Le match de hockey sur glace, Russie-Canada, a vu les joueuses évoluer avec des masques FFP2 lundi aux JO 2022 de Pékin.
Scène assez cocasse aux Jeux olympiques. La rencontre phare entre les deux formations, finalement remporté 6-1 par les Nord-américaines, a commencé avec une heure de retard parce que les Russes n'avaient pas encore reçu les résultats de leurs tests matinaux de détection du Covid au moment du coup d'envoi.
«Après des discussions entre les deux équipes, elles ont toutes deux convenu que le match commencerait avec les deux parties portant des masques», déclare le Comité international olympique (CIO) dans un communiqué transmis à l'AFP.
«Nos entraîneurs et notre personnel médical n'allaient pas nous mettre dans une situation où nous ne nous sentirions pas en sécurité», a de son côté expliqué l'attaquante canadienne Natalie Spooner.
Les Russes, quant à elles, ont indiqué qu'elles n'étaient pas responsables, puisqu'elles ont effectué leur test quotidien à l'heure habituelle. «C'est hors de notre contrôle. Les Chinois du laboratoire n'étaient pas prêts à donner les résultats de notre test PCR», a déclaré la défenseuse Anna Shibanova, ajoutant que toutes les Russes étaient négatives au Covid.
Au contraire des Canadiennes, elles ont retiré leurs masques au cours de la troisième période, lorsque les résultats de leurs tests leur ont été communiqués. Shibanova espère ne plus jamais avoir à jouer avec un masque. «Ce n'est pas une sensation agréable, a-t-elle déploré. Il n'y a pas assez d'air.»
A noter que depuis décembre 2020, la Russie est suspendue de toute compétition internationale par le Tribunal arbitral du sport (TAS) pour deux ans en raison des scandales liés au dopage institutionnalisé en Russie. Cependant, les sportifs russes sont présents à Pékin sous l'appellation ROC, acronyme du Comité olympique russe.
Scène assez cocasse aux Jeux olympiques. La rencontre phare entre les deux formations, finalement remporté 6-1 par les Nord-américaines, a commencé avec une heure de retard parce que les Russes n'avaient pas encore reçu les résultats de leurs tests matinaux de détection du Covid au moment du coup d'envoi.
«Après des discussions entre les deux équipes, elles ont toutes deux convenu que le match commencerait avec les deux parties portant des masques», déclare le Comité international olympique (CIO) dans un communiqué transmis à l'AFP.
«Nos entraîneurs et notre personnel médical n'allaient pas nous mettre dans une situation où nous ne nous sentirions pas en sécurité», a de son côté expliqué l'attaquante canadienne Natalie Spooner.
Les Russes, quant à elles, ont indiqué qu'elles n'étaient pas responsables, puisqu'elles ont effectué leur test quotidien à l'heure habituelle. «C'est hors de notre contrôle. Les Chinois du laboratoire n'étaient pas prêts à donner les résultats de notre test PCR», a déclaré la défenseuse Anna Shibanova, ajoutant que toutes les Russes étaient négatives au Covid.
Au contraire des Canadiennes, elles ont retiré leurs masques au cours de la troisième période, lorsque les résultats de leurs tests leur ont été communiqués. Shibanova espère ne plus jamais avoir à jouer avec un masque. «Ce n'est pas une sensation agréable, a-t-elle déploré. Il n'y a pas assez d'air.»
A noter que depuis décembre 2020, la Russie est suspendue de toute compétition internationale par le Tribunal arbitral du sport (TAS) pour deux ans en raison des scandales liés au dopage institutionnalisé en Russie. Cependant, les sportifs russes sont présents à Pékin sous l'appellation ROC, acronyme du Comité olympique russe.
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