#ILLEETVILAINE #Lafemme #retrouvéemorte
https://gotopnews.com/post/1506605
Son corps sans vie a été découvert le dimanche 22 janvier à son domicile de Pont-Pean, près de Rennes.A 47 ans et une femme a été tuée, succombant à la "violence". Son compagnon, un maçon 36 ans, s'était présentéAu poste police Rennes pour annoncer la mort son conjoint. Il a été placé en garde à vue mais n'avait pas encore été entendu dimanche soir. Selon le procureur, la victime avait déjà dénoncé son mari "violence verbale "lors d'un rapport à la gendarmerie. Elle s'est présentée à la Gacilly Brigade le 2 février 2022 pour signaler qu'elle avait quitté le foyer conjugal fin novembre. Elle a ensuite expliqué "avoir peur de son mari", spécifiant qu'il n'a pas exercé "physiqueViolence ". La victime avait mentionné épisode sur lequel il aurait lancé téléphone portable et autre au cours duquel il aurait arraché collier. Marié depuis 2017 Placé en garde à vue le 22 septembre, l'homme a été entendu parler de ces faits et a rejeté la responsabilité des femmes. "Il a dit qu'au contraire, c'était sa femme qui avait tenté de l'attaquer. Et, en ce qui concerne le collier, il a évoquéUn acte involontaire. La procédure a été classée sans suivre le même jour pour une infraction insuffisamment caractérisée », spécifie le procureur de public Philippe Astruc. Les enquêteurs ignorent si la vie de couple avait repris. Le mari de la victime n'aurait pas pu être entendu dimanche dimanche. En conséquence aux enquêteurs, il a également présenté des lésions sur le corps.24 novembre 2014 et l'a épousée le 20 mai 2017. Le couple n'a pas eu d'enfants.
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Son corps sans vie a été découvert le dimanche 22 janvier à son domicile de Pont-Pean, près de Rennes.A 47 ans et une femme a été tuée, succombant à la "violence". Son compagnon, un maçon 36 ans, s'était présentéAu poste police Rennes pour annoncer la mort son conjoint. Il a été placé en garde à vue mais n'avait pas encore été entendu dimanche soir. Selon le procureur, la victime avait déjà dénoncé son mari "violence verbale "lors d'un rapport à la gendarmerie. Elle s'est présentée à la Gacilly Brigade le 2 février 2022 pour signaler qu'elle avait quitté le foyer conjugal fin novembre. Elle a ensuite expliqué "avoir peur de son mari", spécifiant qu'il n'a pas exercé "physiqueViolence ". La victime avait mentionné épisode sur lequel il aurait lancé téléphone portable et autre au cours duquel il aurait arraché collier. Marié depuis 2017 Placé en garde à vue le 22 septembre, l'homme a été entendu parler de ces faits et a rejeté la responsabilité des femmes. "Il a dit qu'au contraire, c'était sa femme qui avait tenté de l'attaquer. Et, en ce qui concerne le collier, il a évoquéUn acte involontaire. La procédure a été classée sans suivre le même jour pour une infraction insuffisamment caractérisée », spécifie le procureur de public Philippe Astruc. Les enquêteurs ignorent si la vie de couple avait repris. Le mari de la victime n'aurait pas pu être entendu dimanche dimanche. En conséquence aux enquêteurs, il a également présenté des lésions sur le corps.24 novembre 2014 et l'a épousée le 20 mai 2017. Le couple n'a pas eu d'enfants.
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