"J'ai voulu ramener de la nuance, de la complexité sur un sujet difficile et délicat", explique la romancière Karine Tuil, Goncourt des lycéens et prix Interallié pour "Les choses humaines" (Gallimard). Ce 11e roman raconte une histoire de viol et met le lecteur dans la peau d'un juré de cour d'assises. "À tout moment un être humain peut basculer du mauvais côté : je l'ai vu très souvent aux Assises", poursuit-elle, invitée d'Inter dimanche matin.
"Ce qui m'a donné envie de travailler sur ce sujet c'est un fait divers à l'Université Stanford : un procès opposait un jeune étudiant et une jeune femme présente sur le campus lors d'une soirée et qui l'a accusé de l'avoir agressée sexuellement. Il a été condamné à six mois de prison dont trois fermes et une vague d'indignation aux Etats-Unis. C'est ce point de départ qui m'a donné envie d'explorer ce sujet, d'aller aux Assises pour assister à des procès pour viol, bien avant #MeToo", explique la romancière.
Plus d'informations sur Karine Tuil à retrouver sur : https://www.franceinter.fr/emissions/l-invite-du-week-end/l-invite-du-week-end-17-novembre-2019
"Ce qui m'a donné envie de travailler sur ce sujet c'est un fait divers à l'Université Stanford : un procès opposait un jeune étudiant et une jeune femme présente sur le campus lors d'une soirée et qui l'a accusé de l'avoir agressée sexuellement. Il a été condamné à six mois de prison dont trois fermes et une vague d'indignation aux Etats-Unis. C'est ce point de départ qui m'a donné envie d'explorer ce sujet, d'aller aux Assises pour assister à des procès pour viol, bien avant #MeToo", explique la romancière.
Plus d'informations sur Karine Tuil à retrouver sur : https://www.franceinter.fr/emissions/l-invite-du-week-end/l-invite-du-week-end-17-novembre-2019
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