disons, de devenir plus critique
00:39:30 "Yes, leader"
00:39:32 Peut-être dans le moment de la crise, ou alors dans la panique, ou autre
00:39:38 Mais, mais, c'est pas le rôle de la banque centrale
00:39:42 Ça nous est bien clair
00:39:44 D'ailleurs, FMI dit "Le gouvernement peut se mettre en place avec MIC"
00:39:47 "Il n'y a pas d'issue avec ça"
00:39:49 Mais c'est pas le rôle de la banque centrale
00:39:51 D'ailleurs, beaucoup disent qu'on est en conflit d'intérêts
00:39:53 Conflit d'intérêts
00:39:55 Parce que, comment nous, quand même, nous-mêmes, nous fidèles, peut-être prêtés
00:39:57 En même temps, nous pouvons être dans la banque
00:40:00 Dans la banque, aussi, peut-être prêtés
00:40:02 Nous avons quand même un rôle plein de bandes longues
00:40:05 Parce que, toujours, nous ne connaissons pas le point d'un conflit d'intérêts
00:40:08 Donc, là, le FMI a raison
00:40:10 Peut-être, MIC est un peu là
00:40:12 Mais, définitivement, pas sous la banque centrale
00:40:14 Il est un peu ailleurs
00:40:16 Il y a beaucoup de monde, notamment du FMI
00:40:19 Qui, la banque centrale, se désinvestisse de la MIC
00:40:23 Peut-être, avouer l'issue de la Banque de développement, etc.
00:40:26 On ne va pas connaître
00:40:28 Mais, pas Paris, qui est dans sa...
00:40:30 Mais, c'est le coste!
00:40:33 C'est le coste!
00:40:35 Qui s'en a pour un an, ça compte des casse-tête pour prendre sa MIC, là?
00:40:38 Qui s'en a?
00:40:41 Personne!
00:40:42 Ni le gouvernement, ni l'autorité fiscale, ni les biens
00:40:45 Surtout pas les biens
00:40:47 Qui s'en a pour prendre ça?
00:40:49 Parce que la banque de Maurice, qui ne peut pas vendre ça
00:40:51 Elle ne dit pas qu'il existe un sac à dos
00:40:53 Elle ne peut pas vendre ça avec une bonne institution
00:40:55 Parce que c'est un asset qui est dans un subsidiary
00:40:57 Une filiale
00:40:59 Elle ne peut pas vendre une filiale, là
00:41:01 Mais, qui s'en a pour c'est ça
00:41:03 Personne n'a la possibilité d'acheter une filiale
00:41:06 Personne n'a les moyens
00:41:08 Et, probablement, ils choisissent une autre possibilité, non?
00:41:10 Qui s'en a pour acheter ça, là?
00:41:12 Donc, ils peinent à soi, les institutions
00:41:14 Ils vont penser, d'une finie, prendre la décision
00:41:16 Ils ne peinent pas
00:41:18 Pourquoi pas faire ça?
00:41:20 Un laisse-moi dire, disons, demain, nous
00:41:22 Il y a une réforme complète
00:41:25 de l'assurance fiscale améliorée
00:41:28 C'est pas qualité
00:41:29 Dettes sont baissées
00:41:30 Déficit, pévite sur place
00:41:32 Là, peut-être, le gouvernement va quand même donner ça
00:41:34 Ou bien, quand il y a un système, quand ils prennent ça
00:41:36 Mais, plus tard, ils vont payer
00:41:38 Mais
00:41:40 Qui fait un autre plan pour faire ça aussi?
00:41:42 Peut-être, les...
00:41:44 Bon, une raison peut-être évidente
00:41:46 Ils échappent un peu au contrôle de l'audit, non?
00:41:48 De l'audit
00:41:50 C'est assez important
00:41:52 Allez, voilà
00:41:54 Laisse-nous écouter ce que le docteur Takeshi Roku a à dire
00:41:56 à mon collègue Nnamata Deschanes
00:41:58 Et après, nous pouvons écouter ce que Pierre Dino aussi a à dire
00:42:00 Entre-temps, si vous avez envie de réagir
00:42:02 ou avoir réagi avec un peu de chou
00:42:04 Laisse-nous écouter Takeshi Roku en premier
00:42:06 Bonsoir, les étudiants du TABFM
00:42:08 Quand nous gâchons macroéconomiquement parlant
00:42:10 Nous connaissons les autorités qui viennent avec un sort de TM
00:42:12 qui dit qu'ils ont un sort de "feel-good-factor" dans le pays
00:42:14 qui fait un peu ça
00:42:16 parce que
00:42:18 quand nous regardons le chiffre actuel
00:42:20 de la croissance
00:42:22 C'est un variable qui est très important
00:42:24 pour l'économie, pour le gouvernement
00:42:26 parce qu'il s'agit du chiffre de la croissance
00:42:28 pour montrer que l'IP travaille
00:42:30 Il s'agit du chiffre de la croissance pour montrer que,
00:42:32 durant l'année, le pays
00:42:34 ce qu'ils appellent le produit agribranlé
00:42:36 s'est augmenté, il a grandi
00:42:38 C'est-à-dire que l'IP, pour moi,
00:42:40 il était bien
00:42:42 Oui, c'est vrai que le chiffre de la croissance
00:42:44 comparé à l'année dernière et l'année d'avant
00:42:46 L'année d'avant, le COVID s'est baissé
00:42:48 Je trouve que nous avons un chiffre un peu morose
00:42:50 de 6%
00:42:52 Les chiffres, les alentours
00:42:54 le premier six mois, c'était 7,6%
00:42:56 Maintenant, il est dans les yeux de 8%
00:42:58 Quand nous faisons ce chiffre-là en isolation
00:43:00 nous pouvons dire que le pays a grandi
00:43:02 Mais ce qui est important
00:43:04 ce que nous devons connaître
00:43:06 en observateur économique
00:43:08 c'est qui peut créer sa croissance
00:43:10 qui permet sa croissance
00:43:12 Est-ce que sa croissance peut être ressentie
00:43:14 par la population?
00:43:16 Quand nous faisons des agriculteurs
00:43:18 et qu'ils cassent leur chiffre de 8% de croissance
00:43:20 nous trouvons qu'il y a une amalie d'industrie
00:43:22 qu'on appelle "real estate"
00:43:24 la construction "real estate"
00:43:26 ça a des gros secteurs
00:43:28 qui permettent un gros chiffre
00:43:30 de la croissance, un morose
00:43:32 Mais nous savons que ce type de croissance
00:43:34 c'est juste par béton, c'est juste par ciment
00:43:36 c'est juste l'immobilier
00:43:38 qui peut être créé et vendu
00:43:40 ce qui nous gêne la population par raison
00:43:42 C'est pour ça qu'il y a une deuxième affaire
00:43:44 qui est intéressante et importante
00:43:46 quand on analyse ce qui peut passer
00:43:48 est-ce que le pays va bien ou va mal
00:43:50 nous devons avoir ce qu'on appelle
00:43:52 "confiance des consommateurs"
00:43:54 nous devons avoir ce qu'on appelle
00:43:56 "confiance des entreprises"
00:43:58 une grande confiance des consommateurs
00:44:00 aujourd'hui nous trouve qu'il n'est pas juste
00:44:02 une confiance au bas de l'échelle
00:44:04 mais aussi quand on a une confiance
00:44:06 dans le consommateur de la classe moyenne
00:44:08 on trouve que la confiance est bas
00:44:10 pourquoi ?
00:44:12 parce qu'il y a un gros problème
00:44:14 de l'inflation dans le pays
00:44:16 l'inflation c'était presque 13%
00:44:18 à peu près en décembre, en janvier
00:44:20 en 2012, là on a trouvé une décennie
00:44:22 en 2011 et tout récemment
00:44:24 quand on a publié, c'était à cause des diffs de croissance
00:44:26 une croissance globale, une croissance
00:44:28 qu'on appelle "yornier" en glissement
00:44:30 il y a eu une mine à peu près 9.6%
00:44:32 quand on regarde cette tendance là, il paraît
00:44:34 que l'inflation peut baisser
00:44:36 la dernière fois qu'on a vu le plateau
00:44:38 il y a eu une cause invariable qu'on appelle l'inflation
00:44:40 et on peut trouver que le pourcentage
00:44:42 de l'inflation peut baisser
00:44:44 le pourcentage de l'inflation peut baisser
00:44:46 comme on va le dire, il est sorti 11%
00:44:48 il y a eu une mine à peu près 9.6%
00:44:50 mais c'est parce qu'il est aussi important
00:44:52 que nous voyons que quand on regarde cette inflation là
00:44:54 qu'il fait une baissée, une baissée parce que
00:44:56 actuellement la méthodologie
00:44:58 la façon mécanique qui nous calcule l'inflation
00:45:00 le fait qu'il ne peut compter pas moins
00:45:02 des années, pas moins, ça veut dire
00:45:04 après février 2023 et mars 2023
00:45:06 il ne peut compter de mars 2023
00:45:08 à mars 2020 et la façon
00:45:10 calculée, le taux d'inflation met
00:45:12 dans un même rapport avec le Parti fiscal
00:45:14 un même chiffre qui est important
00:45:16 c'est le Consumer Price Index
00:45:18 à 9,2% et ça nous prouve une continuité
00:45:20 montée, ça veut dire oui, mécaniquement
00:45:22 le chiffre, le pourcentage de l'inflation
00:45:24 peut baisser parce que
00:45:26 mécaniquement, la façon qui nous calcule
00:45:28 le taux d'inflation met le coût de la vie
00:45:30 le coût de la vie peut monter, ça veut dire
00:45:32 par exemple, être un supermédia de flux
00:45:34 quand on peut trouver l'inflation, on peut baisser
00:45:36 on peut dire qu'il n'y a aucun prix pour baisser
00:45:38 on peut trouver quand on place le supermarché, malheureusement
00:45:40 les prix sont élevés et les prix peuvent rester
00:45:42 c'est une affaire qui nous peut trouver et nous espérer
00:45:44 qui dans les mois à venir
00:45:46 nous permettra de faire une baisse, de dessiner
00:45:48 un prix là mais sans qu'il y ait un
00:45:50 changement de stratégie politique
00:45:52 de stratégie monétaire et fiscale
00:45:54 du gouvernement, on ne va pas croire qu'on va trouver
00:45:56 d'ici tout une baisse des prix. Maintenant
00:45:58 deuxième affaire qui me tient en vie
00:46:00 quand je fais cause de l'état
00:46:02 de l'économie de Maurice, c'est
00:46:04 la valeur de la roupie parce que
00:46:06 Maurice est un petit pays
00:46:08 nous importons beaucoup de produits
00:46:10 et en janvier 2023
00:46:12 et au dimanche 2023
00:46:14 la roupie, il perdit presque
00:46:16 10.5 roupies
00:46:18 l'an de l'an, il sortit presque
00:46:20 44, 45 entre
00:46:22 44 et 47 roupies en 2 ans
00:46:24 ça qui me faute, la banque de Maurice
00:46:26 intervenir plus récemment pour
00:46:28 injecter de l'or sur le marché parce que
00:46:30 les tibis vont injecter pour qu'on puisse valer de la
00:46:32 roupie tout de suite. Et là, on a une autre affaire
00:46:34 qui peut venir, beaucoup d'observateurs, y compris
00:46:36 moi-même, nous devons intervenir
00:46:38 aussi devant les élus de la commune directrice.
00:46:40 Probablement, les monétairies de policiers comité
00:46:42 maintenant la décision là-bas ça va être
00:46:44 est-ce qu'il vous garde de l'intérêt? Comment il était?
00:46:46 à 4.5% parce que nous finissons
00:46:48 avec presque 1.5%
00:46:50 d'augmentation de 10 mois si nous comptons
00:46:52 20 décembre. Là, est-ce qu'il s'ajoute
00:46:54 d'intérêt là pour augmenter ou non? Une gros question.
00:46:56 Mais les observations,
00:46:58 macroéconomique, local et national
00:47:00 c'est qu'il, comme nous l'avons dit,
00:47:02 il fait qu'il montre un peu d'intérêt
00:47:04 3 semaines dessus là. Quand il montre
00:47:06 de l'intérêt, généralement de l'or et pas en valeur.
00:47:08 Nous connaissons que la banque de Maurice
00:47:10 n'intervient pas pour stabiliser la roupie.
00:47:12 Mais mon pensée, moi, qui
00:47:14 économiquement parlant, quand on a une situation
00:47:16 économique, internationalement et localement
00:47:18 aussi, l'inflation en cours, dès les jours
00:47:20 9.6, 10%, la banque
00:47:22 de Maurice, parfois il y en a, le ministère des
00:47:24 Policies et Comités, parfois il y en a d'autres choix qui montrent
00:47:26 l'intérêt, montrent l'intérêt, le
00:47:28 key rate. Mon pensée, lui, pour choisir 4.5,
00:47:30 il n'y a pas 5% ou 5.25
00:47:32 de sa banque. Je l'accommode.
00:47:34 C'est ce que je fais socialement parlant parce que
00:47:36 le taux d'intérêt qui a augmenté, il y en a
00:47:38 un gros impact, un impact sur
00:47:40 les consommateurs et les entreprises
00:47:42 qui prennent une loan, soit
00:47:44 par raison de la casse, soit une entreprise qui prend une loan
00:47:46 pour un investissement, pour grandir, pour
00:47:48 se démarcher. Tout cela fait que, déjà l'inflation
00:47:50 est élevée, avec un taux d'intérêt qui peut
00:47:52 augmenter, ça veut dire que le vrai problème
00:47:54 c'est la masse monétaire qui peut créer l'inflation
00:47:56 dans le pays et amener les autres partir. Si
00:47:58 par exemple, nous ne pas trouver un changement
00:48:00 comme on dit dans la politique fiscale
00:48:02 et monétaire du pays et nous trouver
00:48:04 qui noie avec la tendance internationale,
00:48:06 nous trouver que le reportage aussi
00:48:08 dans les semaines à venir pourrait être augmenté
00:48:10 et tout cela pour créer un impact
00:48:12 en cours sur les consommateurs, sur les
00:48:14 petites et moyennes entreprises, ce qui pourrait
00:48:16 créer un sacrifice en cours, débourser l'argent
00:48:18 pour qu'ils soient capables de se lever, pour qu'ils puissent rester vivants.
00:48:20 Merci beaucoup et bonne soirée
00:48:22 à tous les bonnes éditeurs du TEPES.
00:48:24 Bonsoir les éditeurs du TEPES.
00:48:26 Voilà, donc c'était le Dr Takeshi Roku. Il y a des
00:48:28 aspects inévoqués, donc des prix d'argent de vos vignes là.
00:48:30 Un moment, et aussi tu peux évoquer
00:48:32 cette année-là, réaliser l'immobilier,
00:48:34 finir là une stratégie du
00:48:36 gouvernement, donc concentrer l'immobilier
00:48:38 et en même temps attirer les gens
00:48:40 qui vont venir à Ries-Maurice, les
00:48:42 personnes âgées qui corrigent,
00:48:44 pour une part, fin de vie
00:48:46 peut-être à Maurice, aux autres retraites à
00:48:48 Maurice. Est-ce que c'est
00:48:50 une stratégie, à l'époque
00:48:52 là peut-être qu'on commence
00:48:54 les petits obligés
00:48:56 pour qu'ils gagnent des vies
00:48:58 rapidement, et deuxièmement, est-ce que dans le
00:49:00 long terme, c'est une affaire qui peut se soutenir?
00:49:02 Bon, c'est une politique
00:49:04 qui me commençait en 2006
00:49:06 avec Monsieur Ravastanen.
00:49:08 Bon, à l'époque,
00:49:10 je vous ai dit qu'il y a plusieurs
00:49:12 chocs. Le protocole
00:49:14 est mort, le multifibre,
00:49:16 vous avez vu, il n'y a plus qu'un, il y a l'accès à la justice, etc.
00:49:18 Donc, peut-être...
00:49:20 - Donc, le multifibre, c'est un disque pour nous
00:49:22 bannir du disque. - Non, pas un disque, un disque
00:49:24 textile.
00:49:26 Donc,
00:49:28 pour nous
00:49:30 gagner des vies,
00:49:32 peut-être que
00:49:34 je n'ai pas qu'à dire,
00:49:36 je n'ai pas qu'à revenir en temps,
00:49:38 mais en rétrospect, "looking back",
00:49:40 je n'ai qu'à dire que
00:49:42 peut-être certaines décisions
00:49:44 qui nous apprennent,
00:49:46 des décisions dures, c'est-à-dire
00:49:48 "stabilisation", "structural reforms",
00:49:50 au lieu qu'à ouvrir ça
00:49:52 de façon, disons,
00:49:54 sans aucun contrôle.
00:49:56 Évidemment,
00:49:58 c'est une demande pour du monde qui viendrait à Saint-Maurice,
00:50:00 Saint-Maurice est un de mes pays où je vis,
00:50:02 je vais ouvrir ça.
00:50:04 Mais, tout gouvernement
00:50:06 qui nous viendrait après, ils continuent
00:50:08 à s'en lancer là parce que peut-être,
00:50:10 politiquement, pas palété,
00:50:12 mais dans le problème de mesures difficiles,
00:50:14 plus facile, là, nous voulions
00:50:16 nous réussir, des vies sont rentrées.
00:50:18 Même si nous pensions au current account,
00:50:20 depuis bien, bien longtemps, il est en déficit.
00:50:22 Avec COVID, ça a eu
00:50:24 un déficit de Haswiden.
00:50:26 Mais, qu'est-ce que ça veut dire, un current account
00:50:28 en déficit? Ça veut dire
00:50:30 que vous pouvez
00:50:32 ...
00:50:34 Vous pouvez acheter des produits de l'étranger,
00:50:36 des produits et services,
00:50:38 plus que ce que vous pouvez vendre aux étrangers.
00:50:40 OK?
00:50:42 Mais, comment est-ce qu'on continue avec ça?
00:50:44 Alors, pour un moment,
00:50:46 je suis sûr que le Real Estate n'est plus pour
00:50:48 mettre en place des FDI, là.
00:50:50 Et d'ailleurs, quand nous sommes peut-être sur ce gouvernement-là,
00:50:52 je suis comme le deuxième, quand début 2019,
00:50:54 si je ne me trompe pas, si ma mémoire est bonne,
00:50:56 c'était 500 000 $,
00:50:58 l'une des 5 350 000 $.
00:51:00 Mais, plus il y a,
00:51:02 plus il est pour une difficile
00:51:04 pour nous vendre nos Real Estate, parce que
00:51:06 quand on peut faire ça, avec 3 50 000 $,
00:51:08 on peut gagner la même qualité
00:51:10 de la moindre, alors 500 000 $.
00:51:12 Mais, ça, du monde qui est venu pour 500 000 $,
00:51:14 là, il est venu penser, moi, je dis, une affaire qui
00:51:16 doit se faire, ça, mais tout le monde m'a rentré
00:51:18 dans 3 50 000 $. Et aujourd'hui,
00:51:20 on baisse ma gamme.
00:51:22 Comment nous, nous, on baisse nos gammes,
00:51:24 qu'on a le compte de vente? Mais aujourd'hui, vous regardez, à côté de la case,
00:51:26 autre gamme qui me vend, là. Moi, je pense,
00:51:28 il y a un petit gars, depuis longtemps, qui me dit, "Bye-bye, Charlie."
00:51:30 Donc, moi, je pense, il faut arriver à un moment
00:51:32 où nous pouvons faire ça pour 500 000 $.
00:51:34 Parce que personne ne peut
00:51:36 prendre une décision qui
00:51:38 nous aide à rédresser l'économie.
00:51:40 Allez, OK. Ça, nous pouvons faire dans un troisième parti.
00:51:42 Laisse-nous écouter ce que Pierre-Dinon va dire, parce qu'à un moment,
00:51:44 il peut évoquer, donc,
00:51:46 ce qu'il nous faut faire. Laisse-nous écouter
00:51:48 Pierre-Dinon et après, nous continuons la conversation
00:51:50 avec un peu.
00:51:52 Dites-nous, quel est votre constat de la situation économique
00:51:54 du moment?
00:51:56 Une situation délicate qui nous interpelle
00:51:58 et devant laquelle
00:52:00 chaque Mauricien ne peut
00:52:02 rester les bras croisés.
00:52:04 On me demande souvent,
00:52:06 qu'est-ce qu'il faut faire?
00:52:08 Comme si ce n'est pas à nous de faire,
00:52:10 mais que c'est aux autres.
00:52:12 Comme si que c'était au gouvernement de faire
00:52:14 et que nous, nous croisons les bras.
00:52:16 Remarquez, je ne vous dis pas
00:52:18 que le gouvernement n'a pas son rôle
00:52:20 à jouer. Il a un rôle,
00:52:22 c'est dans son essence même,
00:52:24 il a le rôle de la gouvernance,
00:52:26 c'est-à-dire
00:52:28 de faire en sorte que tous les
00:52:30 Mauriciens, en âge,
00:52:32 d'apporter quelque chose, je ne vous parle pas des
00:52:34 enfants, je ne vous parle pas des vieillards,
00:52:36 mais que tout Mauricien apporte
00:52:38 sa contribution, parce que
00:52:40 tout Mauricien
00:52:42 est une ressource pour son
00:52:44 pays. Et, si l'on
00:52:46 veut que l'économie de notre pays
00:52:48 marche, toutes ces
00:52:50 ressources doivent être
00:52:52 mises à contribution. Alors,
00:52:54 si vous parlez du gouvernement, lui,
00:52:56 son rôle, c'est de, par définition,
00:52:58 c'est de gouverner,
00:53:00 c'est de s'assurer que
00:53:02 ces ressources-là ont
00:53:04 des moyens pour se
00:53:06 développer. Un exemple,
00:53:08 si l'on veut développer
00:53:10 nos ressources marines,
00:53:12 et Dieu sait si
00:53:14 elles sont nombreuses,
00:53:16 quand on y comprend les ressources
00:53:18 que les Nations Unies mettent à notre
00:53:20 disposition pour nous dédévelopper,
00:53:22 si l'on veut développer
00:53:24 ces ressources-là, il nous faut
00:53:26 des connaissances, il nous faut
00:53:28 des outils, et donc
00:53:30 tout ça, tout seul,
00:53:32 nous ne pouvons pas agir.
00:53:34 Nous avons besoin d'aide. Cet
00:53:36 gouvernement a organisé
00:53:38 tout cela pour que nous ayons
00:53:40 les capitaux, pour que nous
00:53:42 ayons les outils. C'est un
00:53:44 exemple de l'utilisation
00:53:46 de nos ressources
00:53:48 marines. Maintenant, je viens
00:53:50 à l'utilisation de nos ressources
00:53:52 théiennes. On me dira
00:53:54 que nous ne sommes pas très grands,
00:53:56 je dirais quand même, je le rappellerai, que nous
00:53:58 sommes l'île Maurice, l'île
00:54:00 Rodrigue, et le reste, je préfère
00:54:02 ne pas en parler.
00:54:04 Donc, comment développer
00:54:06 tout cela ? Une bonne partie
00:54:08 est développée, ça c'est sûr, mais je
00:54:10 constate, notamment par rapport
00:54:12 au tourisme. Les touristes,
00:54:14 on nous dit qu'il faut
00:54:16 avoir des millions pour venir ici.
00:54:18 Très bien, mais il faut aussi
00:54:20 qu'ils dépensent
00:54:22 leur argent. Nous avons besoin
00:54:24 de leurs euros et de leurs dollars.
00:54:26 Or, s'ils viennent ici
00:54:28 et qu'ils passent leur temps sur la plage,
00:54:30 tant mieux pour eux, mais nous
00:54:32 ne remplissons pas nos caisses comme nous
00:54:34 devrions pouvoir le faire.
00:54:36 C'est pourquoi je dis que nos ressources
00:54:38 locales, théiennes,
00:54:40 aussi,
00:54:42 doivent être utilisées
00:54:44 le mieux possible.
00:54:46 Je pense notamment
00:54:48 à de belles villes,
00:54:50 de beaux jardins publics,
00:54:52 des trottoirs où l'on ne tombe pas.
00:54:54 Les deux théâtres fermés, soirs
00:54:56 ouverts, je ne vais pas plus loin.
00:54:58 Des musées, bon, il y en a un pour lui
00:55:00 et un
00:55:02 à Maibourg, pourquoi pas d'autres ?
00:55:04 Parce que nous avons diverses
00:55:06 cultures à Maurice, et toutes
00:55:08 ces diverses cultures méritent bien
00:55:10 d'être exposées, notamment dans un musée
00:55:12 ou ailleurs. Donc, c'est
00:55:14 pour vous dire, je vous ai donné deux exemples,
00:55:16 l'utilisation de nos ressources
00:55:18 maritimes, l'utilisation de nos
00:55:20 ressources théiennes, et voilà
00:55:22 comment nous allons
00:55:24 développer notre économie
00:55:26 avec l'aide d'une
00:55:28 bonne gouvernance, ça c'est sûr.
00:55:30 Mais ce n'est pas le gouvernement
00:55:32 qui va tout résoudre, c'est nous tous
00:55:34 ensemble, on met la tête dans le
00:55:36 même chapeau, manière de parler, et on
00:55:38 fait selon ses connaissances à nous.
00:55:40 Tout le monde n'a pas les mêmes connaissances,
00:55:42 tout le monde n'a pas les mêmes attitudes,
00:55:44 mais comme on dirait dans notre bon créole,
00:55:46 maillet piqué. D'accord, et venons-en
00:55:48 à l'inflation, statistiques
00:55:50 montrent une légère
00:55:52 baisse pour le mois de mars,
00:55:54 est-ce que pensez-vous que la tendance
00:55:56 va se poursuivre pour l'inflation ?
00:55:58 C'est possible, beaucoup dépend
00:56:00 de ce qui va se passer, là
00:56:02 nous sommes évidemment tributaires
00:56:04 de ce qui se passe à l'étranger.
00:56:06 Nous sommes tributaires
00:56:08 notamment du prix
00:56:10 du pétrole. Maintenant ce
00:56:12 prix du pétrole a son tour,
00:56:14 il est tributaire
00:56:16 dans un sens de la
00:56:18 demande pour ce pétrole
00:56:20 venant des grands pays
00:56:22 riches. Oh, nous lisons
00:56:24 ces jours-ci, nous lisons
00:56:26 dans les revues, dans
00:56:28 les nouvelles, que les pays
00:56:30 riches, les grands pays,
00:56:32 Etats-Unis, Chine,
00:56:34 Europe, pays d'Europe,
00:56:36 on dit,
00:56:38 les dépêches que l'on
00:56:40 lit, disent qu'il y a
00:56:42 un ralentissement
00:56:44 de la reprise.
00:56:46 S'il y a un ralentissement
00:56:48 de la reprise dans ces
00:56:50 pays-là, cela veut dire
00:56:52 que ça aura une
00:56:54 tendance baissière
00:56:56 sur le prix du
00:56:58 pétrole, donc
00:57:00 indirectement, nous en
00:57:02 profiterons. Cela dit,
00:57:04 cela dit, il ne faut pas
00:57:06 que ce soit une situation
00:57:08 où nous disons, ah ben, les choses
00:57:10 s'arrangent, tant mieux, on revient
00:57:12 comme avant. Non !
00:57:14 Je reviens toujours à mon leitmotiv.
00:57:16 Développons
00:57:18 nos ressources.
00:57:20 Et nous avons à notre
00:57:22 disposition
00:57:24 des arpents de terre
00:57:26 sur notre île Maurice
00:57:28 qui ont été libérés de la
00:57:30 canne à sucre, parce que, hélas,
00:57:32 nos acheteurs veulent le moins dans le moins de sucre
00:57:34 de canne. Alors, alors,
00:57:36 est-ce que nous avons un projet
00:57:38 gouvernemental ?
00:57:40 Est-ce que nous avons un projet
00:57:42 pour essayer de planter ces
00:57:44 arpents-là
00:57:46 en une canne
00:57:48 non pas tellement productrice
00:57:50 de sucre, mais productrice
00:57:52 de bagasse ? Et vous
00:57:54 savez pourquoi ? C'est avec
00:57:56 cette bagasse-là, qui est
00:57:58 un des éléments importants
00:58:00 pour créer l'énergie, ce qui réduirait
00:58:02 notre dépendance de l'énergie
00:58:04 importée, ça ne pourrait
00:58:06 que nous faire du bien.
00:58:08 M. Pieddinant, merci beaucoup.
00:58:10 Dites-nous, quelle est votre constance ?
00:58:12 Voilà, c'était Pieddinant, interrogé
00:58:14 par mon collègue Namrata Dilchan.
00:58:16 Avant, nous vous évoquons certaines affaires
00:58:18 que Pieddinant vient de dire. Nous vivons la dépréciation
00:58:20 de l'aropée, avec Rampintu.
00:58:22 Les autorités, donc
00:58:24 tout banc qui représente les autorités,
00:58:26 peut dire qu'il y a une bataille aujourd'hui
00:58:28 contre la dépréciation pour
00:58:30 la dépréciation de l'aropée.
00:58:32 Le ministre des Finances d'abord, le
00:58:34 gouverneur de la banque pour la suite,
00:58:36 finit par accuser la banque de spéculer
00:58:38 contre l'aropée, donc de travail
00:58:40 contre l'aropée. À quel point
00:58:42 selon vous, c'est vrai ?
00:58:44 Bon, peut-être là, nous
00:58:46 faisons-nous utiliser trop de temps, parce que nous
00:58:48 ne pouvons pas expliquer ça.
00:58:50 Bon, Maurice,
00:58:52 tu viens de dire
00:58:54 « currency convertible », c'est-à-dire une production
00:58:56 en capacité des visières,
00:58:58 en 94.
00:59:00 En 96,
00:59:02 pour justement
00:59:04 arrêter
00:59:06 la spéculation, on ne va pas dire arrêter, mais
00:59:08 on va dire
00:59:10 disons, on puisse,
00:59:12 un événement qui mène à la banque qui avait spéculé,
00:59:14 la Banque centrale a introduit
00:59:16 une « guideline », d'ailleurs la « guideline » est toujours là,
00:59:18 en 96,
00:59:20 qui s'appelle
00:59:22 « A guideline on forex exchange exposure ».
00:59:24 Qui est cette « guideline » là ?
00:59:26 C'est-à-dire, dans la banque,
00:59:28 vous êtes capable d'avoir
00:59:30 « exposure » dans « single currency »,
00:59:32 c'est-à-dire différentes « currency » dollars, euros,
00:59:34 et voilà. Après, vous avez
00:59:36 « an overall exposure » de toutes les
00:59:38 « currency » à juste ensemble.
00:59:40 Cette « exposure-là », elle n'est pas capable de dépasser
00:59:42 10 % de votre « tier 1 capital ».
00:59:44 Ok ? Et cette « guideline-là »,
00:59:46 dans la banque, vous avez « report »
00:59:48 ça à la Banque centrale, tous les jours.
00:59:50 Ça veut dire, il y a des mesures,
00:59:52 il y a des quid, il y a des « report », puis il « report », puis encore il « report ».
00:59:54 Ok ?
00:59:56 Techniquement, si dans la banque,
00:59:58 vous pouvez « spéculer »,
01:00:00 la Banque centrale, elle finit tout ça.
01:00:02 Parce que ce n'est pas de deux jours
01:00:04 qu'elle va le découvrir.
01:00:06 Tous les jours, peut-être, vous trouvez ça dans
01:00:08 sa chaise. Mais le fait
01:00:10 qu'ils ne le trouvent pas, moi je pense,
01:00:12 jusqu'à l'heure où
01:00:14 peut-être, on a découvert que peut-être
01:00:16 dans la banque, on peut faire
01:00:18 des affaires en dehors de sa « reporting ».
01:00:20 On ne le connaît pas, parce que la Banque centrale
01:00:22 ne vient pas expliquer qui ça, la spéculation,
01:00:24 c'est ça.
01:00:26 Pour moi, c'est extrêmement
01:00:28 difficile pour qui est dans la banque,
01:00:30 vu qu'il y a des affaires là-dedans,
01:00:32 jusqu'à ce qu'on « spécule » contre eux.
01:00:34 Spéculation, c'est quoi ? C'est ce qu'on va dire,
01:00:36 c'est-à-dire qu'il y a une « transaction currency » qui est là-dedans,
01:00:38 après, on va attendre qu'il baisse pour que
01:00:40 plus tard, on voit ce qu'il dit. Ok ?
01:00:42 Alors, moi, je pensais, si dans la banque,
01:00:44 tu as ça, et si tu as bien « report »,
01:00:46 la Banque centrale, tu peux finir de détecter ça.
01:00:48 Maintenant, si la Banque centrale ne détecte pas ça,
01:00:50 là, ils viennent quand même assez sérieux.
01:00:52 Peut-être qu'il y a une implication,
01:00:54 on ne le connaît pas. On ne le connaît pas là,
01:00:56 on ne connaît pas exactement « what it is ».
01:00:58 Mais maintenant, si ce n'est pas dans la banque,
01:01:00 bien, il y a des opérateurs.
01:01:02 Il y a des opérateurs.
01:01:04 Maintenant, qu'est-ce qu'on appelle la spéculation ?
01:01:06 La spéculation,
01:01:08 c'est comme un « bulle ».
01:01:10 Ça veut dire qu'on peut
01:01:12 « spéculer » dans une valise,
01:01:14 une rupee, un « taux de change »,
01:01:16 qui peut avoir une autre affaire avec « fundamentals ».
01:01:18 OK ?
01:01:20 Mais quand on nous guette
01:01:22 les choses, maintenant,
01:01:24 si on prend l'opérateur, l'agent économique
01:01:26 comme un « dimoné stupide »,
01:01:28 il ne peut pas suivre, il ne peut pas s'aider,
01:01:30 il ne peut pas connaître Internet, il ne peut pas connaître
01:01:32 qui fait des « rôles réserves », qui est bien convaincant,
01:01:34 qui peut faire. OK.
01:01:36 Mais non, aujourd'hui, à l'ère de l'Internet,
01:01:38 tout le monde connaît qui peut faire,
01:01:40 tout le monde connaît toutes les affaires.
01:01:42 Surtout l'économique. Donc après, on a peut-être une meilleure
01:01:44 appréciation de la situation économique de Maurice,
01:01:46 qui peut être un bon décideur,
01:01:48 ne pas le connaître. Parce que quand même,
01:01:50 non, dans le sens,
01:01:52 par exemple, on a la banque,
01:01:54 elle dit les clients tous les jours, elle connaît
01:01:56 qui s'est éteint, qui s'est morts, qui s'est éteint, qui s'est morts,
01:01:58 tandis que statistiquement, elle a tant
01:02:00 et une certaine détente pour les conditions.
01:02:02 Donc, ce qui veut dire
01:02:04 qu'il y a des bons agents économiques,
01:02:06 « they are well-versed »
01:02:08 dans l'économie.
01:02:10 Je le connais par exemple,
01:02:12 qui ont un « interest differential » bien important.
01:02:14 Par exemple, si on pensait qu'ils auraient pu vous dépêcher,
01:02:16 à l'avenir, parce qu'ils ont une « fundamentals »
01:02:18 pas à s'en rendre compte,
01:02:20 de là, on paye, disons, 5%
01:02:22 le dépôt, moi, la banque paye
01:02:24 moi 3% dans le prix.
01:02:26 Mais, si moi j'ai une dévise,
01:02:28 « what do I do? » Je garde un prix ou je garde
01:02:30 une dévise? C'est
01:02:32 « pure and rational behavior »
01:02:34 qui n'a rien à faire avec la spéculation.
01:02:36 Rien à voir avec la spéculation.
01:02:38 « It's just being rational. »
01:02:40 Tout le monde peut rater, on veut « preserve purchasing power ».
01:02:42 N'importe qui, on veut « preserve »
01:02:44 ce qu'il veut faire. Donne des mondes,
01:02:46 d'un pays, que tu n'as « currency convertibility ».
01:02:48 Mais, moi, j'ai le choix, moi.
01:02:50 Je ne peux pas me casser une dévise, je ne peux pas me casser ça.
01:02:52 C'est la banque centrale qui les a faits,
01:02:54 pour qu'ils puissent casser ça.
01:02:56 Ils ont fait de bonnes affaires. Qui les a faits?
01:02:58 Ils ont montré qu'il y avait un augmenté
01:03:00 d'intérêt de façon à pouvoir casser la spéculation.
01:03:02 D'ailleurs, quand on retourne
01:03:04 dans l'histoire, 87-88,
01:03:06 c'était la même chose.
01:03:08 Un dégouvernement, pareil, une dépréciation
01:03:10 accélérée de la rupee contre le secteur privé.
01:03:13 Je t'aime, je te viens de dire, qui est normal,
01:03:15 je te compte, dépréciation. Je t'aime, je te viens de dire,
01:03:17 rupee, pétrole, déprécié. Un peu dans cette situation-là.
01:03:19 Un peu rupee, pétrole, déprécié.
01:03:21 Une baisse augmentée d'intérêt jusqu'à 12%,
01:03:23 pour casser ça.
01:03:25 Mais, aujourd'hui,
01:03:27 le contexte est un peu différent. Quand on a une réserve,
01:03:29 une réserve actuelle,
01:03:31 on peut pas se faire mal avec nos risques, mais, à ce moment-là,
01:03:33 nous trouvons qu'il nous faut
01:03:35 moins de 10 mois d'implantation.
01:03:37 Qui est quand même,
01:03:39 pas à s'en compter là, et moi, je me trouve, avec le temps de la banque centrale,
01:03:41 qui provient de plus en plus de difficultés,
01:03:43 pour y avenir. Et ça,
01:03:45 mon opérateur m'a trouvé ça.
01:03:47 Je dis que je peux analyser.
01:03:49 Mais, moi, je me suis pensé,
01:03:51 the only way, tout ça, c'est
01:03:53 peut-être nous devons laisser nos rupees dépréciés,
01:03:55 après, là, nous stabiliser les rues à un certain niveau.
01:03:57 Mais quand nous pouvons suivre
01:03:59 un trend, nous pouvons
01:04:01 ramener-le vers ça.
01:04:03 Il y a des affaires qui sont importantes, là.
01:04:05 La banque centrale, j'ai envie de vous intervenir
01:04:07 pour "remove excess volatility".
01:04:09 Mais comment nous connaissons "excess volatility", ça?
01:04:11 Il se peut,
01:04:13 il y a des affaires dans toutes chances. On appelle ça
01:04:15 "volatility". Ça veut dire,
01:04:17 temporairement, il peut bouger, mais il pourrait
01:04:19 revenir vers sa "verage".
01:04:21 Ou bien, il misaligne.
01:04:23 C'est-à-dire, il misaligne, car il avait,
01:04:25 il peut suivre un "path",
01:04:27 un "path" en équilibre,
01:04:29 mais il est en "dehors" à "paf".
01:04:31 Ça s'appelle ça "misalignment".
01:04:33 Mais, nous ne pouvons faire
01:04:35 pas de réformes, on va dire, pour,
01:04:37 disons, pour "address" le déficit.
01:04:39 On va dire qu'on va faire une réforme sérieuse.
01:04:41 C'est un problème qu'on peut faire.
01:04:43 On peut attendre qu'il revienne augmenter pour qu'il
01:04:45 nous taxe augmenter. Mais nous ne pouvons pas faire
01:04:47 une réforme majeure
01:04:49 pour s'émettre l'eau
01:04:51 dans les dépenses gouvernementales,
01:04:53 pour prendre les mesures
01:04:55 politiques monétaires nécessaires, pour faire une réforme
01:04:57 dans, par exemple, une partie qui est causée par le mismatch.
01:04:59 Beaucoup de choses,
01:05:01 dans le product market, il y a
01:05:03 de la même réforme à faire, dans le libre market,
01:05:05 il y a de la même réforme à faire. Nous ne pouvons pas faire une réforme là.
01:05:07 Mais qu'est-ce qui est arrivé? Le seul prix
01:05:09 qui peut bouger, c'est le changement. Ça veut dire
01:05:11 le changement qui peut faire le "whole adjustment"
01:05:13 dans l'économie. Ça veut dire que si nous ne pouvons pas
01:05:15 faire une réforme, nous ne pouvons pas accepter
01:05:17 qu'il y ait un changement dans les projets.
01:05:19 Donc, c'est une intervention de la Banque de Mauritius.
01:05:21 Bon, bien, l'intervention...
01:05:23 Tu vois, il faut dire qu'il s'est ébané coup de pied
01:05:25 dans l'eau. Est-ce qu'il...
01:05:27 Qu'est-ce que ça?
01:05:29 Et peut-être,
01:05:31 disons, la Banque centrale peut-être une fin d'érie.
01:05:33 Une érie, on va dire,
01:05:35 qui fait... Quand on a une cause politique
01:05:37 monétaire, what we do,
01:05:39 nous, on ne gagne aucune de la Banque centrale
01:05:41 par plus fort que le market. Market is
01:05:43 much stronger. C'est pour ça que quand il y a des vises qui
01:05:45 viendraient d'embrasser, c'est vraiment un grand pays.
01:05:47 La central bank, elle a besoin d'une crédibilité,
01:05:49 elle a besoin de "try to shape and manage expectations".
01:05:51 Il ne faut pas dire que quand on peut faire
01:05:53 ça politiquement, on peut pas gagner de direction,
01:05:55 le market peut gagner de direction.
01:05:57 Là, nothing works. Tous les deux, ils sont en ligne.
01:05:59 Il faut des "mobile actions"
01:06:01 en ligne avec ce qui le market peut penser.
01:06:03 OK?
01:06:05 En ce temps, "mobile actions" c'est crédible.
01:06:07 Et après, moi, ce qui est important,
01:06:09 il faut savoir que toute l'économie
01:06:11 est là. Est-ce que ce qui peut faire
01:06:13 là, peut déranger le système
01:06:15 ou bien, il peut accompagner le système.
01:06:17 Je vais vous donner un exemple.
01:06:19 Quand on a un PC, ce minute,
01:06:21 novembre, décembre,
01:06:23 il dit là-dedans
01:06:25 qu'il nous faut
01:06:27 un "trust interest differential"
01:06:29 pour qu'il supporte
01:06:31 la RUPI. Novembre, même affaire,
01:06:33 décembre, même affaire.
01:06:35 C'est moi-même qui ai ajouté, il dit là, "interest differential"
01:06:37 et "close" là. Ça vient du passé.
01:06:39 En janvier, ça veut dire qu'il peut
01:06:41 dire là, il peut dire que la banque centrale
01:06:43 peut prendre la décision
01:06:45 de l'autre intérêt parce qu'il
01:06:47 a un certain objectif dans toute chose.
01:06:49 Il peut pas dire qu'il est dans toute chose déprécié. Il pourrait que ça se policie.
01:06:51 En janvier,
01:06:53 il introduit un "new monetary policy framework".
01:06:55 Qu'il dit là-dedans?
01:06:57 L'intérêt pour que l'inflation
01:06:59 ait croissance
01:07:01 donne le sens pour le flottant.
01:07:03 Mais quel message
01:07:05 peut avoir le marché? Il peut dire "henceforth,
01:07:07 on pourra lave la RUPI de déprécié.
01:07:09 On ne peut pas, quand la RUPI est dépréciée,
01:07:11 on ne peut pas augmenter l'intérêt pour
01:07:13 l'adresse-lit, pour laisser l'itinéraire flotter.
01:07:15 C'est correct? Mais quand le secteur privé
01:07:17 vient dire au ministre qu'il
01:07:19 est trop et trop déprécié,
01:07:21 là-là, et si on dit bien,
01:07:23 l'intervention de la Banque Centrale
01:07:25 le 1er décembre 2022, il ne peut pas faire
01:07:27 aucune intervention jusqu'à
01:07:29 les 16 mars. Zéro.
01:07:31 Même si la RUPI peut descendre
01:07:33 de ce point de vue. Ça veut dire,
01:07:35 il peut y arriver parce qu'il dit en janvier
01:07:37 qu'il va laisser la RUPI flotter.
01:07:39 Mais le problème, quand le secteur privé vient dire qu'il est trop déprécié,
01:07:41 là-là, il a déboulé.
01:07:43 Il a trop interdit.
01:07:45 Mais c'est très vite dans un format qui était avant.
01:07:47 Mais ce framework-là,
01:07:49 on finit par dire qu'on laisse la RUPI
01:07:51 flotter. Qui fait une chose
01:07:53 comme ça? D'abord, quand on fait un "Fission Targeting",
01:07:55 la plupart des gens qui font un "Fission Targeting Framework"
01:07:57 permettent que la RUPI flotte. Il n'y a pas de choix.
01:07:59 Parce qu'ils ne sont pas capables de s'installer vraiment
01:08:01 pour les deux objectifs.
01:08:03 Il y a des circonstances, on va faire un livre, mais nous prenons
01:08:05 ces circonstances-là. Alors, ce qui veut dire
01:08:07 que tu as fini de dire que tu veux laisser la RUPI flotter.
01:08:09 Tu as dit que tu as calculé
01:08:11 que la RUPI ne passe pas au niveau
01:08:13 à lequel tu as besoin. Mais je te
01:08:15 commence à déprécier la RUPI, tu ne m'as pas fait venir.
01:08:17 Parce que personne ne sait
01:08:19 que tu as besoin. Personne ne sait.
01:08:21 Personne ne sait.
01:08:23 Maintenant, comment je te dis? S'il y a des affaires
01:08:25 volatiles, ça aussi, on ne va pas connaître.
01:08:27 Ok, "excessive volatilité", tu as
01:08:29 raison. Mais si c'est un misalignment,
01:08:31 qui te le fait faire? Tu peux faire la RUPI flotter
01:08:33 plus fort que ce qui a besoin.
01:08:35 Alors, c'est pour ça
01:08:37 qu'on ne va pas mettre les choses en isolation.
01:08:39 C'est que tu as prévu que l'on a une coute, le gouvernement
01:08:41 des boulets, la Banque Centrale des Boulets, voire
01:08:43 les RUPI. Mais on ne va pas faire des affaires politiques comme ça.
01:08:45 Mais, mais, mais, on a souvent, tu dis
01:08:47 beaucoup, mais tu sais, comment
01:08:49 le sujet veut dire que la Banque Centrale
01:08:51 peut, dans les moyens, je dis, pour soutenir
01:08:53 la RUPI. Oui, puis dans les moyens,
01:08:55 réserve, NBC. Congrès de réserve,
01:08:57 Gross International Reserve, on va dire
01:08:59 14.4
01:09:01 mondes of imports, une affaire comme ça.
01:09:03 Mais qui était ça 14.4 mondes of imports?
01:09:05 Il peut baser le chiffre 2021 sur une
01:09:07 pot de bille. Mais une pot de bille entre 2021
01:09:09 et 2023, elle va exploser.
01:09:11 Ça, elle. Déjà, moi,
01:09:13 je dis aussi une propriété
01:09:15 pour vous, chasseuse. Dans mon cas, il y a
01:09:17 une, une, une, une liabilité de 50 millions,
01:09:19 40 à 50 millions. Une liabilité, une
01:09:21 FX. Lui, il augmente
01:09:23 cash reserve ratio of banks,
01:09:25 le foreign deposit pour 9%.
01:09:27 Mais si, nous, on va dire, nous faisons un petit calcul
01:09:29 approximatif, nous tirons
01:09:31 cette déposit qui va dans la banque et non avec toi,
01:09:33 avec la Banque Centrale. Nous tirons ça de la liabilité,
01:09:35 ça. Mais lui, il a 10 mois
01:09:37 mondes of imports basé sur
01:09:39 le prix 2021. Mais si, il a
01:09:41 un prix 2023, mais il est capable d'une
01:09:43 8, 7 mois, mais d'une situation,
01:09:45 une spirale bien, bien dangereuse.
01:09:47 Parce qu'il en demande comme
01:09:49 un international financial center.
01:09:51 The message
01:09:53 has to be that you have
01:09:55 beaucoup
01:09:57 réserve pour si évie comme un insurance cover.
01:09:59 Ça veut dire n'importe qui
01:10:01 dit mon, bien, on veut tirer des vies,
01:10:03 lui, il confie en qui la Banque Centrale des vies. Mais ça peut
01:10:05 baisser. Ça veut dire un mauvais signal.
01:10:07 Maintenant, si nous prenons une lote
01:10:09 d'indicataires, là, nous nous causons en termes de mondes of
01:10:11 imports. Si nous prenons
01:10:13 what's called the broad monetary liabilities,
01:10:15 c'est un peu le, disons, la grande
01:10:17 définition avec une
01:10:19 wider definition of money.
01:10:21 Il y a des dépositions, il y a un peu de tout
01:10:23 là. Nous retirons
01:10:25 les foreign currency deposits
01:10:27 qui sont résidents là. Il y a
01:10:29 à peu près 600 milliards.
01:10:31 Right? Mais je me dis,
01:10:33 où est-ce qu'il est? Il y a une currency
01:10:35 convertible économique. Donc, n'importe qui,
01:10:37 mais demain,
01:10:39 mon réserve des 100 millions, comme on
01:10:41 dit, on va faire ça dans les systèmes, là.
01:10:43 Mon BML, excluding
01:10:45 foreign exchange deposit, des 600 millions,
01:10:47 mais tu me dis, mais ben, tu me dis, on va pas aller rouper
01:10:49 nous les devises. Mais t'as une
01:10:51 réchaud one to three. Mais comment on fera?
01:10:53 Alors,
01:10:55 quand on quitte ça, on a des indicataires, là. C'est un
01:10:57 avisé. Et moi aussi, c'est un opérateur, là, je suis très, très
01:10:59 avisé. Je demande très chéri, je
01:11:01 peux, je peux quitter tout ça, là.
01:11:03 Et
01:11:05 et
01:11:07 le 4-5%
01:11:09 de devise. Donc,
01:11:11 on va trouver comment,
01:11:13 disons, enfin,
01:11:15 patriotique.
01:11:17 Patriotique.
01:11:19 On a des questions,
01:11:21 nous avons des questions, nous avons des questions,
01:11:23 on a des questions,
01:11:25 l'aura sujet là, pour nous clôture ça, après, nous passons à
01:11:27 l'avenir. Est-ce que
01:11:29 donc, la bataille contre la dépréciation,
01:11:31 c'est une bataille bien dure, là.
01:11:33 Si on a
01:11:35 envie vraiment
01:11:37 de contrôler ça, nous
01:11:39 devons prendre la bonne mesure
01:11:41 et s'en sortir de la bonne mesure.
01:11:43 Très important, parce que l'opérateur, il peut
01:11:45 quitter tout, là. Moi, je veux augmenter d'intérêt.
01:11:47 Mais est-ce que vous pouvez s'en sortir, là, dans cette
01:11:49 situation économique? Il y a un peu comme,
01:11:51 disons, en
01:11:53 1993,
01:11:55 ou quoi, Bank of England.
01:11:57 Bank of England peut défendre
01:11:59 une currency. Ceux-là,
01:12:01 avec les autres spéculatifs, ils ont quitté ça.
01:12:03 Surtout qu'ils augmentent l'intérêt jusqu'à 15%.
01:12:05 Mais tous les autres spéculatifs, ils savent
01:12:07 qu'ils ne peuvent pas s'en sortir de ça, parce qu'ils ont une récession.
01:12:09 Moi, je veux s'en sortir de 15%.
01:12:11 Mais je compte dire à Puy-de-Ladem,
01:12:13 là-là, une personne du monde, je vais lui faire
01:12:15 une commentaire, je vais lui dire,
01:12:17 "With hindsight, a strong economy
01:12:19 has a strong currency.
01:12:21 A weak economy
01:12:23 should have a weak currency."
01:12:25 Est-ce que la population est capable de supporter
01:12:27 une dépréciation de l'EU, ou même, je ne sais pas,
01:12:29 qui sont valides aujourd'hui,
01:12:31 donc, si les vies viennent de s'en sortir?
01:12:33 Bon, regarde ça. Mais, il y a des gens
01:12:35 qui ne peuvent pas faire des choses comme ça pour eux.
01:12:37 Bon, c'est un choix à faire.
01:12:39 Comment vous dire, moi, je ne suis pas
01:12:41 un politicien, je suis un économiste.
01:12:43 C'est plus facile pour moi, mais ça,
01:12:45 je vais vous dire ça, dans ce cas-là.
01:12:47 Mais, regarde ça, je ne pense pas
01:12:49 qu'on puisse continuer avec ce modèle
01:12:51 économique qu'il y a là-là.
01:12:53 Est-ce qu'il est faisable, à quoi on peut aller là?
01:12:55 Moi, le commun des Montréal,
01:12:57 je ne peux pas le trouver.
01:12:59 Nous ne pouvons pas continuer comme ça.
01:13:01 Non, ok, ok, bon, c'est bon.
01:13:03 Allez, voilà, nous manquons la pause
01:13:05 et maintenant, on passe à justement
01:13:07 aux causes qui ne peuvent pas continuer
01:13:09 avec ce modèle économique-là.
01:13:11 Nous, pour cause de l'avenir, nous pour cause aussi
01:13:13 des banques. C'est ça qu'il y a là, devant nous,
01:13:15 et qui nous mène à la sorte là-dedans.
01:13:17 Nous manquons la pause, nous retrouvons ça
01:13:19 dans quelques secondes.
01:13:21 [Musique]
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01:15:00 [Musique de fin]
01:15:10 Zoom Extra
01:15:12 Dernier parti de l'interview grand format, enfin Zoom Extra interview grand format avec nos studios, nous y avons l'économiste Vikram Bhanchu
01:15:21 Nous finissons aussi avec deux autres économistes Pierre Dinon et le docteur Takeshi Roku, évidemment Moura Pelou qui est capable d'intervenir sur le sujet en nous appelant sur le 213 777
01:15:32 213 777 et donc juste avant la pause je peux dire qu'il nous manque un quotidien avec Zabouda l'économique là, avec Bhanchu
01:15:38 Peut-être, peut-être, peut-être, dis-moi le cas mal, qu'on pense que je peux dire, mais c'est important.
01:15:42 Aujourd'hui c'est quoi? Nous nous gâter cette affaire, la position de la RIM qui va bien travailler, à le saler et à ce que je peux payer.
01:15:49 C'est une économie, quand nous étions aujourd'hui, c'est une économie qui peut « squeeze » les groupes de low-income.
01:15:55 C'est une économie qui a envie de perpétuer une récente des années 80, low wages pour pouvoir continuer à survivre.
01:16:04 Parce qu'il y a qui fait, nous pouvons réussir à adresser la compétitivité de façon différente.
01:16:08 Nous pouvons investir dans le research and development, nous pouvons investir dans la technologie, nous pouvons investir dans l'innovation.
01:16:13 Donc, nous continuer pour être compétitifs, nous continuer, nous avons besoin de travailler là, pour continuer de donner une petite casse.
01:16:20 Et moi, je me trouve un peu malheureux qu'ils les syndicalisent. Je ne veux pas réciter un autre narrative à propos de nos augmentations.
01:16:29 Mais nous avons besoin d'un narrative qui fait ça. Alors, nous avons besoin d'une explication.
01:16:32 Là, je trouve ça un peu dommage. C'est-à-dire que nous pouvons peut-être revoir le modèle, nous avons arrêter cette affaire low-wage.
01:16:39 Nous avons essayé de... Parce qu'il était aujourd'hui, moi, je lis la cassette, hein, je me dis "Vous trouvez combien de jeunes dans le drug trafficking?"
01:16:47 C'est un différent pattern. Auparavant, c'était ben, du moins, un peu âgé.
01:16:51 Là, c'est un peu beaucoup de jeunes qui se met à faire le trafic de la drogue.
01:16:53 Et ça, qu'est-ce qu'ils ont gagné avec le trafic? Ou vous donnez-vous un travail pour commencer?
01:16:57 Mais le salaire qu'ils ont gagné en Average, hein, le income group, jamais ils ne l'ont pas encore monté dans la case.
01:17:03 Jamais ils ne l'ont pas encore resté dans la terre.
01:17:05 Parce que la valeur de la propriété, "Thousand times" peut-être, "Hundred times", enfin pas "Thousand", mais peut-être "Hundred times" plus important que ce salaire.
01:17:14 Mais comme ça, ils n'ont jamais payé.
01:17:16 Mais, ben, les jeunes, peut-être, on ne le connaît pas, on ne peut pas faire l'avocat du diable, mais de toute façon, une situation comme ça,
01:17:22 si on peut travailler honnêtement, décemment, jamais ils n'ont pas encore fait le trafic de la drogue.
01:17:27 Alors, nous faisons un peu d'espoir dans le pays, là.
01:17:31 On fait un peu d'espoir, avec ce monde là-haut qui nous fait régler tout, tout, tout, ce modèle de développement.
01:17:37 Mais aujourd'hui, Vikram Panchou, quels sont les obstacles économiques, enfin socio-économiques, que nous pouvons dire, auxquels le pays est confronté?
01:17:48 Bon, je crois, rapport à l'IMF, il y a une biaise, il y a tout un tas d'affaires, il n'y a pas juste l'IMF, il y a tout un tas d'économistes normales,
01:17:56 qui sont là pour nous aider, au niveau des grands problèmes, le déficit, comme on peut dire, où le pays consomme plus, ça qui nous peut vendre à l'étranger.
01:18:05 Donc, il nous réserve, BBC, pour un moment, quand nous, nous, on peut dire que nous voulons commencer à Sri Lanka, si on ne veut pas prendre ça,
01:18:11 nous ne voulons pas commencer à Pakistan, mais si nous contiennons comme ça, peut-être que ça va arriver, on ne le connaît pas.
01:18:16 Peut-être, maintenant, on peut espérer que les touristes vont rester avec les hostels que vous développez.
01:18:21 Comment nous trouver qu'il y ait une narrative qui peut très baser le tourisme comme ça?
01:18:26 Le sauveur, le sauveur, mais nous ne le voulons pas. Il y a des gens qui disent comme ça, mais nous trouver que la situation peut être différente.
01:18:34 C'est-à-dire, l'indicatif réserve qui nous sonnait avant, quand il était là, quand nous s'y posions, quand on était dans le déficit,
01:18:41 nous, déficit fiscal, bien, bien important, nous, dette de GDP, comment on dit la dette de GDP? Pas seulement public sector, the whole country.
01:18:48 Le secteur privé, beaucoup de dettes, hein? Ce n'est pas seulement le gouvernement.
01:18:53 Donc, comment le fondamentalisme, disons, qu'un cas, il est difficile pour dire que nous ne pouvons pas commencer à être bon base.
01:19:01 Maintenant, si nous ne pouvons pas adresser les questions qu'il nous adresse, nous avons un inapproprié fiscal et monetary policy mix.
01:19:07 Ça complique les choses, hein? Alors, et comment on dit, on est là, quand on a des living conditions, ben, disons, nous, au bas de l'échelle, malheureusement,
01:19:16 cette condition peut détériorer très rapidement, hein? Le incentive to work parce qu'il n'est pas capable, ça aussi est foutu.
01:19:24 Et une des affaires peut-être qui nous passe sous silence, c'est le climate risk.
01:19:28 Nos économiques modèles, je vous dis, pas adaptés avec le climate risk, hein?
01:19:32 Ça aussi peut arrêter l'environnement. Et moi, je pense que nous pouvons être un peu pessimistes de nature,
01:19:38 mais nous pensons que nous pouvons vivre dans un time bomb, comme nous, qui sommes 56 ans, qui pouvons rentrer dans la drogue, là.
01:19:42 Et le plus gros problème encore, c'est la migration de l'humain talent, hein?
01:19:46 Combien de gens qui nous traînent, nous ne dépensons qu'à ce qu'ils aient l'éducation pour traîner les autres?
01:19:51 Je kiffe de vous parler. Vous êtes allés dans les autres pays, vous avez fait mieux là-bas, parce que vous avez fait plein d'entreprises,
01:19:57 vous avez eu beaucoup de talents, hein? Et surtout, moi, j'ai pensé à misplaced priorities.
01:20:02 Par exemple, nous avons fait causer telle ou telle chose, qu'il y a des pays africains qui ont fait une FDI d'une entreprise.
01:20:09 Mais nous, nous sommes contents de connaître combien de FDI nous avons fait d'entreprises,
01:20:12 et ce qui nous aiment, c'est que nous avons une entreprise de technologies de l'espace.
01:20:14 L'Afrique pervue, Kenya pervue sur satellite, ils ont pervu une satellite pour qu'ils aient un côté agriculture,
01:20:19 c'est pas tout ça, ça, c'est quand même planté, etc., etc.
01:20:22 Mais nous, nous avons fait de l'investissement, nous avons fait de la tourisme, nous avons fait ça.
01:20:26 C'est-à-dire, nous pouvons nous-mêmes, nous pouvons atteindre un peu le train technologique,
01:20:29 nous pouvons nous préparer pour l'avenir, nous pouvons être dépassés par les autres, c'est certain, ça.
01:20:35 Mais comment nous sommes là-dedans? FMI, parce que l'assainissement, déjà, nous avons fait un peu basique,
01:20:39 assainissement de finances publiques, gestion des risques fiscaux, nous avons fait un peu complexe,
01:20:43 et aussi gestion proactive de la dette, c'est-à-dire, Kristalina Georgieva, j'espère que vous vous prononcez ce nom,
01:20:50 c'est une priorité que nous avons mis en place, au début.
01:20:56 Les priorités, je vous le dis, c'est les priorités d'hier, c'est les priorités d'avant-hier.
01:21:02 C'est une chose nouvelle. Tout, à la même efficience, c'est la même chose.
01:21:06 C'est vrai qu'il sait ça, mais pour autant, il redonne le goût du travail aussi.
01:21:12 Aujourd'hui, pour gagner du monde, faire du travail, c'est pratiquement impossible.
01:21:16 Parce que, d'une certaine façon, vous comprenez, du monde, il dit, moi, pour le travail, je vais partir, je vais que ça casse, là.
01:21:21 Zéro. Allô!
01:21:24 Moi, je vous dis, c'est toute une réforme générale à faire, que ce soit dans...
01:21:29 Et nous gagne-nous, nous, aujourd'hui, quand nous gagne-nous prix, hein, tout à l'heure, comme le coupe est d'hier,
01:21:35 qui est bien pris par les baissons, ça fait comme ça, moi, je ne comprends pas.
01:21:38 Mais nous avons une différence entre le « price level » et la vitesse qui est libérée et montée.
01:21:42 La vitesse qui est libérée et montée, c'est l'inflation. « Price level ».
01:21:44 Mais « price level » dans le Maurice, très, très élevé.
01:21:47 Un Sud-Africain, moi, je le dis, il y a un docteur, il dit à moi, Maurice, c'est un bon pays pour vivre, nous payons pas de problèmes de sécurité,
01:21:54 mais le coût de la vie est très cher.
01:21:56 Même pour lui.
01:21:57 Même pour lui. Il dit à moi, l'Afrique du Sud, il prend un N44, il met, je ne sais pas, 1 000 rubis d'essence,
01:22:03 alors il va y aller, il ne retraîner pas du tout.
01:22:05 Mais, dis-moi, Maurice, c'est pas qu'il a fait ça?
01:22:07 Tout loisir, c'est ça.
01:22:09 « Food is very expensive ».
01:22:11 C'est un Sud-Africain, on peut dire ça.
01:22:13 C'est nous, mais...
01:22:15 Alors, moi, c'est un...
01:22:17 Nous faisons rien de l'agriculture sous la de noblesse.
01:22:21 Je trouve dans les consultations budgétaires, M. Dukira, qui dit qu'il y a des plantations sous Cannes,
01:22:27 des baisers, nous payons 40 000 hectares.
01:22:29 Mais qu'est-ce qu'il nous fait faire?
01:22:31 Depuis un moment, on peut aller comme ça.
01:22:33 Nous pouvons faire un ennui.
01:22:34 On peut dire maintenant, nous avons encore un gilet, on monte la case, vendez.
01:22:37 Et ça, c'est aujourd'hui, on peut gagner la case, mais après, qui bouffe après?
01:22:40 Alors, l'agriculture, je vais vous donner un petit exemple,
01:22:43 un moment, le souvent, on a la froid.
01:22:45 Parfois, on nous dit comme ça,
01:22:47 « Ben, de planter, ça va faire beaucoup de casse-souris ».
01:22:49 Quand on calcule, aujourd'hui, ça va être la demi-change.
01:22:52 Un bout que tu peux planter, c'est pas 40 ans,
01:22:54 par exemple, tu peux gagner tant rapport.
01:22:56 Mais, aujourd'hui, il n'y aura pas une baissée, parce qu'il se fait même changer.
01:22:59 Et l'autre chose, vous savez qu'il y a de la pluie, cyclone.
01:23:03 Mais, le bout, là, ça ne met pas pour planter 40 ans,
01:23:05 il peut planter 15 ans, parce qu'il ne connait pas le pétit.
01:23:07 Mais, là, on a de l'assurance pour la perte d'or, l'égume, tout ça.
01:23:10 Moi, je regarde les gens comme ça, par exemple,
01:23:13 les gens qui, les bisec, les livres sur la case,
01:23:17 le 12ème du matin, qui font, pour les vins et pommes sur l'égume,
01:23:19 qui font, pour les gains de parking.
01:23:21 Mais, il y a des petites affaires comme ça, qui nous faisons résoudre.
01:23:25 Nous faisons rendre la vie à des gens,
01:23:27 à des gens qui peuvent produire facilement,
01:23:29 qui ne nous peuvent pas faire.
01:23:31 - Vicrent Bonjou, nous, nous nous posons un petit gout à l'international,
01:23:34 et souvent, quand on évoque l'inflation,
01:23:36 donc, c'est énormément de facteurs internationaux.
01:23:39 Nous pouvons trouver que le monde d'avant,
01:23:41 le monde qui nous connaît, il y a énormément de changements.
01:23:43 Aujourd'hui, nous ne pouvons dire que le capitalisme ou le libéralisme,
01:23:46 comme on nous connaît avant, peut-être, il y a énormément de changements.
01:23:49 Aujourd'hui, 20 pays peuvent répliquer les mêmes choses.
01:23:51 Ils peuvent concentrer leur sécurité énergétique d'abord.
01:23:55 Demain, peut-être, ils peuvent concentrer leur sécurité alimentaire.
01:23:59 Donc, comment nous, nous, un petit pays,
01:24:02 comment nous pouvons nous développer,
01:24:04 comment nous pouvons jouer, nager là-dedans?
01:24:07 - Ça, c'est une très bonne question.
01:24:09 En fait, beaucoup disent qu'il y a une cause de la fin de la globalisation.
01:24:12 Si nous remontons un peu, disons, dans la géopolitique,
01:24:16 nous trouvons que les États-Unis, auparavant,
01:24:19 ils avaient ce libéral-là, c'est-à-dire même l'UFMI,
01:24:23 le capital d'un pays, il nous faisait faire ça,
01:24:25 nous faisions ça, nous faisions une démocratie,
01:24:27 mais la Chine, elle venait avec un modèle
01:24:30 qui montrait que même si c'est une économie pas 100% libérale,
01:24:34 même si c'était une communauté,
01:24:36 mais avec certaines manipulations et tout ça,
01:24:38 le Canada va progresser.
01:24:40 Ça, c'était une véritable challenge pour le monde occidental.
01:24:44 Comment, c'est un modèle chinois, là.
01:24:46 Et maintenant, quand on regarde l'Afrique,
01:24:48 beaucoup, le Sud, on appelle ça les pays du Sud,
01:24:51 la Chine se tenait plus en estime qu'les États-Unis.
01:24:55 Aujourd'hui, quand on parle de l'internet,
01:24:57 on a la cause.
01:24:58 Mais ils sont en train de challenger le monde.
01:25:01 Mais dans un monde en mouvance,
01:25:05 nous, j'ai l'impression, nous payons même une politique étrangère.
01:25:08 Nous payons une vision.
01:25:10 Mais à l'époque, nous demandions une vision,
01:25:12 qu'est-ce que nous pouvions dire?
01:25:13 Aujourd'hui, ça compte des pays qui peuvent visiter les BRICS, par exemple.
01:25:16 La nouvelle, disons, l'ordre mondial,
01:25:18 contre la Chine, l'Inde pour émerger,
01:25:22 et c'est beaucoup plus dynamique aussi.
01:25:24 Les Indiens risquent quand même une force,
01:25:26 mais l'Europe est en déclin.
01:25:27 Donc, what do we do?
01:25:29 Mais nous, tout le temps, nous finissons par dire,
01:25:31 comme vous avez dû le voir,
01:25:33 que la Maldive fait mieux que nous.
01:25:35 Mais la Maldive, il y a beaucoup de touristes indiens,
01:25:37 high class,
01:25:38 ils viennent se faire chasser,
01:25:39 c'est chaleureux, c'est pareil.
01:25:40 Mais nous, Maurice,
01:25:41 tu dis qu'il y a des Indiens,
01:25:43 c'est un peu la bande indienne,
01:25:45 mais les Indiens, ils sont à la bouche,
01:25:47 pour se baigner,
01:25:48 ils ne sont pas capables, sans doute,
01:25:49 ils ne sont pas commodes, ça.
01:25:51 Mais aujourd'hui,
01:25:52 le high class indien,
01:25:54 parvenu, Maurice,
01:25:55 parce qu'il n'y a pas de cartes d'offres,
01:25:57 you are still Europe-centric.
01:25:59 Mais pour nous faire bouger,
01:26:01 nous faire évoluer,
01:26:02 comment le monde peut évoluer?
01:26:03 La richesse, maintenant,
01:26:05 se trouve dans l'Asie.
01:26:06 Et quand nous nous signons un accord avec la Chine,
01:26:09 nous nous signons un accord avec l'Inde,
01:26:11 ben, nothing can be followed.
01:26:13 Par exemple, nous sommes financiers,
01:26:16 maintenant nous sommes sécuris dans l'Inde,
01:26:18 Gift City.
01:26:20 Mais moi, je pensais que c'était une erreur
01:26:23 qu'ils n'aient pas réussi à négocier,
01:26:25 moi, Bizet, avec l'Inde.
01:26:27 Nous nous disions,
01:26:29 nous acceptions qu'il y avait
01:26:31 une de nos, je ne sais pas, 10 milliards,
01:26:33 12 milliards,
01:26:34 et nous, sans ce traité,
01:26:36 on nous défavore.
01:26:38 De l'autre côté,
01:26:39 je trouvais que le Premier ministre,
01:26:41 enfin, peut-être,
01:26:42 c'était une de nos Indiens, Aga Liga.
01:26:44 Mais nous ne sommes pas capables de dire,
01:26:45 ben, nous sommes bien, nous sommes Aga Liga,
01:26:48 mais nous avons une système d'juridiction
01:26:50 avec Gift City.
01:26:52 Alors, c'est une politique étrangère
01:26:55 qui peut nous cliquer.
01:26:56 Il y en a qui peut dire,
01:26:57 et le Premier ministre, c'est tout le temps l'Indien
01:26:59 qui paye par pansette.
01:27:00 Non, non, ça c'est, c'est pas le débat,
01:27:03 c'est pas la discussion.
01:27:05 Mais, n'empêche que l'Inde est là-bas.
01:27:06 Ok, les Indiens.
01:27:07 Nous ne connaissons pas l'Inde,
01:27:08 c'est pas le cas.
01:27:09 This is beyond,
01:27:10 je ne m'intéresse pas à ça.
01:27:11 Donc, c'est quand même mieux négocier,
01:27:13 la présidence indienne.
01:27:15 Non, parce que l'Inde,
01:27:17 la l'Inde,
01:27:18 il ne sait pas avec ce chêchelle,
01:27:20 Tim Gagne a pris une racine.
01:27:22 Aujourd'hui, avec, avec
01:27:24 géopolitique dans l'Océan Indien,
01:27:27 nous n'avons pas une sense extraordinaire,
01:27:29 c'est quand même l'île qui nous est là.
01:27:31 Nous n'avons pas une sense extraordinaire
01:27:32 qui nous n'est pas avec avec exploité.
01:27:34 Parce que nous sommes capables d'irrévéler,
01:27:36 en étant un petit pays
01:27:38 dans le sud de l'Océan Indien,
01:27:40 mais nous ne sommes pas irrévéler du tout
01:27:42 quand nous calculons comme île,
01:27:43 nous sommes tout autour de l'Océan Indien,
01:27:44 et nous pouvons marquer ça.
01:27:46 Qu'est-ce que ça, nous pouvons regarder
01:27:47 si c'est bien, bon, paternité, etc.
01:27:49 Mais nous ne pouvons pas regarder
01:27:50 qui est le meilleur, là-bas,
01:27:52 si on ne peut pas pirater ça.
01:27:54 C'est bon comme souveraineté,
01:27:55 mais nous devons être réalistes.
01:27:56 Nous ne pouvons pas faire ça,
01:27:57 nous devons servir
01:27:58 notre alliance stratégique
01:28:00 avec notre grand pays,
01:28:01 pour que nous puissions gagner
01:28:02 le meilleur de tout.
01:28:04 Par exemple, Gif City,
01:28:05 moi je me dis,
01:28:07 qu'est-ce que ça, nous donnons,
01:28:08 nous regardons les gars
01:28:09 qui ont fait là-bas,
01:28:10 c'est notre problème,
01:28:11 mais ils ont donné ça,
01:28:12 avec ça, nous laissant,
01:28:13 nous laissant, nous laissant,
01:28:14 mais qui nous ont gagné
01:28:15 avec l'indice métro.
01:28:17 Enfin.
01:28:19 Donc, pessimiste,
01:28:21 est-ce qu'il y a un réforme
01:28:22 que vous pouvez dire
01:28:23 qui est nécessaire,
01:28:24 qui est primordial,
01:28:25 est-ce qu'un gouvernement,
01:28:27 quel qu'il soit,
01:28:28 qui va faire l'IA,
01:28:29 un an peut-être,
01:28:30 des élections, selon vous.
01:28:32 Est-ce qu'il y a quelque chose
01:28:33 qu'on ne peut pas faire là?
01:28:34 Non, les semaines fêlées avant,
01:28:35 les semaines fêlées avant,
01:28:36 mais peut-être,
01:28:37 disons les pas politiques,
01:28:38 les variables, n'est-ce pas,
01:28:39 pour les fêlées,
01:28:40 c'était là.
01:28:41 Mais, d'abord,
01:28:43 mon pensée pour que les réformes réussissent,
01:28:45 c'est un peu comme les années 92.
01:28:47 Il faudrait que le gouvernement
01:28:50 en somme,
01:28:51 en vive faire sa réforme.
01:28:53 Mais aujourd'hui,
01:28:54 quand on a beaucoup de réformes,
01:28:55 le fait qu'ils soient
01:28:57 au bas de l'échelle,
01:28:58 peut déjà les souffrir,
01:28:59 ils ne sauront pas les souffrir plus.
01:29:00 Je dirais que c'est une partie
01:29:01 de ce qu'on a vu tout à l'heure.
01:29:03 Alors,
01:29:04 il est beaucoup plus difficile
01:29:05 pour faire sa réforme.
01:29:06 Nous avons 10 minutes,
01:29:07 de 7 heures,
01:29:08 de 19 heures,
01:29:09 avec un peu de chou.
01:29:10 Ma dernière question,
01:29:11 est-ce que le problème
01:29:12 du pays,
01:29:13 ce n'est pas le manque
01:29:14 de vision économique?
01:29:16 Ça, c'est vrai.
01:29:19 Le gouvernement de Saranie Rojak,
01:29:21 il est venu avec Vision 2030.
01:29:23 Qu'il est-il bon,
01:29:24 qu'il n'est pas si bon,
01:29:25 peut-être qu'il a abandonné ça.
01:29:27 Il a peut-être corrigé.
01:29:28 Mais, je ne regarde pas ça
01:29:29 comme un document.
01:29:32 Parce qu'aujourd'hui,
01:29:33 il nous permet de naviguer,
01:29:34 il nous permet de naviguer,
01:29:35 il nous permet de faire des choses,
01:29:36 disons,
01:29:37 secteur privé,
01:29:38 syndicats,
01:29:39 pensionnés,
01:29:40 il nous permet de faire ça.
01:29:42 Mais, où allons-nous?
01:29:44 Dans cette vision-là,
01:29:46 qui nous permet de dire
01:29:47 que dans 20 ans,
01:29:48 nous pouvons faire ça.
01:29:49 Le premier ministre dit
01:29:50 qu'il y a un métro
01:29:51 qui serait bien bon.
01:29:52 Mais,
01:29:53 est-ce que c'est tout ce qu'il nous faisait?
01:29:56 Un métro?
01:29:57 Je ne le doute pas.
01:29:58 Après,
01:29:59 par exemple,
01:30:00 en Inde,
01:30:01 on a fait beaucoup de travaux routiers,
01:30:02 beaucoup de travaux,
01:30:03 des ponts,
01:30:04 des tunnels, etc.
01:30:05 Mais l'Inde a un problème
01:30:06 de connectivité.
01:30:07 C'est-à-dire,
01:30:08 quand il peut faire ça,
01:30:09 ça peut rapporter
01:30:10 les dividendes,
01:30:11 les économiques dividendes.
01:30:12 Mais nous,
01:30:13 est-ce que nous avons vraiment
01:30:14 une connectivité?
01:30:15 Non, on me dit,
01:30:16 peut-être qu'il nous a fait,
01:30:17 mais quand nous étions dans la situation
01:30:19 aujourd'hui,
01:30:20 peut-être qu'il nous a arrêté.
01:30:21 Nous le ferions plus tard.
01:30:22 Nous le continuerions plus tard.
01:30:23 Voilà.
01:30:24 Merci,
01:30:25 Vikram Banju.
01:30:26 Et merci aussi à Pierre Dinant
01:30:27 et le Dr Takeshi Roku.
01:30:28 C'est la fin de Zoom Extra,
01:30:30 l'interview grand format.
01:30:31 Donc,
01:30:32 demain,
01:30:33 on retrouve Marvin
01:30:34 avec Rador Lepep.
01:30:35 Donc,
01:30:36 bonne soirée à vous tous
01:30:37 et bonne soirée à vous,
01:30:38 et bonne soirée à vous, Vikram Bhaji.
01:30:40 *Bruit de dégâts*

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