TF1 lance sa série-événement ce soir sur l’affaire du petit Grégory.
Après le documentaire de Netflix, TF1 a choisi la fiction pour raconter la plus médiatique et énigmatique des affaires judiciaires du XXe siècle. « Une affaire française », série en 6 épisodes, retrace le drame survenu à Lépanges sur Vologne en 1984 : l’enlèvement puis l‘assassinat de Grégory Villemin, 4 ans, la folie médiatique, le fiasco de l’enquête, la mise en examen de la mère du petit garçon, Christine, l’incarcération du père, Jean-Marie, pour avoir abattu son cousin Bernard Laroche, suspecté un temps d’être l’auteur du meurtre de l’enfant. La série ne prend pas parti, elle se contente de relater les faits en s’appuyant sur les archives, les journaux de l’époque, les livres des protagonistes ou leurs déclarations. « Au-delà du fait divers, c’est un fait de société. Ca parle du déferlement médiatique, des erreurs de la justice. Il y a des humains derrière ce drame et c’est ce qu’on voulait montrer. On ne se positionne pas sur le plan judiciaire », explique la productrice Aimée Buidine.
Le casting est remarquable : Blandine Bellavoir et Guillaume Gouix incarnent Christine et Jean-Marie Villemin, Guillaume de Tonquedec le capitaine initialement chargé de l’enquête, Michaël Youn le journaliste Jean-Michel Bezzina (convaincu de la culpabilité de la mère), Michel Vuillermoz est le reporter Jean Ker, Gérard Jugnot l’avocat des Villemin, Laurent Stocker le juge Lambert. « Pour moi, il y a un avant et un après. C’est un personnage qui m’a bouleversée en tant qu’actrice, en tant que mère et en tant que femme. C’est une chance et une grosse responsabilité d’interpréter quelqu’un qui est encore en vie. Christine Villemin est un modèle de résilience. Mais avant tout, c’est une histoire d’amour incroyable », confie Blandine Bellavoir. La comédienne n’a jamais éprouvé le désir de rencontrer celle qu’elle incarne. D’ailleurs, aucun protagoniste de l’affaire n’a été sollicité pour monter la série : » Si on rencontrait certains, il aurait fallu tous les rencontrer. On a fait ce choix de ne rencontrer personne et de prendre de la distance. On traite cette affaire sans préjugés », ajoute Aimée Buidine.
Après le documentaire de Netflix, TF1 a choisi la fiction pour raconter la plus médiatique et énigmatique des affaires judiciaires du XXe siècle. « Une affaire française », série en 6 épisodes, retrace le drame survenu à Lépanges sur Vologne en 1984 : l’enlèvement puis l‘assassinat de Grégory Villemin, 4 ans, la folie médiatique, le fiasco de l’enquête, la mise en examen de la mère du petit garçon, Christine, l’incarcération du père, Jean-Marie, pour avoir abattu son cousin Bernard Laroche, suspecté un temps d’être l’auteur du meurtre de l’enfant. La série ne prend pas parti, elle se contente de relater les faits en s’appuyant sur les archives, les journaux de l’époque, les livres des protagonistes ou leurs déclarations. « Au-delà du fait divers, c’est un fait de société. Ca parle du déferlement médiatique, des erreurs de la justice. Il y a des humains derrière ce drame et c’est ce qu’on voulait montrer. On ne se positionne pas sur le plan judiciaire », explique la productrice Aimée Buidine.
Le casting est remarquable : Blandine Bellavoir et Guillaume Gouix incarnent Christine et Jean-Marie Villemin, Guillaume de Tonquedec le capitaine initialement chargé de l’enquête, Michaël Youn le journaliste Jean-Michel Bezzina (convaincu de la culpabilité de la mère), Michel Vuillermoz est le reporter Jean Ker, Gérard Jugnot l’avocat des Villemin, Laurent Stocker le juge Lambert. « Pour moi, il y a un avant et un après. C’est un personnage qui m’a bouleversée en tant qu’actrice, en tant que mère et en tant que femme. C’est une chance et une grosse responsabilité d’interpréter quelqu’un qui est encore en vie. Christine Villemin est un modèle de résilience. Mais avant tout, c’est une histoire d’amour incroyable », confie Blandine Bellavoir. La comédienne n’a jamais éprouvé le désir de rencontrer celle qu’elle incarne. D’ailleurs, aucun protagoniste de l’affaire n’a été sollicité pour monter la série : » Si on rencontrait certains, il aurait fallu tous les rencontrer. On a fait ce choix de ne rencontrer personne et de prendre de la distance. On traite cette affaire sans préjugés », ajoute Aimée Buidine.
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