De belles rencontres pour mieux connaître
Un jour le Père Bernard m’a demandé de venir avec lui aux Rencontres fraternelles. À la question, qu’est-ce que c’est ? Il m’a répondu : « tu verras ».
À la question, qu’est-ce qu’il faut faire ? Il m’a répondu : « rien » !
Ça fait trente ans (avec quelques interruptions) que je ne sais toujours pas ce qu’il faut faire. Mais, j’y ai fait de belles connaissances et de belles amitiés. Et je ne pourrai plus m’en passer. Patrick. Quelqu’un parmi nous N° 244.
Nous, les Rencontres fraternelles, sommes une association et un mouvement d’Église et de la Mission Ouvrière, crée par des militants (Le NID, VIE LIBRE, ACO, Confédération syndicale des familles - CSF) qui sont toujours présents et actifs.
Le militantisme des Rencontres fraternelles est que la parole des personnes soit exprimée par elles-mêmes et se fasse entendre. Notre but n’est pas ou plutôt n’est plus d’être bien à part de l’Église et de la société, mais d’oser « sortir », se faire entendre avec d’autres même en dérangeant, d’en intéresser d’autres à nous visiter ! Chantal
Quand nous parlons de la présence des pauvres dans la société, nous souhaitons agir avec eux et non faire pour eux. Ainsi, c'est avec eux que nous trouvons notre place dans l’Église.
Un jour le Père Bernard m’a demandé de venir avec lui aux Rencontres fraternelles. À la question, qu’est-ce que c’est ? Il m’a répondu : « tu verras ».
À la question, qu’est-ce qu’il faut faire ? Il m’a répondu : « rien » !
Ça fait trente ans (avec quelques interruptions) que je ne sais toujours pas ce qu’il faut faire. Mais, j’y ai fait de belles connaissances et de belles amitiés. Et je ne pourrai plus m’en passer. Patrick. Quelqu’un parmi nous N° 244.
Nous, les Rencontres fraternelles, sommes une association et un mouvement d’Église et de la Mission Ouvrière, crée par des militants (Le NID, VIE LIBRE, ACO, Confédération syndicale des familles - CSF) qui sont toujours présents et actifs.
Le militantisme des Rencontres fraternelles est que la parole des personnes soit exprimée par elles-mêmes et se fasse entendre. Notre but n’est pas ou plutôt n’est plus d’être bien à part de l’Église et de la société, mais d’oser « sortir », se faire entendre avec d’autres même en dérangeant, d’en intéresser d’autres à nous visiter ! Chantal
Quand nous parlons de la présence des pauvres dans la société, nous souhaitons agir avec eux et non faire pour eux. Ainsi, c'est avec eux que nous trouvons notre place dans l’Église.
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