Un sexagénaire, qui travaillait comme homme à tout faire dans une oliveraie d'Eygalières (Bouches-du-Rhône), a tué lundi sa fillette de neuf ans et sa compagne âgée de 41 ans avant de se suicider, a-t-on appris auprès du procureur de Tarascon.
« Cet homme de 65 ans a d'abord tué sa fille de neuf ans alors qu'elle dormait dans son lit, avant d'abattre la mère de la fillette », a déclaré à l'AFP Patrick Desjardins, procureur de Tarascon, confirmant des informations des quotidiens La Provence et Le Dauphiné Libéré.
« Après avoir tué sa fille et sa compagne, il a écrit un courrier pour relater son geste et appelé un voisin avant de se suicider », a poursuivi Patrick Desjardins, évoquant un « drame familial ». C'est ce voisin qui a alerté les gendarmes.
Une enquête ouverte
« L'homme n'était a priori pas connu pour des faits de violences conjugales ou de maltraitance d'enfant », a encore déclaré le magistrat, ajoutant que la lettre qu'il avait écrite était « en cours d'exploitation ».
La brigade de recherches de gendarmerie de Salon-de-Provence a été saisie de l'enquête ouverte pour homicides volontaires et recherche des causes de la mort.
En 2018, 121 femmes ont été tuées par leur conjoint ou ex-compagnon, selon le ministère de l'Intérieur. Le gouvernement a lancé le 3 septembre une « mobilisation » pour lutter contre le fléau des violences conjugales. Les 12 groupes de travail constitués pour ce Grenelle, dont la conclusion est attendue le 25 novembre, à l'occasion de la journée pour l'élimination des violences faites aux femmes, doivent rendre leurs propositions le 28 octobre.
« Cet homme de 65 ans a d'abord tué sa fille de neuf ans alors qu'elle dormait dans son lit, avant d'abattre la mère de la fillette », a déclaré à l'AFP Patrick Desjardins, procureur de Tarascon, confirmant des informations des quotidiens La Provence et Le Dauphiné Libéré.
« Après avoir tué sa fille et sa compagne, il a écrit un courrier pour relater son geste et appelé un voisin avant de se suicider », a poursuivi Patrick Desjardins, évoquant un « drame familial ». C'est ce voisin qui a alerté les gendarmes.
Une enquête ouverte
« L'homme n'était a priori pas connu pour des faits de violences conjugales ou de maltraitance d'enfant », a encore déclaré le magistrat, ajoutant que la lettre qu'il avait écrite était « en cours d'exploitation ».
La brigade de recherches de gendarmerie de Salon-de-Provence a été saisie de l'enquête ouverte pour homicides volontaires et recherche des causes de la mort.
En 2018, 121 femmes ont été tuées par leur conjoint ou ex-compagnon, selon le ministère de l'Intérieur. Le gouvernement a lancé le 3 septembre une « mobilisation » pour lutter contre le fléau des violences conjugales. Les 12 groupes de travail constitués pour ce Grenelle, dont la conclusion est attendue le 25 novembre, à l'occasion de la journée pour l'élimination des violences faites aux femmes, doivent rendre leurs propositions le 28 octobre.
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