Avec « Comédie française », Fabrice Luchini publie son premier livre (Flammarion, 19 euros), qui remporte un gros succès.
Le sous-titre ne reprend pas par hasard les premiers mots de « Voyage au bout de la nuit » (« Ça a débuté comme ça… ») : le comédien y évoque en effet ses débuts comme apprenti-coiffeur, sa rencontre avec Eric Rohmer, sa première visite chez Roland Barthes, ses découvertes de Louis-Ferdinand Céline, de Nietzsche ou de la première scène du «Misanthrope» de Molière. Mais à l’arrivée, il parle beaucoup moins de sa propre vie que des génies qu’il admire (de La Fontaine à Rimbaud et Céline) et cite ici abondamment.
Son éditeur a-t-il raison de présenter le livre comme « l’autobiographie » de Luchini ? Qu’apprend-on de nouveau, à la lecture, sur le comédien ?
Grégoire Leménager, de « L’Obs », et Jean-Christophe Buisson, du « Figaro-Magazine », ne sont pas d’accord.
Le sous-titre ne reprend pas par hasard les premiers mots de « Voyage au bout de la nuit » (« Ça a débuté comme ça… ») : le comédien y évoque en effet ses débuts comme apprenti-coiffeur, sa rencontre avec Eric Rohmer, sa première visite chez Roland Barthes, ses découvertes de Louis-Ferdinand Céline, de Nietzsche ou de la première scène du «Misanthrope» de Molière. Mais à l’arrivée, il parle beaucoup moins de sa propre vie que des génies qu’il admire (de La Fontaine à Rimbaud et Céline) et cite ici abondamment.
Son éditeur a-t-il raison de présenter le livre comme « l’autobiographie » de Luchini ? Qu’apprend-on de nouveau, à la lecture, sur le comédien ?
Grégoire Leménager, de « L’Obs », et Jean-Christophe Buisson, du « Figaro-Magazine », ne sont pas d’accord.
Category
🗞
News