"J’écris parce que je crois à la force militante des mots." Luis Sepúlveda.
L’écrivain chilien (1949-2020) débute sa carrière littéraire au début des années 1980.
Son roman "Le vieux qui lisait des romans d’amour" (1992) contribue à sa notoriété internationale.
Son engagement se retrouve dans sa plume mais aussi et surtout dans sa vie.
"Je suis d'abord un citoyen, et après un écrivain." Luis Sepúlveda, sur France Culture (2012).
À seulement 12 ans, il rejoint les jeunesses communistes puis une branche du Parti socialiste.
Un engagement qui lui vaudra cher : Il est condamné à 28 ans de prison pour trahison et conspiration sous la dictature du général Pinochet.
Après 2 ans et demi passé derrière les barreaux, il est libéré grâce à Amnesty International.
Obligé de fuir le Chili, son pays natal, il part découvrir l’Amérique du Sud.
Il vit pendant un an chez les Indiens Shuars dans le cadre d’une étude de l’UNESCO.
Une expérience qui inspirera son premier roman, un succès.
Ensuite, il part mener une lutte armée aux côtés des Sandinistes (partisans politiques de la libération nationale) au Nicaragua.
Puis en Allemagne, il exerce comme reporter-journaliste.
Il travaillera également pour Greenpeace et partira sur un bateau pendant 2 ans.
En 1996, l’écrivain décide finalement de poser ses valises en Espagne dans les Asturies.
Une destination connue pour sa lutte politique et son esprit de solidarité.
Romans, essais, fables pour enfants…. Il était également cinéaste. Il est l’auteur de 2 longs et 2 courts métrages.
Le 16 avril 2020, Sepúlveda est mort du coronavirus à l’âge de 70 ans.
L’écrivain chilien (1949-2020) débute sa carrière littéraire au début des années 1980.
Son roman "Le vieux qui lisait des romans d’amour" (1992) contribue à sa notoriété internationale.
Son engagement se retrouve dans sa plume mais aussi et surtout dans sa vie.
"Je suis d'abord un citoyen, et après un écrivain." Luis Sepúlveda, sur France Culture (2012).
À seulement 12 ans, il rejoint les jeunesses communistes puis une branche du Parti socialiste.
Un engagement qui lui vaudra cher : Il est condamné à 28 ans de prison pour trahison et conspiration sous la dictature du général Pinochet.
Après 2 ans et demi passé derrière les barreaux, il est libéré grâce à Amnesty International.
Obligé de fuir le Chili, son pays natal, il part découvrir l’Amérique du Sud.
Il vit pendant un an chez les Indiens Shuars dans le cadre d’une étude de l’UNESCO.
Une expérience qui inspirera son premier roman, un succès.
Ensuite, il part mener une lutte armée aux côtés des Sandinistes (partisans politiques de la libération nationale) au Nicaragua.
Puis en Allemagne, il exerce comme reporter-journaliste.
Il travaillera également pour Greenpeace et partira sur un bateau pendant 2 ans.
En 1996, l’écrivain décide finalement de poser ses valises en Espagne dans les Asturies.
Une destination connue pour sa lutte politique et son esprit de solidarité.
Romans, essais, fables pour enfants…. Il était également cinéaste. Il est l’auteur de 2 longs et 2 courts métrages.
Le 16 avril 2020, Sepúlveda est mort du coronavirus à l’âge de 70 ans.
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